Bruno

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BrunoMon amant parisien, Bruno, m’a écrit un mail après son dernier voyage à Riga « Karina, je suis vraiment bien à tes côtés et je crois bien que je suis amoureux. Tu vas terminer tes études dans quelques mois. Voudrais-tu venir habiter à Paris avec moi ?». J’étais ravie car cet homme un plus âgé que moi et calme me stabiliserai après ces années où j’avais eu de multiples partenaires tant en racolant pour financer mes études qu’avec les satanées missions que m’avait imposée la mafia de Sergei. Ces missions bien rémunérées m’avait permis d’arrêter de me prostituer. Je fis donc des projets avec Bruno tout en étudiant sérieusement pour avoir de bonnes mentions à mes diplômes de fin d’études.L’adjoint de Sergei m’attendait un soir à la sortie des cours et il m’invita à monter dans sa voiture à l’arrière avec lui comme les fois précédentes. Le chauffeur démarra mais il ne me banda pas les yeux. Il se tourna vers moi « Karina chérie, tu vas terminer tes études dans quelques semaines. On lit tous tes mails. Tu vas partir chez ton amant avec qui tu baises si bien. Mais avant on a une dernière mission pour toi et tu n’as pas le choix car si tu refuses on informe de ton identité le gouverneur et sa jeune épouse que tu as corrompue. Je te ferai parvenir les ordres demain. En attendant suces moi pour sceller ce dernier accord et applique toi ». Il a ouvert sa braguette et sortit son épais sexe. Je me suis mise à genou entre les sièges et je lui ai fait une longue fellation baveuse pendant qu’il caressait mes seins mis à nus. Il a éjaculé puis m’a relevé la tête et en me regardant dans les yeux me dit « tu suces très Escort bien. T’es une salope comme j’en ai peu connu. Je vais regretter nos rencontres éphémères ». Il me déposa en ville après m’avoir donné le mouchoir avec lequel il s’était essuyé la bite en disant « essuie toi la bouche et garde le en souvenir ».J’étais énervée car je me croyais débarrassée de cette clique dangereuse. Mais il allait encore falloir les servir et ça m’angoissait. Une clé USB déposée sous ma porte contenait les consignes. Je devais approcher un industriel allemand qui dirigeait une usine importante. Il était très sérieux et sans faille sauf une. Il fréquentait un jeune travesti avec qui il passait du bon temps une fois par semaine, sa famille étant restée en Allemagne. On me donnait l’adresse du jeune homme qui était aussi étudiant à l’université. Ce ne serait pas facile car mon seul point d’entrée semblait être homo et aimer faire la femme.Je l’ai localisé facilement et mis une semaine pour mettre en place des occasions de le croiser régulièrement. C’était un jeune homme blond, de taille moyenne mince et au visage glabre, un peu androgyne. J’ai su assez vite qu’il avait des aventures avec des garçons le plus souvent mais aussi avec des filles toujours assez masculines voire des transexuelles. Il fréquentait un club fréquenté par les trois sexes et par des bi. J’y suis allée plusieurs soirs et j’ai identifié une grande trans avec qui il parlait souvent. Je l’ai draguée et c’était une chaude qui m’a baisée le jour même dans les toilettes de la boite en me prenant par derrière contre les lavabos. J’ai simulé le plaisir Escort Bayan et on est devenue copine. Quelques jours plus tard je trouvais l’occasion de la rejoindre alors qu’elle buvait au bar avec ma cible. Elle me présenta et en se penchant vers lui dit « c’est une bonne, tu peux y aller elle aime le cul ». On a parlé à trois un moment puis la grande trans est repartie draguer et j’ai pu commencer à séduire ce jeune versatile. Il était doux et semblait un peu perdu avec une fille très féminine comme moi. J’ai mis la conversation tout doucement sur ses goûts et je lui dis sur un ton badin que j’aimai utiliser un god ceinture avec les garçons comme avec les filles. Je vis un éclat d’intérêt au fond de son regard assez doux. On s’est revu plusieurs fois dans cette boite puis un jour il m’a raccompagné en voiture. Il s’est arrêté sur un parking sombre et m’a dit « masturbe moi j’ai envie ». J’ai ouvert son pantalon et sorti sa bite qui était petite et je l’ai branlée doucement. Il avait du mal à bander. Je l’ai pris en bouche et malgré mon talent il ne durcit que très peu. J’ai passé un doigt entre ses fesses et j’ai touché son anus. Il a réagi immédiatement en gémissant. Je l’ai pénétré doucement et il banda vraiment. Je l’ai regardé avec gentillesse et je lui ai dit « Si tu veux je peux t’enculer j’aime ça moi aussi ». Il a sorti un god de la boite à gant et m’a dit « prends-moi ». Il avait écarté ses cuisses et mis son bassin en avant. J’ai humecté le god dans ma bouche. Il était assez gros et je l’ai poussé contre son anus. Il avait le cul très souple et c’est rentré facilement. Bayan Escort Je lui ai branlé le cul avec le god et la bite avec mon autre main en lui disant « vas-y petite, lâche toi, fais la femme, t’aime bien faire ta salope ». Il était bien et me dit « continue de me parler. « alors petit t’aimes de faire prendre par des hommes. As-tu un amant régulier ». A cette évocation il a jouit dans ma main. Je lui ai retiré le god doucement puis on a parlé. Il était détendu et m’a spontanément parlé de son amant régulier qu’il voyait les samedis soirs. Il m’expliqua. « C’est un homme mûr qui travaille beaucoup et qui n’a plus le goût des femmes. Il m’a connu à une exposition de peinture et m’a proposé de dîner avec lui un soir. Le reste s’est enchaîné assez vite. Il m’a dragué et moi j’ai laissé faire. On a prolongé un soir en allant à l’hôtel ou il m’a baisé et j’ai beaucoup aimé car il est directif et m’a fait jouir plus qu’une femme. Il m’a demandé de m’habiller en femme quand on va l’hôtel ensemble. J’aime quand il me sodomise et que j’ai encore ma jupe sur moi. Il me donne beaucoup d’argent.» Je lui ai dit qu’il avait de la chance. Je lui ai avoué que moi aussi j’avais beaucoup couché pour survivre et ça la amusé quand je lui ai dit que je baisais mes clients parfois dans les parcs parfois à l’hôtel et je lui ai même cité l’hôtel ou j’allais le plus souvent car je connaissais de réceptionniste qui fermait les yeux. Ça l’a fait rire et il m’a dit que lui son amant ne l’emmenait que dans le 5 étoiles de Riga. J’ai communiqué les informations à l’équipe se Sergei. Je n’avais jamais rencontré l’industriel allemand mais je l’avais piégé. Le samedi suivant sa chambre était instrumentée et ses ébats avec son ami travesti furent filmés avec précision. Ma mission était finie. J’ai pu rejoindre Bruno à Paris quelques semaines plus tard et j’y vis très bien.

