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au cinéma3Thérèse vient de se faire bourrer deux fois elle. Le troisième a joyeusement déchargé dans sa bouche, sous l’œil intéressé de nos petites voisins au nombre de cinq qui ne se sont pas privés de la filmer et de la photographier.— Prenez bien son visage surtout, ont insisté ses nouveaux amants, c’est plus excitant lorsqu’ on peut reconnaître la salope !!!— Sûr ! On a même des super gros plans de sa belle petite gueule avec une grosse bite dedans !!!— Allez on la ramène à son cocu, on a juste le temps de se faire lécher la queue avant que la lumière ne revienne hihi !!!— Vient ma belle Thérèse on va revoir ton cocu, il doit être super excité de te savoir remplie !— Tu as bien joui ? C’était bon ?Elle baisse un peu la tête, confuse d’avoir pris tant de plaisir mais heureuse tout de même.— Hummm oh oui !c’était bon !— Ecoute si tu veux on va s’occuper de toi régulièrement, vient on en parlera avec ton mari, il va être tout content !!!hihi(Mais avant de retourner voir ce cher mari faisons plus ample connaissance avec ces bons garçons)Alexandre, dit Alex, 20 ans 1 m 78 brun aux cheveux mi- longs, (18 cm) baise depuis l’âge de 15 ans étudiant en droit.Benoit dit Ben, 21 ans, 1m80, brun aux yeux noirs, cheveux coupés court (17 cm) baise depuis le lycée.Kriss, dit kriss (hihi) 22 ans, 1m 82 les yeux bleu cheveux blonds coupes en brosse visage carré, (23cm) baise depuis l’âge de 12 ans. Certains disent qu’il aurait commencé avec ses sœurs et peut-être sa propre mère, expert en amour endurant et très viril, pourrait selon certaines filles bien informées avoir besoin de trois ou quatre éjaculations quotidiennes !!! Le préféré de Thérèse à voir les regards langoureux qu’elle lui lance, son visage d’ange et sa virilité hors du commun y sont pour quelques chose, sa réputation de séducteur et de gentil pervers le précède, c’est sûrement pour cela que Marylène ma belle- sœur a eu l’idée de l’inviter à cette mémorable séance de ciné en compagnie de ses meilleurs amis.Quand à moi, 1m75 pour 71 kg brun aux yeux marrons, (13 cm) deux bahis firmaları ou trois érections hebdomadaires, plutôt éjac rapide je ne fais jouir ma femme qu’avec ma langue, croyant la satisfaire pleinement mais oublieux du fait que les femmes ont certes du plaisir lors des orgasmes clitoridiens mais qu’il leur faut aussi des orgasmes vaginaux !Mais revenons à notre histoire…Le cœur battant je vois s’ouvrir la porte des toilettes, le petit groupe formé de ma femme toute nue et de ses nouveaux amants rentre dans la salle encore obscure, accompagné des cinq mouflets super excités qui aussitôt arrivés prés de nous accapare les sièges libres à nos cotés.Ce petit remue-ménage n’a bien entendu pas échappé, aux quelques spectateurs qui intrigués ont fini pas apercevoir mon épouse entièrement nue encadrée par cette petite bande de vicieux. Son retour est bien observé et quelques peu commenté !— Ca y est elle revient !— Elle est toujours à poils !— Elle a du en prendre !— C est une femme mariée !— Ouais son mari est resté dans la salle à l’attendre !— Hhihi c est cool, le mec est super cocu et il ne dit rien !— A mon avis ça l’excite !Cette dernière remarque, frappée de bon sens, me rappelle que ma zig est toute dure dans mon slip et que je dois me retenir très fort pour ne pas éjaculer dans mon slip ce qui serait une vraie honte !!!Mais je ne peux empêcher une jolie bosse de se former sur le devant de mon pantalon de tergal d’été très léger et j’ai bien peur qu’une petite tache d’humidité à cet endroit ne dévoile à tous mon émoi !En frissonnant je me rends compte que je suis entouré, serré de près. Les mômes m’observent attentivement sûrement étonnés de mon laxisme ; ma femme s’est assise, toujours nue, un petit geste d’un des garçons et elle a immédiatement ouvert les genoux déjà soumise !— Bon on a bien fait jouir ta petite femme, pour la peine tu vas gentiment nous nettoyer la queue !C’est Kriss qui s’est adressé à moi à voix basse mais totalement intelligible par tous ceux qui seraient à proximité !— Mais ben non, ça kaçak iddaa ne va pas !— Si tu n’en veux pas on va te foutre à poils dans la salle, comme ta femme !!!hihi !— Quelle bonne idée allez on le dessape, regardez il bande si on ne libère pas sa nouille il va décharger dans sa culotte !!!C’est ma belle sœur qui vient de s’exprimer, la garce, ça l’excite de me voir cocu et humilié !Sans que je puisse faire un geste je sens mes bras saisis par derrière, ceinturé, incapable de me défendre ; déjà des mains fébriles lèvent ma chemise et mon tee shift vers le haut !— Arrêtez, vous êtes vaches, laissez moi, pas ici quand même !— Ben tu as bien laissé ta femme se faire mettre à poils, alors pourquoi pas toi ?Ma ceinture est dégagée, le petit bouton du haut de la braguette défait, zip, ça c’est la fermeture éclair du pantalon qui est descendue !!!— Oh non arrêtez vous êtes cons !— Hihi allez à poils le cocu on veut voir sa zig, je suis sur qu’il bande dur !Des mains dégagent mes vêtements vers le haut, je sens le froid sur ma peau. Mes bras sont emprisonnes par ma chemise, ça tire dessus, hop j’ai déjà le buste nu !En bas ça continue aussi, plusieurs mains s’occupent de me déculotter !— Soulevez- le un peu qu’on baisse son froc, hihi !!!Je suis soulevé de mon siège, affolé je sens que mon pantalon est abaissé aux chevilles, puis on saisit l’élastique de mon slip !— non, non pas le slip, pas le slip !!!!ma voix est rauque— Mais mais si mais si, allez hop à poils le cocu, oh la jolie petite zigounette toute dure, regardez elle bave un peu, le cochon il a même mouillé son slip, hihi oui il mouille presque autant que Thérèse !!!Pantalon et slip aux chevilles, je suis affolé, on soulève mes pieds et hop je suis nu !— Enlevez lui aussi ses chaussures et ses chaussettes ainsi il sera nu comme un ver !!!hihiJ’avale ma salive avec difficulté, je suis tout nu en public, mes oreilles brulantes enregistrent des rires, des quolibets, on m’a ôté et confisqué tous mes vêtements !— Bon alors maintenant soit tu nous suces la queue pour nous kaçak bahis la faire toute propre, ou bien on te laisse là à poils devant tout le monde dans la salle et on se barre avec tes fringues, choisis !— Non vous n’allez pas faire ça quand même !je je ne peux pas faire ça moi je suis un homme !!!-rires- !!!— Tu vas voir que si, c’est très facile et tu vas peut -être même y trouver du plaisir, si tu es comme on commence à penser une nature de cocu soumis !Je frémis à ces mots— Regarde, tu es nu en public, on a mis ta femme à poils, tu n’as rien dit, on vient de la baiser, tu as laissé faire et quand on te la ramène tu bandes, conclusion : ça t’excite, ok ?— Alors maintenant tu vas ouvrir grand ta jolie bouche et bien faire notre toilette intime, sinon tu restes là nu, seul et tout honteux hihi !!!— Oh !!! vous !!!vous êtes … quand même !!! »mon cœur bat à tout rompre, je vois Alex qui s’est rapproché, il a sa queue dans la main, bel objet qui pend le long de son jean un filet au bout du gland décalotté !— Allez on commence par les moins grosses, vient, tu sais elle sort juste du sexe de ta femme !!!Je recule d’instinct ; clac !Kriss vient de me mettre une petite gifle !— Aie !!! mais mais !!!— Tu vois ce n’est pas pour te faire du mal mais juste pour t’aider à prendre conscience de ta vraie condition de soumis, un vrai mâle aurait riposté ou protesté du moins, toi tu te contentes de piailler comme une fille, mais ta vas voir on va t’aider à devenir toi-même !allez suce salope ou je t’en remets une !!!Alex avance son membre et vient le frotter sur mes lèvres ; affolé, sans force, nu vaincu, j’entrouvre la bouche !!!— Gloup, slurp slurp gloup gloup et je me mets à sucer, sous les rires et les applaudissements.Apparemment il y a du monde qui regarde, un mari sucer les amants de sa femme ça intrigue et ça excite l’imagination !— Regardez sa petite bitte est plus raide que tout à l’heure ça l’excite le petit cochon, je vous l’avais bien dit, alors comme ça on a un gentil petit couple soumis rien que pour nous !!!on va pouvoir en faire des jolies choses avec eux !!! J’ai plein de projets pour eux, et pour commencer dès qu’on aura nos queues propres on va aller voir leur gentille maison, moi j’ai l’intention de coucher avec Thérèse cette nuit!

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Nona 2 Premium Bukkake Interview Avant Fin AprèsTraducteur – “Hi Nona”Nona – “Bonjour”Traducteur – “Parlez-moi de vos sentiments après votre premier bukkake, comment c’était?”Nona – “J’étais vraiment étonné parce que je pensais que c’était complètement différent”Traducteur – “Comment l’avez-vous imaginé?”Nona – “Je l’imaginais plus modeste, alors quand tous les garçons sont entrés, c’était un peu un choc, un peu mélangé, mais j’ai essayé de ne pas m’inquiéter et je savais ce que je faisais, nous nous concentrions principalement sur moi sans distractions “Traducteur – “Avons-nous aimé nos garçons?”Nona – “J’aime beaucoup, une grande attention à moi”Traducteur – “Vous attendiez une attention différente de celle des garçons”Nona – “Mais je ne m’y attendais pas, mais je m’attendais à ce que tout le monde soit plus modéré”Traducteur – “Modeste, comment modeste”Nona – “Moins de sperme, moins de garçons”Traducteur illegal bahis – “Eh bien, pour le sperme … Pour toi aussi cum?”Nona – “Oui, c’était trop de sperme, surtout pour une fille qui n’avait pas tellement d’expérience dans la vie, elle était trop sperme”Traducteur – “Comment a-t-il été essayé et senti comme?”Nona – C’était très différent, c’était sucré, c’était salé, c’était très aigre, il faisait très chaud.Tous les différents, certains étaient insipides quand ils étaient tous ensemble, ça n’était pas si bon parce qu’un sperme en altérait le goût d’un autre sperme, à cause de préférences différentes, je voulais tomber en panne ou s’effondrer. “Traducteur – “Ayez des moments que vous aimez en tirant”Nona – “Oui quand un garçon lui a tiré les cheveux Quand quelqu’un m’a aidé”Traducteur – “Nous aimons quand quelqu’un vous remercie”Nona – “Oui, j’aime ce plaisir et ce soutien”Traducteur – “Voyez-vous illegal bahis siteleri la différence entre les garçons de différents pays?”Nona – “Par rapport à quel pays?”Traducteur – “Tout le monde”Nona – “Tout le monde, je ne peux pas vraiment comparer, je ne sais pas quoi dire”Traducteur – “Comprenez, qu’attendez-vous du prochain coup?Nona – “Je ne voulais pas être aussi difficile pour la première fois parce que je veux être bonne dans le film, vous voulez vous reposer, je ne pouvais pas me concentrer parce qu’il y en avait trop.”Traducteur – “Mais vous savez que pendant que vous tournez tous les besoins doivent être émotionnels, naturels et beaux”Nona – “Je veux être plus belle dans le film, mais ici je suis plus émotif et naturel, ça m’effraie un peu”Traducteur – “Any Desires?”Nona – “Vous voulez plus d’attention à moi!”Traducteur – “De quel côté?Nona – “Du côté des garçons”Traducteur canlı bahis siteleri – “Le bon va essayer”Nona – “Plus d’attention et le corps touche, plus érotique car il se sent maintenant comme je suis un consommateur .. avaler toute la bouche pleine hirondelle”Traducteur – “Nous en tenons tous compte et nous espérons que le prochain coup sera meilleur”Nona – “J’espère aussi”Traducteur – “Merci”.Nona – “Merci pour l’interview”Après….Traducteur – “Comment vous sentez-vous aujourd’hui”Je pleure un peuNona – “Aujourd’hui était plus difficile”Traducteur – “Pourquoi?”Nona – “Je ne sais pas”Traducteur – “Était-ce trop pour vous?”Nona – “Oui, j’avais le sentiment que c’était beaucoup plus de sperme aujourd’hui”Traducteur – “Comment a-t-il été essayé?”Nona – “Terrible”Traducteur – “Qu’est-ce qui sent”Nona – “Pas agréable”Traducteur – “Qu’est-ce qui était frais, chaud, malodorant?”Nona – “Tout ce que vous avez mentionné”Traducteur – “Peut-être qu’un sperme d’un des garçons était délicieux?”Personne – “Je n’ai pas aimé”Traducteur – “Et si je donnais une tasse pleine de sperme, vous le boirez.”Nona – “Honnêtement?”Traducteur – “Oui”Nona – “Mieux vaut tirer

