Yazar: admin

Lessons In Life

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Lessons In LifeThis story is basically about my first lessons in sex and maybe my appreciation of mature women to this day. At the time I was sixteen and had my second girlfriend. Second girl I had had sex with that is. The first one was a girl who lived on the other side of Birmingham who was more of just a sex thing than anything else. The second one was closer to home who I sometimes took out on dates and we acted in proper boyfriend/girlfriend manner.One day Mrs Hood ( changed for obvious reasons ) was in her front garden and beckoned me over as I was passing. Mrs Hood was maybe late fifties, widowed and with a full figure. She was known as the local busybody and she only mixed with the neigbours to find out the local news.On this occasion she almost straight away asked me if I had a girlfriend and seemed eager to know how close we were. She asked me how often I saw her and so on. Then, completely out of the bue she asked me if I was having sex with her.I illegal bahis am sure I blushed as I admitted that we did and she went on to ask how often. I think I admitted to twice a week and then out of the blue she asked me if I wanted a cup of tea. I was completely taken aback and followed her in through her front door. I did notice her looking around to see if anyone had seen us and for a moment I feared a little for my life.When we got in to her rather nice small detached house she led me to the kitchen and put the kettle on straight away. She pointed to where she wanted me to sit and then sat opposite me. Over the next few minutes she didn’t say anything regarding the girl I had told her about and I wondered what was going to happen.After she had poured the tea she sat down and began to grill me about my relationship. She asked me to describe the girl and when I admitted that she had big breasts she stumped me by asking if they were as big as illegal bahis siteleri hers. Again I went red in the face and that’s when she became a little domineering in the chat.She asked me how many girls I had had sex with and when it was obvious that I had little experience she startled me by saying that I should learn how to satisfy a girl. I stupidly claimed that I was always buying her presents and taking her to see films she wanted to see etc. That’s when I was completely gazumped when she asked me if we did oral or anal sex. I had no idea what she was talking about and it was obvious.She went on to explain that a girl needed an orgasm as much as a man and before I knew it she had talked about a clitoris and labia and erect nipples and I was lost. I was also incredibly erect. I doubt that she could see the bulge because of the table between us but then she asked the ultimate question. Did I want my girlfriend to craze for me.As soon as canlı bahis siteleri I mumbled yes, of course, she stood up and took my hand before leading me to a bedroom. Once there she could easily see the effect she was having on me and smiled as she told me to take off all my clothes. I had no hesitation and was stripped in thirty seconds flat.Slowly she started to take her clothes off before apologising if her body was not as beautiful as my girlfriends. I didn’t care. Once she was fully naked she ordered me to lie on the bed. When I did my cock was upright like a flagpole. Slowly she leant over and slid my cock into her mouth. Like all near virgins like me I shot a load within five seconds. After swallowing it all she pulled away before laughing. I felt guilty and inadequate at the same time before she told me to relax as she had half expected it.Over the next hour or so she taught me all I needed to know about oral sex by guiding where and how to lick her clit and labia. Sha also made me want to come back more for lessons about nipples and rimming and so on.She was my teacher for about six months and I am sure that I fucked her more than my girlfriend but I will always be grateful for her lessons.

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Week-end au chalet (ma première fois avec un homme

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Week-end au chalet (ma première fois avec un hommeLa première fois avec un hommeJ’ai 53 ans, j’ai toujours été hétéro et j’adore les femmes. Sauf que…Au début de l’âge adulte, n’ayant eu que quelques petites aventures féminines consistant à toucher les petits seins en émergence de filles trop saintes-nitouches pour allez plus loin, je profitais de toutes les occasions pour découvrir les joies de la sexualité et me masturbais donc fréquemment.C’est ainsi qu’à cette période, je remarquais qu’un garçon avec lequel je partageais quelques cours ne me regardait pas comme les autres. Je le surprenais parfois à mater discrètement mon sexe lorsque nous nous douchions tous ensemble après une activité sportive, mais sans plus. Nous sommes rapidement devenus amis. Nous pouvions déjà tout nous dire même si nous ne nous connaissions que depuis peu. C’est ainsi qu’un jour il me demanda si j’étais attiré par les garçons, car avait-t-il ajouté, «j’ai vu que tu bandais sous la douche l’autre jour quand je te regardais?!». Je lui ai répondu, que non, que j’étais hétéro et que j’adorais regarder les beaux petits culs de fille?! Et leurs tétons?!Il m’avoua alors tout naturellement, que «moi aussi j’aime bien regarder les filles, mais parfois aussi les garçons!» Bien que cette confidence m’ait étonnée, je mentirais si je disais qu’elle m’ait surpris outre mesure étant donné les coups d’œil qu’il portait à ma verge. Nous n’en avons pas reparlé. Nous étions bon amis et le sommes restés.Pendant ce temps l’année scolaire avançait et en juin, quelque temps avant les grandes vacances, mon ami m’invita à passer le weekend suivant au chalet familial. J’acceptais volontiers et mes parents n’y virent aucun inconvénient. Jamais je n’aurais pu imaginer un seul instant ce qui s’y passerait!Il avait été décidé que les parents de mon copain nous attendraient devant l’école dès la fin des classes le vendredi. Le jour «J», bien installés à l’arrière de la voiture, nous discutons mon ami et moi de tout et de rien. Ses parents, très gentils nous apprennent que nous seront seuls le soir venu puisqu’ils sont invités chez des voisins. Ils ne rentreraient probablement qu’aux petites heures du matin.Nous arrivons! Se dresse devant nous un adorable petit chalet, au bord d’un lac lui-même entouré de plusieurs autres chalets mais tous à bonne distance les uns des autres. Un très bel endroit, respirant le calme et la tranquillité!Les bagages bahis firmaları sortis de la voiture, j’ai la surprise de voir qu’il n’y a que deux chambres et que, oups, je devrais non seulement partager la chambre de mon copain mais le même lit de surcroît! … Mais le lit est grand et mon ami a toujours été respectueux envers moi et mon orientation sexuelle. Et puis, je l’avais vu embrasser une fille. Je ne m’inquiétais donc pas trop.— Ça ne te dérange pas? Me demanda-t-il.-« Non, pas du tout. Je n’ai jamais couché avec une fille ni avec un garçon», je lui réponds en plaisantant?!!!-«Alors tu es vierge??!?»Ce à quoi je répliquais aussitôt que j’avais eu plusieurs occasions d’explorer des corps de fille et également que la masturbation faisait parti de mon quotidien?!«J’aimerais bien voir ça» dit-il en riant.«Désolé, tes boules ne sont pas à la bonne place».Il faisait encore soleil et assez chaud. La maman de mon copain suggéra que nous allions dehors pendant qu’elle préparerait à manger. Nous sortîmes donc explorer la nature, le lac, les environs. Au chalet voisin, un peu en retrait du lac, une femme s’affairait à étendre du linge sur la corde. Se croyant seule et à l’abri des regards, elle n’avait revêtu qu’un slip et un débardeur très ajusté. Sans soutien-gorge, les seins remuaient au rythme de ses mouvements. Nous nous cachons pour la mater quelque temps. Je ne me souviens pas si j’ai réellement vu le renflement des mamelons à travers le tissu ou si je les ai seulement imaginés, mais quoiqu’il en soit, mon jeune âge et la vue de cette paire de seins furent à l’origine d’une formidable érection. Fort heureusement pour moi, les strings n’étaient pas encore à la mode auquel cas, j’aurais certainement éjaculé dans mon slip. Mon ami, très à l’affût des entrejambes -tant féminins que masculins- ne pouvait évidemment pas passer cet événement sous silence :— Hey?! Tu bandes! Regarde, moi aussi!Un peu intimidé je regarde et vois qu’il a sorti sa queue et se branle lentement tout en matant la femme aux seins ballottant. Pris d’une gêne soudaine, je détale en disant : «Le dernier arrivé au chalet est une poule mouillée!».Après nous être bien restaurés, les parents de mon copains sont partis et nous sommes donc demeurés en tête à tête mais sans reparler de l’épisode de la dame. Nous avons bien rigolé en jouant à quelques jeux de sociétés devant un bon feu de cheminée, tout en faisant griller des kaçak iddaa tranches de pain.-Il est minuit, on va se coucher? Me demande t-il?Nous étions crevés! Chacun notre tour nous nous sommes douchés et brossés les dents. Comme il faisait chaud, je décidais de ne dormir qu’avec mon slip. Me glissant sous le drap, je remarquais au moment où il s’y glissait à son tour, qu’il était complètement nu.— Hey, tu ne dors pas avec ton slip??— Non, jamais. Ça te dérange??— Non, non, répondis-je pendant qu’il éteignait la lampe.Habituellement je dors aussi sans slip mais il me semblait que la situation présente exigeait une certaine retenue. Je repensais à cette femme et à ses saillants mamelons. À mon copain. À nos érections. Ça y est, je me remettais à bander. Enfermée dans mon slip, ma queue revendiquant une plus grande liberté de mouvement, me faisait presque mal. Il allait falloir que j’achète des slips un peu plus à sa taille, puisqu’elle avait pris de l’ampleur dernièrement. L’urgence du moment exigeait que je la libère au plus vite. C’était trop inconfortable.— Je vais aussi coucher nu alors.— Te gêne pas pour moi?! dit-il.Toutes lumières éteintes, guidé par les rayons de lune qui éclairaient la chambre, je me débarrassais de ce slip trop étroit. Alors que je me recouchais, je notais que mon ami fixait ma queue si fièrement dressée.— Tu bandes encore! C’est moi qui te fais cet effet là??— Ben non, je repensais aux beaux seins de cette femme. Et toi qui avais sorti ta queue, je t’ai vue. Tu te masturbes souvent?— Oui, tous les jours, parfois même plus d’une fois. Pis là, je suis bandé aussi. Comme toi!Il se tournait vers moi tout en continuant de parler. Je sentis son bras frôler le mien. J’étais électrisé! Sans avertissement, il enleva les couvertures, en riant. Malgré la pénombre, les rayons de lune nous trouvèrent nus et bien bandés.— Wow, elle est grosse. Bien plus grosse que la mienne! Je peux toucher??Un peu sous le choc, je ne dis rien. «Qui ne dit mot consent!» dit-on. Il s’en empare avec un mouvement de va et vient tout en avançant le bassin jusqu’à ce que sa queue soit à la portée de ma main. Sans plus réfléchir, je m’emparais de la sienne et commençais moi aussi ce lent va et vient.Son pénis est plus long et plus mince que le mien. J’ai appris plus tard qu’il faisait 19 centimètres alors que le mien en fait 17, mais avec une plus grande circonférence. Nous nous masturbions mutuellement. kaçak bahis De nos pénis coulaient un abondant «précum».Passant le pouce sur le bout de ma queue pour y recueillir le liquide, il me demanda si j’y ai déjà goûté.-Oui bien sur, le mien.Il mit son pouce dans sa bouche pour lécher mon liquide.-Tu goûtes bon.Il me demanda si je m’étais déjà fais sucer par une fille. Répondant par la négative, je précisais toutefois que j’avais bien hâte. Son membre en érection toujours dans ma main je le branlais toujours, mais cette fois accélérant la cadence. Je le senti frémir et il me dit:-Je peux te le faire si tu veux?!Surpris par cette proposition, je ne savais que répondre. Il prit encore cela comme un acquiescement, se retourna et prenant la position 69, il m’englouti aussitôt. Je sursautais, mais je trouvais fantastique cette chaleur, cette douceur. Je me laissais envahir par ces nouvelles sensations. Pour la première fois quelqu’un, homme ou femme, allait me faire jouir avec sa bouche!Sa queue près de ma figure, je la saisissais de nouveau et me trouvant maintenant dans un autre monde, je l’engloutissais aussi. Je ne parvenais plus à penser, je ne faisais que jouir de la situation. Je goûtais son «précum», légèrement salé comme le mien. Je me surprenais à apprécier ce que je faisais et surtout, ce que l’on me faisait?! Je ne mis pas longtemps à sentir monter la jouissance et je l’en avertis entre deux succions?! Il me répondit : «Va s’y, viens dans ma bouche, je veux te goûter». Ça n’en prenait pas plus pour que je jouisse et éjacule avec force et, pour la première fois dans une bouche, de grosses giclées de sperme comme jamais auparavant, que mon ami pompaient et avalaient goulûment.Les derniers spasmes de jouissance calmés, je continuais de le sucer et il ne mit pas longtemps à m’avertir qu’il allait jouir lui aussi. Pris d’une soudaine réticence, je ne pouvais me résoudre à le laisser éjaculer dans ma bouche et encore moins à avaler son sperme. Continuant à le branler hors de ma bouche, il éjacula une montagne de foutre sur mon torse, mon cou, les draps et j’en eu même à la commissure des lèvres, que je goûtais à l’abri de son regard. C’était acre et chaud.Plusieurs papiers-mouchoir furent nécessaires pour tout nettoyer. papiers-mouchoir que nous nous sommes empressés de jeter au feu. Nous avons ris quand nous avons entendu le crépitement et une drôle de fumée qui s’en échappait!Reprenant chacun notre place dans le lit, il me remercia en disant qu’il avait adoré?! Encore une fois, je ne pu rien répondre, encore abasourdi par cet orgasme fulgurant et réalisant que j’avais bel et bien baisé avec un homme?!