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Casino Royal (FFFFM)

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Casino Royal (FFFFM)Doreen – Hummm…J’ai bien aimée faire l’amour avec toi…Moi – Ah…Merci du compliment…Doreen – As tu toujours l’intention de partir aujourd’hui…Moi – J’en sais trop rien…Doreen – Et si tu restais ici pour le reste de tes 6 jours de vacances…Çà te dirais…Moi – Peut-être…Mais plutôt une ou deux journée de plus…Doreen – T’es pas le premier jeune homme à venir éclabousser ma fleur tu sais…Et quand j’apprécie ce qu’ils me font… J’ai tendance à vouloir les présenter à certaines de mes amies…Tu l’as déjà fait avec plusieurs femmes en même temps…Moi – Non…Jamais…Vous êtes ma première vieille en passant…Doreen – Hummm…Aimerais-tu que je les appelle…Je pourrais louer un chalet isolé situé près d’une plage…Moi – Et combien de tes amies risques d’y être présentes…Doreen – Je dirais entre trois ou quatre…Selon leurs disponibilités…Moi et Doreen arrivés au site du chalet isolé. Très rustique le petit bâtiment ne comportait qu’une seule chambre assortie d’un cadre de porte cachée d’un voile. Fait à noter que la pièce n’avait qu’un seul meuble qui était un lit simple. Une douche commune non cloisonnée. Il y avait l’électricité pour nous éclairer. Mais aucun appareil ménagé disponible sur place. Un grand divan de cuir vert émeraude puis quelques bancs pour nous asseoir. Un poêle à bois pour se réchauffer. Puis l’eau courante situé à l’extérieur du lieu. Quinze minutes plus tard. J’étais déjà entrain de m’assouvir de Doreen en missionnaire dans le lit simple lorsqu’une première personne entra…Doreen – Ouiiiiiiiiiii…Ouiiiiiiiiiiiiiiiii…Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii….Margaret – Salut…Je vous dérange…Margaret était une voluptueuse madame de 62 ans. Petite mesurant 5 pieds 4 pouces. Ronde avec une grosse paire de seins et un gros fessier. Rouquine aux yeux bruns. Escort Elle portait un short d’été noir et rose très court. Puis un débardeur bleu marin assortie de motifs gris pâles à l’apparence d’abricots. Elle avait l’air quand même assez sympathique. Pour ensuite voir apparaître Joane âgée de 61 ans. Blonde aux yeux verts. Mince avec une grosse paire de seins tombants. Mesurant 5 pieds 5 pouces. Souriante elle portait un débardeur rose puis un short d’été blanc. Visiblement la plus svelte et la plus sage du groupe. Puis la troisième Mollie âgée de 64 ans. Grosse et plantureuse. Aux cheveux noirs longs et frisés puis aux yeux bruns portant des lunettes. Elle mesurait 5 pieds 4 pouces. Portait un pantalon blanc puis un chandail gris pâle assortie de motifs de feuilles noirs. Une grosse cochonne dans tout les sens du terme…Mollie – Alors c’est lui ton nouveau petit jeune…Il vient d’où…(Pendant qu’on se rhabillaient tous les deux)…Doreen – De Rimouski…Mollie – Il n’est pas très grand…Doreen – Il est très en forme…Mollie – Et au niveau pelvien…Doreen – Décevant…Mais il fourre comme un lapin…Joane – Salut…Moi c’est Joane…Moi – Salut Joane…Margaret – Et si on allaient à la plage…Mollie – D’accord…Seuls ensemble sur le sable un peu froid. C’était la plage d’une rivière et non d’un océan. Le groupe de femmes qui s’étaient au préalable déshabillées devant mes yeux. Doreen portait un bas de bikini noir et un haut fleuri rose. Joane un bikini blanc. Mollie une robe fleurie blanche et rose qui me faisait voir un fort décolleté. On pouvait voir les démarcations blanches de la rondeur de ses seins. Margaret avait oubliée son costume de bain. Alors elle se pavanait seins nus en portant toujours son short d’été noir…Doreen – Hummmm…L’eau est bonne…Mollie – Vraiment bonne…J’ai la pointe Escort Bayan des seins tout durcie…Margaret – Qu’est-ce qu’on risque de manger ce soir…Doreen – Il y a de la viande de boeuf puis des pavés de saumon dans la glacière…Puis notre jeune homme qui va nous entreprendre toute la nuit…Mollie – Le tout sera cuit sur charbon de bois…Doreen – Exactement ma chère…Avec quelques bières en guise de consommation…Le soir venu puis le repas dégusté. Doreen m’avait obligé à porter un costume rose de lapin pour les entreprendre toutes les quatre. La chambre était le seul endroit disponible pour les fourrer à tour de rôle. Il faisait extrêmement chaud dans mon habit de fourrure. Doreen m’avait au préalable donnée des stimulants sexuels pour que je tiennes la route pendant toute la nuit. Margaret fût la première et particulièrement la plus dominante. Elle me chevauchait de coups de bassin vifs et secs. Pour ensuite venir l’entreprendre dans une position de la levrette assez intense. Elle me disait Vas-y fourre ma grosse vulve… Pour conséquemment entendre des sons de pénétrations mouillés durant l’interaction. Avec de la cyprine qui lui coulait vers l’intérieur de ses grosses cuisses. Elle gémissait puis grognait durant l’interaction. Mon costume de lapin fût finalement mit de côté parce-qu’il faisait trop chaud. Ma tige entrait puis sortait de son gros vagin en vitesse. Margaret était ultra chaude et adorait le sexe fait avec intensité. Une femme de caractère qui savait ce qu’elle voulait et ne voulait pas. Elle aimait que je lui embrasse la pointe de ses gros seins joufflus. Puis chevaucher mon visage à en perdre le souffle. Une douche plus tard. Joane fût la deuxième et encore plus chaude que la première. Plus douce et plus câline. Elle aimait embrasser puis se faire caresser tout doucement. Bayan Escort Elle avait un beau corps puis la chatte rasée de près. Un soixante neuf puis une chevauché lente. Elle aimait par contre le sexe anal pratiqué de façon intense. Sa position préférée pour ainsi la faire grimper aux rideaux. Quelques éclaboussures de cyprine coulait sur le couvre lit. Pendant qu’elle se masturbait en même temps que la pénétration. La madame mouillait comme une chienne. J’étais maintenant entrain de la fourrer rudement dans la position du missionnaire. Avec ses cuisses ouvertes et ses talons appuyés au bas de mon dos…Joane – Hummmmm…Ta tige n’est pas bien grosse…Elle est idéal pour la sodomie…Puis vint Mollie la grosse cochonne. Elle préférait le faire sur le divan devant publique. Le pubis de sa vulve était taillé au naturel. Une femme bronzée avec des démarcations blanches au niveau de ses gros seins et son entrejambe. Elle me masturbait debout en me disant des mots doux. Une autre dame qui aimait le sexe rude prise par en arrière. Elle couinait comme une truie lorsque je l’entreprenais en vitesse. Pour tergiverser vers la position du missionnaire avec son gros ventre rebondi. Suivi de la pieuvre puis un chevauchement sur le tapis. J’aimais voir son corps graisseux trembloter lors de mes intrusions pelviennes. Devant les yeux de ses amies. Elle savait varier les rythmes pour ne pas me faire éjaculer trop rapidement. Mollie était vraiment une femme extraordinaire au lit. Et finalement Doreen prise en pleine nature à sa demande. Dans le froid, l’humidité et la noirceur de la nuit. Elle m’avait permit de l’entreprendre par la deuxième porte tout près de l’herbe longue. Avec une lune presque pleine dans le ciel qui nous éclairait au gré des étoiles. Le sol boueux entreprise à quatre pattes je lui en donnais à fond. Elle s’exprimait comme une louve en chaleur. La pointe de ses gros seins vacillait dans la boue terreuse. Avec sa grosse poitrine au touché mou remarquable. Fatigué je ne savais pas trop si j’allais pouvoir éjaculer une quatrième fois.