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Sandra, die kleine Schlampe Teil 13So die Fickerei geht weiter….auch Tanja kriegt mal wieder ne Menge Ficksahne gespendet….im nächsten Teil ist dann Sandra wieder fällig.Viel Spaß beim LesenTeil 13Irgendwann wachte Tanja in der Wanne auf. Sie blickte zur Badezimmeruhr. 15 Minuten hatte sie gedöst. Sie räkelte sich ein wenig und ließ noch mal heißes Wasser nachlaufen. Plötzlich bemerkte sie eine Bewegung im Zimmer nebenan. Sie hatte die Badezimmertür offen gelassen, um evtl das Telefon zu hören. Sie tat so als hätte sie nichts bemerkt und seufzte leise. Sanft massierte sie ihre kleinen Titten mit dem Badeschaum und keuchte leise. “Ach…wenn jetzt ein geiler Prügel hier wäre. …Hmmmm ich hab ja meinen Dildo. …!”Sie tastete nach ihrem Gummiprügel und betrachtete ihn begierig von allen Seiten. “Fuuuccckkk was für ein geiles Teil….so schön dick und hart. …mhmmmm wie geil. ..”, stöhnte Tanja und wichste den Dildo mit ihren kleinen zarten Händen wie einen echten Schwanz. Dann führte sie den Prachtpruegel an ihren Mund und ließ ihre nasse glänzende Zunge langsam um die Eichel kreisen. Dabei hob sie leicht ihr Becken an, so das ihr blankes Fötzchen aus dem Schaum und dem Wasser hervorlugte. Sie griff sich zwischen die Beine und fing an ihre nicht nur vom Wasser nasse Pussy zu wichsen. “Mhmmmmm schlürf dein Schwanz tut mir so gut. …schmatz. …da muss man ja schwanzgeil werden. ..uhaaaaa shit. ..meine nasse Möse schreit nach Schwaenzen. …ich will gefickt werden. ..!” keuchte Tanja und wichste sich ihren harten Kitzler fester. Das Wasser platschte und schwappte und hart lutschte sie an dem prächtigen Schwanz. Aus dem Flur hörte sie leises Schnaufen und Keuchen und typische Wichsgeräusche. Ihr Zuschauer war offensichtlich schon fast soweit, denn das Stoehnen wurde lauter und heftiger. Und auch Tanja hielt es kaum aus. Der Gedanke das sich jemand an ihr aufgeilt und sie als Wichsvorlage benutzt brachte sie fast um den Verstand. Die Orgasmuswelle rollte heran und das süße Fickluder drohte zu explodieren. “Jaaaahh geiiiillllll. ..komm. ..komm mit mir. ..lass uns zusammen spritzen. …spritz mich voll. …sahn mich richtig voll. …ich. …fuuuck. ..jaaaaaaaaa. ….”, kreischte sie und ließ ihrer Geilheit freien Lauf. Während sie kam blickte sie in den Spiegel und war überrascht. Ihr Beobachter hatte sich näher getraut. Der Spanner stand in der Badezimmertür. Einer der Zimmerkellner, ein riesiger Schwarzer der sich keuchend seinen Riesenpruegel leerwichste und seine Sahne stoehnend in langen Schüben auf die Fliesen spritzte. Beim Anblick dieses Fickmonsters erschauerte Tanja und kam noch mal mit einem leisen Aufschrei. Der schwarze Hengst spritzte und spritzte und auf den Fliesen bildete sich eine Pfütze. “Komm ruhig rein. …”, grinste Tanja und drehte sich zu ihm um. Der Fremde zuckte zusammen versuchte aus dem Bad zu kommen stolperte aber fast. “Naaa komm. … Ich will deinen geilen Schwanz aus der Nähe sehen”, grinste sie ihn an. Der Schwarze zögerte, traute sich dann aber doch und kam mit wippendem Fickschwanz zu ihr. Lächelnd sah sie ihn an und schenkte ihm ihren verficktesten Blick. Der schwarze Hengst stand direkt vor der Badewanne und aus seiner dicken glänzenden Eichel tropfte noch weisses Sperma. “Ich will. ..ich wollte. ..Sorry. …ich. ..geil. ..ich konnte nicht anders. …”, keuchte der Fremde mit einem leichten Akzent. “Psssttt. ..ist schon gut. …ich freue mich wenn dir meine kleine Show gefallen hat. ..”, keuchte sie und kniete sich in der Wanne hin und blickte zu ihm hoch. Sie griff nach dem eisenharten Fickhammer und wichste ihn provokant leicht an. Ihre zarte Hand konnte den dick Schaft gerade mal zur Hälfte umschließen und so nahm sie noch die andere Hand zur Hilfe. Gierig blickte sie ihm in die Augen und schleckte schlürfend den Saft von seiner vor Geilheit tropfenden Eichel. “Mhmmmmm wooooow. …eine geile illegal bahis harte Ficklanze hast du. ….fuck. ..das ist ja ein echtes Monster. ..ein Schwanz wie ein Laternenmast…!” keuchte Tanja und wichste ihn weiter ab und ließ ihre nasse Zunge um seine Eichel kreisen. Dabei wichste die kleine Hure ihn hart ab knabberte auch noch zwischendurch an der Schwanzspitze. “Du schwanzgeile Fotze. …arghhhh. …shit. …you fucking bitch. …dirty little slut. ..”, stöhnte er und verfiel ins Englische. Sein mächtiger fickschwanz zuckte und die dicken Adern traten am Schaft heraus. Plötzlich stand Tanja auf und stieg triefend aus der Wanne und ging grinsend nach nebenan. Patschnass wie sie war warf sie sich auf das Bett. Der geile Hengst sah ihr fragend hinterher. “Komm her du geiler Schwanzträger”, keuchte Tanja und spreizte provokant ihre schlanken Beine und präsentierte ihm ihre süße blitzblanke Fickspalte, “fick mich…komm schon. ..besorgs deiner weißen Schlampe. ..fick mich richtig durch! ” Der Schwarze kam zu ihr und stellte sich wichsend vor das Bett. Hechelnd rubbelte er seine knallharte Ficklatte. Dann krabbelte er auf das Bett, kniete sich zwischen ihre schlanken Schenkel, nahm seinen Monsterpruegel in die Hand und schlug seine dicke Eichel ein paar mal feste auf Tanjas patschnasse Möse. “Ahhhh eine herrliche Aussicht. …dein geiles Fötzchen. …deine sweet tittys. ..dein suesses Lächeln. …fuuuck. ..damn horny whore. ..” grinste er, setzte seine Eichel an ihrer auslaufenden Fotze an und presste sie hart in den engen Fickkanal. Tanja jappste nach Luft, denn der Schwanz drohte ihr kleines Fötzchen zu sprengen. “Gooott was ist das denn. …”, stöhnte Tanja und spreizte ihre Schenkel so weit es geht nur ging. Der Fickhengst trieb seine Ficklatte unnachgiebig tiefer in Tanjas heisse glitschige Möse.” Jaaaahh du. ….du geiler Fickhengst. …spiess mich auf…. fuuuck was für ein geiler Prügel. ..ahhhh. “, winselte das verfickte Luder und knetete gierig ihre kleinen Tittchen. Der geile Fickhengst schob seine pralle Latte bis zum Anschlag in ihre verfickte Fotze und Tanja presste es die Luft aus der Lunge. Und dann fickte er los. In einem geilen aufreizendem Tempo fickte er das Fötzchen ab. Eng klammerte sich Tanjas enge Fotze um den harten Kolben, wie ein Schraubstock zwängte sich ihre Möse um den dicken Schaft. Ihre nasse glitschige Fickspalte machte schmatzende, schlürfende Geräusche und der heisse Fotzennektar floss in wahren Bächen. Plötzlich zog er seinen nass gefickten Schwanz aus ihrer geilen Fotze, hockte sich über sie und schob ihr seine fette Eichel keuchend in die Mundfotze. “Suck it bitch. ..suck my fucking cock. …come on. ..du geile fotze. ..fuuuck. ….”, stöhnte er und schob seinen Prügel in das gierige Fickmaul. Tanja riss die Augen weit auf und schmatzte und schlürfte an dem pochenden Hammer. Mit einer Hand wichste sie ihm den Prügel, während sie mit der anderen Hand seine Mandarinen großen Eier massierte. Tanja lief der Sabber aus dem Mund. Ihr Speichel hing in langen Fäden vom Kinn und tropfte an seinem fickschwanz und seinen dicken Spermaeiern herab. Tanja wichste ihn keuchend und roechelnd immer fester ab. Sie spürte, dass seine dicke Fickstange bald losrotzen würde, doch der Fickbock zog plötzlich seine Ficklatte aus ihrer gierigen Mundfotze. Er packte sie an den Hüften, warf sie herum und hob ihr Becken an. Tanja reckte ihm willig ihren Fickarsch hin. “Jaaaahh komm. … Steck ihn mir wieder rein. ..fuck me Bastard. …Los. ..besorgs mir richtig. ..fick mich bitte. ..please fuuuck….!” bettelte die blonde Fickschlampe. Sie blickte über ihre Schulter nach hinten und sah ihn schwanzgeil und extrem fickgeil an. Der schwarze Hengst kam hinter sie. Er nahm seine nasse triefende Ficklatte und schlug sie ein paarmal kräftig auf ihren Nuttenarsch, dass es laut klatschte. “Ahhhh fuck. ..Scheisskerl. …jahhhh illegal bahis siteleri geil. ..peitsch mich aus mit deiner geilen Fickstange. …ja ja ja….gib mir deinen Hammer… Schlag mich fester!” jaulte sie schwer atmend. Ihr ficker schlug noch ein paar mal feste zu, so dass sich dicke Striemen auf Tanjas Arsch bildeten. Dann endlich setzte er seine geile Fickstange an und schob sie in einem Zug in das triefende Fickloch. Tanja kreischte leise auf. Ihr ficker stopfte ihre enge Fotze bis zum Anschlag, bis seine schweren Eier an ihre Klit schlugen. Er beugte sich über sie und rammelte sie wie eine läufige Hündin. Immer wieder bohrte sich sein Kolben tief in ihre Fickhöhle und spiesste die kleine Hure förmlich auf. Gierig blickte Tanja über ihre Schulter nach hinten und feuerte den Fickhengst keuchend an.”Jaaaahh stoß zu….fick. ..fick mich. …jaaaaaaaaa feeeeester. ..gut so. ..Ohhhh Gott ist das geil! “, jauchzte sie und ihr zierlicher Körper zitterte unter ihren Orgasmen. “Yeahhh…du verfickte Bitch. ….fuuuck. …deine fucking pussy ist so geil. …fuck. ..”, keuchte der schwarze spritzgeile Hengst. Hart klappste er der Ficksau ein paarmal hart auf den Arsch, dass es laut klatschte. Tanja kreischte leise auf und fickte ihm ihren kleinen Fickarsch entgegen. Der geile Fotzensaft rann ihr in kleinen Bächen die Schenkel herab, denn ihre Fotze produzierte Unmengen dieser heissen Säfte. Die schweren klotzigen Eier ihres Fickers klatschten immer und immer wieder hart gegen ihre glitschige nasse Fotze und plötzlich packte er sie an den Hüften und drehte sich mit ihr um, so das Tanja in umgekehrter Reiterstellung auf seiner riesigen Fickgurke saß. Tanja hob und senkte ihr Becken und fickte den strammen Fickriemen aufreizend ab. “Wooow fuuuck. …du geiler Fickhengst. …ahhhh ja. …dein Schwanz ist so geil. …fuuuck. ..ein richtiges Fickmonster….”, jauchzte die kleine verfickte Schlampe. Sie stützte sich auf seiner Brust ab, beugte sich weit nach hinten und fickte ihn mit dem Becken kreisend ab,. Der geile Fickhengst hielt dabei ihren kleinen Arsch mit beiden Händen fest, während er ihr keuchend von unten entgegen stieß. Tief, bis zum Anschlag nahm ihn Tanja in ihrer klatschnassen Möse auf, bis zu den fetten pochenden Eiern steckte seine riesige Ficklatte in ihrem Fötzchen. Tanja steigerte ihr Tempo, fickte ihn hart und laut winselnd ab. Seine Ficklatte zuckte, pochte, zitterte und seine schweren Eier pumpten schon den Saft empor. “Fuck Babe…i am cumming. …you fucking bitch. ..shit. …ich spritz ab … Yeahhh. ….fuck my cock. …jetzt. … fuuuck. …!” jaulte der schwarze Spermabock. Tanja wollte auf keinen Fall seinen Saft in ihrer Pussy, also ließ sie ihn rausgleiten, hockte sich schnell auf seinen Bauch und wichste seine nass gefickte Ficklatte hart ab. Keine Sekunde zu früh, denn schon spritzte der zuckende Fickprügel heftig los Tanja quiekte laut auf, denn der Druck in seinem Spermasack war so immens, dass er bis hoch in ihr Gesicht und auf ihre Tittchen spritzte. “Jaaaahh komm spritz ab. … Lass schön alles raus. …jahhhh gut so. …spritz mich voll du verdammter Hurenbock. …sahn ab… Sau mich richtig ein! “, keuchte sie und wichste ihn provokant weiter ab. Seine zuckende Fickstange spritzte, spritzte und spritzte und Tanjas ziemlicher Körper war inzwischen eine Seenlandschaft aus Sperma. In weißen, klebrigen Bächen strömte der Saft über ihren Körper, zuckend und winselnd verspritzte der Hengst seine Sahne, bis der Geysir schließlich langsam erlosch. Tanja verrieb seufzend seinen Saft auf ihrem Hurenkoerper, leckte sich zwischendurch immer wieder mal die Finger ab..”Uhhhh jaaaa. … Gooott wie kann man nur so viel spritzen. …fuck. … Du bist ja ein echter Spritzbock. … ” hechelte die kleine Nutte, stieg von ihm und lutschte seine zuckende, Sperma triefende Ficklatte. Sein mächtiger fickschwanz canlı bahis siteleri zuckte in ihrer schmatzenden Mundfotze und Sandra sabberte ihm den Schwanz voll, wobei sie ihm die dicken, immer noch prallvollen Eier knetete. “Du fucking geile bitch. .. Du kriegst ja nie genug. …damn little whore. … you cockhungry slut…fuck. .. Come on. … Suck my Cock. … Suck IT dirty slut. …ja…genau so. ..!” keuchte der schwarze Fickhengst und Tanja tat ihm den Gefallen nur zu gern. Sie wollte ihn melken, ja ihre Gier kannte keine Grenzen. Sie spuckte ein paar mal fest aufseine dicke Fickstange. Dann fing sie an ihren Sabber auf der pochenden Ficklatte zu verreiben, indem sie ihm provokativ in die Augen sah und seine spritzgeile Bumslatte hart aber langsam abwichste. “Geil …. Deine geile Ficklatte ist echt der Hammer. …fuck. ..”, keuchte die blonde Fotze, spuckte ihm noch ein paar mal kräftig auf den Fickschwanz und wichste ihn weiter ab, “steck ihm mir noch mal in die Fotze bevor du spritzt. ..fuck me Bastard! ” Der Hengst sah sie an; sah wie sie es ihm mit ihren kleinen zarten Händen besorgte. Er packte sie, drehte sie sich um, so dass die blonde verfickte Fotze wie eine läufige Hündin vor ihm kniete. Ehe Tanja sich versah setzte er auch schon seinen schwarzen Riemen an und schob ihn der geilen Ficksau bis zu den fetten Eiern in die schwanzgeile Fotze. Hart rammelte er sie ab. Tanja reckte ihm gierig ihren kleinen Hintern entgegen und genoss es so hart ran genommen zu werden. Sie blickte verfickt nach hinten. “Ahhhh fuck. ..du geiler Fickhengst. ..jahhhh fick deine kleine weiße Hure. .. Fuck me… Gott fickst du guuutttt. ..ahhhh. ..jahhhh. ..fick. ..ich. ..ich. ..Fuuuccckkk. …”, kreischte Tanja und wichste sich ihren Kitzler und kam spritzend auf seinem pochenden Fickprügel. Sie zuckte, bebte, zitterte, ihr Mösennektar floss in Bächen. Immer und immer wieder kam es der kleinen Fickschlampe, jappsend und kreischend ließ sie ihrer Geilheit freien Lauf. “Jahh gut so… weiter. … Fick weiter du geiler Hengst… stoss mir deine Prachtlatte schön tief in die Fotze! ” winselte sie und stieß ihm gierig ihren kleinen Arsch entgegen. Der Fickhengst packte sich ihren kleinen Fickarsch, zog ihre Backen weit auf und fickte wie der Teufel. Tanja war der Ohnmacht nah. Wenn der Hengst nicht gleich spritzen würde, würde es sie zerreißen. Aber in dem Augenblick spürte sie auch schon wie er bockte. ” Jaaaahh komm…. Spritz ab…Gib mir deine leckere ficksahne. ..jahhhh fuck. ..Sau mich richtig ein! ” keuchte Tanja und drehte sich blitzschnell um. Kaum hatte sie ihre verfickte, gierige Mundfotze auf, da spritzte der geile Fickhengst auch schon los. Die ersten beiden Schwaelle jagte er der süßen Spermafotze ins Gesicht und in die blonde Wuschelmaehne. Dann zielte er genauer und jagte ihr Ladung um Ladung ins gierige Mündchen. “Yeahhh fuck. ..open your fucking mouth. ….du geile bitch. ..swallow my cum, whore. …ahhhh yessss. …so gooooood. …”, stöhnte der Fickbock und spritzte wie ein Pferd ab. Tanja versuchte gegen die Unmengen anzuschlucken, aber der Spritzer sahnte einfach zu viel ab. Die heiße Sahne tropfte ihr aus den Mundwinkeln, tropfte ihr vom Kinn, klebte in ihren Haaren, der Fickbock sahnte sie regelrecht ein. Tanja dachte schon er würde nie aufhören zu spritzen, als er ihren blonden Wuschelkopf packte, seine zuckende Bumslatte in ihr schluckendes Mundwerk schob und ihr noch zwei, drei heiße Schwälle tief in den Rachen pumpte, die Tanja huestelnd schluckte. Gierig saugte sie ihm die Lustspritze leer, massierte dabei seine schweren, fetten Bälle, um auch ja alles aus ihm rauszuholen. Schmatzend lutschte die schwanzgeile Fotze seine dicke Fickstange leer, wichste ihn dabei geil ab. ” Jaaaahh. .. so gefällt mir das. … Fuuuck so viel sahne. …mhmmmm schmatz schleck mhmllllbbblll”, sabberte die kleine Spermahure und fiel erschöpft zurück. Kurz döste sie vor Erschöpfung ein, als sie nach ein paar Minuten die Augen wieder aufschlug, war der geile Fickbock verschwunden. Tanja grinste vor sich her. Ihr war’s egal, denn sie war durchgefickt und mit Sperma abgefüllt.