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Fast wie früher

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Fast wie früherMein erster Versuch als Autor, nicht zu hart mit der Kritik. Die Story ist frei erfunden … ein langweiliger verregneter Samstag Abend steht wieder vor der Tür denkt sich Cynthia während sie die Regentropfen beobachtet die prasselnd gegen die Fensterscheiben auf sich aufmerksam machen. Ganz in Gedanken versunken an frühere Tage an denen sie an solchen Tagen mit ihren Mädels um die Häuser gezogen ist überhört sie die Frage ihres Gatten was sie denn heute Abend kochen wird. Zu tief gräbt sie sich in die Erinnerungen wieviel Spaß sie früher hatte – tanzend bis in die morgenstunden , reichlich Cocktails und hin und wieder die ein oder andere Männereroberung die ihre Bedürfnisse nach Sex teils mehr oder weniger befriedigten. Sie war eher die schüchterne und unschuldigste ihrer Mädels die es doch ordentlicher krachen ließen und keine Gelgenheit ausließen die Männer reihenweise um den Finger zu wickeln und in Gesellschaft nach Hause zu gehen wie sie am Folgetag immer wieder aufs neue neidisch zu hören bekam. “Schatz, bist du taub ? ” durchdringt die Stimme ihres mannes wieder ihre gedanken..” Ja , was ist ? tut mir leid ,ich habe grade an den nächsten Wocheneinkauf gedacht ” Sie muss sich selbst gestehen dass sie die Stimme ihres Mannes zur zeit immer häufiger als nervtötend emfpindet und ein wenig abstand benötigt , wieder etwas mehr action in ihrem leben täte gut. Seit der gemeinsamen Hochzeit verlief das ganze schöne Bild ihrer Beziehung immer mehr in Routine. Sie vermisst die Tage an denen das frisch verliebte Paar die Finger keine sekunde voneinander lassen konnte und es ganze Tage voll heißblütigem Sex gab. Und wo hat das hingeführt ? Sex gibt es nur noch sehr selten , das ist das schlimmste an ihrer ganzen misere. sie verspürt schon seit wochen den drang nach richtig gutem und heißem Sex wie sie ihn Früher hatte , vor ihm .”wenn ich noch einmal fragen muss gehe ich zu Dave. da gibts einen Fussballabend mit Pizza ” reißt ihr Mann sie wieder aus den Gedanken…wie von sinnen ermutigt sie ihn die einladung zu seinem Arbeitskollegen anzunehmen ” ja das ist doch auch mal wieder eine gute idee, ihr habt schon ewigkeiten nichtsmehr außerhalb der Arbeit unternommen, dann habe ich auch mal wieder zeit den Haushalt in ruhe auf fordermann zu bringen “Was ist nur los mit mir – denkt sich Cynthia während sie zusieht wie Ihr mann schon in die Schuhe schlüpft und nach den Autoschlüsseln sucht. Sie weiß wie solche Abende enden, am Schlus ist soviel Bier geflossen dass er bei seinem Kollegen auf dem Sofa schläft und nichtmehr fahren kann. Auch gut .” Also ich bin dann mal weg, bis später ” verabschiedet er Sich von ihr , flüchtet gab es noch einen lustlosen Kuss bevor er die türe hinter sich ins schloss fallen lässt.Erleichtert und etwas erschrocken über sich ,ihren Mann einfach so gehen zu lassen wirft Cynthia sich rückwärts aufs sofa. Jetzt so alleine ist ihr doch langweiliger als gedacht, mal sehen was die mädels so machen, gesagt getan , die whatsapp nachricht ist schon verschickt. – Hey die brave Haus- und Ehefrau lebt ja auch noch , wir gehen heute in die neue Bar im Szeneviertel- kam provozierend als antwort zurück. Wieder einmal mehr heute kommt ihre andere Seite zum Vorschein. ” Ich werde euch beweisen was die brave hausfrau noch so alles auf dem kasten hat, wenn ihr noch einen Platz im Taxi für mich habt komme ich mit ” wissend dass sie die ganze Nacht zuahuse niemand vermissen wird nimmt sie allen mut zusammen um die nachricht abzusenden.”oh das sind ganz neue töne, schön dich wieder mal zu sehen, um 21 uhr steht das taxi bei dir, sei pünktlich” Jetzt beginnt die Panik vor der party wie sie früher schon gang und gebe war, was ziehe ich nur an ist im moment das einzigste woran sie denken kann. Erstmal ab unter die Dusche.Cynthia eilt ins Badezimmer ganz wie früher alles muss schnell gehen und sie nimmt die alten Gewohnheiten von ihren früheren Tagen sofort wieder auf. Wasser an, den rasierer in die hand… Voll vorfreude auf den bevorstehenden Abend beginnt sie ihre langen schlanken beine von den stoppeln zu entfernen. Sie fühlt sich richtig gut dabei das wird ein toller Abend mit der alten Clique wieder etwas trinken gehen. Sie lässt den Rasierer über ihre weiche haut gleiten und wenn sie schon mal wieder dabei ist sich schick zu machen dann richtig, canlı bahis ein bein auf den beckenrand gestellt beginnt sie sich ihre vernachlässigte scham einzuschäumen … hmm leichte berührungen reichen um sie blitzartig zusammenzucken zu lassen, viel zu lange her dass sie oder jemand anderes sie dortberührt hat. aber sie steht unter zeitdruck und kann sich nicht weiter ihrer lust hingeben.frisch rasiert und geduscht steht sie einige momente später vor ihrem kleiderschrank, mit der brennenden frage des outfits. Jetzt hat sie die bahnbrechende idee, das kleid vom letzten familienfest. Ein schwarz/weißes knielanges kleid . sie breitet es auf dem bett vor sich aus, der erste schritt ist getan, aber wenn schon rausputzen dann richtig denkt sich die wieder auferstandene partymaus. Sie öffnen die Unterwäscheschublade und wühlt sich bis fast zum Boden durch, da ist es was sie gesucht hat. Eigtl sollte dieses Unterwäsche Set einem schönen abend mit ihrem mann etwas mehr schwung verleihen aber daran wollte sie jetzt garnicht denken. schon steigt sie in den spitzenbesetzten kleinen schwarzen string. der passende bh dazu umhüllt ihre wirklch anschauliche 75b Oberweite… du kleines Miststück denkt Cynthia von sich selbst überrascht als sie sich im spiegel betrachtet . aber irgednwas fehlt .das ist es… ihre frisch rasierten beine werden in halterlosen strümpfen umhüllt , passend zum rest ihrer wäsche mit spitzenbesetzten rändern. – Wow, also wenn ich ein mann wäre könnte ich die finger nicht von mir lassen – drehend bewundert sie sich im großen spiegelschrank, das dünne band des strings teilen ihre knackigen arschbacken und lässt auf der vorderseite ihre frisch rasierte pussy durchschimmern. Ihr eigener anblick lässt sie schon wieder in andere gedanken abdriften…sanft streichelt sie sich die schenkel nach oben entlang der ränder ihrer strümpfe bis zwischen die beine … mhh nein ich muss mich beeilen – bringt sie sich zurück auf den boden der tatsachen. das kleid ist schnell übergestriffen, die passenden high heels dazu und los gehts . aufgeregt und mit leichter verspätung eilt sie die treppen nach unten wo bereits das party taxi steht. ihre zwei freundinnen sind schon deutlich angetrunken und fangen sofort an über gott und die welt zu reden , der arme taxifahrer…endlich am ziel angekommen , die neue bar, der evtl neue szenetreff des viertels. auf ins getümmel, schon recht viel los für die uhrzeit aber kein wunder bei einer eröffnung.Cynthia entgehen die lustvollen Blicke der anwesenden Männer nicht aber lässt sich nichts anmerken, schnell einen platz an der bar sichern. Ihre mädels sind sofort auf der tanzfläche verschwunden, wie früher. sie hält die stellung an der bar und verfolgt das wilde partytreiben.”hallo schöne frau , willst du was trinken ? ” sie glaut zu träumen als sie der Stimme folgt und in die Augen eines großen gutgebauten Mannes blickt…”ähm hi ja gerne, ich bin Cynthia” “sehr schön dich kennenzulernen, ich bin alexis, bin erst frisch hergezogen und dachte das ist heute die gelegenheit mal jemand aus der stadt kennenzulernen”die drinks waren schnell geordert und beide unterhalten sich angeregt. Cynthia kann die augen garnicht von den prallen Oberarmen lassen die sich unter Alexis Hemd andeuten lassen , sie spürt schon wieder dieses kribbeln zwischen ihren Beinen… Die lautstärke lässt eine gemütliche unterhaltung leider nur schwerwerdend zu wesshalb sich die neue Bekanntschaft in eine ruhigere ecke zurückzieht. Vom langen stehen lässt sich Cynthia mit schmerzenden füßen in die Loungesessel fallen wobei sie vergisst dass sie heute nicht zuhause ist und jogginghosen trägt.das kleid rutscht nach oben und geben Alexis perfekten einblick auf die strumpfbesetzten schenkel und das kleine schwarze höschen worauf sich ein leicht dunkler fleck gebildet hat.-oh nein bitte nicht -denkt sie sich während sie panisch versucht das kleid wieder zurecht zu rücken… lächelnd und lustvoll legt alexis seine hand auf den noch freiliegenden teil ihres beines… sie spürt seine erregung die sie offensichtlich verursacht hat deutlich in seinen augen und seiner art sie zu berühren..”wow mit so einer show hätte ich nicht so schnell gerechnet aber was für ein heißer anblick ” flüstert alexis ihr ins ohr wobei er seine hand noch ein strück weiter nach oben gleiten lässt , bahis siteleri selbstsicher lässt er seine fingerspitzen immer wieter nach oben tanzen. wie unter drogen gibt sich Cytnhia den berührungen hin, sie genießt es deutlich wieder endlich so berührt zu werden, das war es was sie sich gewünscht hat. doch wie weit soll sie ihn nur gehen lassen beisst sie ihr gewissen.da die ecke der bar eher dunkel gehalten ist und sich das partyvolk auf der tanzfläche aufhält sind die beiden ungestört . zitternd und leicht überfordert lässt cynthia es einfach geschehen, sie hilft ihrer neuen bekanntschaft , öffnet leicht ihre beine und lässt die neugierige hand gewähren… Augenblicklich durchströmt ein Schauer von Lust ihren ganzen Körper als die finger sich weiter den weg nach oben bahnen…. an den spitzenverzierten rändern der strümpfe entlang ganz langsam in richtung zentrum, der dunkle fleck auf dem höschen wird immer größer und ein unruhiges hin und her rutschen im sessel ermutigt Alexis sein spiel fortzuführen.Jetzt endlich spürt sie seine hand am saum ihres mittlerweile mehr als feuchten string tangas … fordernd drückt er sie gegen den feuchten stoff um die konturen ihrer heißen frisch rasierten pussy nachzufahren… Cynthia weiß garnicht wie ihr geschieht als er plötzlich seine Hand zurückzieht …als hätte man sie aus einem Traum geweckt…”komm mit wir gehen zu den parkplätzen hinter der bar” raunt er ihr voller geilheit ins ohr während er sie an der hand nimmt und ihr fast keine andere wahl lässt als aufzustehen… als sie an ihren tanzenden und schon stark betrunkenenn freundinnen vorbeigeführt wird merkt sie wie geil sie die ganze situation macht, ihre beine zittern, ihr höschen ist durchnässt sie spürt eine noch nie dagewesene lust. ihren mann der vermutlich schon im bierkoma liegt hat sie schon längst ausgeblendet.aufgeregt lässt sie sich nach draußen führen, es ist dunkel und man hört die dumpfen bässe von innen durch die wände bummern…- was mache ich hier nur, ich bin doch kein partyflitchen rasen ihre gedanken durch den kopf. alexis ist seiner sache sicher und schiebt seine neue eroberung in richtung eines geländers… seine hände .. da sind sie wieder, überall an ihrem körper… er streift wieder ihr kleid nach oben und lässt seine hand zwischen ihren zittrigen beinen verschwinden.. dabei küsst er ihren hals , atmet ihren betörenden duft ein.. Cynthia kann nicht anders als sich ihrer lust zu ergeben, sie geht auf das spiel ein und lässt ihre hand über die deutliche beule in alexis hose gleiten.. oh mein gott das wird eine freude denkt sie sich und drückt immer fordernder zu, sein harter praller schwanz drückt stark gegen seine hose…jetzt gibts kein zurückmehr .. sie lässt sich durch seine starken hände in richtung boden drücken, breitbeinig soweit ihr kleid es zulässt kniet sie nun vor ihm , leckt sich lüstern über die lippen bevor sie sich sofort daran macht seine höse zu öffnen… wie beim ersten mal, zittrige hände und angespannt… kaum ist der gürtel geöffnet und die hose nach unten gezogen springt ihr seine pralle männlichkeit vors gesicht.. 18x5cm pralle harte lust sind nur wenige cm von ihrem gesicht entfernt…die adern treten deutlich hervor am schaft und die glänzende spitze liegt frei.. seine hände greifen in ihre haare und bringen ihren kopf näher an den lustspender … sie kann einfach nicht anders… sie öffnet ihren gierigen mund und lässt die zungenspitze hervorschnellen um die prall geschwollene spitze seines glieds zu empfangen… alexis schließt die augen und genießt den moment, so hat er sich den abend vorgestellt. sie wird mutiger , umfässt seinen zum platzen gespannten schwanz mit einer hand während sie ihre lippen um die geile kuppe schließt und anfängt ihn nach allen künsten zu blasen… sie kniet schmatzend vor ihm, was für ein geiler anblick , die ach so schüchterne und brave hausfrau kniet vor dem partyhengst und bläst ihm den schwanz. Cynthia kann sich nicht beherrschen, zieht sich derweil dei rock in richtung bauch um mit entblösstem unterleib vor ihm zu knien, ihre freie hand findet den weg in ihr klatschnasses höschen von ganz allein… endlich da ist die berührung die sie den ganzen tag schon herbei gesehnt hat denkt sie sich als sie mit zwei fingern ihre feuchten lippen teilt und sich selbst anfängt zu ficken…alexis bahis şirketleri beginnt auch mehr und mehr den takt anzugeben und hält sie an den haaren fest während er beginnt in ihren mund zu stoßen, so kennt sie das nicht aber sie findet gefallen daran und lässt ihn ihren mund benutzen, schmatzend fingert sie sich immer wilder ihre kochend heiße pussy…er spürt dass er das nicht allzulange aushält, ihr mund ist dafür einfach zu wohtuend… er lässt sich zurückgleiten und beobachtet dabei die speichel fäden die sich zwischen ihrem geilen mund und seiner prallen schwanzspitze bilden…. “beug dich gegen das geländer du geiles stück” gesagt getan , sie weiß was nun kommt..und sie will und braucht es .. fordernd drückt sie ihren arsch nach hinten, den oberkörper legt sie über das geländer… sie ist bereit nach strich und faden gefickt zu werden…doch er hat andere pläne was sie schnell merkt als sie seinen heißen atem zwischen ihren beinen spürt… seine zungenspitze gleiten an ihren langen bestrumpften beinen entlang nach oben, er wird ganz verrückt von ihrem duft der lust… seine zähne bekommen das hauchdünne höschen zu fassen und reissen es nach unten bis es in den kniekehlen hängen bleibt…jaaaa stöhnt sie laut in die dunkle nacht als sich die gierige zunge zwischen ihre überlaufenden schamlippen drücken und anfangen ihre kleine pussy zu verwöhnen… passend dazu umkreist alexis fingerkuppe von vorne ihren geil geschwollenen kitzler … diese zungenschläge bringen sie um den verstand sie ist kurz davor den halt zu verlieren zum glück hängt sie auf dem geländer und drückt immer weiter ihren knackigen arsch nach hinten… “bitte hör auf..ich kann nichtmehr, ich brauche es jetzt richtig, fick mich” sie schaut über die schulter und bettelt förmlich um sein hartes glied…lange hat cynthia nicht zeit zum verschnaufen bis sie endlich seine pralle eichel von hinten spürt.. er reizt sie noch etwas .. lässt immer wieder die pralle kuppe durch ihre nassen schamlippen gleiten , reibt über ihren geilen kitzler… “biiitteeee mach endlich, fick mi”” sie kann den satz nichtmal richtig zu ende bringen da er seinen steinharten schwanz mit einem festen stoß zwischen ihren engen lippen verschwinden lässt… ohh jaaa machs mir hört man immer wieder aus ihrem mund zwischen stotterndem stöhnen und lustschreien…. ungezügelt lässt alexis seinen schwanz immer fester und tiefer ein und ausgleiten. Sie beugt über dem geländer und lässt sich benutzen ,wie sie es sich solange gewünscht hat… wie ein tier stößt er sie immer härter , ihre gemischten lustsäfte fließen ihre schenkel entlang und tränken die ränder der strümpfe… sie ist kurz davor sterne zu sehen, er hört einfach nicht auf sondern erhöht das tempo und die härte… ihr wird schwarz vor augen als sie lust schreiend in ihrem höhepunkt den halt verliert und zu boden geht……wielange war ich weg ? sie öffnet ihre augen, fässt sich zwischen die beine , ihre muschi glüht immernoch und ist geflutet von seinem lust saft… alexis ist verwchwunden… wow das war mal ein abenteuer … ihr höschen ist ebenfalls verschwunden samt ihrem hengst… dafür klemmt zwischen schenkel und strumpf ein zettel mit seiner handynummer.. leicht beschämt , sich benutzt gefühlt aber befriedigt bis ins letzte glied sammelt sie sich wieder , ruft das nächst beste taxi und fährt nach hause, während der fahrt kann sie es sich nicht nehmen noch einmal zwischen ihre beine zu fassen, sie kann es immernoch nicht glauben, ist das echt passiert ? die säfte zwischen ihren beinen bestätigen es ….zuhause angekommen legt sie sich kraftlos ins bett, von ihrem mann keine spur, sie schläft ein… am nächsten tag wird sie geweckt durch ihr handy…” na, doch die brave hausfrau ? bist ja sehr schnell wieder nach hause gegangen, haben dich nirgends mehr gesehen, vielleicht ist das nachtleben ja doch nichtsmehr für dich” ihre freundinnen machten sich lustig, na wenn die wüssten ” ja vielleicht habt ihr recht und ich weiß nichtmehr wie man feiert” während sie die mail sendet hält sie grinsend den zettel mit der nummer ihres Eroberers in der hand und fässt sich zwischen die Beine… “schatz ich bin wieder da ” verkatert und nach bier stinkend lässt sich ihr mann neben ihr ins bett sinken… ” na einen schönenn abend gehabt ? fussball und pizza war eindeutig die bessere entscheidung als sich auf dem sofa wie du zu langweilen ” den zettel mit alexis nr schiebt sie ins hinterste eck ihres nachttisches und schließt grinsend die augen…Lob und Kritik gerne als Kommentar hinterlassen