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Die Musketiere im Auftrag der Königin

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Die Musketiere im Auftrag der KöniginKapitel 3.Im Namen der Königing Anne d´AutricheNach wochenlanger Waffenruhe wollten wir unsere Reise in die Gascogne antreten. Ellen Armand de Sillègue d’Athos d’Autevielle, Mbali d’Aramitz, Marikit de Portau und ich Joona Charles D’Artagnan wollten aufbrechen. Es war der 02. August Anno 1664, als wir unsere Rösser sattelten und gen Osten ritten. Die Königin, schlief mit meiner Mutter ruhig den Schlaf der Gerechten, um uns anschließend zu folgen. Die beiden Damen stellten die Musketiere, deren wir zugehörten. Meine Mama war ihr Capitaine. Anne d´Autriche, unsere Königin, war unsere Heeresführerin und schickte uns ins Feld. Jeder Musketier schwor den Eid auf den Namen unserer Landesherrin und nicht auf den ihres Sohnes König Ludwig XIV.Kurz bevor wir aufbrachen, sah ich nach unserer Majestät sowie meiner Mama, denen ich je einen Kuss auf die Stirn ab und ihre Hand strich in denen sie ihre Degen hielten. Nun wurde es Zeit unser Volk nicht im Stich zu lassen. Dabei zog ich Anne ihren goldenen Ring vom Finger, welcher das Wappen unseres Landes trug. Ich steckte das Schmuckstück an meinen linken kleinen Finger. Immer und immer wieder sollte dieser mich berühren, sobald ich den Degen führen musste, schließlich war ich ihr Untertan und Gefolgsmann.Wir kannten unseren Weg, doch wurde alles anders, als ich in meiner Satteltasche ein Dokument unserer Königsmutter fand. Sie hatte es in der Nacht zuvor verfasst und es ins geheim in die vorbenannte Tasche gesteckt, auf das ich es finden möge und danach handle.Ich brach das Siegel, rollte die Depesche herab und begann zu lesen:„Lieber Joona, du wirst mit deinen Damen Ellen, Marikit und Mbali über den Rhein übersetzen und herausfinden, was die Preußen vorhaben. Reist rasch, die Zeit drängt, aber verbergt eure Uniformen, niemand darf euch erkennen, anschließend sehen wir uns in 60 Tagen in Lyon wieder. Deine Mama und ich räumen hier in Frankreich mit unseren Feinden auf, die versuchen unser Volk zu unterdrücken. Ich liebe dich. Kuss, deine Patentante Anne d´Autriche“.Mir rannen die Tränen über die Wangen, dabei gab ich meinen Damen unser Ziel bekannt. Ellen und Mbali sprachen wie aus einem Mund „Für Frankreich, für unsere Königin“. Wir zogen unsere Degen und kreuzten diese in zur Sonne, mit dem Satz „einer für alle, alle für einen“. Wir sattelten unsere Rösser und brachen auf, dabei verstauten wir unseren Kasak in den Satteltaschen. Niemand erkannte uns, so ritten wir gen Osten. Der Wind blies, als wenn die Herbststürme begonnen hätten. Nach einigen Stunden folgten uns sechs Reiter. Scheinbar hegten ihr Argwohn gegen uns. Sie hielten ihre Hand am Degen, so mussten wir rasch handeln. Wir ließen unsere Pferde langsamer schreiten und achteten auf jeden Laut, dabei hatten wir bereits unsere Waffen griffbereit und versteckten uns zwischen den Bäumen. Die Reiter griffen uns an und wetzten ihre Degen. Gemeinsam wendeten wir unsere Rösser und galoppierten auf unsere Angreifer zu. Wir wollten ihnen nicht schaden, dabei wichen wir kurz vor einem Zusammenstoß aus und ritten erneut auf sie zu und wollten ihre Pferde in Panik versetzen. Es geschah was sein musste, ihre Kläpper rissen aus und warfen ihre Reiter herab. Niemand kam zu schaden, unsere Degen verblieben in ihrer Scheide, kein Blut floss.Weiter ging unsere Reise, die uns meine Mama und unsere Königin befahl, für den Frieden einzutreten. Nicht wir Männer bauten nach den Kriegen das Land auf, es waren die Frauen, da ihre Gatten gefallen waren. Es war unser Ziel Zwietracht zu verhindern. Ich dachte dabei an die kleinen Kinder, welche gerade geboren waren. Sie sollten das Leid niemals erfahren. Allerdings weilte unsere Ruhe nicht lang.Wir ritten auf eine kleine Braumgruppe zu, bis wir am Horizont eine Schar Reiter sahen, Sie waren bewaffnet bis auf die Zähne. Ihre langen Hellebarden, Musketen und Degen blitzten in der Sonne. Ihre schwarzen Umhänge wehten in der Sonne. Ihre Hüte waren mit breiten Krempen besetzt, allerdings war die Fleur de Lys zu erkennen. Sie gehörten zu uns, es waren unsere Truppen. Reiterinnen aus halb Europa und Afrika, die Frankreich als ihre Heimat sahen. An ihrer Seite waren ihre Töchter. Auch diese mit ihren 18 Jahren trugen die Degen geschultert und die Pistolen an ihrer Taille. Sie waren ihren Müttern ebenbürtig. Anne rief sie zu den Waffen.Dabei sah ich, dass es Vabienè, Inés und Zoé waren, sie stammten aus der Gascogne. Sie waren Schwestern und Freibeuterinnen, die für ihr Land eintraten, wenn die Mutterkönigin sie rief. An ihrer Seite ritten ihre Töchter