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Chaudes vacancesIl fait beau et chaud sur la plage de Tarare. La mer caraïbe est bleue, l’endroit est idyllique. Il est généralement fréquenté par des nudistes et c’est le cœur battant que Josette et moi nous nous sommes engagés sur le petit chemin, qui au travers la végétation dense, mène à la petite crique à l’abri des regards indiscrets. Qu’allons-nous y découvrir ? Nous avons profité de cette journée de semaine pour venir ici sans nos enfants. Nous avons envie de nous mettre nus et de voir l’effet que cela va nous faire de se montrer à d’autres. Manque de chance pour l’excitation, l’endroit est désert, mais il peut encore arriver d’autres baigneurs.Fébriles d’excitation, nous nous sommes dévêtus et avons laissé de côté nos maillots de bain. Une heure passe, nous sommes seuls au monde, déçus. Jo est belle de ses trente cinq ans. Allongés l’un à côté de l’autre, nous ne tardons pas à nous embrasser. Cet endroit, même désert, nous échauffe et agit sur notre libido. Je bande et ma petite femme m’ouvre ses cuisses. L’invite est sans équivoque.— Viens, prends-moi, fais-le moi !— T’es folle, et si on vient ?— Il n’y a personne, bine-moi mon chéri, j’ai trop envie !— Coquine ! L’endroit t’excite ?— Oui, il doit y avoir plein de gens qui avant nous l’ont fait ici.C’est trop tentant. Allongé sur ma petite femme, je la baise lentement. Jo, sous moi, ferme les yeux. Moi aussi cela m’excite de faire çà ici. Tout en limant, je regarde autour de nous. Merde, là à quelques dizaines de mètres, à demi-caché dans les rochers, un homme, un pêcheur antillais nous observe. Il a vu que je l’ai aperçu et ne bouge pas. Le cochon se rince l’œil. Voyant que je ne réagis pas à sa présence, il en profite.Sous moi, Jo geint doucement à mes poussées. Mon gland frappe le fond de sa grotte d’amour. Elle bouge sous moi, remue son petit cul et l’autre se régale. La situation m’excite. Le cochon doit bander, sans doute se branle-t-il.— Ma puce !— Quoi ?— Un type, un indien est là bas dans les rochers et nous regarde.— Il nous voit ?— Oui !— On fait quoi ?— Rien ma puce, il mate et alors. Cela m’excite, pas toi, s’il nous regarde baiser ?— Cochon…— Ça ne t’excite pas ?— Euh… !— Petite cochonne avoue, ça t’excite toi aussi ?— Oui… mais tu crois qu’il me voit toute nue sous toi ?— Oui, ma chérie, tu es belle ma petite femme, il en profite. Je crois qu’il se branle.— T’es sûr ? Il se caresse en me regardant.— Oui. Tu l’excites, il se branle en s’imaginant dans ta petite chatte.Sous moi ma petite femme s’anime de plus en plus. Puis elle parle, je vois l’excitation intense dans ses yeux.— Dis, il doit avoir une grosse queue noire.— Oui ma chérie, il bande et s’imagine dans toi en se caressant la bite. Il te baise en rêve le cochon.— Il s’imagine qu’il me baise ! Tu crois ?— Oui, oui ma puce. Il bande pour toi, güvenilir bahis il a envie de te baiser, de te mettre sa grosse queue dans ta petite chatte. Il la voit, il voit ma bite qui entre dans toi… Tu aimes qu’il te regarde, qu’il voie ton petit cul, ta chatte !— Ohhh… Ouiiiiii… Oh ouiiiii ! Sa bite, sa grosse bite noire, dans ma chaaatte !— Tu as envie de sa queue, qu’il te la mettre et te baise devant moi ? J’ai envie moi !— T’es fou !— Non, ma puce, il te ferait jouir. Tu n’as pas envie d’une grosse queue ?— Je ne sais pas. Et toi, tu veux ? Tu ne vas pas être jaloux, s’il vient me le faire ?— Oui, un peu mais c’est tellement excitant. Tu de souviens avec Jean-Pierre quand nous étions gamins.— Oui, il voulait me baiser devant toi. Il en avait une bien plus grosse, mais il savait pas comment me la mettre. Il n’a pas pu trouver l’entrer et a joui sur mon ventre.— Lui, il va pouvoir ma chérie, tu me dis toujours que tu as envie qu’un autre baise avec nous.— Ouiii… je sais, je dis ça. Dis, il nous regarde encore ? Je ne le vois pas.— Il est toujours là. Je crois qu’il a compris qu’on veut bien. Je lui fais signe de venir ma puce ?— T’es fou !— C’est l’occasion ma puce, on se connaît pas, après on le reverra plus. J’ai envie de te voir avec un autre.— Oui, oui, vas-y, après tout tu as raison, personne ne nous connaît ici. Rien qu’une fois, pour voir comment c’est. Je veux bien mon amour puisque tu en as envie.— Toi aussi ?— Quoi ?— Tu as envie, qu’il te baisse ?— Oui… mais tu ne seras pas jaloux après ?— Non, promis ma chérie… promis, ça va être si bon de le voir sur toi. De te voir jouir sous lui.— Bon, dis-lui !…De la tête, tout en besognant ma petite femme, je fais signe au pêcheur. Il est sans doute aussi excité que nous et après une courte hésitation sort de derrière ses rochers. C’est un homme de moyenne corpulence, assez petit, un indien. Jo l’a vu. Elle tremble un peu sous moi, ne participe plus trop.— Chéri c’est fou ! J’ai peur !— Ne crains rien, je reste là. Je vais lui dire de faire attention.L’homme est vite tout près et nous regarde d’un air interrogatif. Je lui souris, tourné vers lui, Jo aussi, mais timidement. Je suis encore sur elle, mais mon membre n’est plus dans sa petite chatte.— Bonjour.Nous lui avons répondu. Il y a un silence, un moment de gêne. Si nous ne disons rien, il va repartir. Alors je me lance.— Elle te plaît ?— Oui !— Tu nous regardais coquer ?— Euh… Oui ! J’ai vu que tu voulais bien, tu ne m’as pas fait signe de partir.— Elle est belle hein, elle a une belle chatte bien douce et chaude en dedans ?Je vois la bosse de son sexe encore bandé sous la toile de son short. Jo aussi le voit et a les yeux fixés dessus. Cela encourage notre nouvel ami.— Oui ! oh oui, elle est belle. C’est ta femme ?— Oui. Elle a envie de… enfin tu comprends… türkçe bahis avec toi.— Coquer avec moi ?— Oui ! Tu veux ?— Oui, elle est belle ! Je ne l’ai jamais fait avec une blanche !— Viens ! mets-toi sur elle, prends-la, elle en a envie de ta grosse queue !Je me suis relevé lui laissant la place. Jo consentante a gardé les cuisses ouvertes, lui expose sa chatte avec impudence.— Oui, j’ai envie de ta grosse machine, viens sur moi, moi c’est Josette et toi mon chéri ?— Moi c’est Gédéon, t’es si blanche, t’es belle, tu as une belle coucoune, rose dedans !— Ton cocoro est gros, mets-le moi doucement, viens !Elle se fait cochonne ma chérie, elle a franchi le pas, s’apprête à faire l’amour avec un autre, un Indien à la peau noire. Elle a les yeux mi-clos et je devine qu’elle regarde cependant notre ami qui s’agenouille entre ses cuisses. Il baisse son short. Il ne porte rien dessous. Comme je le pensais, il a une bite longue et épaisse, noueuse aussi, car il a bien cinquante ans notre gaillard. Ma petite femme va la sentir passer. Elle qui a envie d’une grosse bite va être bien servie. J’espère qu’elle va bien jouir. Car avec moi, c’est rare.— Oh ! Elle est belle, bien grosse, mets-la doucement, mon chéri, ma petite chatte est pas habituée à une si belle queue.Jo me regarde alors que l’homme se couche sur elle. D’une main passée entre leurs deux ventres, je le vois qui se guide. Déjà son gros gland est en contact avec la vulve de ma douce. Pour l’aider, Jo ouvre largement ses jambes. Elle m’a tendu sa main et je la lui prends dans la mienne.Jo me regarde encore alors que le gros gland ouvre sa fente aux lèvres charnue et gonflée par le désir. Il se place devant l’entrée de son petit conin d’amour, sa petite chatte qui n’a connu que mon pénis depuis notre mariage. Je vois soudain ses yeux s’écarquiller, sa menotte serre fort la mienne. D’une brève poussée l’homme vient de la pénétrer. D’abord le gland épais qui distend ses chairs intimes. Puis le mâle pousse encore ses fesses en avant et la tige noueuse s’enfonce. Jo pousse un soupir rauque, un autre, puis un autre encore. D’une dernière poussée, l’homme vient de lui entrer toute la longueur de sa grosse verge. Trop excité sans doute pour lui laisser le temps de s’habituer aux dimensions imposantes de son membre, il la pistonne de suite, la baise à grands coups de reins. Sous lui, ma petite femme, les yeux fermés, concentrée sur les sensations que lui procure ce gros membre qui la prend, s’anime. Elle a lâché ma main, s’accroche au cou de l’homme qui la chevauche. Elle joint ses jambes derrière les reins de son amant pour mieux l’avoir en elle. Elle va à sa rencontre, décolle ses fesses du sable pour se l’enfoncer en plus.Ils baisent. Sont l’un à l’autre, moi je ne compte plus. Moi, je regarde et je bande. Je bande comme güvenilir bahis siteleri jamais cela ne m’est arrivé. Les grosses fesses noires, ceintes des cuisses blanches de ma douce s’élèvent, puis s’abaissent en cadence. Jo geint à chacune des poussées de l’homme. Gémissements plaintifs au début car elle avait mal, puis de ravissement maintenant.La tête nichée dans le creux de l’épaule de l’Indien, elle s’abandonne complètement, se livre toute entière à l’assaut fougueux de son amant improvisé.Nous sommes seuls sur la plage, tous les trois. À part le bruit des vagues frappant le récif, je m’entends que le bruit des deux corps qui se frottent, leurs ventres qui se frappent, les gémissements de plus en plus ravis de ma douce, le souffle rauque de l’homme qui la besogne maintenant depuis plus de dix minutes.Je vois le gros sexe brun entrer et ressortir presque complètement de la chatte de ma petite épouse. Elle mouille abondamment, preuve de son excitation et de l’effet qu’il lui fait.Puis je vois ma douce moins passive maintenant, caresser le corps de l’homme, le prendre par les fesses comme pour l’enfoncer encore plus loin. Les râles de plaisirs arrivent de plus en plus forts de plus en plus rapprochés. L’homme accélère ses pénétrations. Ils vont jouir.Un long cri de femme comblée, le corps de Jo s’arque, soulève son amant pour l’avoir encore plus profond dans son minou. Aux crispations des fesses de l’homme, accompagnées de son râle de délivrance, je devine les giclées de sperme qui s’épanchent, abondantes, dans le ventre de ma femme. Sans me toucher, j’ai joui dans le sable chaud tellement mon excitation était alors arrivée à son paroxysme…C’était il y a longtemps…Ils sont restés enlacés. Lui dans elle, elle le gardant entre ses cuisses rondes. Puis je les ai vus se regarder et ma petite femme a ouvert la bouche et l’a collée à celle de l’homme. Leur baiser a été long, si long. J’en ai encore mal mais j’en bande encore en écrivant ce nous avons fait ce jour-là. Jamais nous n’avons osé recommencer.Puis l’homme repu de ma petite femme, après l’avoir prise une seconde fois devant moi et un dernier baiser d’amour, s’est relevé et est parti sans se retourner.Après un bain purificateur, nous avons remis nos vêtements et enlacés, en silence car ne sachant quoi nous dire, avons regagné notre voiture. Chez nous, dans notre lit, avant le retour des enfants, nous avons fait l’amour. Ma petite femme était déchaînée et j’en ai profité pour la visiter par la petite porte. Celle que rarement elle m’a permis de forcer. Sans doute a-t-elle alors pensé qu’elle avait des choses à se faire pardonner.Après, après seulement, nous avons parlé de ce qui s’était passé sur la plage déserte. J’ai dit à ma petite femme que pour moi cela avait été un acte d’amour. L’homme, m’a-t-elle dit, l’avait fait jouir si fort.Longtemps après, par la suite, il a été avec nous quand nous faisions l’amour. Quand Jo pâmée sous moi arquait son petit corps, parfois j’ai cru l’entendre prononcer « Oh, Gédéon, ouiiii… ouii… encore mon chéri ! »

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La p u te et son Don JuanElle baissa la tête dès mon premier regard. Un autre que moi eut pris cela pour de la déférence ou de la timidité. Or mon instinct me soufflât que c’était une vicieuse, une dévergondée qui m’infligeait ici sa comédie. J’adore le jeu du chat et de la souris. Cette femme entre deux âges semblait user de son charme sans vergogne. Brune aux traits réguliers arborant des fois le chignon malgré qu’elle eût la chevelure abondante et somptueuse, elle n’en dégageait pas moins un sentiment de sensualité voire de vice. Sa mise sobre et élégante n’en étant pas moins provocante à certains égards.Du moins perçus-je cela les jours suivants et après qu’elle sut que j’étais son mentor et dans quel cadre elle allait sévir. Pour travailler elle arborait des lunettes qui conféraient une fausse dignité et la rendaient en même temps si fascinante. Tout en son attitude soufflait alternativement le chaud et le froid. Elle vous obligeait à vous enfoncer plus avant dans ce mystère. Je voyais les autres hommes intrigués par ce personnage. Quant aux femmes cela se disputait entre la colère ou la répulsion. J’avais recueilli une sorte de monstre dans mon bureau. Un tel péril m’excitait.Je sus dès le premier jour que cela finirait mal. J’étais à une époque à un an de la retraite où j’avais des envies d’Apocalypse et de brûler définitivement tous mes vaisseaux. Ma dernière et jeune maîtresse d’alors s’était moquée de moi et m’avaient humilié devant le monde. J’en étais au point de ne plus pouvoir haïr toutes les femmes, revenu de tout à leur égard. J’aspirais à autre et quelque chose de vague. Je perçus que le destin m’avait envoyé cette créature tel un signal, la marque de la fin d’une époque. J’y laisserais ma peau et des lambeaux de cœur. Ce serait le tour final.Il lui avait été ménagé un petit bureau à côté du mien. Il était placé de sorte que je la pouvais considérer un peu de côté, elle me tournant quasi le dos. C’était un peu malcommode pour se parler. J’avais choisi à chaque fois pour cela que nous allâmes prendre un café dans l’espace prévu. Nous faisions ensuite quelques pas dans le patio plus loin. Dans ces moments j’avais choisi d’être badin et agréable. Je lui reprochais de trop travailler et d’avoir la mine triste. Je l’encourageais à aller papoter avec ceux de son âge dans les autres bureaux. Elle ne pouvait être vissée à son seul siège.Elle répondait à cela qu’elle comptait énormément sur le succès de ce stage. Que mon avis emporterait tout. Je lui répondis que j’avais une réputation peu sévère et qu’en général je notais bien mes stagiaires. Elle poursuivit en me témoignant qu’elle n’avait guère eu de chance en sa vie et qu’elle avait trop conscience de ses limites. Il est vrai que j’avais remarqué une propension chez elle à trop vite s’irriter et un défaut de concentration dès que les difficultés augmentaient. Je lui accorderais quoiqu’il en soit un satisfecit l’abreuvant en même temps de mes conseils.J’escomptais que ceux-ci pussent la prémunir pour la suite de sa carrière. Je l’enjoignais notamment d’être plus sociable et enjouée à l’égard des autres. On n’obtient rien tout seul. Cultiver autour de soi ennemis et indifférence nous nuit à force. Je la trouvais trop méprisante quand il s’agissait de ses congénères. Ceux-ci le sentaient qui le lui rendaient assez bien. Je ne parvenais à cerner l’origine d’une telle v******e. L’argutie psychanalytique me répugnant, j’aurais voulu qu’elle me raconte davantage de son histoire. Par maints allusions je tachais de lui savoir quelqu’amant ou soupirant.En attendant j’observais qu’elle avait adopté certaines mises et postures à mon égard. J’ai toujours eu une dévotion particulière pour les belles jambes de femme. Je sais ce vice remonter jusqu’à mon enfance. Ma mère recevait souvent une voisine demeurant dans le pavillon d’en bahis firmaları face. Elle s’appelait Anne-Marie, une brune ronde et espagnole. Celle-ci avait la manie de s’asseoir sur une bordure pour papoter avec ma mère. Moi et mes autres frères nous jouions peu loin avec nos petits soldats. Établi au ras du sol mon regard atteignait à l’endroit où elle écartait les cuisses révélant une culotte.J’eus la première révélation et illumination des bas. Les siens étaient couleur-chair. Je trouvais qu’ils conféraient quelque chose de magique à sa peau blanche et par ailleurs magnifique. Elle passait souvent sa main sur ses jambes comme si celle-ci eût put être la mienne et par procuration j’en imaginais la chaude et douce prégnance. Je lui dus dans mes nuits, mes premiers émois sexuels. Quel trouble lorsque ma main fut emplie de la substance tout droite émanée de mon sexe. Je m’étais trop fort représenté ses cuisses, ses jambes. Par la suite je poursuivis ce culte jusqu’à ses pieds.Ceux-ci notamment l’été, étaient enchâssés de sabots qui était de mode alors. J’en vénérais le claquement sur la dalle lorsqu’elle s’annonçait à l’entrée du jardin. Je m’arrangeais toujours pour être en face de ce spectacle. Il n’est pas inconcevable qu’elle ne perçut l’intérêt pour elle de ce petit garçon, aîné des trois autres. Je veux même croire que cela demeura pour elle comme inconscient, un jeu innocent à l’adresse d’un potentiel et futur mâle. Cela n’engageait à rien. Réelle garce cet allumage aurait mené autrement à conséquence avec un mâle adulte. Elle s’essayait un peu sur moi.Ma stagiaire après avoir arboré des bas noirs se présenta un matin à ses jambes avec des en couleur-chair qui renvoyaient justement à ce lointain et mythique passé. On eût dit que la voisine d’outre-tombe lui avait soufflé le secret. Elle savait le défaut de ma cuirasse et où m’atteindre immanquablement. Outre ces bas fastueux, elle avait choisi ce jour-là une robe noire moulant ses formes et en même temps courte au point qu’on lui voyait poindre impunément lorsqu’elle était assise à la naissance du bas, une chair blanche et succulente. Une boule se nouait dans ma gorge.Il m’était loisible de savourer en toute discrétion ce spectacle. Elle devait percevoir sûrement mes regards vicieux car bientôt elle ajoutât à cela le jeu coquin et puéril que je sus plus tard nommé : dangling. En effet et imperceptiblement elle extrayait son pied de l’escarpin pour balancer celui-ci à son bout. Le jeu finissait des fois que ledit escarpin put choir seul abandonné sur la moquette. Alors le pied orphelin et dont j’admirais le vernis des ongles au travers du bas, s’ébattait en vain dans le vide. Plus