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Der schöne SpanierDie kleine Bucht lag etwas abseits und war schwierig zu erreichen. Man musste über Felsen klettern, und das führte dazu, dass hier kaum Familien und Kinder waren. Ein Grund aus dem auch ich mich immer wieder auf den Weg hierher machte und nicht an den einfacher zu erreichenden Stränden blieb wie die Große Masse der Urlauber hier. Ich hatte mich dieses Jahr wieder von meinen Freunden zum campen überreden lassen und dann hatten sie mich in allerletzter Minute hängen lassen. Berufliche Gründe, aber ich hatte keine Lust darauf nochmal alles umzuplanen. Gepackt hatte ich eh schon und fuhr allein los in den Süden. An meiner Bucht lagen meist etwas ältere Leute, viele von ihnen auch Nacktbader, alles in allem eher Individualisten und jeder machte so sein Ding. Ich lag nun schon ein paar Stunden hier, las in meinem Buch, ging hin und wieder ins Meer um mich abzukühlen und döste in der Sonne. Natürlich beobachtete ich auch die anderen Strandbesucher. Insbesondere wenn wieder jemand über die Felsen geklettert kam, schaute ich neugierig. So auch heute. Meistens war es wieder ein uninteressanter Tourist, aber dann kam einer, der sah schon aus weiter Entfernung vielversprechend sexy aus. Er kletterte über die Felsen und sprang des letzten Absatz an den Strand hinunter. Es war ein junger Mann, ziemlich groß, bestimmt so 1,85 bis 1,90 m groß, sportlich schlank, muskulöse Oberarme und auch eine gut trainierte Brust konnte man erkennen. Er trug eine rote Badeshorts und ein weißes, weit ausgeschnittenes Tanktop. Auf dem Rücken trug er einen schwarzen Rucksack und unterm Arm einen Motorad-Helm. Er ging über den Strand direkt auf mich zu und suchte sich einen Platz. Neben mir warf er seinen Helm in den Sand, bahis firmaları setzte seinen Rucksack ab und packte ein Handtuch aus, das er dann ausbreitete und sich darauf ausstreckte. Er setzte sich nochmal auf und streifte sich sein Tanktop ab. Tatsächlich hatte er einen tollen Körper, gut trainierte Brustmuskeln und ein schönes Sixpack, alles natürlich richtig schön sonnengebräunt. Aus der Nähe konnte ich auch sein Gesicht betrachten. Er war wirklich ein Hübscher, Anfang 20 würde ich schätzen, dunkle Haare, mittellang. Leider zog er sich seine Shorts nicht aus. Hätte ich ja gern gesehen, was sich darin verbarg. Er streckte sich in der Sonne aus und speilte auf seinem Handy rum. Offenbar war er ein Spanier, soviele Textnachrichten, wie er versandte. Ich versuchte mich wieder meinem Buch zu widmen, aber ich schaute doch immer wieder zu ihm rüber. Er hatte inzwischen auch ein Buch aus seinem Rucksack geholt und las. Dann stand er auf und ging zum Meer. Von hinten sah er auch nicht schlecht aus, ein toller trainierter Rücken und auch ein schöner runder Po, der unter der roten Badehose spannte. Mit einem athletischen Sprung sprang er ins Wasser und schwamm eine Runde. Wie sexy er aussah, als er aus dem Meer stieg und das Wasser an seiner braungebrannten Haut hinunterlief, er sich die nassen Haare aus dem Gesicht strich. Er ließ sich auf sein Handtuch fallen und atmete schwer. Das Wasser perlte auf seiner Haut und die nasse Badehose ließ deutlich erahnen, das sich darin ordentlich etwas verbarg. Inzwischen war es Abend geworden und der Strand war inzwischen fast leer. Der schöne Junge schlief offenbar tief und fest. Die Sonne stand schon sehr tief, und die letzten Sonnenbader packten iher Sachen kaçak iddaa zusammen. Ich beschloss, ihn zu wecken. Ich stand auf und ging die paar Schritte zu ihm rüber, ging neben ihm in die Hocke und sprach ihn an. Er wachte erschrocken auf, und blickte mich verwirrt an. Mit meinem bruchstückhaften Spanisch versuchte ich ihm zu erklären, warum ich ihn weckte. Ich deutete auf die untergehende Sonne und zeigte auf meine Uhr. Er verstand und guckte auf sein Handy und war offenbar sehr überrascht, wie lange er geschlafen hatte. Er lächelte mich an und bedankte sich bei mir. Hektisch packte er seine Sachen zusammen, plötzlich schien er es eilig zu haben, und verließ den Strand, rief mir noch ein “Adios” zu. Auch ich packte mein Kram zusammen und machte mich auf den Weg zurück. Der Weg führte über die Felsen an den Nachbarstrand und von dort aus über einen steilen Aufstieg zurück zum Campingplatz. Am oberen Ende angekommen sah ich den hübschen Spanier wieder. Er stand an seinem Motorrad und versuchte es verzweifelt zu starten, ohne Erfolg. Ich ging zu ihm uns fragte ob ich helfen kann, Aber er erklärte mir, dass seine Maschine schon länger Probleme machte und sie eh dringend in eine Werkstatt muss, nun aber nicht mehr von hier wegkam und auch sein Handyakku leer war. Also konnte er auch keinen Freund anrufen, der ihn abholte. Ich fragte wo er hin müsste und die Antwort war: “Barcelona!” Ich war überrascht und sagte, dass wären ja rund 100km! Er bestätigte das zähneknirschend. Ich überlegte und schlug ihm dann vor: “Warum bleibst du nicht hier, mein Zelt ist groß genug und morgen früh fahre ich dich zu einer Werkstatt oder auch nach Barcelona.”Er überlegte und willigte dann ein. Was sollte er auch sonst machen. kaçak bahis Also ging ich mit ihm zu meinem Zelt, holte zwei Dosen Bier aus meiner Kühlbox und warf ihm eine der Dosen zu. Wir unterhielten und in einem spanisch-englisch-deutsch Mix und machten uns später was zu Essen auf dem Campingkocher. Es war inzwischen stockfinster, und wir saßen im Kerzenschein. Seine Augen leuchteten und wir lachten viel. Er war wirklich sehr sympathisch. Irgendwann gähnte er und ich meinte, wir sollten mal schlafen, damit wir am nächsten morgen zeitig los kämen. Ich war gespannt wie er reagierte, in meinem Zelt gab es nur eine große Luftmatratze, als ich im das Schlafabteil zeigte. Er zögerte kurz und meinte dann: “Na hoffentlich nehme ich dir nicht zuviel Platz weg.””Nee, passt schon” antwortete ich. Also machten wir es uns beide gemütlich, er hatte sein Tanktop augezogen, und ich knipste lieber das Licht aus, bevor er noch sehen konnte, was sich bei mir getan hatte. Mein Schwanz stand wie ne eins, kein Wunder bei so einem geilen Kerl in meinem Bett. Nach einiger Zeit schliefen wir ein, bis ich irgendwann später wach wurde weil ich spürte, wie er seinen Arm um mich legte und an mich ran kuschelte. Sofort hatte ich wieder eine Erektion, und war damit offenbar nicht allein. Ich spürte genau, dass auch sein Schwanz hart gegen meinen Oberschenkel drückte. Ich konnte mich micht zurückhalten und streichelte langsam über seinen Körper. Er grunzte wohlig und pötzlich öffnete er seine Augen und blickte mich direkt an. Ich konnte nicht anders und küsste ihn. Im selben Moment erschrak ich und fürchtete mich vor seiner Reaktion. Aber die war anders als erwartet. Er küsste mich zurück, drängte mit seiner Zunge in meinem Mund und rieb sein hartes Glied an mir. Ich schwang mich über ihn und setzte mich auf seine Hüfte, küsste seine muskulöse Brust, saugte an seinen Nippeln und griff in seinen geilen Bizeps. Wie es weiter geht erfahrt ihr in Teil 2!

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Ein Tag am Meer

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Ein Tag am MeerIch liebe es in den Urlaub zu fahren. Fremde Länder zu sehen und einfach mal raus zu kommen. Im Urlaub sind auch alle immer irgendwie entspannter, was mir sehr angenehm ist. Ich flirte gern. Und das klappt im Urlaub immer noch besser, da einfach alle entspannter und gelöster sind. Besonders gefällt mir immer das Spiel mit verheirateten Männern. Vor allem, wenn ich alleine reise. Was so mancher verheirateter Mann schon angestellt hat, um an seinem letzten Abend noch ein wenig mit mir wilde Dinge zu tun … Aber ich genieße das sehr. Am letzten Abend brechen oft alle Dämme, weil die Herren dann ja ohne Angst erwischt zu werden nochmal ein wenig woanders wildern gehen können.Dieses Jahr habe ich Last-Minute gebucht. Eigentlich wollte ich gar nicht weg fliegen, aber ich brauchte Urlaub. Ein wenig Auszeit. Also habe ich schnell einen kleinen Koffer gepackt (viel zum Anziehen brauche ich ja eh nicht) und habe direkt am Flughafen eine 1-wöchige Reise gebucht. Von der Zeit und von meinem kleinen Budget kam aber nur 1 Woche Mallorca in Frage. Ein Familienhotel. Egal. Ein paar Stunden später saß ich im Flugzeug. Und, wie von einem Familienhotel zu erwarten, gab es viele Väter, die irgendwie an der alleine-reisenden-Rothaarigen interessiert waren. Und ich freue mich immer über männliche Aufmerksamkeit.Einen späten Nachmittag lag ich dann alleine am Strand. Zum Glück hielten sich die Strand-Verkäufer und aufdringliche Spanier an diesem Tag in Grenzen, so dass ich schön und ungestört in der Sonne liegen konnte. Ich nehme mir trotz allem immer einen Platz mitten im dichtesten Liege-Gedränge am Strand. Ich möchte ja auch gesehen werden. Und angeschaut werden. Und vielleicht flirten, wenn es sich ergibt. Ich hatte meinen neuen roten und sehr knappen Bikini an. Ich lag auf dem Bauch und hatte mein Bikini-Oberteil aufgeschnürt, um nahtlos braun zu werden. Wobei richtig braun werde ich nicht. Der Nachteil als Rothaarige. Ich hatte natürlich meine Sonnenbrille aufgesetzt. Ich legte meinen Kopf auf mein Handtuch und schaute mir die Menschen neben mir an. Eine Familie mit 2 Kindern hatte sich neben mir ausgebreitet. Beide Erwachsenen so Mitte 30. Ich schaute ihn mir genau an. Ein gutaussehender Mann. Braune Haare, helle Augen (wohl blau) und trainiert. Viele Männer lassen sich gehen, wenn sie verheiratet sind und Kinder haben. Aber dieser hier schien gut in Form zu sein. Er trug eine Schwimm-Short. Schade. Da kann man leider nicht sehen, was er sonst zu bieten hat. Er schaute immer mal wieder zu mir herüber und ließ seinen Blick über meinen Po und Rücken gleiten. “Na, dann wollen wir ihm doch mal was bieten.”, dachte ich. Ich drehte mich auf den Rücken, so dass er nun ebenfalls meine Brüste sehen konnte.Leicht mit Schweiß etwas Sand bedeckt, präsentierte ich, was ich zu bieten habe. güvenilir canlı bahis siteleri Als etwas Wind über mich strich, wurden meine Nippel hart. Gut so. Steil und rosig standen sie nach oben. Meine beiden Brustwarzenpiercings kamen so richtig zur Geltung. Er schaute nun öfter verstohlen zu mir herüber. Die Kinder wollten Eis und er diskutierte mit seiner Frau, wer von beiden nun mit den beiden losgehen sollte, um es zu kaufen. Er wollte unbedingt, dass sie mit den Kindern losging. Scheinbar gab es auch ein kleinen Streit. Jedenfalls ging sie dann mit beiden Kindern los. Er legte sich auf dem Bauch, und schaute in meine Richtung.Ich seufzte leicht (aber hörbar) und strich gedankenverloren den Sand von meinen Brüsten. Sein Blick verriet, dass er mich beobachtete. Es gefiel ihm eindeutig, was er sah. Ich stand auf und richtete mein Handtuch neu aus. Ich tat so, als würde ich das Handtuch in wieder etwas in Schatten meines Sonnenschirms ziehen.Aber ich drehte es dabei, so dass es nun mit dem Fußende genau in seine Richtung zeigte. Ich stellte mich extra etwas ungeschickt an. Ich fummelte 3-4 Mal an dem Handtuch herum, bis es richtig lag. Dabei bückte ich mich oft. So bekam er schöne Einblicke auf meinen Po und meine Brüste. Dann legte ich mich wieder hin. Ich konnte ihn zwar so nicht mehr sehen, aber ich wusste, dass er mich anschaute. Ich öffnete meine Beine leicht, so dass er mir nun direkt zwischen meine Beine auf mein Bikini-Höschen schauen konnte. Ich konnte seinen Blick regelrecht spüren. Ich merkte, dass ich erregt wurde. Dieses kleine Spiel ließ mir das Blut in den Unterleib schießen. Und ich merkte, dass ich auch feucht wurde. Er lag nur knapp 2 Meter von mir entfernt. Ich fragte mich, ob man wohl am Bikini-Höschen eine feuchte Stelle sehen konnte. Ich richtete mich auf und tat so, als würde ich mich umschauen. Zum Meer. Oder anderen Leuten. Aber in Wirklichkeit wollte ich nur wissen, ob er mich noch beobachtete. Das tat er.Sein Blick war direkt zwischen meine Beine gerichtet. Also legte ich mich wieder zurück aber meine die Beine aufgestellt. Ich ließ sie leicht auseinander fallen. Das Bikini-Höschen ist sehr klein und eng. Und so hob es sich ein wenig links und rechts meiner Lippen ab. Ich fasste mir zwischen die Beine und tat so, also würde ich den richtigen Sitz des Höschens kontrollieren. Ich zupfte etwas an dem Höschen herum und sorgte dafür, dass es kurz ein wenig zur Seite geschoben wurde. Er lag ja nur knapp 2 Meter von mir entfernt. Wenn er nicht blind war, dann konnte er kurz einen Blick auf meine blanken Lippen erhaschen. Ich bemerkte die Feuchtigkeit in meinem Höschen. Dieses kleine Spielchen erregte mich doch mehr, als ich erwartet hatte. Ich genoss die Spannung zwischen uns. In Gedanken taten wir es bereits hier am Strand. Umringt güvenilir illegal bahis siteleri von Zuschauern.Aber der Strand war noch zu gut besucht für meine Gedanken. Auch wenn er sich langsam leerte, weil viele zum Abendessen gingen. Das Ganze mit meinem Zuschauer hatte nur wenige Minuten gedauert. Und Sie kam mit den Kindern zurück. Kurze Zeit später ging Sie dann wieder mit den Kindern. Er blieb noch. Ich verstand natürlich warum. Ich drückte mich wieder hoch und schaute mich um. Der Strand hatte sich inzwischen weiter geleert. Es waren vielleicht noch 5 Personen im Umkreis von 20 Metern. Er legte sich wieder auf den Bauch.Und ich nahm mein erregendes Spiel wieder auf. Er hatte sie wohl weggehen lassen, damit er weiter ungestört zuschauen konnte. Und bestimmt wollte er nicht nur zuschauen. Aber er würde nicht zu mir herüberkommen. Noch nicht … Bestimmt schaute er wieder zwischen meine Beine. Ich hatte sie wieder lang auf mein Handtuch gelegt. Jetzt stellte ich sie wieder auf. Und ließ sie wieder leicht auseinanderfallen. Ich schickte langsam meine rechte Hand auf eine Reise über meinen Körper.Ich wollte, dass er mich sieht. Ich wollte, dass dabei zusieht. Ich strich über meinen Hals, langsam hinunter zu meiner rechten Brust. Dort streichelte ich sanft über meine Brustwarze. Ich drehte ein wenig an meinem Piercing. Ich meinem Unterleib begann es vorsichtig zu pochen. Ich zwirbelte mein Piercing hin und her. Aufregung und Geilheit stiegen in mir hoch. Ich schob meine Hand zwischen meinen Brüsten zu meinem Bauch. Und dann – ganz langsam – in Richtung meines Schambeins.Ich wurde noch erregter. Und feuchter. Mein Unterleib hob sich wie von selbst fast unmerklich ein bisschen hoch. Meiner eigenen Hand entgegen. Ich schob die Hand langsam oben in mein Bikini-Höschen. Meine Finger fanden mein Klitoris. Ich berührte mich selbst dort sanft. Ein wohliges “Mmmm” kam über meine Lippen. Mit meiner linken Hand griff ich mir an die linke Brustwarze und zwickte mich dort leicht. Eine Welle der Geilheit durchschoss mich. Ich presste meinen Unterleib ein paar Zentimeter hoch und schob mir einen Finger zwischen meine Lippen. Ich rieb meinen Finger etwas auf und ab. Außen auf meinen Lippen war ich bereits nass und glitschig. Dann schob ich mir langsam meinen Mittelfinger hinein. Ich legt meinen Unterleib wieder ab und hob etwas den Kopf. Ja, er schaute mir zu. Gebannt starrte er zwischen meine Beine.Ich stöhnte leicht. Er schaute, wie ich mich selbst verwöhnte. Ich fasste mir unter die linke Brust und schob sie hoch zu. Dann nahm ich meine eigene Brustwarze in den Mund. Ich schaute ihn dabei direkt an. Trotz Sonnenbrille wusste er, dass ihn nun direkt anschaute. Ich leckte über meine Brustwarze. Dabei zog ich den Finger leicht zurück und begann meine Klitoris nun güvenilir bahis şirketleri zu reiben. Vorbei war das kleine Versteckspiel. Jeder könnte nun sehen, was ich hier tat. Die Bewegungen in meinem Bikini wurden stärker und ich leckte meine eigene Brustwarze. Ich ließ meine Brust los und nahm meine Sonnenbrille ab. Ich schaute ihn direkt an. Meine linke Hand fuhr nun ebenfalls zwischen meine Beine.Ich umfasste den Stoff zwischen meinen Beinen und zog ihn zur Seite. So konnte er genau sehen, wie ich mich selbst rieb. Mein Finger fuhr wieder etwas herab und drang wieder in mich ein. Wieder hob ich meinen Unterleib ein kleines Stück. Ich war so geil, dass ich nun nicht mehr leise sein konnte. Ich stöhnte etwas lauter. Er schluckte und schaute weiter gebannt zu. Ich drückte den Daumen und dem Zeigefinder der rechten Hand leicht in mich und öffnete die Finger dann, so dass meine Lippen weit geöffnet wurden. Er schaute nun direkt in mich. In mein zartrosa, klatschnasses Loch. Bereit für alles.Ich nahm nun beide Daumen und zog mich weit auseinander. Ich legte mich zurück und presste meinen Unterleib hoch. Ich wimmerte leicht. Ich musste gefüllt werden. Ich schob meinen Unterleib leicht hin und her. Ich wand mich wie eine rollige Katze dort auf meinem Laken. Ich zog mich noch weiter auf. Bereit für seinen Schwanz. Nein, für irgendeinen Schwanz. Ich drückte meinen Unterleib in seine Richtung, in der Hoffnung, dass mich etwas berühren würde. Ich gierte nach einem harten Schwanz. Oh Mann, welche wäre mir total egal. Ich zog mich so weit auf, dass es schon fast weh tat. Ich wimmerte wieder. „Komm doch endlich her. Komm doch endlich her und fick mich.“, flüsterte ich.Schnitt.Ich presste meinen Unterleib jetzt richtig hoch. Und dann fühlte ich seinen Körper zwischen meinen Beinen. Sein Unterleib drückte sie auseinander und er stieß seinen riesigen Schwanz in mich. Er fickte mich nieder, so dass mein Hintern auf mein Handtuch prallte. Dabei rammte er so fest in mich, dass ich Sterne sah. Er stieß mit seinem riesigen langen Schwanz bis zum Ende meines Unterleibs.Bei: www.pezax.com So etwas hatte ich noch nie erlebt. „Fick mich,. Ich bin Deine geile Schlampe, die Du jetzt hemmungslos benutzen darfst.“, stöhnte ich ihm laut ins Ohr. Und er stöhnte mir ins Ohr: „Du kleines geiles Luder. Spürst Du endlich das, was Du wolltest ?“. „Ja, Dein Schwanz ist riesig. Und er zerreißt mich fast.“, stöhnte ich zurück. Und dann begann er in mich stoßen. Ich hielt meine Lippen immer noch für ihn auf.Schnitt.Ich rammte mir 2 Finger von jeder Hand rein und riss mich auf. Die Finger der rechten Hand ließ in hart in mich gleiten. Dann fickte ich mich mit diesen Fingern. Hart. Währenddessen rieb ich hart mit der linken Hand meine Klitoris. Und dann kam ich. Mit einem lauten „Aaah“ zuckte mein Unterleib auf und ab. Ich glaube, dass jeder mich gehört hat. Ich sank nach diesem Orgasmus ermattet auf mein Handtuch und genoss noch etwas die nachklingenden Gefühle. Nach ein paar Minuten richtete ich mein Höschen und stand auf. Beim Weggehen zwinkerte ich meinem Zuschauer zu. Er wird wohl nie wissen, was er verpasst hat.