Lily, Louise und Louanne. Stolz ritten sie in das Ungewisse. Auch die Damen erkannten uns, welche nun auf uns zuritten.Die drei Töchter trugen stolz den Kasak ihrer Väter, die verwundet im Lazarett verweilten. Dafür und zum Trotz zogen nun diese 6 Frauen ins Feld. Komme was wolle, sie standen ihren Mann und traten ebenfalls für die Freiheit unseres Landes ein. Lily´s Name wird mit einem sehr langgezogenes „i“ ausgesprochen, sie war eine sehr gute Zeichner- und Malerin, dabei war sie in ihren anderen Schulfächern eher durchschnittlich. Osten und Westen unterschied sie wie Süden und Norden wie vorn und hinten, rechts oder links. Louise besaß ihre Vorliebe im Schreiben, sei es Gedichte oder Geschichten. Louanne war ein Genie der Mathematik. Gebet ihr ein Zahlenwirrwar. Sie sortiert dieses, bis sie zu einem Ergebnis kam. Die Fechtkunst brachten wir ihnen bei. Wie ich als Zeitzeuge von ihrem Gestammel, während der Fechtübungen vernahm. Sobald die Degen sich kreuzten murmelte Louanne „Fläche gleich, pi im Quarat, dreiviertel“ oder „der Sinus gleich Gegenkathete durch Hypotenuse“. Lily war dabei sehr ruhig sie führte die Klinge wie eine Feder, doch ließ sie sich den Degen nie aus der Hand drehen, sobald man in den Korb stach. Louise zückte stets einen Dolch. Bei den Fechtübungen, stach die Spitze der einen Klinge nicht so sollte es die Andere sein. Drei 18-jährige Mädels die es in sich hatten, welche ich nicht als Feind haben wollte. Ihre Mütter sind ähnlicher Natur, wobei sie, im Fechtunterricht, ihren Töchtern stets eine Ohrfeige verpassten, sobald sie zu dicht an ihren Gegnerinnen herankamen. Ich war ebenfalls ihr Fechtlehrer und drückte ihnen einen Kuss auf Wange und Lippen, sobald ich die Gelegenheit bekam. Nur so machte ich sie zu Meisterinnen mit der Klinge, die mit ihrem Hass umzugehen hatten.Als wir bei den Damen ankamen gab ich zunächst den Müttern einen liebevollen herzlichen Kuss, wobei mir Lily und Louise an den Ärmeln zogen und mich fast vom Pferd rissen, ja auch sie erhielten einen Kuss. Gnade, Güte und Liebe sind das Pfand füreinander. Louanne wartete und erhielt ihren Kuss nach dem wir von unseren Rössern stiegen. Sie hielt mir ihre Wange entgegen und bat „im Auftrag unserer Königin, dürfen sich unsere Lippen nicht berühren, nur meine Degenspitze küsst die Herzen unserer Gegner“. Ich wusste was sie damit sagen wollte. So kniete ich nieder und bat um rechte Hand, als sie mir diese reichte begab ich den Ring unserer Königin auf ihren Finger und gab allen bekannt „für Frankreich, für das Volk und die Freiheit, du trägst ab jetzt den Siegelring unserer Heeresführerin und Königsmutter Anne, welche mich als Amme, meiner Mutter, entband.Nun wussten sie wer hinter allem steckte. Selbst Anne ist die Patin dieser drei jungen Damen. Louanne zog den Ring von ihrem Finger und überreichte ihn mir mit den Worten „du bist unser Garant. Deine Mutter und die Königin haben dich gesandt. Du bist unser Halt“. Ich steckte den Ring erneut an meinen Finger, als ich zu mir sagte „du führst mich auf den rechten Weg“. Alle wussten wen ich damit meinte.Wir saßen auf und ritten gemeinsam gen Rhein, unsere schwarzen Umhänge wehten in der Sonne, immer im Gedanken den Krieg mit den Preußen zu verhindern. Plötzlich spürte ich Louanne´s Hand auf meine Schulter. Als ich mich zu ihr drehte trafen sich unsere Lippen. Im Galopp ging unsere Reise wortlos weiter.In den schweren Ledertaschen befanden sich die Musketenkugeln und hingen schwer über unseren Schultern. Lily öffnete das Band ihrer Staude, dabei sah es aus, als wollten sich ihre Titten aus dem Kleidungsstück befreien. Wir galoppierten mit unsere Lusitanos unentwegt über die Weite unseres Landes.Noch immer zu später Stunde, die Sonne begann am Horizont zu verschwinden, war es heiß, als stände sie am Zenit, indem wir endlich einen Fluss erreichten. Mbali frug, ob dieses der Rhein wäre, doch war es der „Boralde de Saint-Chély-d’Aubrac“ in der Nähe von Laguiole. Unsere Rösser sollten sich erholen und wir brauchten ebenfalls Ruhe. Unsere Gesäße schmerzten nach dem 10 Stunden Ritt im Sattel. So ließen wir die Pferde am Ufer grasen und Wasser trinke, bevor wir unser Lager aufschlugen. Ich erkannte erst jetzt, dass wir uns auf dem Jakobsweg befanden. Ein Irrglaube, dort nicht Opfer vor Überfällen zu werden. Mit dem Degen an unserer Seite mussten wir uns dem Ungewissen entgegenstellen. Louise, Lily und ich schnitten lange Ruten von dem Baumhasel, um diese zum fischen zu nutzen. Ihre Mütter begannen Beeren zu sammeln, Mbali und Marikit brachen Weizenähren. Gemeinsam richteten wir ein köstliches Mahl. Doch wussten die Mädels nicht wie ein Mahl eines Musketiers aussah. Es war ein Fisch, dieser musste reichen für den gesamten