d’une fois fus-je tenté de remettre au pied de cette Cendrillon ce noir et bel escarpin.Elle adopta définitivement cette mise et cette posture. Un jour elle se retourna brutalement comme pour surprendre un de mes regards pervers . Elle ne fut guère déçue. S’il y avait eu un miroir à ce moment-là sans doute eus-je été effrayé de découvrir moi-même mon œil torve et libidineux. Il n’y avait pas de doute qu’elle ne me rangea dans la catégorie ignoble des vieux vicelards. Elle semblait être familière d’une telle engeance. Elle jouait sur du velours avec moi. Elle avait mis un temps court et relatif à diagnostiquer mes vices. Elle déroulait. La partition était écrite. Je succomberais.Une de mes grandes amies et collègues sembla surprendre un jour ce jeu fatal entre nous. Elle tint à me mettre sur mes gardes. Elle dit sans fard : « Garde-toi de cette salope. Elle veut te croquer. Tu n’obtiendras que ce que tu mérites. » Ces rudes propos ne gagnèrent qu’à confirmer la folie où j’étais, envasé depuis longtemps. Mes nuits étaient empêtrées de rêves où je la possédais. Un matin elle crut devoir porter l’estocade. Comme en de rares occasions elle était kaçak iddaa assise en face de moi. Elle avait les cuisses croisées. Je tentais à ne pas les observer assidûment. Quelle délicieuse torture.De façon imperceptible et sans vraiment les décroiser, elle laissa émerger entre et en le singulier triangle des Bermudes, la couleur puis la texture d’une culotte, spectacle qu’elle ne m’avait jamais prodigué. Celle-ci était mauve émaillée de petits motifs et à ma surprise relativement transparente. En effet j’y pouvais distinguer le relief de sa moule qu’elle avait épilé laissant de loin en loin voir de rares poils pubiens. Elle demeura ainsi dix minutes afin que je pus examiner à loisir. Vous devinez l’héroïsme dont je dus faire preuve pour conserver tout mon sang-froid.Elle avait ce jour-là un sourire ironique. Ses yeux semblablement parlaient. J’eus pu en tirer ce message : « Mon vieux cochon délecte-toi ! Celte chatte si tu veux pourra être à toi. » Nous en étions arrivés en effet au terme de notre voyage. Que pouvions-nous faire d’autre que de consommer ? Dès que le vin est tiré, il faut le boire. Je me souviens du ton peu amène dont j’usais pour clore cet entretien : « J’aimerais que nous dînions un soir pour la fin de ce stage. » Elle feint l’humilité répondant : « Je ne vous oblige à rien mais cela me ferait en effet bien plaisir. »Je ne pouvais plus reculer. Je me promettais de l’emmener chez moi pour la sauter. J’avais fait cela maintes fois avec de jeunes collègues dont quelques stagiaires. Elle subirait le même sort. Rien d’insolite ni de barbare là-dedans. La routine quoi ! Je voulais mettre un terme à ce qui me paraissait de plus en plus une torture, une souffrance. Cette salope me mangeait le cerveau. Funeste vampire il fallait m’en débarrasser pour de bon. Il fallait que je lui donne ce qu’elle voulait et basta. Il en allait de ma raison et de ma quiétude. Ce jeu dangereux n’avait que trop duré.Ce dîner fut une descente aux enfers. Je l’avais moi-même organisé. On eût dit un suicide à la Petrone. J’y jouais mon va-tout. J’étais furieux sachant le sort qui nous attendait tous deux. Elle méprisait sûrement ce vieux cochon qui allait lui infliger un je ne sais quoi. J’avais joué souvent cette mauvaise pièce. J’avais abusé sans vergogne de mes pauvres victimes. Peut-être le destin l’avait ce soir-là dépêché pour venger toutes ces autres. On allait faire payer ce piteux Casanova, ce pathétique et vieux Don Juan. Il avait par trop écumé la scène. Il fallait l’en jeter définitivement.J’étais familier du restaurant. Le serveur ami et complice crut devoir me louer de ma dernière conquête. Peut-être escomptait-il que par un heureux hasard je puis une fois de plus lui faire partager les faveurs de la belle. En effet je ne dédaignais pas d’aller des fois chez lui fort tard pour user et abuser d’une garce. Certaines s’y prêtant volontiers. Ma nouvelle stagiaire sembla lui être à son goût. Elle aussi à mon grand dam ne se priva de l’allumer. Je pus ce soir-là éprouver son toute impudicité. Chaque mâle semblant lui être occasion de tractation ou de débauche. Elle irait loin.D’emblée j’écartais l’hypothèse que nous finîmes en trio dans un lit. Je ne voulais pas qu’il eût cette nuit-là un témoin de mon ultime Bérézina. Si ces deux-là voulaient s’envoyer en l’air ce serait plus tard et sans moi. Je fus maussade tout le long du dîner. J’invoquais une migraine et des soucis familiaux. Elle crut devoir à contrario paraître plus enjouée et coquine que d’habitude. Elle me dit qu’il lui tardait de voir finir ce stage et aborder à son premier emploi. Je l’avais de toute façon assuré du succès de ce stage. Ce dîner était pour tous deux une façon de bien célébrer.Elle portait ce soir-là une robe noire courte fort échancrée en son haut. Elle voulait sûrement que je goûtas le haut de ses seins kaçak bahis non moins que celui des cuisses. Elle était outrageusement maquillée ce soir-là. Cela faisait assez pute. Je pris cela plutôt mal. Je ne comprenais pas qu’elle recourut à ce pareil excès d’autant qu’elle savait que je n’en avais besoin pour avoir envie de la baiser. J’en conclus qu’elle voulait en même temps exciter d’autres mâles. Bref je dus paraître cette fois-là trimbaler une pute que j’allais consommer plus tard. Faisait-elle cela pour m’humilier exprès ?Comme pour me dérider et prenant prétexte que le champagne lui montait à la tête, elle me fit un moment du pied sous la table. L’œil brillant elle tint à se justifier : « Monsieur, je ne vous l’ai jamais dit mais vous m’impressionnez. Je suis sorti avec peu d’hommes. Ceux-ci avaient souvent votre âge et votre respectabilité. Cela me rassure. Je hais tant les autres hommes.» Je fus peu dupe de ce numéro. Par contre je croyais qu’elle allumait volontiers de vieux zozos comme moi. Je devais être le énième sur sa longue liste. Don Juan ce soir-là prit un grand coup de vieux.Las, je la laissais faire. Elle n’avait cure qu’on nous vit. Même cela l’excitait de me branler avec son pied sous la table. Finalement l’alcool eut raison de moi. Je jouais le jeu et bandais bientôt. Je me représentais que tout à l’heure je la prendrais et lui défoncerais le cul. Elle me devait à tout le moins cela. Je m’imaginais qu’elle avait fait la putain ainsi avec bien d’autres idiots. Aussi ne fus-je guère étonné dans la voiture qu’elle se pencha sur moi pour me déboutonner et extirper ma bite. Elle branlait bien et suçait avec non moins d’éclat. J’étais épaté de son zèle.Une prostituée y aurait mis moins d’ardeur. Je découvrais qu’elle adorait la bite. Nulle contrainte en son action. Décidément j’aurais voulu savoir de sa vie et de son passé. Qui l’avait initié à une telle dépravation ? Je subodorais que cela avait été effectué dès le départ dans sa famille. Notamment de la part de quelque vieil oncle débauché. Avec rage je tins à disposer de sa personne et de son corps. Avec deux doigts je furetais déjà l’anus tandis qu’elle me bouffait la queue. Mon intuition était vérifiée que la place souvent avait été prise. Je pourrais l’enculer aisément et sans répit.Elle ne fit point de manière lorsque je lui dévorais la bouche avec la mienne. Des femmes dont certaines garces répugnent à cela. Elles ont certaines pudeurs. Cela a le don de m’agacer. Pour moi il n’est pas d’autre façon de signer sa totale capitulation. Il me faut pouvoir mélanger nos langues. C’est le sûre signal que l’autre se donne sans reste. Ma salope de ce soir y consentit sans peine. Même elle me laissa accroire qu’elle adorait ma bouche. Sa langue s’entoura autour de la mienne tel un anaconda. Je crus étouffer. J’avais hâte de me retrouver avec elle dans le pieu.Ce fut une nuit des plus torrides. Si elle avait voulu se débarrasser d’un vieillard, elle ne s’y serait pas pris autrement. Heureusement avais-je le cœur bien accroché. Elle ne pouvait savoir que deux fois par semaine j’alignais des longueurs en ma piscine municipale. De même avais-je encore la bite vigoureuse n’ayant point recours à des produits miraculeux. Je soutins l’effort. Elle fut enculée maintes fois et besognée dedans longtemps. Elle encaissa cela stoïquement et dirais-je presqu’avec flegme. Je devais être le énième qui lui traversait le cul. Elle me laissa y prendre mon plaisir.Nous dormîmes peu. La fatigue au matin me rattrapa voire une certaine amertume. La bête m’avait vaincu. Ce dragon femelle semblait inentamé. Je contemplais son corps en ombre chinoise sous la douche. Elle chantonnait. Elle avait expédié cette soirée, cette nuit telle une professionnelle. Elle m’avait relégué loin déjà dans son passé. Elle s’ouvrait à d’autres étapes et devrait nécessairement coucher avec d’autres. Peu d’hommes sauraient lui résister. Elle s’adapterait, se coulerait dans les vices de chacun. Elle m’embrassa sur la bouche. Je ne la vis que peu de jours. Elle disparut.;

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Je vais à L’Euromen’s ClubAprès cette découverte excitante je suis bien sûr revenu fréquemment à l’Euroman’s club.Quand j’approche à pieds de la rue Saint-Marc mon rythme cardiaque s’accélère. Je regarde les passants, est ce qu’ils devinent que je vais au sauna me branler et sucer des bittes ? Est ce qu’ils en sortent après s’etre bien fait enculer ?..je tourne dans le passage des Panoramas, personne ne fait attention à moi, ça y est, je prends le renfoncement ou se trouve la porte, je sonne, le buzz de l’ouvreporte résonne, je suis dans les lieux… le préposé souriant me donne la clé du vestiaire où je trouve la serviette indispensable, mes vêtements et les lunettes sont rangés, allons y…Je descends l’escalier pour aller prendre une douche à côté du hammam. Il m’est arrivé d’etre entrepris dés ce moment. Un type qui avait curieusement gardé ses lunettes m’a pris la queue et s’est mis à me branler avec vigueur. Je l’ai laissé faire un moment en l’encourageant avec des mouvements convulsifs du bassin et des gémissements. J’adore faire la salope. Après je l’ai retrouvé dans la backroom et je l’ai pompé avec un ou deux autres. À un moment donné je l’ai vu s’ecarter pour mettre une capote. Il avait peut être l’intention de m’enculer mais je n’etais pas prêt. Généralement après la douche je vais au hammam. Je laisse ma serviette dehors pour qu’elle ne soit pas trempée et je m’assieds entièrement nu sur un des bancs le long du mur. Il n’y a pas toujours de l’action. Une fois il y avait un type qui se faisait sodomiser et à côté plusieurs autres se branlaient en regardant. L’un d’eux s’est mis debout et m’a présenté sa queue que j’ai branlée puis pompée. Il était très excité et m’a ejaculé sur le visage, les lèvres, le nez, les yeux.. j’etais aux anges. Je voulais me balader dans le sauna le visage recouvert de sperme mais malheureusement il n’y en avait pas beaucoup et ce n’etait pas très visible. Une autre fois un type restait debout dans le hammam qu’il parcourrait de long en large. Il s’etait mis un lien autour de la bite et des couilles si bien qu’il présentait fièrement un belle érection. Quand mon voisin a entrepris de me branler le promeneur m’a offert sa bite pour que je la pompe. Il m’a écarté les mains quand j’ai voulu lui prendre les couilles, il voulait me baiser la bouche à grand coup de reins…je l’ai laissé faire trop content de faire ma salope. Au bout de quelques temps il est parti après m’avoir embrassé sur la bouche.Après le hammam je passe habituellement à la backroom qui est sur le même étage. À la porte je mets ma serviette autour du cou pour laisser l’accès libre à ma bitte et mon cul. Il y a toujours quatre ou cinq personnes qui se frottent, se branlent et parfois beaucoup plus. J’aime m’asseoir sur un des bancs qui bordent la pièce pour sucer une des personnes présentes. Dès que tu commences avec l’un il y en a toujours d’autres qui viennent te présenter leur queue et tu te retrouves à pomper, lécher, branler deux ou trois queues. Naturellement je me fais aussi régulièrement sucer. Une fois après m’avoir pompé à peine deux minutes mon partenaire, me voyant bien raide m’a proposé de le prend”re. Je n’avais pas plutôt répondu qu’il m’avait équipé d’une capote et qu’il s’était retourné en m’offrant son cul dans lequel j’ai pénétré sans aucune difficulté. Je l’ai limé un bon moment avant de débander. Il était content, moi aussi.En sortant de la backroom je descends à l’étage inférieur ou il y a le jacuzzi, la piscine, le cinéma, un sauna et des cabines de « relaxation »..Habituellement j’aime me tremper dans la piscine, assez froide mais c’est agréable de nager nu, puis dans le jacuzzi s’il y a de la güvenilir canlı bahis siteleri place.Dans le jacuzzi c’est généralement assez calme car le règlement de l’établissement interdit les activités sexuelles à cet endroit. On se demande bien pourquoi. Toutefois il m’est qu’en même arrivé des aventures. Une fois un type assez âgé c’est collé contre moi et m’a tripoté la bitte de manière curieuse, il ne branlait pas, non, il serrait, relâchait, tirait.. je l’ai laissé faire, ça n’était pas désagréable et puis ça m’excitait de m’exhiber en plein action. Après je l’ai retrouvé dans la salle de ciné où il a tout de suite voulu que je l’encule à genoux sur les gradins devant dix ou douze personnes. J’ai adoré. Bien sûr avant cela il m’avait rapidement pompé et équipé d’une capote. La encore ça rentrait comme dans du beurre.Une autre fois en face de moi dans le jacuzzi il y avait un type assez jeune qui se faisait tripoter par ses deux voisins. Il était très chaud et agité, il leur roulait des pelles, se soulevait pour exhiber son sexe hors de l’eau, se triturait les tétons… c’etait hyper excitant. À un moment donné ses camardes de jeu ont quitté le jacuzzi et lui est venu me présenter sa pine raide pour que la suce ce que je me suis empressé de faire avec plaisir. J’avais la tête appuyée sur le rebord du bassin et lui debout au dessus de moi m’enfonçait son sexe dans la gorge, tout au fond, bien profond..Ça n’a pas duré longtemps car la personne qui balayait juste à cet endroit (l’établissement est connu pour sa propreté) a crié que s’etait interdit…j’ai revu mon baiseur un peu plus tard, il était en train de faire enculer dans la petite salle au-dessus du sauna,à quatre pattes tout en suçant une bite qu’un autre lui présentait. Un bon souvenir.Après le jacuzzi et le ciné je passe quelques minutes au sauna. Comme il y fait très chaud l’activité sexuelle y est réduite. Un peu de branlette, caresses, pompes mais rapide. De là je gagne le dédale des cabines. Au bout du premier couloir à droite il y a une grande pièce avec un lit 3 ou 4 places et une glace couvrant tout le mur du fond. Elle n’est pas toujours ouverte. Là j’ai vu un type qui s’etait fait attacher les mains et les pieds, il était à 4 pattes sur le lit et se faisait goder le cul par un autre. Il avait une petite mallette avec du matériel : menottes, gel, un martinet…c’etait assez excitant. Je lui ai présenté ma queue qu’il a pompé avec application. Après il s’est branlé devant les spectateurs qui s’étaient attroupés et il a joui dans sa serviette. Un peu plus loin, dans une cabine sombre j’ai aperçu un jeune accroupi sur la couchette, les fesses offertes pour la saillie. Je suis entré en laissant la porte ouverte et je lui ai caressé le cul et les couilles qui pendaient entre ses cuisses. Je lui ai demandé de se mettre en 69. J’adore cette position et mon rêve c’est de le faire dans la salle de ciné devant tout le monde. Aussitôt il m’a équipé d’une capote et je me suis couché sous lui, la tête entre ses jambes, sa bite dans ma bouche pendant qu’il me rendait la pareille. Comme la porte était ouverte plusieurs curieux se sont attroupés pour jouir du spectacle et l’un d’entre eux est entré pour participer. Pour ne pas qu’il se sente rejeté je l’ai encouragé en le branlant et en lui tâtant les couilles tout en continuant de pomper mon compagnon avec application. Ou bout d’un moment j’ai demandé à sortir de ma position et le premier occupant s’est remis à 4 pattes sur la couchette pour que je l’encule. Je l’ai limé bien profondément pendant de longues minutes en essayant de varier le rythme et les mouvements. C’etait très bon et excitant güvenilir illegal bahis siteleri de faire cela devant des spectateurs qui se branlait..finalement je suis sorti de la cabine, fier de moi, la queue raide en fendant la foule et en leur disant « à vous ». Je ne sais pas si d’autres sont venus defoncer mon partenaire. Je regrette de ne pas être resté pour regarder, rétrospectivement ça m’excite d’y penser.Parfois, quand j’ai pas joui avant, je m’étends dans une cabine sur ma serviette et je m’enduits la bitte de lubrifiant pour me branler plus agréablement. Il y a toujours quelqu’un qui entre pour participer.Récemment alors que j’étais juste à la porte d’une cabine, un bel homme que j’avais déjà repéré (cheveux très blanc, la serviette pliée en deux pour tout juste couvrir les fesses, il se reconnaîtra s’il me lit) m’a gentiment poussé à l’intérieur, fait coucher sur la banquette et présenté sa belle bitte raide à sucer. Je l’ai fait avec plaisir et application. Son sexe était de belle taille, pas circoncis et bien raide. Je l’ai tété goulûment, j’ai léché ses couilles, fait courir ma langue tout le long de sa queue, caressé son méat avec le bout de ma langue puis je l’ai avalé jusqu’au fond de ma gorge avant de le pomper comme un furieux. Le tout accompagné de gémissements, râles de plaisir et bruits de salive et déglutissement. J’étais vraiment excité. Après il m’a relevé les jambes jusqu’à ses épaules et a présenté son chibre à l’entrée de mon cul. Il n’avait plus qu’à pousser pour que ça rentre…mais je me suis dégonflé. La dernière fois que je me suis fait enculer j’étais tout jeune et j’en garde un souvenir douloureux. J’ai sans doute tort