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Joe’s geile Mutter 03/19 [Netzfund]Kapitel 3″Es ist 7 Uhr. Hier ist der fröhliche Wecker”, das war das erste, was ich amnächsten Morgen hörte. Ich schlug auf den Radiowecker, um ihn auszuschaltenund wollte mich noch einmal herumdrehen, als mir plötzlich einfiel, warum ichihn auf diese so frühe Morgenstunde gestellt hatte. Zwei Tage zuvor hatte ichin meinem Wandschrank mein altes Guckloch wieder entdeckt, das offenbar beiirgendeiner Installation entstanden und niemals zugeschmiert worden war. Mankonnte durch dieses Loch in das Zimmer meiner Schwester schauen und das hatteich als Kind sehr oft getan und jetzt, viele Jahre später, wollte ich eswieder tun, wenn auch aus anderen Gründen. Nebenan fiel etwas laut auf denBoden und schnell sprang ich aus meinem Bett heraus und lief zum Wandschrankhin. Ich öffnete ihn, stieg hinein und schloss ihn hinter mir wiedersorgfältig, so dass kein Licht hineinfallen konnte. Ich ließ mich auf dieKnie fallen, zog in Augenhöhe ein kleines, gerolltes Stück Papier heraus undpresste ein Auge gegen das Loch.Quer gegenüber stand im Zimmer meiner Schwester ein großer Wandspiegel, indem ich den ganzen Raum überblicken konnte. Sue lief in einem kurzenNachthemd herum, dass gerade einmal ihren kleinen, festen Hintern bedeckt.Sie bückte sich, um etwas aufzuheben und dabei streckte sie mir ihrennackten, runden Po entgegen. Für einen kurzen Moment musste ich an Mom denkenund wie ich sie am Abend zuvor am Waschbecken von hinten gefickt hatte undspürte plötzlich das Verlangen mit Sue das gleiche zu tun. Ich schämte michein wenig für diese Gedanke, aber sagte mir, dass sie ohnehin nicht meinerichtige Schwester sei und begann an meinem Schwanz zu reiben.Sue stand vor dem Spiegel und zog sich langsam das Nachthemd über den Kopf,wobei sie sich im Spiegel betrachtete und verführerisch ihr schmales Beckenkreisen ließ. Sie warf das Nachthemd zu Boden, packte mit beiden Händen anihre festen, spitzen Titten und begann sie zu kneten, wackelte mit ihremrunden Hintern und leckte langsam mit Zunge über ihre Lippen. Ihre Händeglitten über ihren flachen Bauch in ihre kurze Schambehaarung hinein, wobeisie leicht die Beine spreizte und mit einem Finger an ihrer Muschi spielte.Mein steifer Schwanz zuckte in meiner Hand und am liebsten wäre ich in ihrZimmer gegangen und hätte sie auf das Bett geworfen, um sie richtigdurchzurammeln. Ihre Muschifinger glitt wieder über ihren Bauch nach oben,spielte mit ihm an ihrer steifen Brustwarze und steckte sich ihn langsam inden Mund hinein, wobei sie immer noch ihr Spiegelbild betrachtet und sichkokett anlächelte. Abrupt drehte sie sich um und zog sich einen dünnen Topüber ihre spitzen Titten und kam mit nackten Unterleib auf mich zu. Rechtsneben meinem Lauerposten legte sie sich auf ihr Bett, um sich ihre Strümpfeanzuziehen und dabei spreizte sie so weit ihre Beine, dass ich zum erstenmalin aller Ruhe ihr vollentwickelte, halbrasierte Fotze, mit den großen,dunkelbraunen Schamlippen, in aller Deutlichkeit betrachten konnte. Ichmassierte schneller meinen harten Schwanz canlı bahis und fast hätte ich abgespritzt. Siezog sich einen kleinen, winzigen Slip an, der vorne nur knapp ihren dichtenBusch bedeckte und griff nach ihrem Minirock, als ich Moms Stimme aus demBadezimmer rufen hörte. Fluchend sprang ich aus dem Wandschrank und sofortwieder in ihn zurück, denn ich hatte vergessen das Guckloch mit dem rundenPapierstückchen wieder zu verschließen.Hastig zog ich mich an und ging zur Küche hinunter. Ich setzte mich an denTisch und einen Moment später kam Sue in den Raum. Sie sah sehr sexy aus mitihrem knappen Minirock, aus dem ihre schlanken Beine ragten und dem engenTop, der eng an ihre strammen, spitzen Titten klebte. Sie strich mir kurzdurch das Haar und setzte sich vor mir auf die Tischkante.”Kann es sein, dass ich gestern Abend seltsame Geräusche hier aus der Küchegehört habe?”, wollte sie wissen.Ich zuckte mit den Achseln.”Unanständige Geräusche?”, bohrte sie weiter, wobei sie aufreizend ihre Beinelangsam auf und zu klappte, so dass ich zwischendurch ihre weißes Höschensehen konnte, dass durch ihren stark entwickelten Venushügel zwischen ihrenBeinen etwas ausgebeult war. Ich gab keine Antwort.”Du kannst mir das ruhig erzählen”, sagte sie. “Alle Jungs sind so. Meinletzter Freund, den ich hatte, bevor du zurückgekommen bist, war genauso.Warum sind die Männer nur so triebhaft?” Dabei öffnete sie noch etwas mehrihre Beine, so dass ich nun einen guten Blick auf ihr weißes Höschen unterihrem kurzen Rock hatte.”Immer diese Fummeleien im Wagen vor der Haustüre”, seufzte sie schwer.”Einmal hat er mir sogar seinen steifen Penis in die Hand gedrückt, dabeihatten wir nur ein wenig in seinem Wagen herumgeknutscht. Dann sollte ich ihnsogar noch in den Mund nehmen, aber das habe ich natürlich nicht getan. Nurso ein bisschen daran herumgespielt. Plötzlich fühlte ich etwas Klebrigeszwischen meinen Fingern und ich bin schnell ins Haus gelaufen.”Warum erzählt die mir das alles, fragte ich mich, aber gleichzeitig spürteich zwischen meinen Beinen, dass ich ziemlich erregt wurde. Ich hätte sie vormir auf den Tisch legen können.Plötzlich griff sie meine Hand und führte sie lächelnd an die Innenseiteihrer Oberschenkel und begann daran zu reiben. Mein Mund wurde trocken unddieses Gefühl verstärkte sich, als sie meine Hand langsam weiter nach obenunter ihren Minirock zog. Meine Fingerspitzen berührten ihre Höschen zwischenden Beinen, genau dort, wo ich ihren Schlitz vermutete und federnd drücktesich der Stoff ein. Sie schloss halb ihre Augen, schaute mich aber unentwegtan, als sie mir mit der Hand den Rhythmus vorgab, mit dem mein Finger gegenihre Spalte gedrückt werden sollte. Ich wollte meinen Finger gerade etwastiefer gleiten lassen, dort wo ich den Eingang ihrer kleinen Fotze vermutete,als Mom herunterkam. Sue schob meine Hand zur Seite und sprang schnell vomKüchentisch auf. Sie verabschiedete sich und sagte, dass sie noch einmal beiGina vorbeischauen wollte.Mom war für die Arbeit bereits fertig angezogen und ich bahis siteleri wollte etwas nettes zuMom sagen, aber mir fiel nichts ein. Mom trat hinter mich und sagte gutenMorgen. Ich tat so als hätte ich es nicht gehört, denn ich war ziemlichverlegen.”Hallo, Schlafmütze. Ich sagte guten Morgen.”Ich nahm mir vor, nicht an letzte Nacht zu denken und drehte mich zu ihr um.Sie schien ähnliche Gedanken zu haben und drehte sich schnell um. Sie gingzum Wandschrank hinüber und als an dem Spülbecken vorüberging, stoppte siefür einen Moment.”Ich muss zur Arbeit und komm sowie schon zu spät.”, sagt sie und trankhastig eine Tasse Kaffee.Ich stand auf, als sie auf mich zu kam, um mir einen Abschiedskuss zu geben,so wie sie es immer getan hatte. Sie umarmte mich und gab mir einen Kuss aufden Mund, aber viel länger, als gewöhnlich. Instinktiv, aus einem unbekanntenGrund, legte ich meinen linker Arm um ihre Taille, während meine rechte Handaufwärts glitt und unter ihrer rechten Brust stoppte. Ich spürte, dass sieplötzlich schwerer atmete und sich rasch aus meinem Griff befreite. IhrGesicht war leicht gerötet, sie drehte sich um und verließ eilig das Haus.”Verdammt”, dachte ich. “Das kann wirklich zu einer böse Gewohnheit werden.”Ich musste wieder an Sue denken. Wollte sie mich provozieren? Würde sie dieBeine für mich breit machen? War sie überhaupt schon so weit? Ich konnte esnicht sagen.Als ich an diesem Nachmittag aus der Schule kam, setzte ich mich in unsereKüche, um in Ruhe eine Tasse Kaffee zu trinken und endlich einmal über allesnachzudenken, als Sue schon nach kurzer Zeit in die Küche gepoltert kam. Siewirkte nervös, irgendwie aufgekratzt und so ganz anderes, als sonst. Sieerzählte mir, dass sie gerade von Gina käme und nicht viel Zeit hätte,lächelte unsicher und verschwand sofort in ihrem Zimmer. Ich hörte, wie sieihre Zimmertür abschloss und das war noch seltsamer. Irgend etwas stimmtenicht.Leise schlich ich hinter ihr her und kletterte in meinem Zimmer in denWandschrank. Ich zog den Papierstöpsel heraus und schaute in ihr Zimmerhinein. Sie zog sich gerade den Minirock herunter, warf ihn über den Stuhlund streifte sich hastig ihr kleines, weißes Höschen herunter. Nur noch mitihrem dünnen Top bekleidet, ging sie zum Bett, auf dem ihre Handtasche lag,die sie öffnete. Sie zog einen dicken, roten Vibrator daraus hervor, derdie Form eines Penis hatte, sogar mit einer spitzen, wulstigen Eichel aneinem Ende. Mir stockte fast der Atem und sogleich fragte ich mich, woher sieihn wohl haben könnte.Sie warf ihre Handtasche auf den Boden und sich selber aufs Bett und spreiztsofort ihre Beine auseinander. Wieder starrte ich fasziniert auf die breite,kahle Spalte und holte meinen halbsteifen Schwanz aus der Hose heraus. Suerieb mit einem Finger langsam durch ihr Schlitz, rieb zärtlich an ihrendunkelbraunen Schamlippen und steckte sich ab und zu einen Finger in dieFotze hinein. Dabei leckte sie mit der Zunge an der künstlichen Eichel desVibrators, ließ ihn in voller Länge an ihrem halbgeschlossenen Mundentlangfahren, bahis şirketleri um seine wulstige Spitze dann mit ihren vollen Lippen zuumschließen. Ihre Wangen zogen sich zusammen, als sie daran zu saugen begannund ihn mit langsamen Bewegungen durch den Mund gleiten ließ. Sie trug nochihren dünnen Top und keinen BH (worüber Mom immer schimpfte) und selbst ausmeinem eingeschränkten Blickwinkel konnte ich sehen, das ihr Nippel steifnach oben standen, als wollten sie den dünnen Stoff zerreißen. Sue stöhnteimmer lauter, als sie ihren Kitzler zu massieren begann, wobei sie ihrenkleinen, runden Hintern immer schneller kreisförmig über ihre Bettdecke rieb.Sie war geil und, verdammt noch mal, ich war es auch.Sie zog mit zwei Fingern ihre dicken Schamlippen auseinander, die nun fast sogroß wie Moms Fotzenlappen waren, und führte den roten Vibrator zwischen ihreBeine. Auf diesen Moment hatte ich gewartet. Sie drückte die Spitze desGummischwanzes an den Eingang ihres Ficklochs, und versuchte ihn sich insLoch zu schieben, aber entweder war der Vibrator viel zu dick oder ihre Fotzeviel zu eng oder beides, jedenfalls bekam sie ihn nicht hinein. Ihreangeschwollen Schamlippen umschlossen fest die Vibratorspitze und sie begannihn vor dem Eingang ihrer Muschi zu drehen und drückte mit ganzer Kraft ihrerHüften dagegen, aber irgendwie klappte es nicht. Sie stöhnte dabei die ganzeZeit leise vor sich hin und knetete mit der anderen Hand ihre spitzen, großenTitten, die sich deutlich unter dem dünnen Stoff ihres Tops abzeichneten undbewegte langsam ihren Kopf von einer Seite zu der anderen. Mein Schwanz laghart und steif in meiner Hand und ich musste ihn loslassen, sonst hätte ichabgespritzt.Sie atmete immer schneller, zog die Spitze wieder aus dem Eingang ihrerMuschi heraus und rieb ihn mit seiner ganzen Länge durch ihre feuchte,dunkelblonde Spalte, während sich ihre Hüften auf und ab bewegten und ichwünschte meine Schwanz wäre an der Stelle dieses Gummipimmels.Ich wichste mich immer schneller und plötzlich drehte sie sich etwas auf dieSeite, bewegte ihre Hand schnell hinunter zu ihrem kleinen Arsch und schobsich langsam eine Fingerspitze in ihre braune Öffnung hinein. Hastig bewegtesie ihren Finger in ihrem engen Arschloch, wobei sie gleichzeitig mit derVibratorspitze schnell ihren kleinen Kitzler massierte. Sie bog ihren Rückendurch und das ganze Bett begann zu wackeln, während sie heiser keuchend ihrenOrgasmus bekam.Ihre Beine klappten zusammen, sie warf den Kopf weit nach hinten und einlanggezogenes, lautes Stöhnen kam aus ihrem Mund. Mit heißen, langen Strahlspritzte ich in den Schrank, so dass ein Teil meiner Ladung gegen dieHolzwand klatschte und an ihr langsam herunterlief. Tropfen fielen auf denBoden und ich musste mich auf die Lippen beißen, um mein Stöhnen zuunterdrücken. Sue lag breitbeinig und schwer atmend auf ihrem Bett und ichhörte sie selig seufzen. Ich stopfte mir den Schwanz zurück in die Hose,drückte den Papierstopfen wieder ins Loch und kroch aus dem Schrank.Anschließend reinigte ich leise mit einem Papiertuch den Schrankboden und dieWand von meinem Samen und ging in die Küche zurück. Als ich dort saß und mitzitternden Fingern eine weitere Tasse Kaffee trank, nahm ich mir erneut vor,Sue einmal gründlich durchzuziehen.