Tag. Drei Trauben, vielleicht Fallobst, das wir fanden. Kein Heldenruhm, kein Gedicht oder Völlerei. Wir befanden uns im Krieg und mussten sorgsam unser Gut wahren. So ging ich zu einem nahen gelegenen Feld und suchte nach Wilddinkel, dort fand ich, dass was der Tod ausspieh wie Gift. Es war das Leben, das zur Welt kam. Ein kleiner schreiender Säugling, noch keinen Tag alt. Die Mutter war nicht in Sicht. So nahm ich das Kind auf den Arm und wickelte es in meinen Umhang. Nun war an Schlaf nicht zu denken. Vabienès Tochter Lily, sah ihre Mama merkwürdig an, als sie erkannte, dass ihr Busen nässte. Dem Mädel schoss plötzlich Milch in die Brust. Gott lob, so sollte der Säugling an Lilys Busen sich nähren können.Louanne blieb bei den Pferden, Ellen war unser Schutz und Wache.Ich bat Lily meinen Teil der Ration zu verzehren, da sie nun noch das Kind ernährte. Ich stieg herab zum Fluss und erlegte 12 Bachforellen mit meiner Armbrust. Stolz schritt ich den Pfad herauf und sah wie Lily, Louise und Louanne ihre Stauden zerschnitten, welche als Windeln für den Säugling dienen sollten. Ich wand mich ab und zog mein Hemd aus welche ich Louanne reichte. Es war groß und weit. So zerschnitt sie es, um für sich und ihre Cousinen, Tücher für ihre Brüste zu schaffen. Sie sahen aus wie Amazonen. Louise tauchte ihren Zeigefinger in schwarze Holzkohle und rieb sich und ihre Mitstreiterinnen dunkle Streifen auf Busen, Brust und Gesicht. Dabei malte sie dem Kind ein Kreuz auf die Stirn, mit den Worten „du bist im Namen der Freiheit geboren, ich taufe dich mit dem schwarzem Gold unseres Landes, auf den Namen Justitia“. Noch immer trank das Kind an Lilys Titten, welche sich ihrer Verantwortung bewusst war.Ich machte mich daran die gefangenen Fische zuzubereiten, mir reichte das kleinste Stück. Plötzlich standen fünf graue Aubrac-Kühe um uns herum, welche von einer Bäuerin angeführt wurden. Sie sagte nur „so jung das Kind und schon Mutter“. Doch weit gefehlt, wir klärten die Dame auf, die sogleich von uns wich, um ihre Rindviecher zu melken. Auch Brot und ein Stück Sauerbraten brachte sie uns, dabei führte sie eine Ziege, als sie uns bekannt gab. „Nehmt sie mit, sie wird dem Kinde ausreichend Milch geben. Ihre langen scharfen Höner, sind so spitz wie eure Degen, sie wird den Säugling verteidigen, als wäre es ihr Lamm“. Ich sah mir das Tier genauer an. An ihrem Horn befanden sich Widerhaken als wenn es ein Sägeblatt wäre. Dieses Wesen schien das Ungeheuer von Aubrac zu sein.Wir brachen mit der Bäuerin das Brot, gemeinsam speisten wir. Sie zog ein großes Tuch aus ihrem Rucksack und gab es Lily mit den Worten. „Dieses wirst du brauchen, binde es und lege das Kind hinein, so kannst du es an deinen Schultern vor dir tragen, so trug ich meine drei Töchter, welche bereits erwachsen sind“. Die herzensgute Frau musste ihre Kühe, in den Stall bringen und sich zur Ruhe begeben. Erst jetzt sah ich, dass die drei Mädels die Fleur de Lys auf ihrem linken Busen tätowiert hatten, darüber befanden sich die drei Spitzen ihrer Degen die sie führten.Gemeinsam richteten wir unser Lager, Zoé nahm Lily das Kind ab, als sie sich zur Ruhe begab. Louanne, Louise und Lily baten sich zu Ellen, Marikit und Mbali legen zu dürfen. Ich selbst hielt am Feuer Wache. Dabei lehnte mein Rücken an einem großen Stein, wie sie hier in Aubrac häufiger vorkamen. Plötzlich begab sich Inés zu mir. Sie war recht zierlich und hatte einen kleinen Busen. Sie besaß schlanke Hände mit dolchartigen Fingernägel, ihre Arme glichen schlanken Ästen einer Buche, ihr lockig langes schwarzes Haar wehte in der Sonne. Ihre Füße steckten in hohen Stiefeln, dabei zog sie ihren purpur roten Rock empor. Eine weiße Staude begab ihr Oberteil, die breiten Gürtel trug sie diagonal, in denen sich ihre Degen und Wurfmesser befanden. Ruß bedeckte ihr schönes Gesicht.Inès bat mich „Joona, du hast unseren Töchtern die Fechtkunst gelehrt, ich bitte dich zeige sie mir“. Ich gab ihr bekannt „ich war nur ihr Dirigent, die Klinge führten sie selbst, weiche dem Stich aus. Wehre den Hieb ab und schlage mit deinem Ellbogen dem Feind aufs Nasenbein“, dabei erhob ich mich. Am Ufer zog ich meinen Degen, indem bat ich „lege die Gurte von deinen Schultern und führe den tödlichen Stahl wie eine Feder“. Sie tat wie ihr aufgetragen. Wir standen drei Schritt voneinander entfernt, als wir unsere Fechtübung begannen. Sie drängte mich rückwärts auf dem abschüssigen weichen Boden, bis das Wasser in meine kniehohen Stiefel floss. Nun war sie es, die sich drehen musste und ich trieb sie weiter in den breiten Fluss. Bis zum Po standen wir im kalten Nass. Dieses machte es uns nicht einfacher, dabei wichen wir weder aus, noch gingen wir ein Stück näher ans Ufer. Ihre