quand je lit toutes ces histoires et je regarde toutes ces vidéos ou des gars de tout âge se font défoncer le cul avec grand plaisir. Je lui ai dit d’arrêter.. je le regrette maintenant…la prochaine fois.. heureusement ça ne l’a pas rebuté et il m’a branlé et sucé jusqu’à la jouissance. Avant de le quitter il m’a embrassé mais curieusement il n’a pas mit la langue alors moi je l’ai fait, lui roulant une bonne pelle bien baveuse.. c’etait excitant.La semaine dernière au cours d’une nouvelle visite j’ai découvert le fist. Une première fois un type m’a gentiment interpellé à l’entrée d’une cabine et par curiosité je l’ai suivi à l’intérieur. Presque tout de suite il m’a demandé de l’enculer puis il m’a donné un gant en latex que j’ai mis. Je n’ai eu aucune difficulté à lui introduire deux puis quatre doigt dans le cul avant d’y faire passer aussi le pouce. J’avais la main prise jusqu’au poignet. Il m’a fait signe de fermer le poing et il a entrepris des mouvements de va et vient pendant que je restais immobile tout en me branlant avec la main gauche. Ça a duré un bon moment jusqu’à ce que j’arrête en le remerciant. Un peu plus tard dans la cabine avec un lit immense et un miroir couvrant tout le mur du fond un autre homme m’a attiré et m’a demandé d’abord de lui triturer les tétons qu’il avait très proéminents. Puis il s’est mis en position de saillie et je n’ai eu aucun mal à le pénétrer. Là encore il a sorti un gant que j’ai enfilé. Avant de commencer le fist il m’a fait respirer un poper mais je dois dire que je n’ai pas ressenti de grands effets. Tout de suite après je lui ai défoncé le cul avec le poing serré en faisant des petits mouvements de va et vient pendant qu’il snifait son poper. Tout en gardant le poing dans son cul j’ai réussi à y rentrer aussi ma bite que je pouvais presque branler à l’intérieur de sa chatte. C’etait vraiment obscène et donc excitant. Après cette séance qui a durée un bon moment nous avons discuté de manière sympathique, güvenilir bahis şirketleri il m’a expliqué qu’il était marié à un homme beaucoup plus vieux que lui qui ne le baisait plus et qu’il avait besoin de venir ici pour assouvir ses envies. Ce jour là avant de partir j’en me suis fais sucé à fond dans une cabine par un homme un peu âgé qui trouvait qu’il n’y avait pas beaucoup de monde. Je lui ai lâché tout mon foutre dans la bouche devant quelques spectateurs postés à la porte que j’avais laissé ouverte. De passage à Paris je suis naturellement retourné à l’Euromen’s Club. Je ne peux pas m’en empêcher. J’y ai passé plus de deux heures et j’ai reconnu quelques habitués : le vieil homme tout courbé qui se branlote tristement devant la porte d’une cabine au premier sous-sol, mon beau compagnon aux cheveux blancs et à la serviette minimaliste, mon amateur de fist marié.. Comme d’habitude j’ai commencé par le hammam, pas d’activité…une petite branlette dans la backroom, trituration des têtons, des bourses… descente au jacuzzi où il ne se passe rien, idem à la salle de ciné et au sauna où je reste les quinze minutes réglementaires. Visite des cabines : rien de particulier.. Fatigué je m’étends dans une cabine sombre, en laissant bien sur la porte ouverte et je me branle après m’être enduit le sexe de lub. C’est agréable, ça glisse bien.. Rapidement je reçois des visites d’abord quelques attouchements, puis une branlette plus sérieuse. Bientôt j’entends la porte qui se ferme et je découvre un nouvel amateur qui me branle agréablement puis me présente sa queue à pomper ce que je fais avec plaisir. Elle est assez épaisse mais pas trop longue et je peux faire un gorge profonde …Il me baise la bouche presqu’à m’étouffer. Cela ne lui suffit pas, il entreprend de m’enculer. Il me lubrifie le trou et me doigte puis relève mes jambes sur ses épaules et appui sa queue sur mon trou. Cette fois je me laisse faire. Ça n’est pas très douloureux car ça rentre à peine. J’ai le trou très étroit, il faut que je m’entraine. Après quelques essais plus ou moins fructueux mon enculeur s’en va en me remerciant. Il a quand même l’air satisfait. Très rapidement je reçois la visite d’un camarade affublé d’un énorme prince Albert et les couilles et la queue serrées d’un lien de cuir clouté. Il me branle et me pompe pendant que je découvre son sexe ainsi équipé. Au bout de quelques minutes il me propose un gant pour le fister, et m’offre de respirer du popper ce que j’accepte volontiers. La porte ouverte devant les spectateurs je lui défonce le cul pendant qu’il roucoule et gémit de plaisir. C’est d’autant plus excitant que pendant toute cette séance des cris de plaisir nous parviennent de la cabine d’à’côté ou quelqu’un doit se faire sévèrement défoncer…Satisfait de moi je m’apprete à partir mais avant cela je fais un dernier tour à la backroom, par acquis de conscience…une ombre me frotte et commence à me branler et à me tripoter les couilles. Je marque mon approbation par un chaloupement que je veux sensuel des hanches. Il se retourne et me présente ses fesses, je fais coulisser ma bite dans sa raie. Il aime et me propose de le baiser plus à fond. Il m’equipe d’une capote et se casse en deux pour que je puisse le pénétrer bien à fond. Je le prends par les hanches et je lime en haletant de plaisir. Les spectateurs se regroupent autour de nous en se branlant, quelqu’un me malaxe les couilles, un autre me doigte le trou du cul, un troisième martyrise les tétons de mon enculé et tente de se faire pomper…je décharge mon foutre (dans la capote) enfoncé jusqu’a la garde dans le trou de mon compagnon Encore une très bonne après-midi.Voila un résumé d’une dizaine de visites au sauna. J’y retournerai très bientôt et j’aimerais que vous me racontiez vos aventures. Est ce que quelqu’un fréquente l’Atlantide Sauna qui se présente comme un sauna mixte avec des femmes et des travestis ? Ça me tente mais j’ai des doutes… mais demain j’y vais

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A chance at a new sex life; Part 11My eyes are still wide.‘Does mom really know?’ I say to myself.I get up and run through to Stacey’s room who is just out of the shower. “Robbie what the hell??” She shouts at me and tries to cover herself up.“Oh please, I’ve seen it all. We have more important things to worry about!”“Like what?” She says turning away from me, drying her legs. Great view of her ass. “Mom knows!” I try to refocus.“Knows what?” She finishes drying off.“About us!”Stacey freezes and stays silent. “How?”“Recently mom has been coming into my room with my breakfast and medication. This morning she didn’t, she just knocked and then left. Don’t you think she would have tried the same with you?”“Has she said anything else?” She turns to face me, partially covering herself with the towel. “No, you heard everything she said to me! What are we going to do?”She stays quiet for a few moments. “We have to stop!” She said quietly.“No please no, come on you know how good it feels!” I move over to her and hold her arms in my hands.“It does but what about mom?” a worried look plastered over her face.“When you get back home, we will think of something?” I offer.“Ok” she shyly answers. “I’ll go now but don’t worry too much.” I kiss her tenderly on the lips, then leave her room and go back to my own. I spend the rest of the day sulking around the house and thinking what to do about Stacey and I. It’s not till late afternoon when I’m playing on my computer, with a large grin I can’t wait till when Stacey gets home now. I kill the rest of the day playing various video games until I hear someone come into the house. A few minutes later, Stacey is in my room. “I’ve been thinking all day and think I have an idea” Stacey says sitting down on my bed.“Me too!” I say.“What’s yours?” Stacey says to me, patting the bed next to her for me to go sit. “Ladies first!” I grin as I sit next to her. “Ok so we can’t fool around anymore, before you complain!” She holds up her hand as I start to protest. “We Just can’t fool around in the house when mom is home. We can when she’s out but we are just going to have to get creative.”“Creative?” “Yeah like we don’t just have to have sex in the house. The world is our oyster!” Her smile has a wicked grin to it. It’s a really good idea, little dangerous doing it in other places but I know it will add to the thrill. Damn she’s smart.“Amazing idea Stacey!” I can’t help but beam a little.“Thanks, I am the smart one! What’s your idea?”My smile fades, I thought it was a great idea but feels kind of lame now.“It’s ok, your idea is way better!”“Oh, come on!” She puts a reassuring hand on my thigh. “Tell me!”“It’s kind of lame and I’m… I don’t know!” My head hangs a little.“Aww Robbie come on; you can tell me anything?”“Anything?” I look up into her eyes.She simply nods.“You won’t be mad or leave?”“Robbie what is it?”“Promise?”“Promise!”“I know about your web cam shows!”Now it’s Stacey’s smiles turn to fade; her hand canlı bahis remains on my leg but tightens slightly as her body tenses up. “You know?” She says in an almost stunned silence.“I’ve watched” I’ve confessed.Her hand slips away from my leg and I quickly grab it in mine; “You promised. I’m sorry!”She remains silent;“I’ve watched a few times” I continue. “I’m not going to lie it was hot as fuck and I couldn’t help but watch you as you played with yourself. I’m not judging you, there’s nothing wrong with it. I was gutted when you said you couldn’t do it anymore!”She remains silent a little longer; “Stacey! Talk to me?”Stacey slowly turns her head and looks me in the eye;“You perv!!”I wry smile fills her face;“You dirty little perv!” I’m at total ease now as her smile beams wide and her tone.“I’m not the one stripping off and pleasuring myself on a webcam for money!”She pulls her hand from mine and holds it to her lips in fake offence. “And I fucking love it!” I grin.“And I love fucking you!” She then pounces on me and throws me back onto the bed and she quickly straddle me. Her lips are soon on mine as we lock in a passionate embrace. Our lips are smacking loudly and our tongues are furiously dancing around each other. It doesn’t take long for my dick to grow hard and Stacey to feel it. “Mmmm it feels so good pressed against me.” Her hips grinding down into me. “But Mom will be home soon and I don’t want to raise any more suspicions.”With a deep tender kiss, Stacey climbs off. “You stay here and I’ll be down stairs when mom gets home!”“That’s not fair!” I complain.“Life’s not fair” she winks to me as she begins to leave my room. As she gets to my door, she turns back to me; “so what was your idea exactly?”“Um well basically you go back to doing your web cams show and I can watch?!” Stacey’s raises an eyebrow at my statement. “Oh, is that so? Well we shall have to see! Do you have a webcam on your laptop?”“On mine? Yeah, I do, why?”“No reason, love you!” She blows me a kiss and skips away.“Why??” I shout after her but gain no response. “Love you too!” I shout loud enough that I know she will hear me. Stacey is right and mom arrives home not long after Stacey left my room. I decide to eat dinner with them both again as not to raise too many suspicions. Dinner is ok and not too awkward. If mom does know, she isn’t letting on. After dinner I decline watching tv with them and head back to my room. I do the usual and spend the rest of the evening playing video games before heading to bed. Friday drags like an absolute bitch. The only positives are that I am seeing Jessica and Melody tomorrow and the fact that it’s Friday so means the weekend. Not like I’ve had to go to college or work. Again, I have dinner with mom and Stacey but this time I spend some time watching tv with them. I lose track of time until Stacey announces that she is going to her bed. She hugs and kisses mom before turning to me. “Night bro” before mouthing ‘web bahis siteleri cam, ten minutes!!’I nod and reply, “night sis, sleep tight!” I wait about ten minutes before I say to mom I’m going to be too. “Night mom” I give her a hug and kiss.“Night honey!” She returns the hug and kiss.I start to walk away but she calls out “Robbie, remember I love you both and you can talk to me about anything?”“Eh thanks mom, we know! Love you!” I quickly slip away and run to my room.“Love you too sweetie!” I hear her call out.Man, she does know, I have to tell Stacey. But it can wait, I smile to myself. I get undressed, grab my laptop and sit up in bed. I log onto the web cam site and search for Stacey. It doesn’t take long as I have favorited her. Her cam is on but she isn’t on the screen. I’m watching and waiting in eager anticipation.Suddenly a little window pops up on my screen;‘New message from sexychick90’It’s Stacey’s user name so I click it and an instant messenger screen pops up. It reads;‘Robbie, this is a private chat room where we can just talk outside of the public one. I’ll be out soon. Getting dressed and waiting for mom to go to bed before we start ;)’I reply for her to take her time and I’m ready when she is. I move the pop-up window to the side so I can still see it and the webcam show. Whilst I’m waiting there are a few messages coming in from random people saying they are glad she is back and can’t wait to see her sexy ass. I just chuckle as I know this show is for me.Minutes later Stacey appears on screen, she has her high school cheerleader outfit on. It’s a bit too small for her now but in all the right places. Her skirt barely covers her ass and her top is showing of an amazing busting cleavage. Instantly the dings start to pour in.I send a private message to Stacey;‘Holy fuck that outfit is so hot. I remember when you used to wear that in high school. You were hot then and even hotter now!’I can visibly see her blush and see her type something, then I get a ding;‘This show is going to be for you! Now sit back and enjoy!’I do just that and watch what unfolds on my screen. Stacey starts off slow just doing some dirty talk and teasing her fans. Ever so slightly pulling her top down not enough to show her nipples or getting onto her knees and flashing her perfect ass. Licking her finger and trailing it along the line of her top whilst biting her lip. I’m rock hard before she’s even removed any clothes. Once she feels she has the crowd ready she starts a slow sexy strip tease. Fuck she really is good at this, I’m ready to burst a nut and she’s barely started.Now naked she lays back on her bed with her legs spread wide. Showing everything. She’s no longer typing or responding to anyone. She’s in her own little world as she pulls out a six-inch pink dildo. As one hand slides down her body to slowly rub her pussy, with the dildo in the other she brings it to her lips. Which I’ve just noticed she has pink lip stick on and bahis şirketleri I watch in fascination as she wraps those pink lips around her pink dildo.She takes her time sucking and licking the fake phallus before bringing it down to her pussy. It slides in so easy and she puts it in as far as she can. Slowly pulling it out and back in several times before she picks up the pace and starts fucking herself with it. Her face is plastered with pleasure as she pumps her little pink friend into her pink hole. I know as soon as I touch myself or even begin to start to jerk off that I’m going to explode. I don’t know what it is, why I am feeling like this. I’ve had hotter and faster sex than just a wank and can last longer. Not sure if it’s the whole voyeur thing of watching my sister and all her build up. Stacey’s hand pumps faster as she grabs a bare tit in her free hand and squeezes. I know she’s close and I’m going to join in when she cums. I grab my throbbing member and start to twist my wrist around the head of my cock. It’s tender and I know just a bit of pressure and pace, I’m going to explode. I watch intently as Stacey pumps the dildo faster and her body starts to tense up. Moments later she lets out a low groan as she spasms a little. I’m right there with her, I increased my pace as I watched her and now, I’m spraying cum everywhere. Most of it is on my hand or stomach thankfully. Relaxing a little and my cock twitching, I look back at the screen. Stacey is still lying there, basking in the aftermath of her orgasm. The dildo still deeply implanted inside her. It takes her a few moments too compose herself but eventually she pulls the dildo out and holds it up to her mouth. Sucking her juices off. The pings are flowing in as all these pervs, myself included, show their appreciation for such a wonderful show. She takes a few minutes pleasuring the dildo before bringing herself back closer to the web cam and saying her goodbyes and thank you. ‘Wow Stacey I barely touched myself before cumming, that was so hot!’ I type privately to her.Her webcam shuts off but moments later she replies in our private chat;‘I was thinking of you the whole time. It was good to get back to doing it Infront of people, it’s such a thrill. Knowing you were watching made it even better!’‘I’ll watch you anytime, might even start tipping you myself ;)’‘Oh no, the only tip you are going to give me is that hard cock. That dildo doesn’t compare!’‘I would come jump you right now!’‘I know you would and I want you too, but we can’t risk it with mom!’‘I know, I know!’Stacey and I stayed up a little longer just chatting away. It’s nice. Nothing really sexual just a good conversation between us. She’s in a much better place now than before. Her college work is doing better, only slight set back with me being in hospital but without Brad, her life is so much better. I must admit I can see it in her as well. Maybe because now she is getting a good fuck, I laugh to myself. So wrong, I laugh more ashamed at myself for saying that. We talk a little more and say our good nights. Again, I wish she was sleeping next to me but maybe one day she will and we won’t have to care. Just be us.