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Memory Of A Friend 2

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Memory Of A Friend 2The next day we went shopping down to Swansea all day in Aunt Megs car. On the way home she suggested we stop for a drink. We walked in the pub and from the greeting it was obvious she knew the Landlady well. We got the drinks and sat on bar stools at the bar while Meg chatted intimately to the Landlady, obviously a close friend. While we sat there the pub’s big Alsatian dog came around the bar to us, jumping up and making a huge fuss of both of us, but mainly Aunt Meg, who he obviously knew well. From the Landlady’s conversation I learned that evidently he boarded with Meg whenever the couple who owned the pub went abroad.“I daren’t let Kim out by here because of the main road but he loved it running free up the valley at your Aunt’s place, you didn’t want to come back home again did you Bach?”‘No I bet you didn’t’ I thought, stroking his head. ‘I can guess why, if only you could talk!’My mind was working overtime now, after yesterdays events and knowing what Meg liked dog’s to do to her I gave an involuntary shudder when I saw him blatantly try to stick his nose into the crotch of her jeans. It was turning me on, let alone her! She noticed me looking and reprimanded the dog sternly. The dog backed off, looking puzzled and went to lay down.The pub was very quiet that afternoon. We stayed a while drinking cold lagers, free I noticed. The second time I visited the toilet I noticed that the dog had got up and followed me down the long passage to the ladies and I took my chance. I was by now in a state of sheer total “excitement” about my Aunt’s kink for sexy dogs and a little giddy after the free drinks.I quickly glanced over my shoulder, then quietly let him into the toilets behind me. I was shaking as I pulled my loose knickers aside and blatantly exposed my now very wet naked pussy an inch in front of the dog’s nose. He lept at me instantly and almost knocked me over in his eagerness to get his tongue at my cunt.‘My God, I knew it, he’s another experienced woman licker’ I thought as I let him get at me and lick away frantically for all he was worth. It was gorgeous and it felt incredibly sexy.It was obvious he was just as experienced at licking human pussy as Bill had been with my Aunt. I wondered if he had licked her cunt too? Surely he had. I almost fainted with sheer excitement at the thought and also what I was doing myself when I looked and caught sight of myself in the wall mirror. Here I was, laid back on the sinks in a public toilet with a strange dog licking at my cunt for all it was worth. The thought that anyone could walk in and catch me initially excited me but then suddenly frightened me as I heard a noise from the pub, it sounded like they had noticed the dog missing and were calling him. The realisation of how close I was to being caught and branded a total pervert sobered me up from my excitement.I reluctantly pushed him away to stop him licking me, I ushered him out and then had far more than a pee behind that locked toilet door! I was horny as hell, I came in minutes.When I walked back into the bar and sat on the bar stool I made a joke about the guard dog following me to the toilet just to make sure I didn’t nick the toilet roll and everyone bahis firmaları laughed. Embarrassingly the dog now started making as much fuss of me as he had of Aunt Meg and she looked at me thoughtfully as I had to now keep stopping him “getting” my own crotch … I wouldn’t say she was suspicious but as she definitely “knew” dog language well she fully realised he was treating me far differently than he had just 15 minutes earlier!She looked at me thoughtfully a few times … and the dog.We got back home eventually, around 5 pm. After a meal my Aunt asked me if I wanted to come to bingo with her. She didn’t keep drink in the house but I’d seen that she was quite fond of her lager when she was out socially. She spent a lot of evenings up at the local miners welfare club. I usually went too but I declined to go this time, saying I had a slight headache. My brief sexual encounter with that randy pub dog had wet my appetite, I had other plans…She eventually got changed and set off but had hardly got her car to the end of the main drive before I had brought both the Lab’s in, taken off my knickers and started experimenting.I started by showing them each my naked pussy in turn, just to see what transpired! Their response was instant and somewhat dramatic! Even more frantic that Kim the Alsatian’s had been in the pub toilets earlier that afternoon.They almost fought over me, the older dog Bill was at my mound like a shot and licking me for all he was worth. I had never been licked there much before, David, (my partner) would do it if prompted but I knew he didn’t really like doing it much and that put me off. The brief tonguing I’d had from Kim that day had been far better than David, Kim had obviously loved licking human pussies and now it felt exactly the same my aunt’s dog. He was quite clearly turned on sexually and doing it so enthusiastically that it felt fantastic. Far from doing it under sufferance like David did he was obviously getting himself into a sexual frenzy as he licked away feverishly at my cunt, bucking his hips and thrusting his hardening cock away fucking nothing except “fresh air”. I stared in shock realizing my cunt was really turning this dog on.Although all this was exciting me tremendously I started to get frightened at Bill’s intensity, especially when after licking me hard he tried forcing his nose up into me as he had my Aunt. Being stood up I fell over backwards onto the couch. He immediately jumped up and tried to mount me, frightening me to death. I felt Bill’s wetness rubbing on my bare legs and as I glanced down saw that his red cock was coming right out of its sheath. I realised with a shock that this dog was now making more than a serious attempt to physically screw me. Ben, the younger dog kept getting his head in and sniffing at my pussy experimentally too but Bill kept growling at him fiercely, finally snapping at him and physically forcing him away.He quite obviously meant literally, “My bitch, go away, I’m fucking her first”This now really frightened me, the two dogs were fighting over me like a bitch on heat, just as if I wasn’t in charge, it was almost like an attempted ****.His obvious sexual intimidation was panicking me because he was kaçak iddaa now definitely fully intent on fucking me, humping my thighs and any part of me he could get his hard cock up against.I did briefly get him down once but as soon as he licked me again he got horny and jumped straight back up to try to mount me again. I even felt him coming, I felt it hot, all over my legs. It scared me but also felt incredibly sexy, the sheer fact I could make even a dog come.Half of me did want him to stop, but my sexy ‘wicked slut’ side wanted him to carry on, even keep trying to fuck me, I don’t think I would have gone so far as to let him but I just felt so sexually powerful knowing I’d aroused him so much sexually, the shuddering thought was,“God, I’m giving off such strong sexual vibes I’ve even turned a dog on. He can tell how much I want sex, I’m a bitch on heat to him. He knows I’m horny and just wants to fuck me!”Suddenly it dawned on me that Bill was a highly trained dog, he wouldn’t have ‘dared’ show me the aggression he was doing unless it was part of a usual sexual routine that he knew.He wouldn’t suddenly decide he wanted to fuck me, I realised he must have done it before!I remembered that as I had watched through the window he had tried to jump up once onto my Aunt and she had just stopped him with her normal “wait” signal. This was right hand outstretched, palm down. (up was palm up.)The thought hit me hard that one or even both her dogs had probably fucked my Aunt! Possibly even the pub Alsatian too! He’s been there over a week! Oh no, My God, Help.I tried to tell Bill to get down but he was a heavy dog and pinning me down on the couch, he just wouldn’t obey me. I tried the signals, calling his name sharply as my Aunt did and gave him the palm down with my right hand. Thankfully he obeyed. He stopped trying to hump me and just stood still. I managed to grab and release his paws gripping tight round my waist and push him away from me as he relaxed his grip and jumped down.He began licking himself and I curiously looked his penis, now throbbing and swollen. It was fully out of his sheath and still dripping the thin come he had just spurted all over my legs. I realised with rather strange satisfaction that I had made him come by letting him thrust against me and suddenly feeling safe now and back in charge I massaged his penis gently as he squirted his come in dozens of long squirts until he finally stopped coming. I could feel the wetness in my hand and bizarrely even rubbed some of his come onto my pussy. I had excited him by letting him lick me and touching him and the weirdest thing was I felt sexy about it all, like I would with a man. I had made this male “come” with my body. So sexy.I managed to get Bill back in the yard after a struggle, with his swollen cock hanging down like a donkey, I prayed no-one would see him but no one ever passed by, it was so remote.I then coaxed Ben into licking me, which he did very gently and it was exciting, I was half hoping he would try to fuck me as Bill had but he didn’t seen to want to try, even when I gave him the up command he just jumped up but didn’t really seem to know why he was there even when I rubbed his dick to see if kaçak bahis he would get sexy too, but he didn’t, except to thrust a bit.I finally put him out with Bill strangely disappointed that he had not even wanted to try to mount me like Bill had, (not that I would have let him but I felt, well “spurned” … turned down by a dog! “I bet Kim would have wanted to fuck me,” I caught myself thinking. How crazy?I realized with a shock that Bill’s wet come was all over the rug and I soaked it in the bath, leaving a note to say I had spilled some milk on it.I had a shower and finally went to bed having fantasies about thick red dog cocks! I just kept imagining what would have happened if I had just turned over face down when he tried to mount me. I kept imagining I’d just let him jump up onto my back and guided his thin red pencil cock up into my pussy to let him fuck me. As I masturbated I imagined I could feel the hot sperm he’d shot over my thighs earlier that day flooding into my pussy. I imagined Bill shaking as he ejaculated and pumped his hot seed deep into me with that swollen red cock.As I thought about it I just kept on and on just wanting to go back downstairs and let either or both of them screw me. A FUCK, I just wanted a FUCK. If a naive “puppies” thought had not stuck in my mind I’m sure would have gone downstairs and done it too. I wanted it badly.I was now more than ever convinced Meg had been fucked by some of the many dogs she’d trained. She had won loads of awards at Fete’s, obedience shows and sheepdog trials with dogs she had owned, all had been highly trained. It excited me unbearably now to know that they had probably all learned a trick Aunt Meg didn’t perform in public, like fucking her!I never got chance to repeat the experience with the dogs in Wales, Law school called but the “fantasy” on that night stayed with me, I thought constantly about being fucked by dogs myself. I mentally built up my masturbation fantasy into a full feature epic. I re-lived and elaborated on my one dog sex night perhaps a thousand times in my fantasies, with both dogs screwing me one after the other for hours, even my Aunt coming home and joining in!I did resume sex with David but our relationship didn’t last long, we eventually separated just a few months after I went back. I do remembering him wondering and being jealous of why I had suddenly developed a liking for sex from the back, “doggy fashion”. He was convinced I’d had sex with someone in Wales like that because I’d not been “into” it at all before… (nearly right David, nearly… ) He was very straight laced, it’s a good job he couldn’t read my mind as he was fucking me or his hair would have curled. “Say woof David, go on, just bark”“Who was this bloody Bill guy in Wales who’s name you keep moaning?” I never told him anything about it, or anyone else for that matter until I met Pete, my (now) ex husband.I never did anything else physically with a dog either from that Summer in South Wales to several years later until I met Pete, although I thought and masturbated about it a hell of a lot!In pillow talk we eventually told each other of our secret masturbation fantasies. Pete’s was seeing me lick another woman’s cunt and her lick mine in a sixty nine. Mine was telling him this true story and my fantasy of being fucked a big dog myself too, just like my Aunt had.A year later I had done both, but that’s yet another story. I’ll continued if you wish!

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Amanda CHAPITRE 4

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Amanda CHAPITRE 4Chapitre 4: Le petit déjeunerLe bruit des clefs dans la serrure, le grincement des gonds et ça y est la porte s’ouvre sur ma geôlière. Je pousse un soupir de soulagement en la voyant. Pourtant au fur et à mesure qu’elle s’approche de moi en faisant claquer ses talons contre le sol je sens la peur progressivement m’envahir à nouveau. Elle porte réellement en elle quelque chose de terrifiant. Constatant mes cernes et les sillons que mes larmes ont creusées sur mes joues encore rouges elle semble presque touchée…-La première nuit est toujours la plus difficile ma jolie. Et c’est normal, c’est encore nouveau pour toi. Mais je t’assure que bientôt tu dormiras d’un doux sommeil, peut être même dormiras tu dans mes bras. Mais ça ne sera pas possible avant que tu n’ais acceptée ta nouvelle situation.Sa voix n’est pas menaçante, au contraire elle me semble douce et ses doigts caressent avec bienveillance ma peau nu. Je suis un peu perdu j’avoue. Mais mon corps et mes courbatures me rappellent que je viens de passer une nuit entière attaché à ce fauteuil. Je n’ose parler alors je la supplie du regard.-Ils sont jolis tes yeux, très profond. J’aime que tu me fasses tes yeux doux ma biche, ça ne sera pas suffisant pour m’attendrir mais ça a quelque chose de touchant. Me déclare t’elle en souriant. Ne t’en fais pas, je ne compte pas te laisser ainsi toute la journée et tu peux même être fière d’avoir su endurer ça. Elle détache les sangles de mes chevilles.-Te réduire à l’état d’objet ne m’intéresse pas. J’ai d’autres projets.Elle saisit mes mains et approche son visage du mien pour planter son regard dans mes yeux.-Je vais te libérer, mais attention. Si tu joues les garces avec moi crois moi tu le regretteras, j’ai un taser sur moi. güvenilir bahis Donc si tu oses essayer d’en profiter je t’envoie dans les vapes le temps pour moi de te rattacher sur ce fauteuil et je te laisse mourir comme ça. C’est clair?-Oui Maîtresse. J’ai des sanglots dans la voix et du mal à articuler.-Oui quoi? Je veux que tu fasses une phrase complète. Tu sais faire ça non?-Oui Maîtresse c’est clair que si je vous résiste vous me laisserez mourir ici.Je ne l’aurais pas cru mais le fait de prononcer moi même l’éventualité de ma mort me paralyse. Elle le saisit dans mon regard et moi je vois qu’elle le voit. Je suis terrorisé et mes larmes se remettent à couler… C’est alors qu’elle serre mon visage contre elle avant de me chuchoter à l’oreille:-C’est rien ma jolie, ça va aller. Je sais que c’est difficile mais ça va aller.Ses mains serrent toujours les miennes afin de me soutenir. Une fois mes larmes séchées elle retire la sangle de mon poignet droit. J’écarquille les yeux en constatant la marque que sa sangle a laissé. Elle pose un petit baiser sur cette marque en me souriant tendrement. Puis elle me libère de la dernière sangle avant de m’aider à me lever. Mes jambes chancelantes ne tiennent pas et je manque de m’écrouler mais elle me retient et reste à me serrer contre elle pour m’éviter une nouvelle chute le temps que je reprenne le contrôle de mon corps.Les fourmis qui me dévoraient les jambes finissent par disparaître. Je ne suis pas au sommet de ma forme mais je tiens debout. Elle saisit alors sans aucune précipitation mes poignets et leur passe une paire de menotte de cuir avec un peu de fourrure à l’intérieur. Le contact est plus agréable mais cela reste une sérieuse contrainte. Sans un mot elle me tire par les menottes türkçe bahis et nous quittons ce sous sol…A l’inverse du sous sol qui me semblait froid, impersonnel et même menaçant je dois reconnaître que je trouve sa maison plutôt accueillante. L’éclairage jaune orange confère au lieu une atmosphère chaleureuse. Une fois sortie du sous sol elle me conduit dans sa cuisine où elle récupère une gamelle en inox, du jus de fruit, une petit assiette et une part de galette sortant du four et embaumant la frangipane. Puis elle me conduit dans son salon qui est une vaste pièce avec un joli parquet, quelques meubles en bois, une imposante télé et un grand canapé en cuir face à une table basse autour de laquelle se tiennent deux fauteuils en cuir eux aussi. Mon élégante tortionnaire pose sa main sur mon épaule et d’une douce pression me met à genoux.-Places tes deux mains sur ta nuque. Voilà comme ça, ça doit tirer un peu au niveau de tes bras. Restes bien droit. Pas mal du tout pour une première fois. M’encourage t’elle avec un sourire chaleureux.Elle dépose dans la petite assiette la part de galette dont le fumet me fait saliver et à côté elle pose la gamelle en inox qu’elle remplit de jus de fruit. Puis elle s’assoit confortablement dans le canapé.Je sais que je ne peux pas bouger, je sais que je n’ai pas le droit… Mais non seulement j’ai les crocs mais à cela s’ajoute la position qui pour mon corps déjà éprouvé devient vite difficile à tenir.-Respires profondément. Tout se passe très bien pour le moment alors continues ainsi.J’obéis et prends de profondes inspirations. Je ferme les yeux pour mieux concentrer.-Non, ça tu ne peux pas. Tu n’as pas le droit de me dissimuler ton regard!La colère que je sens dans sa voix me pousse à rouvrir mes güvenilir bahis siteleri yeux paniqués. Elle approche son visage sévère et me saisit par le menton.-Ne refais plus jamais ça. Tu m’as bien comprise?J’hoche la tête terrorisée. Elle lâche mon menton en le rejetant en arrière avant de se détendre dans le canapé sans me lâcher du regard. Un gargouillement d’estomac se fait entendre et brise le silence tendu. Un grand sourire se dessinne sur son visage puis ele éclate de rire.-J’ai eu droit à beaucoup de suppliques mais alors celle là est ma préférée. S’exclame t’elle en riant.Son rire est si sincère qu’il me contamine et je me surprend à sourire. Constatant cela elle s’arr^te et me regarde avec un tendre sourire.-Hey mais tu es vraiment pas mal avec ce beau sourire tu le sais ça?Je rougis sans oser répondre. Son sourire s’élargit encore.-Et timide en plus. Tu es absolument craquante. Allez, tu as mérité ton petit déjeuner. Vas y régales toi ma grande. Mais pas le droit d’utiliser tes mains bien sûr et évites d’en mettre partout.Je me penche en avant et finis mon visage au dessus de la gamelle. Malgré la faim, malgré la soif je ne me sens pas capable de manger ainsi alors que je sens son regard sur moi. Je frémis en sentant ses doigts venir tendrement caresser mes cheveux comme pour m’encourager.-Je sais que tu en meures d’envie. crois moi ça va te faire du bien et tu vas en avoir besoin vu ta journée… La galette c’est moi qui l’ai faite spécialement pour toi, je suis sûr que tu vas adorer. L’instinct de survie et sa voix sont plus forts que ma dignité. Je sors ma langue et lape le jus de fruit. Je me sens revivre, ça fait un bien fou. Sous son regard complice et rieur je dévore la galette, la meilleure que j’ai jamais mangée. -C’est bien, tu es une sacrée gourmande ma chérie. Me dit elle avec un sourire. Parfait, maintenant que tu as récupéré des forces la journée peut commencer. Navrée, mais la première est toujours la pire…Sa voix est impitoyable… Je frémis.