Bluse klebte, wie eine zweite Haut, auf ihrem Leib, dabei zeigte ihr nasser Stoff ihre kleinen festen Titten. Ihre steifen großen Nippel stießen mir entgegen, als wären sie Musketen, die mich richten wollten. Inés kam mir näher, sie wusste wie ich die drei Mädels ausbildete. Sie kam noch näher, so zog ich sie zu mir und drängte ihr einen Kuss auf die Lippen „oh Joona, du kannst es nicht lassen, ein Kuss muss aus Liebe geschehen“, dabei musste ich ihrer Klinge ausweichen. Ich drehte mich hinter sie. Wir standen Rücken an Rücken. Ihr Rock schwebte auf der Wasseroberfläche, in dem meine linken Hand über ihren nackten Po strich, sie wich nicht zurück. Noch war es ihr unangenehm. Die Damen sowie ihre drei Töchter schauten uns gespannt zu. Die Mädels wussten durch die Fechtübungen, sobald sie eine halbe Armlänge von mir entfernt waren, bekamen sie einen Kuss. Sie sahen wie Inés sich von meinem Rücken lösen wollte, immer wieder versuchte sie seitlich an mir vorbei zu kommen, dabei drehte sie stets ihren Kopf. Ich wich nach vorne aus, sodass sie in den Fluss fiel. Gerade empor hielt sie ihre Klinge. Sie rang nach Luft, als ich ihre Hand ergriff um ihr auf zu helfen. Wut entbrannt runzelte sie die Stirn, als sie bekannt gab „ich fiel lediglich über den Felsen an meinen Füßen“. Sie kam mir mit gehobener Klinge entgegen wobei ein schmunzelndes Lächeln über ihre Lippen drang. Dabei ergriff ich erneut ihren Arm und gab ihr einen leidenschaftlichen Kuss. Unsere Zungenspitzen begannen sich zu duellieren. Nass wie wir waren drängten unsere Leiber sich aneinander, indem wir den tödlichen Stahl in den Boden des Flusses rammten.Nur unsere Lippen die sich berührten verbanden unsere Leiber, so hob ich sie auf meine Arme und trug sie ans Feuer und legte ihr meinen Umhang über die Schultern. Als ich erneut zum Fluss schritt, um unsere Waffen zu holen, rannte Lilly an mir vorbei und rief „für die Freiheit, für unsere Königin und Frankreich. So stürzte sie sich ins kalte nass. Ich zögerte, doch bat sie mich „komm mit rein nach dem ich dem Kind die Amme war, möchte ich meinem Lehrer näher sein. Nun zeigst du mir wie ich im Wasser standhaft werde“. Ich bat sie ihre Kleidung abzulegen und ans Ufer zu werfen. Sie tat wie ich ihr geheißen, anschließend zog sie die Klingen aus dem Fluss. Ich entkleidete mich und stieg zu ihr ins kalte Nass. Mein Schwanz drängte sich an ihre kahl geschorene Scham. Dabei hielten wir die Degen gekreuzt zwischen uns, als sich unsere Lippen trafen. Meine Rechte ergriff das Heft des Degens, den sie hielt. Ihre Lippen kamen mir näher als ich es wollte. Sie war es die mir einen Kuss gab, dabei sprach sie „ich bitte dich, das Kind säuge ich und bin keine Mutter, mache mich zur Frau, hier und jetzt vor allen auch vor meiner Mama“.Mir flossen Tränen über die Wangen, welche sie mit Küssen bedeckte. Ihre Mama erkannte den Wunsch ihrer Tochter, als sie uns sah. Ich umfasste ihren kleinen knackigen Po und hob sie aus dem Fluss. Sie schlang ihre Schenkel um meine Lenden und hielt den Degen fest in der Hand. Ihre Mutter und Ellen legten Umhänge über unsere Schultern, als wir uns auf den Holzstamm am Feuer setzten, dabei ergriff sie meinen Schwanz mit den leisen Worten „Joona prüfe bitte ob ich meine Scham richtig rasiert habe, sonst musst du es sogleich verrichten. Niemand erkannte durch die Umhänge unser Treiben. Lily ergriff mein Liebesschwert und setzte ihn an ihrer Scheide an. Ganz langsam glitt sie über meine nassen Schenkel mir entgegen, bis mein Schwanz tief in ihrer Fotze steckte. Vorsichtig ritt sie auf meinen Lenden, das Blut ihres Jungernhäutchens tropfte zu Boden, dabei biss sie mir leicht in die Halsschlager. Unsere Degen hielten wir weiterhin fest in den Händen. Ihre Mutter kam auf uns zu, die unser Treiben erahnte. Sie zog eine Nadel und einen roten Krug hervor, als sie sagte „nun bist du eine Frau und wirst wie wir von ihm gefickt. Joona gebe den Saft, aus dem Leben entsteht, in die Fotze meiner Tochter“. Nun da allen bekannt war was wir trieben begab ich Lily auf eine Decke, welche uns ihre Mama bereitlegte. Noch immer befand sich mein Schwanz in ihrer Fotze, als ich sie ablegte und sie ihre Schenkel öffnete. Zoe hielt mich an den Schultern, sodass ich aufrecht kniete. Valentiné nahm eine spitze Nadel mit roter Tinte, sie tätowierte Lily die Fleur de Lys aufs Schambein und sagte „halt still mein Kind. Joona fickt mich täglich wenn er zu mir kommt. Nun machte er dich zur Frau und Mutter“. Langsam trieb ich weiter meinen Schwanz in ihre Fotze. Wimmernd und bibbert bat sie „Chevalier, fick mich wie du es mit Mama treibst, nun spritz mir ein Kind in den Leib. Gib mir dein Leben“. Ihre Cousinen hielten sie an den Armen und sahen wie ihre Mutter