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Just sixty seconds into the elevatorThat afternoon I came back from lunch and walked into the elevator. It was so crowded with other people I had never met. But amongst all these persons, there was the sexy brunette secretary from the tenth floor…She stood in front of me and I could smell her hair. I moved my face closer, smelling her round bare shoulder and neck. I had to bite my tongue to stop from sinking my teeth into her soft skin. I breathed the scent of her hair in deeply and my cock began to press hard against my trousers. Everyone’s eyes were glued to the numbers as we went up floor by floor.Then I slid my hand up over the waist band of her tight skirt and slowly down towards her nice firm round buttocks. She stiffened and gasped; but she quickly muffled it so that no one would notice. My fingers moved down into the groove of her crack and soon I could find the nasty bitch was not wearing even thong. Then I slid one finger into her and she pressed back against me hard so that I was pinned to the wall.I felt her hand touching my bulge and suddenly she grabbed my cock through my trousers with an iron grip. I pushed my thumb steadily into her warm wet crack . . . and then the doors of the elevator canlı bahis opened . . . The elevator quickly emptied out and I yanked my hand out of her body. We had arrived to the tenth floor; her floor…She did not turn her head, but began to walk towards the opening of the elevator. Then I put my hand on her shoulder and stopped her.My other hand reached out to push the bottom for the twentieth floor…Now we were alone in that cabin. After the doors closed, my lips were crushing hers and our tongues furiously slapping each other. Our breath came in short sharp gasps and that sexy bitch grabbed my head with both hands and pulled my mouth harder into hers…I shoved my hands up her blouse, grabbing her tits roughly, squeezing them hard. I spun her around to face the mirror and glanced up at the lights of the floors going by as we headed to the top floor. We only had seconds left before the doors would open again and someone might get on . . . I lifted her tight skirt up to her waist. I looked up to see her eyes in the mirror staring at me intensely, as I put my own saliva in the palm of my hand to lube up the head of my hardened cock.”Fuck me, please… I need it…” She whispered in a half-strangled voice. bahis siteleri “No” I said, looking at her. Then I saw her eyes bulged as I spread her ass cheeks wide open and slid the head of my cock into the very tight opening of her little rosebud.I felt the tight ring of muscle yielding to the slow stroke of my entry.”Yes, please, fuck my ass! I deserve it…” She cried almost in tears.Then I rammed my entire dick all the way past the ring of muscle that guarded the entrance, burying my cock deep inside that sweet tight asshole.She cried in pain; but I did not stop pushing my cock against her butt…I began thrusting my hips so hard that the sounds of my hips striking her ass echoed around the elevator. Her nice anus sucked greedily at my cock, swallowing it to the hilt with every thrust. The slick smooth pressure of her ass gripping my cock pushed me to the brink of coming.I grabbed one of her soft boobs from behind, while my other hand rubbed her swollen and soaking wet clit in vicious circles. She moaned softly.And suddenly the bitch came. She came hard on my cock; I could sense she came really very hard, as she opened her red lips and screamed with pleasure…The second her tight anus started bahis şirketleri pulsing around my cock with the power of her wild orgasm, I took my soaking wet fingers from her clit and shoved two of them between her plump red lips, making her suck on her juices as I pulled her head back to my face.I thrust even harder into her ass, as another orgasm wracked her entire body with a violent shuddering release.My mouth was sucking furiously on her soft neck, my fingers fucking her sweet mouth as she sucked on them. I was lost in the moment… and then I came deeply into her ass…I could feel my warm cum jetting deep inside her; as she began whimpering as I moaned hard into the flesh of her neck, biting and sucking at the same time, lost in the taste of her soft skin…And then the bell rang and the doors opened, as the elevator stopped.The hallway was empty; so we quickly separated, my cock slipping out of her now stretched asshole; with cum sliding out to make a pool on the floor.We began giggling; completely overwhelmed with the lust of what had just happened in the span of barely sixty seconds…We zipped up and arranged ourselves as the elevator headed back down to the tenth floor. As the doors opened again, she moved forward. Once outside she turned her head to me and asked, as she licked her red lips:“You will be in the f******nth floor as usual this early evening…?”I nodded my head, as I felt my cock twitching and getting hard a

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Lauras Nebenberuf – Teil 4Die Geschichte darf ohne meine Erlaubnis nicht auf anderen Seiten gepostet oder verändert werden!Lauras Nebenberuf – Teil 4Laura:Am nächsten Tag sprach ich mit Hanna über Jenny und spätestens als ich vom letzten Nachmittag berichtete wollte sie Jenny unbedingt mal kennen lernen. Noch ehe ich mich versah stand Jenny abends (mal wieder) nackt in unserem Salon und stellte ihren Körper für Hanna zur schau, auch wenn es eigentlich nur dem Fakt geschuldet war, dass Hanna sich ein ganz genaues Bild von diesem Traumkörper machen wollte und wahrscheinlich selbst gerne mit ihr gespielt hätte.Eigentlich war es sofort beschlossene Sache, dass wir Jenny einstellen würden. Zum einen wollten wir uns ohnehin vergrößern, da wir mit den Terminen hinten und vorne nicht mehr zurecht kamen. Außerdem war auch klar, dass ich vorerst nicht mehr wirklich lange massieren könnte, da mein Bauch mit den beiden Zwillingen immer größer wurde. Okay, ein dritter Punkt auf der Liste dürfte auch gewesen sein, dass wir so unseren Kunden eine naturgeile Achtzehnjährige anbieten konnten.So kam es, dass ich Jenny in den nächsten Monaten ausbildete, was durch ihre Vorkenntnisse ohne Probleme zu bewältigen war.Ich zog mich in dem Salon immer weiter zurück, da ich mit meinem immer größer werdenden, kugelrunden Bauch arge Probleme hatte die Kunden zu massieren, ohne mich an ihnen zu reiben. Bei den Spezialkunden mag dies kein Problem sein, aber auch unsere normalen Kunden hatten verdächtig oft riesengroße Zelte aufgespannt, sobald es ans Umdrehen ging.Auch freundschaftlich passten Jenny und ich hervorragend zusammen, was gelegentlich unter der Dusche unseres Spa eskalierte.Irgendwann gestand sie Hanna und mir in der Mittagspause, dass es sie anmachen würde beim Sex gefilmt zu werden und diese Clips im Internet anzubieten. Nur leider würde ihr aktueller Freund dies nicht wollen.Auf meine Frage, warum er sie dann hier mit Fremden vögeln ließ wurde sie arg rot und wechselte das Thema. Nun gut, dass muss jeder mit sich selbst vereinbaren, ob und wie man den Lebenspartner einweiht.Jedenfalls führten dieses Gespräch – und das ich mich selbst gerne filmen lasse – dazu, dass wir im Nu zahlreiche versteckte Kameras in den Massageräumen installierten, wobei uns dabei ein ganz spezieller Kontakt von Hanna und mir half…Die Videos komplett öffentlich anzubieten war uns anfangs dann aber doch zu heikel, weswegen wir uns entschlossen dies als Service-Angebot für unsere Spezialkunden einzurichten, da die ohnehin schon gut zahlten. Aber mit der Zeit gelangten einige der Videos auch ins Netz, was fast schon schockierend gut ankam, weshalb wir uns irgendwann entschlossen den Zugang zu den Videos etwas öffentlicher zu gestalten, wenn auch nicht günstiger.Es sind nun nur noch wenige Wochen bis zur geplanten Geburt unserer Kinder und lächelnd streiche ich über meinen kugelrunden Bauch, in den sich gerade mal wieder Eriks Chef ergossen hat.Inzwischen komme ich wie gesagt nur noch zum Ficken in den Salon, wobei die Kunden meistens darauf bestehen wenigstens mich ein wenig zu massieren, auch wenn viele der Versuchung nicht allzu lange widerstehen können und ich keine viertel Stunde nach Beginn des Termins bereits laut stöhnend meine Freude kund tue.Gerade als ich aus der Dusche raus will kommt eine arg geschundene Jenny in das Badezimmer, weshalb ich doch noch etwas unter dem warmen Wasser bleibe. Scheinbar hatte sie gerade mal wieder eine kleine Gruppensitzung erwischt und diese auch ausgiebig genossen. Bevor ich durch meine fortschreitende Schwangerschaft kürzer treten musste habe ich diese Gruppentermine ebenfalls ausgiebig genossen, aber das ist ja eigentlich keine Neuigkeit mehr.Prüfend lasse ich meine Finger in ihre extrem gierigen Lusthöhlen fahren und stelle so fest, dass sie nur anal besamt worden ist. Dieses kleine, geile Luder.Seit einigen Tagen weiß ich auch das sie die Pille nicht nimmt und sich trotzdem mit Vorliebe von möglichst vielen Kerlen besamen lässt. Auf meine schockierte Frage, ob sie das wirklich riskieren will, meinte sie grinsend, dass sie zwar nicht völlig unfruchtbar ist, aber die Chance leider sehr niedrig sei. Dies würde sie wohl auch regelmäßig mit ihrem Frauenarzt und dem einzigen männlichen Assistenten dort ausprobieren. Aber wer bin ich dies zu beurteilen, ich liebe es doch selbst besamt zu werden.Ohne auch nur zu zögern fängt sie an mich ein wenig zu verwöhnen, was ich sehr genieße. Als ich meine inzwischen noch etwas gewachsenen Brüste zu kneten beginne schießt etwas Milch aus meinen Nippeln und trifft Jennys Gesicht. Noch ehe ich mich versehe saugt sie gierig meine beiden Euter leer. Oh verdammt tut das gut.Leider produziere ich schon seit einigen Wochen extrem viel Milch, so dass ich diese entweder abpumpen oder von jemanden heraussaugen lassen muss. Ich komme zwar selbst auch an meine Nippel, aber irgendwie macht es mir mit jemand anderem und auch mit der extra angefertigten Pumpe, welche ähnlich einer Melkmaschine rhythmisch saugt, mehr Spaß.Besonders viel kann ich Jenny zwar in diesem Moment nicht mehr geben, da auch schon Eriks Chef ausgiebig genascht hat und der Tittenfick reichlich feucht wurde. Aber dessen ungeachtet verwöhnt mich Jenny noch einige Minuten, bevor sie mich grinsend mit den Worten „Na komm schon Mutti, dein Mann wartet draußen auf dich. Wenn du ihn noch länger warten lässt hüpfe ich vielleicht noch versehentlich auf ihn drauf. Lust hätte ich ja schon“ mit einem Handtuch sanft trocken reibt.Eigentlich überlege ich schon etwas länger etwas zwischen ihm und Jenny einzufädeln. Bisher haben sich die beiden, beziehungsweise Erik Jenny, allerdings noch nicht gesehen. Aber Spaß würde es mir schon machen zuzusehen wie Jenny von Erik kräftig rangenommen wird.Das Erik vorbei kommt hatte ich nicht geahnt, weshalb ich meinen armen Mann nicht länger warten lassen möchte. Als ich frisch eingekleidet in den Eingangsbereich trete unterhält er sich gerade mit seinem Chef, welcher mich breit angrinst.Ich weiß ehrlich gesagt nicht warum, aber irgendwie ist es mir unangenehm die beiden so zu sehen, wo ich mich doch gerade für einige hundert Euro mal wieder von Eriks Chef prostituiert habe. Auch weiß ich, dass Erik nur zu oft die Kameras des Spas nutzt um mich beim Ficken zu beobachten und trotzdem ist es mir peinlich.Doch Erik ist tiefenentspannt und schiebt mir zur Begrüßung seine Zunge in den Hals, bevor er mich ins wohlverdiente Wochenende entführt und wir ein wenig für die Kinderzimmer shoppen gehen.Abends bekomme ich von Jenny eine Nachricht, dass sie es geil fand wie mein Mann und der letzte Kunde sich getroffen und sich unterhalten haben. Leider sei David, ihr Freund, in dieser Hinsicht recht prüde, zumal er von ihrem Nebenjob noch immer gar nichts wisse. Irgendwie habe ich spontan Lust morgen in die Sauna zu gehen, weshalb ich dies nach kurzer Rücksprache mit Erik so einfädle, dass Jenny und ihr Freund bereits in einer der niedrig-Temperatur Saunen sitzen wenn wir herein kommen. Weiterhin soll sie sich zunächst nicht anmerken lassen das wir uns kennen, bis ich sie mit meinen Blicken ausziehe und wir vor unseren Freunden anfangen miteinander ein wenig rumzumachen.Einerseits hoffe ich das die Sauna leer bleibt damit David nicht direkt einen Schock bekommt wenn seine Freundin in einer vollen Sauna mit Lesbenspielen beginnt. Andererseits wäre das schon ein verdammt geiler Kick.Als wir gerade in die Saunalandschaft kommen und uns gegenseitig kurz abseifen zaubert mein Mistkerl von bahis firmaları Ehemann doch tatsächlich einen fernsteuerbaren Analplug aus seinem Handtuch hervor und drückt ihn mir in meinen Hintern. Dabei hat das Ding so eine Form und Größe, dass die meisten Frauen arge Schwierigkeiten hätten das Ding in sich hinein, aber erst recht aus sich heraus zu bekommen. Und für mich? Ich bin inzwischen so an Analsex gewöhnt, dass ich mich nur kurz entspannen brauche und schon ist das Teil in mir.Scheinbar haben wir Beide unsere eigenen kleinen Pläne für den heutigen Tag entwickelt, was mich recht schnell feucht werden lässt. Na mal sehen was noch so kommen wird.Erik öffnet mir die Tür zu der Sauna und mit einem innerlichen Grinsen muss ich feststellen, dass neben Jenny und ihrem Freund eine große Rentnergruppe die Sauna belegt, und dadurch nur noch zwei Plätze frei sind. Einer direkt an der Tür und ein anderer in der obersten Reihe direkt gegenüber der Tür.Grinsend gebe ich Erik noch einen kurzen Kuss, bevor ich breit grinsend mein Handtuch abnehme und so auf den freien Platz klettere, dass wahrscheinlich jeder zweite anwesende einen Blick auf meine Pussy und den Analplug werfen kann, von dem nur noch der Metallkranz mit dem schönen Bergkristall zu sehen ist.Endlich angekommen lege ich mein Handtuch ab, setze mich hin und lehne mich mit leicht gespreizten Beinen an die Wand, so dass mein runder Bauch und die vollen Brüste mit den geilen Piercings wie auf dem Präsentierteller liegen.Dies hat zur Folge, dass bei jedem, wirklich jedem Anwesenden innerhalb kürzester Zeit die Rute steht. Einige der Rentner schauen betroffen zu Boden, andere erwidern grinsend meinen Blick und wichsen sich ein wenig die Latte. Hätte Jenny nicht das Handtuch noch um sich geschlungen wäre dies wahrscheinlich schon vor meinem Eintreffen der Fall gewesen. Selbst Davids Lümmel streckt sich mir munter entgegen, was ihm von seiner Freundin einen erbosten Blick und einen Schlag einbringt.Zum Glück verlässt die Rentnergruppe die Sauna als geschlossene Mannschaft recht zeitnah – auch wenn wirklich alle noch einmal einen kurzen Blick zwischen meine Schenkel riskieren – so dass nur noch Jenny, unsere beiden Begleiter und ich anwesend sind.Da Erik so tut als ob er schlafen würde legt nun auch Jenny ihr Handtuch ab. Und wieder einmal muss ich ihren wundervollen Körper bewundern. Genau genommen muss ich noch nicht einmal so tun als ob ich ihren Körper bewundere, da ich dies wirklich mache. Und auch Jenny lässt ihre Augen jetzt über meinen Körper schweifen.„Sag mal, sind die echt?“, fragt sie mich plötzlich und wartet meine Antwort gar nicht erst ab, bevor sie zu mir rüber rutscht und anfängt meine Brüste zu kneten.Da wir zusammen schon mehrfach intim waren ist dies natürlich keine große Sache. Unter Freunden wäre diese Direktheit allerdings schon heftig, selbst wenn man sich ohnehin gegenseitig mit den Augen verschlingt. Und bei Fremden wäre dies ein purer Affont.Als Antwort nicke ich nur schüchtern – ich und schüchtern, die die ab und an Fremden einfach in den Schritt fasst und sich dann lustvoll in der Öffentlichkeit ficken lässt… – und gebe ein leises, schüchternes Stöhnen von mir.Ein kurzer Seitenblick zu David zeigt deutlich den Schock über diese Situation, doch gleichzeitig glänzt seine nun deutlich hervorgestreckte Eichel deutlich vom Vorsaft. Ein Dreier mit zwei Frauen ist für ihn also scheinbar im Bereich des Akzeptablen, doch geht auch ein Vierer mit Wifesharing? Nun gebe auch ich meine passive Rolle auf und fange ebenfalls an mit Jennys Titten zu spielen, wobei ich direkt auch noch einen Schritt weiter gehe und ihren Kopf zu mir hoch ziehe und einen wilden Zungenkuss mit ihr beginne. Dabei drehe ich uns so, dass David einen perfekten Ausblick zwischen unsere Schenkel auf unsere feucht glänzenden Muscheln hat.Wie weit ich wohl gehen kann, bis David einschreitet? Nun, genau dies will ich jetzt testen.Langsam lasse ich meine Hände über Jennys Körper streichen, um zeitgleich mit der linken Hand in Jennys inzwischen sehr erfahrene Pussy einzutauchen, während ich zwei Finger meiner rechten Hand ruckartig in ihrem Hintern versenke und ihren Hintereingang deutlich sichtbar dehne. Von Jenny kommt nur ein kurzes „Ohh!