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Les 24 heures du sexe Partie III

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Les 24 heures du sexe Partie IIIAlessandro et moi passions le week end chez lui à Aix. Nous étions arrivés chez lui après notre petit arrêt dans le parking. Nous avions fait l’amour encore en arrivant chez lui avant de nous assoupir trois heures après. Le lendemain alors qu’il était à peine huit heures, je me réveillai. J’avais très peu dormi et j’étais encore un peu fatiguée. Néanmoins, je ne suis pas du genre à faire la grasse matinée. Alessandro dormait encore. Je m’approchai de lui. Il était déjà bien “en forme” si vous voyez ce que je veux dire. En effet, j’assistai à une belle érection matinale. Je ne pus m’empêcher de lui caresser le sexe. Je voulais qu’il se réveille. Il commençait à bouger. Il se réveillait. J’esquissais un petit sourire. Tout à coup, je me dis. “Il y a plus radicale. La faim justifie les moyens”. Je me penchai vers lui, vers son sexe bien dur qui n’attendait que moi et commençai à le sucer. Alessandro se réveillait petit à petit et dit d’une voix douce:”Coquine. Il est à peine huit heure. -Je lance les hostilités, dis-je enjouée”. En effet, nos “24 heures du sexe” avaient officiellement commencées. Alessandro commença à me caresser le sexe. Ma chatte était déjà toute humide et son contact m’excitait encore plus. J’avais une folle envie de me faire baiser dès le matin même avec la fatigue. Cela ne m’arrêtait pas. Alessandro bascula au-dessus de mon sexe. J’avais sa bite toute dure près de ma bahis firmaları bouche et recommençai à le sucer tandis qu’il me léchait la chatte. C’était bon. Le plaisir montait. Je n’avais qu’une seule envie à ce moment là c’est qu’il vienne se glisser entre mes jambes. Je dis à Alessandro:”Baise-moi. J’ai trop envie de ta bite.-Oui M’dame,” dit-ilIl me prit directement en levrette comme à son habitude à me donner de grands coups de reins sans oublier les mots crus que j’adore entendre lorsque je suis très excitée. “Salope”. “Tu es ma pute”. “Je te défonce”. “T’aime sentir ma queue? “. Ces ébats furent courts ; après quelques minutes, il éjacula sur mes fesses en poussant un dernier cri de plaisir. “Ce n’est que le début, lança t-il. Tu prendras cher toute cette journée. On ne sortira pas de l’appartement”.Après nos ébats nous prîmes une douche et un petit déjeuner rapide pour prendre des forces. Nous étions tous les deux dans le salon quand Alessandro s’approcha de moi et me dit:”J’ai également envie de te prendre ici au milieu de la pièce. -En 24 heures, je pense que l’on peut faire toutes les pièces du salon, répondis-je amusée”.Nous nous embrassâmes avec passion, puis Alessandro me pencha en avant brusquement et introduit sa queue dans ma chatte d’un coup.”J’ai envie de te baiser comme une chienne. Salope”.Il était visiblement très excité. Il me baisait là, debout au milieu du salon. Je gémissais de plaisir. kaçak iddaa Il me mettait de petites fessées et de bons coups de reins comme je les aime. “Vas-y défonce moi”. Ma phrase préférée quand j’étais très excitée. Il me défonçait bien oui. Je sentais sa grosse bite durcir en moi. J’aimais ça. Je souriais pendant qu’il me baisait. “Existe-t-il meilleur amant”? me dis-je. Oh oui, j’étais heureuse de prendre mon pied ainsi. C’était l’extase, le septième ciel. “Tu me fais vraiment bander. Tu sens comme je suis dur. Ton corps m’excite. Tu bouges bien sur ma queue”.Alessandro aimait mon corps. Je suis de taille moyenne, un corps sportif, assez mince, de longue jambes et un fessier musclé, et une grosse poitrine. Alessandro prenait son pied et moi aussi. J’aimais son corps aussi. Lui aussi s’entretenait et tâchait d’avoir un physique agréable. Le plaisir montait et je sommai Alessandro d’arrêter et de venir loger son sexe dans ma bouche afin qu’il me finisse dans la bouche. Quand j’étais très excitée cela devenait toujours très hard. Alessandro mit sa bite dans ma bouche et je commençai à le sucer, lui lécher et lui caresser les couilles en même temps. Il aimait cela. Enfin, il jouit de plaisir et je pus accueillir sa semence sur ma langue. Comme à mon habitude, je crachai son sperme sur sa bite et il dit:”Quand est-ce que tu vas avaler?-Jamais, rétorquais-je.-Oh si. Tu es trop coquine pour ça. Tu le feras spontanément kaçak bahis quand tu seras bien excitée, tu verras.-Non j’ai entendu dire que “les femmes honnêtes n’avalaient pas”.-Ce sont des conneries. Les femmes honnêtes avalent justement.-C’est ton point de vue. Je pense qu’il est inutile de débattre la-dessus.-Tu as raison, on a bien mieux à faire”. Je me dirigeai dans la salle de bain pour me doucher de nouveau et me laver le visage souillé par le sperme d’Alessandro. Alessandro me suivit dans la salle de bain et vint sous la douche avec moi.”Cela ne te rappelle rien? -Si évidemment la salle de sport”.Il commençai à me caresser les seins et à me mordiller les tétons. Il semblait encore avoir envie.”J’ai encore envie de toi ma chérie. Je ne me lasse pas de ton corps sublime. -Je t’avoue que là je ne me sens pas la force de continuer tout de suite. Il faut que tu attendes un peu.-Petite joueuse. Regarde je bande déjà.-Tu es surprenant. Insatiable. C’est fou. Alessandro me caressait déjà la chatte tout en se caressant. Il semblait déjà bien dur. Puis d’un coup, il me porta et m’introduit sa bite toute dure. Nous étions en train de baiser sous l’eau comme à la salle de sport. Cela dura quelques minutes avant qu’Alessandro éjacula dans ma chatte. C’était bon de sentir son sperme en moi.Nous alternions entre séance de baise hard, soft entre petits repas, petite pause et cela jusqu’au lendemain matin. Cette journée a été réellement consacrée au sexe. Après ce petit week end, du temps s’est écoulé. Alessandro et moi avions rompu et nous étions retrouvé pour un ultime moment de sexe dans un hôtel . Si je vous disais sodomie…A suivre.FIN.

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Geheimnissvolle Kräfte 3

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Geheimnissvolle Kräfte 3Das würdest du doch nicht machen, oder?”, antwortete sie trotzdem, obwohl ihr schon wieder erregende Schauer durch den Körper jagten. Irgendwie konnte Maria sich selbst nicht mehr verstehen, wie sie auf mich reagierte.„Vielleicht, vielleicht aber auch nicht. Beweis mir, dass du gehorchen kannst, dann werden wir uns auch wiedersehen!”, kam ich nun zur Sache.„Wie soll … wie soll ich dir denn das beweisen?” Unsicher blickte Maria mich an.„Ruf als erstes deinen Freund an. Mach mit ihm Schluss und sag ihm, dass du jemand gefunden hast, der dich besser fickt! Dann rufst du deine Mutter an, entschuldigst dich dafür, dass du zu spät bist. Sag ihr, dass du jemand kennengelernt hast, der dir den Verstand heraus gevögelt hat.”„Das kann ich doch nicht machen …” Maria sah mich entsetzt an. Allerdings fuhren ihr schon wieder diese geilen Schauer durch den Körper, wofür ich ohne ihr Wissen gesorgt hatte. Außerdem beeinflusste ich sie dahingehend, dass sie befürchtete mich zu verlieren, wenn sie meiner Forderung nicht nachkam.„Also gut, ich mach es!”, sagte sie plötzlich entschieden und verschwand wieder aus dem Bad, um in ihrer Jacke nach ihrem Handy zu suchen.Neugierig, ob sie es wirklich tun würde, folgte ich ihr erneut.Tatsächlich rief sie als erstes ihren Freund an und beendete die Beziehung mit ihm. Mir tat er fast leid, als sie ihm tatsächlich grinsend mitteilte, dass sie einen besseren Stecher gefunden hat, der es ihr besser besorgt.„Er war sowieso ein Schlappschwanz!”, sagte Maria schulterzuckend, nachdem sie das erste Gespräch beendet hatte. Sofort machte sie sich daran, die nächste Nummer zu wählen.„Hallo Mama …”„Das will ich dir doch gerade erzählen, also lass mich bitte ausreden …”„Also Mama … ich habe mit Jochen Schluss gemacht …”„Ja Mama! Das will ich doch gerade erzählen …”„Jaha!” Maria dreht genervt die Augen über.„Mama! Ganz einfach! Weil ich jemand anderes kennengelernt habe. Und weißt du was, ich bin deshalb zu spät, weil er mir gerade das Hirn rausgevögelt hat und ich jetzt noch duschen muss, weil ich richtig durchgefickt aussehe. So jetzt weißt du es!”„Ok Mama. Ich dusche noch schnell, dann komme ich nach Hause.”„Nicht nötig. Gerfried fährt mich …”„In Ordnung … ich frage ihn …” Maria hielt das Mikrofon am Handy zu und wandte sich an mich: „Mama will dich kennenlernen. Sie fragt, ob du noch mit hochkommst, wenn du mich heimbringst.”Ich nickte grinsend. Der Abend schien noch richtig interessant zu werden.„Er sagt ja Mama!”, sprach Maria nun wieder ins Handy.„Ok! Bis später!”„So, bist du nun zufrieden?”, wandte sie sich erneut an mich.„Ja, das hast du gut gemacht!”, lobte ich sie grinsend.„Grins nicht so! Ich denke, Mama will dich nur sehen, um dich umzubringen! Aber jetzt gehe ich erst mal duschen!”Natürlich nahm auch ich noch eine Dusche, bevor ich Maria zu ihr nach Hause fuhr. Ganz bewusst hatte ich dabei verzichtet mit Maria gemeinsam zu duschen, denn ich befürchtete ansonsten der Versuchung zu erliegen, sie gleich noch einmal herzunehmen. Denn ich war schon wieder erregt, als ich mir vorstellte, wie sie sich mein inzwischen eigetrocknetes Sperma vom Körper wusch.Die Fahrt gestaltete sich eher schweigsam, ich las wieder in Marias Gedanken, und stellte dabei fest, dass sie wohl ziemlich unsicher war, wie ihre Mutter reagieren würde. Ein wenig hatte sie sogar Angst.Die Fahrt allerdings dauerte nicht lange und schon ein paar Minuten später stellte ich mein Auto vor dem Mietshaus ab, indem sie mit ihrer Mutter wohnte. Zwar wohnte ich auch nur in einer Mietswohnung, allerdings schien das Viertel eher aus Sozialwohnungen zu bestehen. Es war nicht unbedingt eine gute Gegend.„Na dann wollen wir mal”, seufzte Maria, während sie die Autotür öffnete und ausstieg.Lächelnd folgte ich ihr.Am Haus angekommen, kramte Maria in ihrer Manteltasche nach ihrem Schlüssel und öffnete die Tür, nachdem sie ihn gefunden hatte. Dann ging es mit dem Aufzug in den vierten Stock des zehnstöckigen Hauses.Oben angekommen, steuerte Maria die hinterste Tür an. Offensichtlich gab es in jedem Stockwerk vier Parteien, wie ich anhand der Anzahl der Türen feststellte. Auf jeden Fall war dies ein Haus, indem ich nicht unbedingt leben wollte.Dieses Mal schloss Maria die Wohnungstür auf, bevor sie laut rief: „Wir sind da, Mama!”Im nächsten Moment kam diese auch schon in den kleinen Flur geschossen und musterte ihre Tochter skeptisch, fast schon ein wenig streng, als wollte sie sich versichern, dass es ihr gut ging. Erst dann sah sie nicht gerade erfreut zu mir.„Guten Abend”, begrüßte ich Marias Mutter freundlich lächelnd, während ich sofort damit begann in ihren Gedanken zu lesen.„Sie sind also Marias neuer Freund”, sagte sie ziemlich skeptisch, meinen freundlichen Gruß völlig ignorierend und musterte mich von oben bis unten. Erst dann fuhr sie fort.„Sind Sie nicht ein bisschen zu alt für sie?”, fragte sie eher feststellend mit einem sarkastischen Unterton.„Mama!”, warf Maria peinlich berührt ein.„Du bist ruhig und gehst auf dein Zimmer! Ich habe mit deinem neuen Freund ein Wörtchen zu reden!”, wies sie ihr streng an.„Aber Mama!”„Tu, was deine Mutter dir gesagt hat!”, mischte ich mich ein und blickte sie ebenfalls streng an.Maria zuckte erschrocken zusammen.„Ich würde mich liebend gerne alleine ein wenig mit deiner Mutter unterhalten”, fügte ich sanfter hinzu.„Ok Gerfried, aber eines sage ich euch gleich! Ich bin volljährig und kann tun und lassen was ich will!”, antwortete Maria energisch, verzog sich dann aber etwas schmollend in ihr Zimmer.„Offensichtlich haben Sie sie im Griff”, stellte Marias Mutter überrascht fest.„Nun, ich habe heute die Schlampe aus ihr herausgevögelt. Deswegen ist es nicht weiter überraschend, dass sie auf mich hört”, erwiderte ich nun wieder freundlich lächelnd.„Ja und den Verstand offensichtlich auch! So wie sie sich verhält …”, stimmte Marias Mutter widerwillig, aber doch offen zu.„Ich bin übrigens Gerfried. Wenn Sie mit mir reden wollen, dann bitten Sie mich herein, denn das werde ich sicherlich nicht im Flur tun”, ging ich ein wenig in die Offensive.Verblüfft sah die Mutter von Maria mich an. Aus ihren Gedanken wusste ich, dass sie eigentlich vorhatte, den neuen Freund ihrer Tochter gleich in die Mangel zu nehmen, da ich dafür gesorgt hatte, dass sie ohne sich zu melden zu spät kam. Nur noch mehr, als sie sah, dass ich sehr viel älter als Maria war, mindestens vierunddreißig, wie sie mich einschätzte. Doch nun musste sie feststellen, dass ich dies genau nicht mit sich machen ließ, sondern ziemlich souverän wirkte.„Ok, ich bin Patricia. Nun, dann kommen Sie mal herein, ‚junger’ Mann!”, fordert sie mich nun wieder mit einem etwas sarkastischen Tonfall auf.Da ich aus Marias Erinnerungen wusste, dass ihre Mutter erst achtunddreißig war, also immerhin sechs Jahre jünger als ich selbst, konnte ich mir sich nicht verkneifen zu sagen: „Aber gerne doch ‚junge’ Frau.”Irgendwie freute ich mich jetzt schon auf ihr Gesicht, wenn sie erfahren würde, dass ich weitaus älter war, als ich aussah.Während ich Patricia ins Wohnzimmer folgte, begann ich in ihren Erinnerungen zu stöbern. Vor allem interessieren mich dabei ihre sexuellen Erlebnisse und Fantasien. Dabei stieß ich auf etwas so Interessantes, dass ich fast in sie reinlief, als sie stehen blieb und mich bat auf der Couch Platz zu nehmen. Gerade noch so konnte ich eine peinliche Situation verhindern und meine Schritte stoppen, bevor das geschah. Aber ich hatte in ihrem Kopf genug gesehen, um mir über mein weiteres Vorgehen klar zu werden. Allerdings musste ich mir eingestehen, dass Patricia mir gefiel, und das lag nicht nur an ihren ziemlich versauten sexuellen Fantasien.Im Grunde sah Maria Patricia nicht sonderlich ähnlich, ausgenommen vielleicht die großen strahlenden Augen. Sie war jedoch etwas größer als Maria, wenn auch sie sehr schlank war. Sie hatte eine etwas breitere Hüfte, als Maria, wahrscheinlich von der Geburt ihrer Tochter und ihr Busen war ebenfalls größer. Körbchengröße C, schätzte ich, während es bei Maria sicherlich ein bis eineinhalb Größen weniger war.„Gerfried, wenn Sie mich genug gemustert haben, verraten Sie mir dann, wie sie meine Tochter rumgekriegt haben? So kenne ich sie gar nicht. Bisher stand sie nämlich nicht unbedingt auf ältere Männer”, unterbrach Patricia meine Gedankengänge, sich diebisch darüber freuend, dass sie mich ertappt hatte, wie ich sie von oben bis unten angesehen hatte.„Nun, im Grunde ist sie mir nachgelaufen, als ich den Supermarkt verlassen habe. Offensichtlich hat sie dort auf mich gewartet. Denn sie ging raus, als ich rein gegangen bin”, erzählte ihr, mich nicht aus der Ruhe bringen lassend. Ganz im Gegenteil, schließlich führte ich sie kraft meiner Gedanken bereits in die Richtung, die mir vorschwebte.„Und das soll ich Ihnen glauben? Das würde mich doch sehr wundern”, warf Patricia kopfschüttelnd ein.„Nun Patricia, Sie können sie ja gerne selbst danach fragen”, antwortete ich lächelnd, während ich sie weiterhin gedanklich beeinflusste.„Ist im Grunde ja auch egal. Aber wie stellen Sie sich das vor? Ich meine Maria ist erst neunzehn! Und Sie … Sie sind doch etwa vierunddreißig oder fünfunddreißig, oder? Sie könnten ja fast ihr Vater sein”, warf Patricia ein, während sie innerlich fühlte, wie diese Tatsache sie komischer Weise zu erregen begann. Sie kniff sogar ihre Beine zusammen, als plötzlich alte Erinnerungen in ihr wieder hochstiegen, die sie immer wieder verdrängt hatte.„Nicht nur fast. Vom Alter her könnte ich ihr Vater sein, schließlich bin ich bereits vierundvierzig. Ich habe sogar selbst eine Tochter in ihrem Alter”, antwortete ich innerlich amüsiert, da ich genau fühlen konnte, was in Marias Mutter vor sich ging.„Das ist ja noch schlimmer! Dann sind sie ja älter als ich … auch wenn ich zugeben muss, dass sie viel jünger aussehen, als sie tatsächlich sind.”„Nun tun Sie doch nicht so scheinheilig! Sie stehen doch selbst auf junges Gemüse, oder irre ich mich da?”, warf ich ihr den ersten Knochen hin, auf den sie sich natürlich sofort stürzte.„Was erlauben Sie sich! Wie können Sie …”, begann Patricia aufbrausend.„Lügen Sie mich nicht an! Als Maria sie anrief, um Ihnen zu erzählen wo güvenilir canlı bahis siteleri sie steckt, da haben Sie sich doch insgeheim gewünscht ebenfalls dabei gewesen zu sein. Oder warum kneifen Sie sonst ihre Beine so zusammen, wenn Ihnen bei diesem Gedanken nicht ihr Fötzchen juckt?”, unterbrach ich sie derb, während ich gleichzeitig aufstand.Patricia konnte nicht verhindern, dass sie rot anlief, schließlich hatte ich genau ins Schwarze getroffen. Auch wenn sie nicht wusste, wie ich das auch nur erahnen konnte.„Was …”, begann sie erneut eine Erwiderung anzusetzen, aber da war ich schon bei ihr und griff ihr an die Brust, die ich sofort zu kneten begann.Patricia wusste nicht, wie ihr geschah, als sie in diesem Moment einen Orgasmus bekam und obwohl sie mich eigentlich wegstoßen wollte, stöhnte sie nur erregt auf. Natürlich hatte ich mit meinen Kräften dafür gesorgt. Allerdings kam ihre Erregung von selbst und ich war nur für das frühzeitige Kommen verantwortlich, und dafür, dass sie ihre moralischen Hemmungen verlor.„Was … ahhhhh … machen Sie mit mir?”, stöhnte sie heraus.„Nun ich tue genau das, was du dir gewünscht hast. Ich werde dich jetzt genauso vögeln, wie deine Tochter vorhin”, antworte ich lächelnd und begann Marias Mutter auszuziehen.„Aber … aber …”, versuchte sie einzuwenden, dass ich doch der Freund ihrer Tochter sei, doch wieder unterbrach ich sie.„Nichts aber! Du willst es doch, oder warum hilfst du mir dabei dich auszuziehen.”„Tatsächlich!”, durchfuhr es Patricia, „Ich helfe ihm tatsächlich!” Und erneut durchfuhr sie ein erregender Schauer. Plötzlich war sie so heiß, dass ihr alles egal war und sie begann sogar mich auszuziehen. Als erstes begann sie mein Hemd aufzuknöpfen und als ihr das zu langsam ging, riss sie es vorne einfach auf, sodass die geschlossenen Knöpfe einfach davonflogen. Dann zog ich ihr das T-Shirt über den Kopf. Ihre Jeans war ihr bereits zu den Knöcheln runtergerutscht und schnell stieg sie heraus, bevor sie auf die Knie ging, um meinen Gürtel und Hose zu öffnen. Diese zog sie mir gleich mitsamt der Unterhose nach unten und als ihr mein steifer Schwanz entgegensprang entfuhr ihr nur, „Was für ein Prachtstück!”, bevor sie ihn in ihren Mund hineinsaugte.Dies brachte mich zum Aufstöhnen und erinnerte mich daran, dass ich noch etwas wegen Maria unternehmen musste, da dies hier sicherlich laut werden würde. Und so konzentrierte ich mich …Als ich damit fertig war, zog ich sich aus Patricias Mund zurück, zog sie hoch und legte sie auf den Wohnzimmertisch, während ich mich davor hinkniete. Dann nahm ich ihre Beine an den Fußknöcheln in die Hände und spreizte sie weit auseinander und setzte meinen Schwanz an ihrer saftenden Möse an.„Was wird Maria dazu sagen, wenn ihre Mutter mit ihrem Freund? …”, begann Patricia ihre noch leicht vorhanden Skrupel auszudrücke.„Mach dir wegen Maria keine Sorgen”, erwiderte ich und stieß meinen Speer in ihre sehr nasse Fotze.Beide stöhnten wir laut auf und ich begann sofort, hart in Marias Mutter zu stoßen, die mich sofort anzufeuern begann.„Jahhhhh … fick mich! Härter!”, stöhnte sie laut heraus, völlig in ihrer Lust gefangen. Viel zu lange musste sie dieses Gefühl missen. Ihr letzter Fick war schon eine geraume Zeit her. Vielleicht, wie ihr in diesem Moment bewusst war, waren auch deshalb ihre geheimsten Fantasien immer wieder hervorgebrochen …Wie schon zuvor bei Maria konnte ich, dadurch, dass ich ihre Gedanken las, auch bei Patricia mitfühlen, was diese empfand. Trotzdem vergaß ich nicht, zwischendurch auch gedanklich Maria zu beobachten, was etwas schwieriger war, als wenn sie direkt in meiner Nähe gewesen wäre. Trotzdem bekam ich mit, dass sie sich über die Geräusche aus dem Wohnzimmer erst wunderte und schließlich aufstand, um nachzusehen. Als nächstes merkte ich, wie sie mit großen Augen in der Wohnzimmertür stand. Ich spürte ihre Gefühle, der Eifersucht, der Enttäuschung, aber auch der Erregung. Genauso, wie ich es ihr eingegeben hatte, erregte sie das, was sie sah immer mehr und schließlich, fuhr sie, wie von mir erhofft, mit der Hand in ihre Jeans zu ihrer Scham.Patricia bekam indessen davon jedoch nichts mit, da sie ihre Augen geschlossen hielt, wofür ich ebenfalls verantwortlich war. Maria hingegen wusste nicht, dass ich sie schon längst bemerkt hatte, stand sie doch in meinem Rücken.Immer schneller stieß ich in die nasse Fotze vor mir, während Patricia dies mit immer lauteren Stöhnen quittierte. Erst als ich fühlte, dass sie kurz vor der Schwelle stand, machte ich langsamer, hörte fast auf zuzustoßen, sodass Marias Mutter auf diesem hohen Level weiter schwebte.Genau in diesem Moment ließ ich Patricia die Augen öffnen und zu Maria sehen.„Maria!”, rief sie aus, jedoch unfähig mich von sich zu stoßen, wie es sich für eine Mutter gehört hätte.„Maria”, stöhnte sie erneut, ohne ihre Tochter aus den Augen zu lassen und plötzlich erregte es sie ohne mein Zutun. Es bescherte es ihr sogar einen kleinen Höhepunkt, zu wissen und zu sehen, dass ihre Tochter sie so sah und beobachtete.Maria hingegen zuckte erschrocken zusammen, als ihre Mutter das erste Mal ihren Namen rief. Aber auch sie war nicht in der Lage, ihre Hand von ihrer Scham zu ziehen. Im Gegenteil, sie rubbelte nur noch schneller über ihren Kitzler.„Komm her Maria!”, befahl ich ihr, während ich mich zu ihr umdrehte, ohne sich aus Patricia zurückzuziehen.Erneut zuckte Maria erschrocken zusammen, folgte dann aber meinem Befehl. Schließlich stand sie neben uns, ihre Hand noch immer in der Hose.„Zieh dich aus!”, wies ich ihr als nächstes an.Unsicher blickte sie mich an, doch dann kam sie auch dieser Aufforderung nach.„Deine Mutter ist genauso ein geiles Stück wie du! Hilf ihr, ihre Lust zu befriedigen!”, forderte ich sie als nächstes auf. Alleine der Gedanke, dass die Tochter der Mutter zu einem Höhepunkt verhalf, ließ mich laut aufstöhnen.Als wäre mein Aufstöhner das Kommando gewesen, kniete sich Maria neben mich hin und begann mit der Hand über die Klit ihrer Mutter zu streicheln, was dieser erneut ein lautes Stöhnen entlockte.Fast wie im Traum hatte Patricia mitbekommen, was ich zu Maria gesagt hatte. Unfähig etwas dagegen zu unternehmen, sah sie zu, wie ihre Tochter meine Anweisungen befolgte. Das Ganze kam ihr vor, wie ein verdrängter Traum, was es letztendlich auch irgendwie war.„Leck sie!”, befahl ich Maria, während ich mich aus Patricia zurückzog, „Das ist genau das, was sie sich wünscht! Nicht wahr, Patricia?”Erstaunt sah diese mich an, als ich sie ansprach und stöhnte auf, als sie ein Orgasmus überrollte, gerade als Maria mit ihrer Zunge durch ihren nassen Spalt leckte.„Jaaaahhhhhh! Leck mich! Ahhhhhhhhhhhh … leck deiner Mutter die nasse Möse aus!”, schrie sie ihre Lust heraus, jegliche Hemmungen verlierend.Um besser an die Spalte ihrer Mutter heranzukommen, rückte Maria nun weiter in die Mitte und nahm meinen Platz ein. Der Geschmack ihrer Mutter jagte auch ihr erregende Schauer ins Döschen und auch der Gedanke, etwas Verbotenes zu tun, Sex mit ihrer Mutter zu haben, kickte sie über die Maßen.Das Patricia solche Fantasien hatte, wusste ich schon aus ihren Erinnerungen. Aber auch wenn sie diese bisher unterdrückt hatte, nun wo sie Wirklichkeit wurden, übermannte sie die Geilheit ohne mein Zutun und ihre Erregung stieg schon wieder exorbitant an. Dass jedoch Maria nun ebenfalls ohne mein weiteres Zutun ebenso empfand, überraschte mich doch etwas. Zwar hatte ich ihr einen kleinen Anstoß durch meine Beeinflussungen gegeben, doch nun schien sie gar nicht mehr genug von der nassen Fotze ihrer Mutter bekommen zu können. Interessiert, aber auch zu meiner Freude stellte ich fest, dass sie der Gedanke regelrecht anmachte, genauso ihrer Mutter zu Diensten zu sein. Dass sie tatsächlich devote Anwandlungen hatte, konnte ich nämlich bisher nicht wirklich erkennen und hatte es mehr meiner Beeinflussung zugeschrieben. Nun aber schien es, als wäre es genau das, was ihre natürliche Geilheit entfachte.„Andererseits …”, dachte ich mir „… als sie sich meinen Willen unterworfen hat, da habe ich sie nicht wirklich beeinflusst, eher etwas mit ein bisschen Erregung und Angst motiviert. Es muss wohl, ohne dass sie es selbst wusste, schon in ihr gesteckt haben.”Als ich dann sah, dass Maria schon wieder ohne Ende Geilsaft zwischen ihren Beinen produzierte, konnte ich nicht anders. Ich musste sie schmecken. Und so kniete ich mich hinter sie und steckte den Kopf zwischen ihre Arschbacken.Sofort hob Maria ihren Hintern etwas an, um mir einen besseren Zugang zu ihrem Heiligsten zu ermöglichen.Ich steckte meine Zunge in ihr Löchlein, um so viel wie möglich von ihren Lustsäften abzubekommen und ich fand, sie schmeckte ein wenig wie Milch mit Vanille. In diesem Moment konnte ich gar nicht genug davon bekommen, was Maria in die Möse ihrer Mutter stöhnen ließ. Diese war auch nicht leiser und bald stöhnten die Frauen um die Wette.Dann hatte ich wieder eine Idee …„Mach bei deiner Mama genau das, was ich auch mache!”, wies ich Maria an, bevor ich wieder seinen Kopf zwischen ihre Beine steckte und erneut damit begann, ihr Fötzchen von oben nach unten abzuschlecken. Leckte ich über ihre Schamlippen, machte Maria dasselbe bei ihrer Mutter nach. Schlürfte ich an ihrem Löchlein die Säfte heraus, tat sie dies ebenfalls. So wurde so nach und nach die komplette Scham der beiden Frauen mit einer zärtlichen Zunge verwöhnt, wobei ich dafür sorgte, dass der Kitzler der beiden nicht zu kurz kam, da ich immer wieder dorthin wechselte, was jedes Mal ein Wimmern bei beiden erzeugte. Hierin waren Mutter und Tochter sich ziemlich ähnlich, wie ich amüsiert feststellte. Als ich fühlte, dass sich beide Frauen langsam einen weiteren Höhepunkt näherten, nahm ich das in Angriff, was ich von Anfang an vorhatte und ließ meine Zunge zur Rosette von Maria wandern. Nur kurz spürte ich ein Zögern bei ihr, bis ich feststellte, dass sie es mir bei ihrer Mutter gleich tat. Als ich schließlich meine Zunge soweit wie möglich in ihren Hintereingang drückte, gab es auch kein Zögern mehr bei Maria und führte auch das bei ihrer Mutter aus.Schließlich hatte ich genug davon, oder besser gesagt ich war so geil, dass ich unbedingt güvenilir illegal bahis siteleri meinen Schwanz in einem Loch versenken musste. Welches, das hatte ich mir schon ausgesucht …„Maria, stell dich über deine Mama und lass dich lecken!”, befahl ich und drückte sie von der Möse ihrer Mutter weg, um mich selbst wieder dorthin zu begeben. Maria zögerte nicht, meiner Anweisung zu folgen, während ich meinen Stab an Patricias Schokoloch ansetzte.