“, bevor sie sich wieder meinen Brüsten widmet.Aus Jennys Erzählungen weiß ich, dass sie offiziell noch anale Jungfrau ist mit der Begründung es würde zu sehr schmerzen. Das sie sich inzwischen am liebsten im Doppelpack ficken lässt und auch schon drei geile Schwänze zugleich in ihren beiden unteren Lustkanälen hatte weiß ihr Freund natürlich noch nicht. Ob sie es ihm zeitnah verraten wird?So kann ich mit vor Schelm funkelnden Augen beobachten, wie Davids Mimik in wenigen Augenblicken von Geilheit zu Entsetzen und anschließend zu kompletter Verwirrung wechselt, da Jenny einfach nur erregt vor sich hin stöhnt und mein Fingerspiel genießt.Durch Jennys lautes stöhnen ist nun auch Erik wieder aufgewacht und wichst sich langsam seinen Schwanz. Da er in die andere Richtung neben David sitzt hat dieser nichts mitbekommen und starrt uns ebenfalls mit lüsternem Blick an.Kerle…kaum machen zwei nackte Frauen miteinander rum fließt das ganze Blut in die Körpermitte.Plötzlich merke ich während unseres Kusses, wie der Plug in meinem Hintern anfängt stark zu vibrieren. Der Mistkerl hat also nicht vergessen was er mir da vorhin verpasst hat! Ich wette er wollte mich so ursprünglich anderen Gästen vorführen, da man das vibrieren durchaus hören kann. Wenn ich in diesem Moment dann falsch gesessen hätte, die Holzbank hätte wohl als Lautsprecher fungiert.So kann ich jedoch nichts anderes tun als laut in Jennys Mund hineinzustöhnen und mich ihren Händen hinzugeben, welche nun meine Klit gefunden haben und diese massieren.Durch diese doppelte Stimulation dauert es nicht lange und ich fange an wild zu zucken und meinen eigenen Liebessaft durch die Sauna zu spritzen. Ja, ich squirte inzwischen recht häufig. Auch so eine Sache die ich erst mit Erik kennengelernt habe.Als ich wieder bei Sinnen bin vibriert mein Hintern zwar weiterhin, doch eine Sache hat sich geändert: David kniet nun über uns und drückt Jenny seinen Ständer wild schnaufend tief in den Rachen. Auch das dürfte neu sein, da die beiden bisher laut den Erzählungen immer nur Blümchensex hatten.Da Jenny fast schon auf mir liegt, was durch meinen sehr großen Babybauch aber nicht so recht funktioniert weshalb sie eher seitlich an mich angelehnt ist, habe ich die perfekte Position um David ebenfalls zu bedienen. Kurzentschlossen sauge ich seine Hoden in meinen Mund ein und beginne mit meiner Zunge die beiden prall gefüllten Murmeln zu massieren.Als Antwort erhalte ich nur einen schockierten Blick von ihm und ein lautes Aufstöhnen, bevor er sich mit einem Grunzen in Jennys Mund ergießt.Schub um Schub füllt er den Mund seiner Freundin mit der schönen Sauce, was ich auch an seinen Hoden deutlich spüren kann. Jedes mal wenn ich etwas mehr Unterdruck erzeuge fängt er besonders stark an zu zucken und in diesen Momenten stöhnt auch Jenny gedämpft auf.Als er sich ausgespritzt hat muss David sich zunächst einmal setzen. Allerdings gönnen wir ihm keine Ruhe, denn ohne zu zögern fangen Jenny und ich an mit seinem Sperma zu spielen, wie wir es im Salon in den letzten Wochen schon so oft getan haben.Auch Erik wichst sich nun unverhohlen seine geile Latte und kommt zu uns herüber. Kaum steht er neben mir fängt er auch schon an uns seine Sahne in unsere Gesichter zu spritzen, was sich einfach kaçak iddaa zu geil anfühlt. Ich liebe Sperma einfach!Gerade dieser Gedanke, dass David nun zum ersten mal sieht wie seine Freundin von jemand anderem angespritzt wird, macht mich auch schon wieder ganz wild.Bei Erik mache ich mir keine Gedanken darum, dass er in wenigen Minuten wieder einsatzbereit ist. Doch bei David kann ich nur auf seine Jugend und Geilheit hoffen, da er normalerweise recht schnell fertig sein soll.Doch ein kurzer Blick zeigt mir, dass er trotz seiner abwesenden, glasigen Augen schon wieder eine stolze Latte mit sich herum trägt.Ein kurzer Blick zu Jenny macht mir deutlich, dass auch sie nicht so recht weiß wie sie die nächste Runde einleiten soll, damit David mal eine andere Frau ficken kann.Da kommt mir die rettende Idee und ich knie mich, mein Gesicht voller Sperma und eine gute Portion seines Samens in meinem Mund, auf die Stufe vor ihm und beginne das weiße Gold auf meine Brüste laufen zu lassen. Erst jetzt merke ich, was für einen strahlend weißen Saft er uns da gegeben hat. Und der Kerl soll es nicht hinbekommen seine ungeschützte Freundin anzuknacken!?Grinsend verreibe ich den Saft auf meinen schweren Brüsten, welche schon wieder so stark mit Milch gefüllt sind das es unangenehm spannt.Während ich seine braunen Augen mit meinen gefangen halte beuge ich mich ganz langsam nach vorne und führe seinen Schwanz zwischen meine Brüste.Erst ganz langsam, dann immer schneller werdend bewege ich meine Brüste auf und ab, wobei meine durch die Sauna warm gewordenen Piercings ihn immer wieder kurz berühren und aufzucken lassen.Ganz langsam fange ich an meine Nippel während es Tittenficks zu massieren, was die Milch erst langsam, dann immer schneller aus mir herausspritzen lässt und David total einsaut.Erst als sein Phallus schon wieder vom Vorsaft glänzt höre ich mit der Massage auf und schaue kurz nach Jenny und Erik. Dieser hält die kleine Maus bereits von hinten umklammert und spielt mit ihren Brüsten, während er seinen Luststab zwischen ihren Arschbacken reibt.Kurzentschlossen steige ich auf David auf, so dass seine Latte ebenfalls zwischen meinen Backen liegt, und beuge mich zu seinem Gesicht herab.„Wenn mein Mann deine kleine Freundin ficken und besamen darf kannst du alles mit mir anstellen was du magst“, flüstere ich in erotischem Ton in sein Ohr, was ihn verklärt aufblicken lässt.„Alles?“, fragt er mich mit kratziger Stimme, was mich grinsen lässt. Jetzt habe ich ihn.„Ja alles, solange es nicht meinen Kindern schadet. Du kannst an meinen Brüsten nuckeln wie es dir beliebt, meine süße Pussy und meinen Hintern bedienen und selbst meinen Mund darfst du als Lustkanal missbrauchen. Und du kannst mir deine Ladungen hineinspritzen wo immer du möchtest“Er zögert noch etwa drei Sekunden, bevor er mich vorsichtig anhebt und dann auf seinen stolz gereckten Stab fallen lässt. Das er dabei meinen noch immer rhythmisch vibrierenden Analplug deutlich fühlen muss macht die Sache für mich nur noch geiler. Ich bin halt eine Frau, die auch sehr viel durch das Gedankenspiel angeregt wird.Endlich, endlich habe ich ihn da wo ich hin wollte was mich laut aufstöhnen lässt. Wenige Momente später kniet Jenny auch schon neben ihrem Freund und wird laut schreiend von hinten von Erik penetriert. Sofort beginnen Erik und ich uns in beziehungsweise auf unserem jeweiligen Partner zu bewegen und binnen weniger Momente ist die kleine Sauna vom Stöhnen und Klatschen vierer sich aneinander reibender Körper gefüllt.Endlich findet auch David seinen Mut zurück und beginnt Jenny zu küssen, während er seine Hände über meinen heißen Körper wandern lässt. Irgendwann kommen seine Finger an dem Ende meines Analplugs an, welchen er sanft, aber entschlossen aus mir herauszieht. Dabei dehnt sich mein Hintereingang für einen kurzen Moment ziemlich stark was mir ein entsetzt klingendes Keuchen entlockt.Ehe ich mich versehe schieben sich zwei seiner Finger in meinen Hintern und befingern mein Innerstes und auch Erik kann es nicht lassen seine Hand in Position zu bringen und mir noch zwei weitere Finger einzuführen. Warum fisten mich die Idioten denn nicht gleich!?Von zwei verschiedenen Herren befingert zu werden, während man sanft auf einem Luststab reitet ist aber trotzdem ein unglaubliches Gefühl und binnen weniger Momente komme ich erneut.Diesmal trete ich jedoch nicht völlig weg und nutze die Gelegenheit, mir den Analplug zu schnappen und diesen Jenny hinzuhalten.Erik weiß nicht, dass ich mich vor dem Saunaausflug intensiv gereinigt habe, und auch Jenny und David können dies natürlich nicht wissen. Doch Jenny vertraut mir ausreichend gut, um ohne zu zögern den Analplug abzulecken, bis ich ihr diesen ohne Gnade in den Hintereingang drücke. Dies bringt sie nun dann doch an ihre Grenzen, trotz der letzten Wochen.Unsere beiden Stecher sehen dabei so überrumpelt aus, dass es fast schon amüsant ist. Doch zeitgleich beginnen beide sich auch immer wilder in uns zu bewegen und ich weiß ganz genau, dass diese Runde nicht mehr allzu lange dauern wird. Auch das er sich nun immer fester in meine Brüste verkrallt und die Milch mit starken Strahlen an die Wand über seinem Kopf spritzt ist ein eindeutiger Vorbote für das Finale.Und tatsächlich, als Jenny durch die nun doppelte Stimulation schreiend kommt und fest auf Davids Lippe beißt fangen auch David und Erik an wild zu stöhnen und ergießen sich Schub um Schub in unsere hungrigen Pussys. Gerade David scheint es anzumachen seine Freundin so zu sehen, da er so stark kommt, dass er für einen Moment komplett weg tritt.Solche Orgasmen habe ich bei Männern zwar schon erlebt seit ich Erik kenne und auch schon selbst herbeigeführt, dies war jedoch meist erst nach mehreren Stunden Edging der Fall, in denen ich Erik nicht gewährte zu kommen, bis er schier wahnsinnig wurde.Doch auch bei uns restlichen Dreien zeigte die Anstrengung ihre Wirkung und wir sitzen wenig später ziemlich ermattet nebeneinander auf der obersten Stufe. So dämmern wir alle leicht vor uns hin, ohne zu merken das die Kohlen inzwischen ausgebrannt sind und der Raum nicht mehr besonders warm ist.Es muss schon ein geiler Anblick gewesen sein, wie wir vier so nebeneinander saßen. Die Stangen der Männer noch feucht glänzend und mit Sperma verschmiert, der Samen langsam aus unseren frisch genutzten Pussys laufend und auch aus meinen Brüsten trat noch etwas Milch aus und tropfte auf meinen Bauch.Ob einer der Kerle aus der Rentnergruppe merkt das mein Analplug nun gut sichtbar in Jenny steckt kann ich nicht sagen, aber schlagartig standen alle Lümmel der Rentnergruppe erneut, welche gerade wieder den Raum betritt. Und spätestens jetzt weiß ich: Irgendwer muss gleich her halten, die Rentner werden sich diesmal nicht beherrschen.Seit der Hochphase meiner Schwangerschaft kann ich leider nicht mehr so ausdauernd ficken beziehungsweise mich ficken lassen, weshalb ich mich mit Erik in eine Ecke der Sauna verkrümle und mich so zwischen seine Beine setze, dass er mich bequem von hinten umarmen kann und sein Schwanz an meinem Rücken liegt.So positioniert bin ich nun ziemlich gespannt, was gleich alles passieren wird. Wird Jenny von der Rentnergruppe gefickt werden? Wird David seine Freundin den fremden Kerlen anbieten, nun wo er gelernt hat wie geil Swingen sei kann? Oder wird er alles unternehmen um seine Freundin vor den gierigen Rentnern zu beschützen, welche schon eifrig anfangen sich zu wichsen?Nun, es ist ein Mix aus der ersten und zweiten Möglichkeit, kaçak bahis denn er setzt sich einfach nur neben Erik und mich und spielt ein wenig an meiner linken Brust.Noch ehe wir uns versehen ist der Boden mit einigen Handtüchern gepolstert und Jenny wird sanft aber bestimmt in die Mitte der Sauna gezogen.Einer der Kerle entzündet währenddessen ein paar neue Kohlen in dem Becken der Sauna. Zwar nicht so viele, dass wir uns wieder in einer wirklichen Sauna befinden, aber schon so, dass uns nackten Leibern nicht kalt werden wird. Eine angenehme, wohlige Wärme also.Die Kerle fangen einen kurzen Augenblick an zu diskutieren wer Jenny nun als erster ficken darf, doch als die Leute sehen wie Jenny sich ihre bereits fremdbesamte Pussy fingert und immer mal wieder den Samen von ihren Fingern lutscht ist die Sache schnell geklärt und der erste Rentner besteigt die blonde Schülerin.Auch Erik ist nicht untätig und fängt wieder an meine Brüste sanft zu massieren, nachdem er den Analplug wieder aktiviert hat, welcher nun deutlich vernehmbar in Jenny seine Arbeit verrichtet.Binnen weniger Minuten sind die ersten beiden Kerle über Jenny gerutscht und haben sich tief in ihr ergossen, als aus Jenny, der extrem hübschen Abiturientin, Jenny, die kleine sexbesessene Hostess, wird.Nun wieder zu Kräften gekommen streckt sie ihre Beine in einem weit gespreizten V nach oben weg und öffnet mit ihren Händen ihre Lustpforte, aus der immer mehr Samen quillt.„Kommt ihr alten Säcke, zeigt einer Achtzehnjährigen mal wie geil es ist von Rentnern gefickt zu werden, statt immer nur von bezahlenden Kunden im Nebenjob!“, ruft sie und nur Momente später hat sie einen Schwanz sowohl im Mund und einen in ihrer gierigen Pussy.Autsch, das sitzt. Ein kurzer Blick zeigt mir, dass David nun deutlich schockiert und verletzt ist, was ich nur zu gut nachvollziehen kann. Irgendwie erinnert mich diese Situation an den Abend mit Erin in Finnland, als sie gerade frisch besamt war und uns gestand, dass sie nicht verhütete.Gleichzeitig hat David allerdings wieder eine Mordslatte in seinem Schoß, welche ich ein wenig mit meiner Hand massiere um ihn auf andere Gedanken zu bringen.In den folgenden Minuten können wir genau beobachten wie Jenny in immer neuen Stellungen von den Rentnern durchgenommen wird, welche irgendwann auch den Analplug aus ihr entfernen und sie zu ihrer 3-Loch-Stute machen.Jenny wandert dabei von Orgasmus zu Orgasmus und ruft den Rentnern immer neue Beschimpfungen zu um diese anzustacheln, ohne darüber nachzudenken welchen Einfluss dies auf ihren Freund haben könnte. So muss er auf diese unangenehme und schonungslose Weise erfahren, was sie alles in den letzten Wochen hinter seinem Rücken angestellt hat.David hat zwar weiterhin eine mörderische Latte, schaut aber immer verbitterter drein, weshalb ich anfange mir ernsthafte Sorgen zu machen. Das Letzte was ich will ist maßgeblich daran schuld zu sein eine junge Liebe ruiniert zu haben.Als alle Rentner sich in und auf Jenny ausgespritzt haben und sich Unmengen von Sperma auf und in ihrem Körper befinden und der Saft auch aus allen drei Ficklöchern – genau das sind sie nach diesem wilden Gangbang nur noch – läuft steht David ohne ein Wort auf, zieht Jenny sanft aber bestimmt nach oben und führt sie aus der Sauna raus.Ein kurzer Blick zu Erik zeigt mir, dass auch er nun ernsthaft besorgt ist, weshalb wir den beiden wenige Momente später in Richtung der Duschen folgen, aber nicht ohne uns den teuren Plug zu schnappen.Dort angekommen hören wir schon aus einiger Entfernung ein lautes „Du Schlampe! Warum erzählst du mir nicht, dass du dich für Geld ficken lässt? Hast du es so nötig oder bist du einfach nur ein geldgeiles Miststück?!“, weshalb wir uns nun wirklich beeilen zu den beiden zu kommen.Doch als wir in die Frauendusche stolpern sehen wir, wie David die unter der laufenden Dusche stehende und leicht wehleidig aussehende Jenny wild in ihren Hintern fickt, dass es nur so klatscht, und gleichzeitig seine Hand immer wieder auf ihre ohnehin schon geröteten Arschbacken klatschen lässt.Immerhin ist er noch in der Lage Geilheit zu verspüren und schlägt Jenny nicht grün und blau.Gleichzeitig spüre ich aber auch, wie der Anblick nicht nur mich erregt, da Erik mir seine Latte ebenfalls in meinen Hintern schiebt und mich wild von hinten begattet, während wir Jenny und David beobachten. Das wir gerade in einer öffentlichen Frauendusche stehen und eigentlich noch mehr Betrieb in der Therme ist ist uns irgendwie egal.Als David sich tief in Jennys aufgeficktem Hintern ausgespritzt hat kommt er ungefragt zu mir und drückt mir seinen spermaverschmierten Schwanz in den Mund, scheinbar ist er auch auf mich sauer. Zum Glück habe ich mit Ass to Mouth eher weniger Probleme, zumal sich so viel Sperma in Jenny befindet, dass dies alle eventuell vorhanden, unangenehmen Geschmäcker überdeckt.Auch Erik kommt nun noch einmal in mir, wobei er sich dabei so tief wie nur irgendwie möglich in mich schiebt und erst dort seine Ladung platziert. Ich liebe dieses Gefühl seinen warmen Samen tief in mir zu spüren mit dem Wissen, dass diese Flüssigkeit auch im Stande ist ein neues Leben hervorzubringen.Nachdem wir uns abgeduscht haben helfe ich der erschöpften Jenny sich umzuziehen und trenne sie so wenigstens für ein paar Minuten von ihrem aufgebrachten Freund. Das Erik David kurzerhand in ein Gespräch verwickelt hilft mir dabei und als wir wieder eingekleidet zurück in den Eingangsbereich kommen hat er David schon davon überzeugt, dass es besser ist wenn wir direkt zu uns nach Hause fahren und dort bei der einen oder anderen Tasse Tee oder Kaffee über das Erlebte reden.Wenig später fahre ich uns nach Hause, während Jenny auf der Rückbank schläft und David abwesend aus dem Fenster schaut. Eine wirklich unangenehme Situation.Daheim angekommen fragt Jenny mich, ob sie bei uns Duschen kann um sich noch einmal gründlich zu reinigen und ehe ich reagieren kann folgt David ihr unter die Dusche.Wenige Augenblicke später hören wir erneut ein rhythmisches Klatschen und Stöhnen durch das Haus hallen. Verdammt! Uns war bisher nie bewusst wie hellhörig das Haus bezüglich Duschensex ist. Erik und ich haben es schon öfters spontan im Bad miteinander getrieben, wenn wir Gäste hatten. Irgendwie ist mir das gerade schon ziemlich peinlich, aber es erklärt die gierigen Blicke von Eriks Vater, die ich vor einiger Zeit mitbekommen habe.Aber genau genommen beruhigen mich die Sexgeräusche der beiden auch, es ist also doch noch nicht alles verloren.Nach einer knappen Stunde, in der ich Erik auch noch einmal in der Küche genüsslich abgeblasen habe, da die beiden in der Dusche wie zwei Hasen rammeln, kommen Jenny und David erschöpft aber lächelnd nach unten.Wir haben uns dann noch bis spät in die Nacht miteinander unterhalten, wobei Davids Fragen hauptsächlich auf unser Verhältnis zur offenen Beziehung und wie Jenny zur Hobbynutte geworden ist fokussiert waren.Bevor die beiden dann in unser Gästezimmer verschwunden sind haben Jenny und ich uns nacheinander noch einmal von Erik und David gleichzeitig nehmen lassen, wobei irgendwann beide Männer trotz anhaltender Latte nicht mehr konnten. Irgendwer hatte da wohl versehentlich etwas Viagra in die Getränke gemischt. Wer das nur gewesen sein könnte?Im Endeffekt haben sich dann alle Wogen geglättet und ich habe von Jenny irgendwann auch erfahren, dass David sie für etwas Geld sogar seinen Freunden angeboten hat und noch viele andere, total versaute Sachen mit ihr angestellt hat, während er sie gefilmt und die Videos hochgeladen hat.Gerade einmal drei Wochen später war es so weit, dass ich ins Krankenhaus kam und zwei sehr gesunde Töchter zur Welt brachte. Aber dies ist dann wieder eine andere Geschichte.

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Mon dépucelageDepuis toujours j’aime tout ce qui a attrait au sexe. Très jeune je regardais des livres et des vidéos pornos, j’en avais trouvé la cachette par « hasard » dans la chambre de mes parents. Le téléphone rose ensuite, des séances photos coquines avec ma femme qui devenaient souvent franchement cochonne. Puis internet est venu, à mon grand plaisir baisser mon budget sexe, et facilité l’achet de sex toys. Avant je les achetais par correspondance ou très rarement en sex shop.Dès mes premières visites en sex shop, j’avais remarqué les allers et venues dans l’arrière boutique de ces établissements. Et de plus en plus je voulais voir ces lieux de perversion de mes propres yeux.A l’occasion d’un déplacement professionnel à Rouen, je m’étais décidé à franchir le pas. J’avais donc pris soin de faire réserver par la secrétaire un hôtel juste à côté d’un sex shop, en prétextant la proximité avec mon premier rendez vous du lendemain.Il ne restait que 15 jours pour préparer mon voyage initiatique… En fait j’y pensais tout le temps et je devais avoir recours régulièrement à la masturbation pour calmer le feu hardant qui animait mon entre jambes.Puis le jour est venu, j’étais fraichement épilé, j’étais passé chez le coiffeur… bref présentable au mieux.Entre la route et mes rendez vous professionnels la journée me parut une éternité, mais vers 16h j’avais fini ma journée. Je me suis empressé de me rendre à l’hôtel. J’ai perçu ma chambre, je me suis douché longuement en prenant soin de ne pas me masturber malgré une excitation très forte.Une fois rhabillé, je suis sorti tranquillement dans la rue. L’air tiède avec un petit vent rendait ma balade agréable mais j’avais le pas pressé. A quelques mètres de l’enseigne j’ai ralenti le pas. Je suis passé devant une première fois devant sur le trottoir opposé. Je scrutais la vitrine mais à part une lumière rouge rien ne pouvais laisser présager de ce qui se passait à l’intérieur… que mon imagination et c’était sûrement pire d’ailleurs ! Ma braguette commençait à se déformer et c’est ce qui m’a donné le dernier coup de pied aux fesses pour franchir la porte.Dans le petit magasin, un homme derrière la caisse me salue, il est tatoué et percé de partout. Je réponds rapidement à la politesse et commence mon petit tour dans une boutique toute petite.Il y a du sexe partout : des étagères partent du sol et montent jusqu’au plafond. Les godes sont dans tous les coins, des petits, des gros, des colorés, des énormes, des godes ceintures (je trouve cela très sexy une femme qui porte un gode ceinture). Il y a aussi de la lingerie, des tonnes de lubrifiants différents et bien sûr au centre des centaines de porno.J’ai hâte. Je bande.Je choisis à la hâte une vidéo ou des femmes portent des godes ceintures pour des rapports lesbiens mais aussi avec des hommes. Je m’approche de la caisse et paie pour une heure visionnage.Le vendeur me tend une télécommande en m’indiquant que je bahis firmaları serai dans la cabine n°4.Je descends un petit escalier vers un puis sombre. En bas un couloir exigüe, à droite les cabines 1 et 2, en face de moi les 3, 4, et 5. L’endroit est désert. Je vais pouvoir être tranquille pour ma découverte et en même temps je suis un peu déçu. J’entre dans la cabine du milieu, la mienne. C’est très minimaliste, le mur est jaunis par des jets de sperme clairement visible le sol est un peu collant, une chaise et un écran et voilà : un peu glauque.Le film se met en route, pas de scénario une très jolie métisse porte un énorme gode ceinture et le fait sucer à un jeune minet à quatre pattes devant elle.Je baisse pantalon et caleçon jusqu’à mes chevilles, et je commence à m’astiquer la queue.Sur chaque mur de part et d’autre il y a une trappe, l’équivalent d’une feuille A4. Je les ouvre et du coup je constate que les cabines voisines sont vides. Un grand miroir en face de moi me permet de rester assis sur ma chaise et de voir, ce qui se passe sur les chaises des autres cabines.Je me concentre un peu sur la projection qui ne tarde pas à provoquer chez moi une belle érection.Mon attention est brisée par des bruits de pas dans le couloir. On gratte à ma porte. Sensation de malaise… je ne bouge pas et je continue ma tranquille masturbation.Je vois un homme par la trappe de gauche. Il s’installe sur la chaise. Il a un gros ventre qui cache un tout petit sexe. Rapidement il se branle avec des râles presque animaux. En quelques minutes je vois une éjaculation très fournie. L’homme se lève et disparait.Quelques instants plus tard, un homme s’installe à ma droite après avoir lui aussi gratté à ma porte. En premier il allume la lumière.Je vois donc tout ce qu’il fait. Il croche son manteau sur un porte manteau que je n’avais pas vu mais que j’ai aussi dans ma cabine. Il se déchausse et enlève son pantalon et son slip, pour laisser apparaitre une paire de cuisses noires. Quand il se tourne je bloque sur son sexe : une grosse queue noire qui pend mollement entre ses cuisses. Elle est longue !Puis une fois assis il commence à se branler doucement pour donner encore plus de volume à ce membre impressionnant.C’est alors que je décide aussi d’allumer la lumière. Aussitôt j’entends un « très belle queue… »-Que devrais-je dire. Je ne trouve rien d’autre à dire.Je le vois se lever, je ne distingue pas bien ce qu’il fait jusqu’à ce que la grosse queue noire passe par la trappe. Elle est énorme !Cela m’excite. Amusé je décide de la prendre en main puis fais quelques allers retours avant de la lâcher. Première bite autre que la mienne dans ma main. Frissons, honte, excitation je suis en pleine confusion.La queue disparait l’homme se rassoit.Un autre homme arrive dans la seconde cabine à gauche. Très vite je vois son sexe sortir de sa braguette. Une belle queue mais d’un format beaucoup normal. Je me penche pour la kaçak iddaa suivre des yeux. Sa cabine est sombre et je ne le vois plus. J’approche mon visage de la trappe pour voir où il est et c’est à ce moment que la queue jaillit de la trappe.Elle est là bandée, à quelques centimètres de mon visage. Un beau gland luisant et marqué, une tige très veinée. Doucement j’approche ma main et touche en quelques minutes ma seconde bite. Je caresse ses couilles lisses. Je me relève et retire mon pantalon et mon caleçon pour les accrocher sur le fameux porte manteau. J’éteins la lumière et m’approche de nouveau de cette belle tige, pour la saisir à pleine main.Je branle nos deux bites simultanément.C’est à ce moment que je vois un billet de 20€ tomber de la trappe.J’entends : « ils sont pour toi si tu me suces ! »Gonflé le mec ! Il me prend pour qui ?« Suce moi comme une salope, le billet n’est pas revenu, et tu n’as pas lâché ma queue je prends donc ça pour un oui. Mais me branler je sais faire. Suce ma pine petite lopette ! »Je me rends compte que je n’ai effectivement pas lâché cette bite, et que son ton m’excite. Je me mets à genou en face la trappe et doucement j’approche ma bouche de cette belle tige et la prend délicatement en bouche. Mon premier étonnement : c’est la douceur de la peau dans ma bouche c’est incroyable.Je m’applique en essayant de reproduire ce que j’aime. Mais rapidement il donne des coups de reins et commence à me baiser la bouche comme si il baisait un sexe de femme. C’est situation m’excite au plus au point.Mais en même pas une minute je le sens se tendre, et se répandre dans ma bouche. Surpris j’avale un peu, me dégage un jet vient d’atteindre mon torse. Je me lève et le laisse finir de jouir à même le sol. Je prends un essuie-tout et crache le foutre qu’il me reste en bouche.Ce con ne m’a même pas prévenu !… mais je suis un peu furieux comme même. Je bande encore plus… il disparait.A ce moment là je vois de nouveau le gros sexe noir pointé par la trappe et j’entends « j’aimerais bien que tu me suces aussi s’il te plait, je te préviens quand je viens… »N’ayant pas jouit l’excitation était encore très forte, mais le sol, déjà collant, était franchement sale maintenant. Je suis donc resté debout puis me suis baissé pour prendre ce joli membre en bouche. Il était dur maintenant très long, et un peu odorant. Je m’appliquais et je trouvais celle-ci encore plus douce, c’était agréable, j’aimais beaucoup.Du coup que je prodiguais cette pipe du mieux que je pouvais quand j’ai soudain senti une main me caresser la fesse. Surpris, je n’ai malgré tout rien fait pour repousser cette main.Main qui n’oubliait rien de mon anatomie, elle passait sur mes couilles, mon sexe, la raie de mes fesses et mon anus, très érogène…Doucement je sentais les doigts de plus en plus inquisiteurs, une deuxième main est venu sur mon cul pour le lubrifier, salive ou gel je ne sais pas ce qui est sur c’est qu’après kaçak bahis un doigt est entré très facilement.Je pompais le gros nœud comme une diablesse et le branlais sur toute sa longueur.J’ai rapidement constaté l’entrée d’un deuxième doigt dans mon cul de plus en plus accueillant, donc entrée sans aucune douleur.Puis les deux mains m’ont saisi par les hanches pour me coller sur la trappe. Je me suis esquivé aussitôt pour connaître les intentions de ce dernier. Et j’ai vu une queue couverte d’un préservatif. Rassuré quant aux sécurités utilisées j’ai tendu les fesses vers l’ouverture et repris la grosse bite noire en bouche.J’ai senti le gland se poser sur mon trou lubrifié, et d’un coup une grosse poussée la fit entrer entière ou pas je ne sais pas mais j’avais l’impression de mettre fait déchirer la bouche empalé sur l’autre sexe je n’avais pas pu m’y soustraire.Quand j’ai reculé pour enlever la bite de ma bouche il y eu un nouveau coup de reins, moins douloureux qui me fit sentir une paire de couilles claquer proche des miennes. J’ai donc décidé de m’abandonner aux assauts de ce « rustre ».Longs doigts fins sont venus par la trappe me faire signe de partir, sans réfléchir je suçais de plus belle.-« attention, attention… aaaat… pardon je suis désolé »Malgré ma condition actuelle, le laisser jouir volontairement dans ma bouche me donner presque l’impression de l’avoir dominer…En plaquant les fesses au mur pour accepter au mieux la pénétration j’ai tout avalé.Très vite j’ai senti le second se tendre, sa queue faisait de petits soubressauts dans mon fondement, je continue à la limer avec de lents mouvements de bassin.Il se retira d’un coup laissant mon cul complètement ouvert.Je me suis redressé, le dos un peu endolori par cette position peu confortable. Et j’ai vu tombé au sol un second billet de 20€.-« pour ton cul sale pute ».Il n’y avait plus personne ni à droite ni à gauche, j’ai fermé les trappes puis me suis branler avec force. Autant dire que je n’ai pas mis longtemps avant de me répandre à mon tour sur le sol.L’excitation retombée j’avais carrément honte…Je ne voulais pas sortir. Le film était fini. Mais je restais encore, le goût de foutre dans la bouche et le ventre palpitant de cette visite un peu brutale. Je me suis rhabillé. J’ai pris une grosse poignée d’essuie tout pour nettoyer le sol, comme pour enlever les preuves de ma perversion…Je n’entendais plus rien. Je suis sorti rapidement, remontant les escaliers 2 par 2. Arrivé dans la boutique j’ai rendu la télécommande au vendeur qui me regardait avec un sourire entendu. Etait-il au courant de ce qui s’était passé ?Rapidement je me projette dehors, ébloui par la luminosité, je dû mettre ma main en casquette.J’ai 30 mètres sur le trottoir, arrivant à une terrasse, j’ai croisé le regard d’un black très filiforme d’une cinquantaine d’années, qui ma lancé un petit clin d’œil.Je déambulais dans la rue jusqu’à mon hôtel. L’anus endolori et j’avais l’impression qu’il était complètement ouvert.J’avais l’impression que chaque personne que je croisais savait…En tout cas, je venais de faire ma première pipe et de connaitre ma première sodomie… c’était bon…

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