„Jaaahhhh … fick mich den Arsch!”, stöhnte diese auf, als sie mich an ihrem Hintereingang spürte. Mehr war nicht mehr möglich, da Maria ihr das Fötzchen aufs Gesicht über ihren Mund drückte. Fast gleichzeitig stieß ich in Patricias Po, was diese in die Möse ihrer Tochter stöhnen ließ.Dann gab es kein Halten mehr für mich und ich stieß hart und schnell zu. Immer wieder trieb ich meinen Prügel in Patricia, die ihrerseits in Maria hinein stöhnte und schlapperte, während sie das Tochterfötzchen mit ihrer Zunge bediente. Aber auch Maria ließ ihre Lust durch lautstarkes Stöhnen hören. Da ich mich wieder auf beide Frauen abwechselnd konzentrierte, steuerte ich es so, dass wir alle drei gleichzeitig kamen, wobei ich erneut dafür sorgte, dass ihre Orgasmen scheinbar endlos andauerten.Danach sanken wir einfach übereinander erschöpft zusammen.Kapitel 4 — Neue WegeIch war wieder einmal der erste, der sich von den Nachwehen meines Höhepunkts erholt hatte. Zufrieden rappelte ich mich auf und setzte mich aufs Sofa. Es dauerte noch einen Moment, bis sich auch Patricia und Maria erhoben und sich hinsetzten.Nun, da die Geilheit erst einmal verschwunden war, war ihnen beiden das Passierte etwas unangenehm und peinlich. Beide versuchten tunlichst, sich nicht anzusehen. Irgendwie entstand ein betretenes Schweigen.Schließlich seufzte Patricia auf und fragte in meine Richtung gewandt: „Und wie soll es nun weitergehen?”Ich spürte genau, was sie bedrückte. Nicht nur, dass es ihr peinlich war, dass sie sich vor mir so weit gehen hatte lassen, dass sie sich von ihrer Tochter die Möse ausschlecken ließ und auch deren Fötzchen ausgeleckt hatte. Ich spürte auch die Unsicherheit, was mich betraf. In ihrem Inneren konnte sie sich nämlich durchaus mehr mit mir vorstellen und wollte nur ungern auf mich verzichten.Eigentlich wollte ich sie ja in diese Richtung beeinflussen, aber dass sie nun von selbst diesen Gedanken hatte, freute mich.Maria ging es im Grunde ähnlich. Sie war sich ebenfalls unsicher, was mich betraf. Eigentlich hatte sie ja gedacht, dass sie nun mit mir zusammen sein würde. Aber bei der ersten Gelegenheit hatte ich ja ihre Mutter gefickt und das, obwohl sie nebenan in ihrem Zimmer gewesen war. Dass sie mit ihrer Mutter Sex hatte, machte ihr im Gegensatz zu ihrer Mutter allerdings kein schlechtes Gewissen, wie ich feststellte. Sie fragte sich nur, ob sie das wiederholen könnte oder nicht.„Nun, das ist doch einfach! So wie ich das sehe, will keine von euch beiden auf mich verzichten … und ehrlich gesagt möchte ich keine von euch beiden mehr missen. Außerdem macht ihr alle zwei euch Gedanken, wie ihr damit umgehen sollt, dass ihr Sex miteinander hattet. Die Wahrheit ist jedoch, dass ihr euch beide das weiterhin wünscht. Nur deine Moralvorstellungen Patricia hat dich doch überhaupt bisher davon abgehalten und machen dir auch jetzt zu schaffen. Wenn ich das richtig sehe, dann würde Maria das gerne wieder tun, nur weiß sie nicht, wie du darauf regieren würdest. So gesehen ist es wie gesagt ganz einfach. Ihr packt beide ein paar Sachen zusammen und dann zieht ihr zu mir. Ehrlich gesagt, dort ist es schöner als hier.”, beantwortete ich Patricias Frage ganz pragmatisch.„Sag mal, kannst du Gedankenlesen, oder was?”, fragte Patricia erstaunt, da ich den Nagel auf den Kopf getroffen hatte. Nicht nur bei ihr, sondern auch bei Maria, so wie diese sie nun ansah.„Nein, aber ich brauche doch nur in eure Gesichter zu sehen, um zu sehen, was in euch vorgeht!”, schwindelte ich. Dass ich tatsächlich Gedanken lesen konnte und noch viel mehr, das wollte ich erst einmal für mich behalten.„Und wie soll das funktionieren mit uns dreien? Meinst du nicht, dass das alles ein bisschen schnell geht?”, fragte Patricia verunsichert.„Nun, es mag tatsächlich etwas schnell gehen, aber Tatsachen bleiben nun mal Tatsachen. Aber du kannst natürlich gerne hier bleiben, wenn du möchtest. Aber Maria wird mit mir kommen und ab sofort bei mir leben”, begann ich etwas zu pokern. Zwar hätte ich Maria tatsächlich dahingehend steuern können, aber ich wollte sehen, wie ernst sie es mit ihrem Gehorsam gemeint hatte.Maria sah mich kurz erstaunt an, sagte aber dann zu ihrer Mutter: „Wenn Gerfried es will, dann werde ich mit ihm gehen!”„Ihr scheint mir also gar keine andere Wahl zu lassen, wenn ich euch nicht verlieren will. Was aber noch immer nicht meine Frage beantwortet, wie du dir das mit uns drei vorstellst?”„Hm … Maria, geh doch bitte schon mal in dein Zimmer und packe das Nötigste für die nächsten Tage schon mal zusammen. Ich will noch einmal kurz mit deiner Mutter alleine sprechen”, schickte ich erst mal das Mädchen raus.„Muss das sein?” schmollte Maria.„Erinnere dich, was du mir versprochen hast!”, erwiderte ich etwas strenger.„Schon ok, ich gehe ja schon!”, antwortete Maria aufseufzend und verschwand in ihrem Zimmer.„Was hat sie dir denn versprochen?”, fragte Patricia neugierig, nachdem ihre Tochter draußen war.„Das sie mir in Zukunft gehorcht. Du musst wissen, dass ich dominant bin. Das heißt, dass auch du mir zukünftig gehorchen musst. Aber wenn ich dich richtig einschätze, dann gefällt dir das sowieso, genauso, wie auch selbst zu dominieren, oder?”„Woher weißt du denn das schon wieder?”, fragte Patricia verblüfft, denn davon hatte sie niemanden erzählt und bisher hatte sie ihre Neigungen auch nicht wirklich ausgelebt, sondern spielten eher in ihren Fantasien eine Rolle.„Ich kann gut beobachten”, blieb ich ausweichend.„Hm … von dir kann man aber auch gar nichts verbergen, oder? Was stellst du dir nun denn genau vor? Das wir beide dir dienen und Maria auch noch mir?”„Du hast es erfasst! Wie ich festgestellt habe, scheint Maria sowieso eine devote Ader zu haben. Also würde das schon passen.”„Nun, ich gebe zu, dass du meine Neigungen gut erkannt hast und du magst ja auch bei meiner Tochter richtig liegen. Trotzdem liegt mir an meiner Freiheit viel und wie ich meine Tochter kenne, ihr auch. Denn wenn ich dich richtig verstehe, dann willst du doch nicht nur über unsere Sexualität bestimmen, sondern auch über unser Leben.”„Das hast du gut erkannt. Natürlich wird es zukünftig Einschränkungen für euch geben. Dafür bekommt ihr aber noch viel mehr Freiheiten. Oder willst du mir erzählen, dass dir das Leben wirklich gefällt, welches ihr hier führt? So wie ich das sehe, dann geht es euch zumindest finanziell nicht wirklich gut. Die alten Möbel hier und dann die Wohnung … Du darfst mich nicht falsch verstehen. ich verurteile das keineswegs oder sehe deswegen auf euch herab. Ich habe selbst schon schwierige Zeiten durchlebt. Ich meine nur, dass es wirklich nicht das Gelbe vom Ei ist, wie ihr hier lebt. Ich möchte euch nur etwas Besseres bieten und für euch sorgen. Denn auch das gehört für mich zu meiner Dominanz.”„Also gut, versuchen wir es. Ihr beide lasst mir sowieso keine Wahl. Aber nur unter der Bedingung, dass du Maria ihre Ausbildung zu Ende führen lässt und ich auch weiterhin arbeiten gehen darf. Und die Wohnung werden wir erst einmal behalten … nur falls es nicht mit uns dreien funktioniert.”„Einverstanden!”, stimmte ich lächelnd zu. Dass sich das Ganze so entwickeln würde, ohne dass ich die Frauen mit meinen Gedanken beeinflussen musste, gefiel mir. Dafür nahm ich gerne in Kauf, dass die beiden weiterhin ihren Jobs nachgingen. Außerdem war ich mir sicher, dass sich auch das mit der Zeit erledigen würde.„Noch eine Frage Gerfried … du hast gesagt, dass du für uns sorgen willst. Kannst du dir das überhaupt leisten? Bist du denn reich, oder so?”„Das könnte man so sagen”, schwindelte ich grinsend, aber da ich mir sicher war, dass ich tatsächlich bald reich sein würde, hatte ich auch kein schlechtes Gewissen dabei.Und so geschah es, dass wir am nächsten Morgen alle zusammen bei mir beim Frühstück saßen.Da Patricia nur einen Teilzeitjob als Frisöse in der Stadt hatte, arbeitete sie in der Regel nur von Montag bis Mittwoch, obwohl sie für weitere Tage, wenn eine Kollegin ausfiel, aus finanziellen Gründen immer dankbar war. An diesem Samstag hatte sie jedoch frei. Maria hatte ebenfalls bis nach den Weihnachtsfeiertagen frei, da am 24. einige Kolleginnen unbedingt arbeiten wollten, da sie den vom Chef bezahlten Zuschlag verdienen wollten.Es gefiel mir, dass sich die beiden Frauen um das Frühstück gekümmert hatten. Ansonsten wäre es bei mir wohl wieder nur Kaffee und Zigaretten gewesen, was ich morgens zu mir genommen hätte. Noch besser gefiel mir jedoch, dass die beiden im Gegensatz zu mir noch immer nackt waren und ich über den Tisch hinweg genussvoll ihre Titten betrachten konnte. So aber genoss ich sogar ein Frühstücksei, während mich die beiden Frauen irgendwie erwartungsvoll ansahen.„Entschuldigt, aber morgens bin ich nie sehr gesprächig. Zumindest nicht vor der dritten Tasse Kaffee”, erklärte ich ihnen lächelnd, während ich Patricias Busen betrachtete. Trotz ihrer C-Größe waren sie für ihr Alter noch immer ziemlich straff und hingen nur ganz leicht nach unten.„Schon ok, aber wir würden nun schon gerne wissen, was du dir so vorstellst, Herr?”, antwortete Patricia.„Nun, wie ihr mich also zukünftig ansprechen solltet, hast du ja schon verstanden. Aber du hast Recht, wir müssen ein paar Regeln aufstellen. Nun, die erste Regel hast du ja schon genannt. Ihr werdet mich ab sofort mit ‚Herr’ ansprechen. Die zweite Regel ist ebenso einfach. Ihr habt mir jederzeit zu gehorchen. Ungehorsam werde ich bestrafen. Leichtere Vergehen werde ich mit üblichen Strafen, wie Hausarrest, oder ähnliches bestrafen. Schwerwiegendere mit körperlicher Züchtigung, verstanden?”„Du willst uns schlagen?”, fragte Maria mit großen Augen und ziemlich überrascht.„Natürlich! Wie sonst soll er sicherstellen, dass wir auch wirklich gehorchen”, güvenilir bahis şirketleri antwortete ihr ihre Mutter.„Nicht nur ich werde dich zukünftig bei Ungehorsam bestrafen, sondern auch deine Mutter. Sie wird mir nämlich bei deiner Ausbildung helfen und du hast ihr genauso wie mir zu gehorchen, hast du das verstanden?”, teilte ich ihr mit, da sie ja das Gespräch, das ich am Vortag in ihrem alten Zuhause mit Patricia führte, nicht mitbekommen hatte. Wobei ersteres auch ihrer Mutter noch nicht bekannt war, zumindest nicht so direkt. Denn als wir zu mir nach Hause gekommen waren, waren wir alle sofort zu Bett gegangen, da wir alle ziemlich müde waren.„Ja”, antwortete Maria und musste erst einmal schlucken, denn damit hatte sie nicht gerechnet.„Offensichtlich hast du nicht zugehört! Lass dir von deiner Mama nochmal erklären, wie du mich anzusprechen hast. Eine weitere Unterlassung zieht eine schwere Bestrafung nach sich”, wies ich sie zurecht.„Hast du nicht gehört! Du musst Gerfried mit Herr ansprechen, also wie heißt das?”„Ja, Herr! Entschuldige bitte, ich muss mich erst daran gewöhnen.”„Nun, wir werden dir schon helfen, dich daran zu gewöhnen”, sagte ich grinsend und stellte mir schon vor, wie ich sie übers Knie legte.„Ja Herr, danke Herr!”, antwortete Maria schnell, da sie sich gut vorstellen konnte, was mir gerade durch den Kopf ging.Als nächstes muss ich von euch immer wissen, wie ihr arbeiten müsst. Schließlich brauche ich diese Information, damit ich weiß, wann ich nicht über euch verfügen kann. Patricia, ich werde dich später noch genauer instruieren, wie ich mir hier einige Dinge und vor allem Marias Ausbildung vorstelle. Außerdem wirst du hier für den Haushalt verantwortlich sein. Das heißt nicht, dass du alles alleine machen musst. Ich meine damit eher die Organisation des Haushalts. Du wirst bestimmen, was wer macht, verstanden?”„Ja Herr, darf ich dich fragen, ob dich das mit einbezieht. Ich meine beim Haushalt.”„Natürlich … allerdings wirst du dabei berücksichtigen, dass ich hier der Herr im Hause bin. Also überlege dir genau, wofür du mich einteilst. Ich will dir aber zumindest so viel sagen, dass ich im Haushalt so gut wie alles kann. Am liebsten koche ich aber.”„In Ordnung Herr. Darf ich noch eine Frage stellen?”„Du musst mich nicht immer fragen, ob du was fragen darfst. Zumindest nicht, wenn wir uns sowieso unterhalten, außer du siehst, dass du mich dabei bei etwas störst. Also frag einfach.”„Nun, du hast gestern mehr oder weniger erwähnt, dass du reich bist. Ich meine, ich sehe zwar, dass du nicht wirklich arm bist, aber du beschäftigst dich mit so was wie Haushalt und auch wenn das hier sicherlich schöner aussieht, wie bei uns zu Hause … nach Reichtum sieht es nicht wirklich aus.”„Du hast natürlich Recht Patricia. Aber solange ich alleine war, hat es ausgereicht. Und auch ich bin zu Hause nicht gerne von Bediensteten abhängig … zumindest, wenn es sich um Bedienstete handelt, die mir nicht wirklich dienen. Aber nun, da ihr bei mir seid, habe ich nicht vor, hier allzu lange wohnen zu bleiben. Im neuen Jahr werde ich ein schönes Haus für uns suchen, wo wir dann leben werden.”, antwortete ich, denn ich hatte mir auch darüber schon Gedanken gemacht hat. Aber vorher muss ich noch etwas Geld auftreiben. Kaum hatte ich das gedacht, klingelte mein Handy.„Holler”, meldete ich mich knapp.„Hier ist Gerd Grünhaus. Ich sollte Sie doch heute anrufen.”„Ah ja. Kennen Sie das Kaffee Wienerwald? Können wir uns dort in einer Stunde treffen.„Natürlich Herr Holler! Ich freu mich schon!”„Gut, dann bis später!”, verabschiedete ich mich und trennte die Verbindung.Patricia und Maria sahen mich fragend an.Ich muss gleich nochmal kurz aus geschäftlichen Gründen weg, werde aber spätestens um 1:00 Uhr zurück sein. Aber noch habe ich ein wenig Zeit. Maria, geh doch mal unter den Tisch und zeig deiner Mama, was ich dir gestern beigebracht habe. Zeig ihr, wie man einen Schwanz richtig bläst!”Maria zögerte keinen Moment und rutschte sofort unter den Tisch und begann an meiner Hose zu nästeln.„Dir kochen wohl schon wieder die Eier, Herr?”, grinste Patricia mich an, als man auch schon den Reißverschluss meiner Hose hörte.„Hast du nicht gehört, was ich gesagt habe, Schlampe?”, erwiderte ich streng, während ich fühlte, wie die Kleine mit der Hand meinen Schwanz in der Unterhose suchte und hervorholte.„Doch Herr! Du hast Maria befohlen, dir einen zu blasen”, erwiderte Patricia wegen meiner plötzlichen Strenge irritiert und ich spürte, wie sich weiche Lippen über meine Eichel schoben.„So habe ich das?”, hakte ich wieder in einem strengen Tonfall nach und musste ein Aufstöhnen unterdrücken, da Maria plötzlich stark an meiner Nille saugte.„Ja hast du … oh”, antwortete Patricia, der plötzlich ein Licht aufging und im nächsten Moment rutschte sie ebenfalls unter den Tisch, um ihrer Tochter zuzusehen.Maria hingegen, welche die ganze Zeit den Dialog verfolgt hatte, entließ kurz ihr neues Lieblingsspielzeug aus ihrem Mund, um kurz zu kichern, denn sie hatte sofort gewusst, worauf ich hinauswollte.„Blasen!”, befahl ich laut.Sofort stülpte Maria ihre Mäulchen wieder über meinen Stängel und begann zu saugen, während Patricia neben sie rutschte und ihr zusah.„Sieht geil aus, mein Schatz”, flüsterte sie ihrer Tochter zu und streichelte über deren Po, mitten durch die Spalte.Sofort drückte diese ihrer Mutter das Hinterteil entgegen, oder anders ausgedrückt, nach oben, wodurch vorne mein Schwanz weit in ihrem Mund verschwand, wie Patricia interessiert beobachtete. Maria wusste natürlich genau was ich wollte und so zeigte sie ihrer Mutter, wie sie meinen Schwanz völlig verschluckte und in bis zur Wurzel in ihren Rachen schob.Ich stöhnte laut auf und war etwas verblüfft, da ich mich gerade auf Marias Gedanken konzentrieren wollte, um ihr wieder dabei zu helfen, den Würgreiz zu unterdrücken, der zweifelsohne entstand, wenn etwas gegen das Zäpfchen in der Kehle stieß. Doch offensichtlich war dies nicht mehr nötig.Ich fragte mich gerade, ob es auch bei Patricia mit einer einmaligen Hilfe klappen würde, dass sie beim Deep Throat nicht mehr würgen müsste, als diese laut zu ihrer Tochter sagte: „Das machst du wirklich gut, aber das kann ich auch.”Offensichtlich zog sie ihre Tochter zurück, denn ich spürte, wie mein Schwanz die warme Höhle verließ, bevor sich erneut Lippen über ihn stülpten, die meine Männlichkeit förmlich in sich bis zur Wurzel hinein saugten.„Wow”, hörte er Maria sagen, „sieht wirklich geil aus! Woher kannst du denn das, Mama?”Wieder fühlte ich, wie ich einen geilen Mund verließ.„Nun, ich war auch einmal jung mein Schatz!”, antwortete Patricia grinsend.„Ach Mama! So alt bist du nun auch wieder nicht”, warf Maria ein.„Danke für das Kompliment, aber …”, begann ihre Mutter zu antworten, wurde dann aber von mir unterbrochen.„Sagt mal, könnt ihr Weibsleute nicht einmal beim Blasen eure Klappe halten! Und das am frühen Morgen!”, maulte ich grummelnd.Sofort war es still und wieder stülpte sich ein Mund über meinen zum Platzen harten Pint. Ich wusste nicht genau wessen Mundfotze es war, die mich saugte, aber plötzlich spürte ich an meinen Eiern eine Zunge, die mich dort zusätzlich bearbeitete.„Ohhhhhh, was seid ihr nur für geile Schlampen”, stöhnte ich heraus.Auf diese Weise ging es auch weiter. Die beiden Frauen schienen sich abzuwechseln. Mal saugte die eine, versenkte meinen Harten in ihren Rachen, während sich die andere leckend um meine Eier kümmerte, dann machten sie es wieder genau umgekehrt.Die Tatsache, dass mich gleich zwei Frauen, noch dazu Mutter und Tochter, in den Himmel bliesen, brachten meine Eier zum Kochen und es dauerte nicht lange, bis ich laut keuchend mein Kommen ankündigte und in einem Mund explodierte, so dass mir wieder einmal schwarz vor den Augen wurde.Gerade als ich wieder klarer wurde, krabbelten die beiden Frauen unter dem Tisch hervor, leckten sich genussvoll über die Lippen und Patricia sagte: „Geil, so ein Eiweißfrühstück sollten wir uns jeden Morgen gönnen.”„Ja, das finde ich auch Mama. Mal sehen, ob unser Herr uns das gönnt”, antwortete Maria und sah mich frech grinsend an.***„Ah … guten Tag Herr Holler. Ich freue mich dass Sie Zeit für mich gefunden haben”, begrüßte Gerd Grünhaus mich schon, als ich das Kaffee betrat.Ich spürte, dass dieser darüber ziemlich erleichtert war, dass ich mich tatsächlich an die Verabredung hielt. Ich ergriff die Hand die mir zur Begrüßung gereicht wurde und schüttelte sie.„Kein Problem. Vielleicht haben Sie ja Recht und es ist für uns beide profitabel. Aber lassen Sie uns erst einmal setzten und dann sehen wir einfach, was sich ergibt.”Wir setzten uns an einen Tisch und bestellen Kaffee. Im Gegensatz zum Vortag im Supermarkt, hatte ich mir dieses Mal einen Anzug angezogen, um mehr wie ein Geschäftsmann zu wirken. Zwar wäre dies nicht unbedingt nötig gewesen, aber im Grunde zog ich schon immer gerne auch mal einen Anzug an.„Ehrlich gesagt, ich hätte da tatsächlich eine Geschäftsidee, die einige Millionen abwerfen könnte und für die ich einen Geschäftspartner suche. Ob Sie allerdings der Richtige dafür sind, das weiß ich nicht, dazu müsste ich erst mehr über Sie erfahren”, eröffnete ich das Gespräch.„Was wollen Sie den von mir wissen?”, fragte Grünhaus sofort nach.„Im Grunde alles. Schließlich muss man wissen, mit wem man es zu tun hat und ob derjenige bereit ist, ein Risiko einzugehen”, antwortete ich vage, während ich die Gedanken meines Gegenübers las. Deshalb wusste ich auch, dass mein Gegenüber schon fast angebissen hatte, als ich ein ‚paar Millionen’ erwähnte.„Nun, bevor ich die Hosen herunter lasse, sollten Sie mir vielleicht erzählen, was Sie vorhaben und von wie vielen Millionen wir hier sprechen”, blieb Grünhaus aber vorerst vorsichtig.„Also gut. Ich suche jemand, der bereit ist, so etwa zehn Millionen zu investieren. Dafür winkt aber auch ein Gewinn zwischen dreißig und vierzig Millionen. Sie müssen aber verzeihen, dass ich vorerst noch nichts Genaueres erzähle, schließlich will ich nicht, dass mir jemand meine Idee klaut.”„Von welchem Zeitraum reden wir hier denn? Ich meine, damit sowohl die Investition, als auch den Gewinn.”„Es handelt sich um ein einmaliges Geschäft. Von einer sofortigen Investition und einer Gewinnausschüttung spätestens nach einem Jahr.”„Hm … hört sich interessant an, wenn auch etwas ungewöhnlich. Und wie sieht es mit dem Risiko aus. Bei dieser Gewinnspanne muss es doch enorm sein.”, wendete Grünhaus ein. Geschrieben von www.amateurseite.blog

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