das Tattoo stach. Noch war ich nicht am Ende und trieb meine Liebeslanze erneut in ihre Möse, als ich spürte wie sich ihre Scheidenmuskulatur zusammenzog. Sie bohrte ihre Fingernägel, wie Dolche, in meine Oberarme. Schmerz und Geilheit trieben ihren Fotzensaft aus der Möse. Ich ließ ihr keine Ruhe und fickte sie weiter. Bei jedem Stoß versuchte sie mir entgegen zu kommen, dabei hielten sie ihre Cousinen.Ich hatte keine Wahl, um meinen Liebesdiener wiederholt in ihre Möse gleiten zu lassen. An ihren Schamlippen bildete sich weißer Schaum. Schweiß rann an ihren Titten herab auf das dunkle Tuch des Umhangs. Lily bat darum. „Joona, ich bin ein Musketier wie du. Nun hast du mich zur Frau gemacht“. Sie erlebte ihren nächsten Höhepunkt. Weiter trieb mein Schwanz sein Unwesen tief in ihrer Scheide, als sie erneut nach geschätzten 30 Stößen kam. Ihre Möse zog sich derart zusammen, als wollte sie meinen Schwanz abschnüren, doch trieb ich weiter meine Ficklanze in ihren Unterleib, bis sie zu einem multiplen Höhepunkt erlangte. Sie zitterte, wimmerte und schluchste. Lily konnte nicht mehr sie bekam kaum noch ein Wort über ihre Lippen. Valentiné hatte ihr Werk vollbracht. Noch immer stieß mein Liebesdiener in Ihren Unterleib als sie sich aufrichtete und auf ihren Venushügel schaute. Dabei spritzte ich ihr den Saft, aus dem Leben entsteht, tief in ihren Unterleib bis hin zu ihren Eierstöcken.Langsam überreichte sie mir den Degen, mit den Worten „ich trage nun ein Kind der Freiheit in mir, bitte lass es eine Tochter werden, mit dem Willen unserer Königin“. Mein Schwanz schmerzte von der Fickerei. Lily schlang die Arme um meinen Hals und ließ sich von mir tragen, in dem sie ihre Schenkel um meine Lenden begab, dabei lagen meine Hände auf ihrem Po.Lily und ich begaben uns unter meinen Umhang und schliefen ein. Ihre rechte Wange ruhte auf meiner Brust. Erneut hielten wir die Klingen fest umschlossen, als wir uns aneinanderschmiegten.In den Morgenstunden, der Dunkelheit, spürte ich wie sich Louise an mich schmiegte und Lily sich um den Säugling kümmerte. Sie legte ihren linken Zeigefinger auf meine Lippen und sagte „ich möchte bei dir sein. Lily muss das Kind versorgen“. Schlaftrunken spürte ich erst jetzt, dass sie nackt neben mir lag. Langsam schlang sie sich auf meine Lenden. Am Firmament sahen uns die Sterne zu. Der Mond erhellte unser Treiben in seinem Licht. Louise ergriff sich meinen Liebesdiener und strich mit der Schwanzspitze durch ihre Schamlippen, indem sie mir flüsternd bekannt gab „ich möchte dich nun ebenfalls spüren. Noch nie war mir ein Mann so nahe wie du. Stoß mit deinem Degen in meine Scheide und erlöse mich von meiner Jungfräulichkeit“. Sie ließ sich auf meinem Fickspeer nieder bis er vollständig in ihrem Unterleib verschwand, dabei vernahm ich das Zerreißen ihres Häutchens. Sie ritt auf meinem Schwanz, als gäbe es keinen weiteren Morgen, dabei hielt ich sie an ihrer Taille. Unsere Lippen vereinten unser Treiben. Durch unseren Umhang sowie der Dunkelheit erkannte niemand unser Liebesspiel. Ich spürte wie sich ihre Scheidenmuskulatur zusammenzog und sie ihren ersten Höhepunkt erlebte. Sie presste ihre Lippen auf meine Halsschlagader um ihr seufzen nebst stöhnen zu unterdrücken. Ich bat sie sich hinzuknien, anschließend begab ich mich hinter sie und teilte mit meiner Schwanzspitze die Schamlippen ihrer Fotze. Langsam drang ich in ihre nasse auslaufende Scheide ein. Sie kam mir sehr entgegen bis mein Liebesdiener vollständig in ihrer Möse steckte. Langsam begann ich sie zu ficken, ihr Fotzensaft rann an ihren Oberschenkeln herab. Sie biss sich auf die Lippen um jeglichen Laut zu unterdrücken. Immer wieder rammte ich ihr mein Erzeugerschwert tief in ihre auslaufende Scheide. Ihre strammen Titten wippten bei unserem Treiben. Ihre langen blonden Haare trug sie immer noch als langen Zopf geflochten, welcher ihr von der linken Schulter herabhing. Die drei Töchter wussten, dass der Tod uns näher war als wir ahnten, so fickte ich sie weiter ohne Unterlass. Wenn ich bei den Gefechten fallen sollte, so möge der Herr, ihnen Kinder schenken, welche mein Ziel, den Krieg zu beenden, weiterverfolgen. Louise stöhnte und biss in den Stoff ihres Umhanges, in dem sie ihren Degen wickelte. Der Schweiß rann von ihrem Rücken herab zu ihren Titten um auf dem Waldboden seine Mündung zu finden. Dabei spritzte sie mir ihren Fotzensaft gegen die Lenden. Wimmernd versuchte sie ihren Höhepunkt festzuhalten, doch gelang es ihr nicht. Weiter fickte ich sie hart und zart, ich zog meinen Schwanz fast vollständig aus ihrer kleinen engen Fotze, um ihr anschließend meine Fickharpune mit Wucht in ihren Unterleib zu treiben.?Inés und Vabiené kamen neben uns, sie hielten die rote Tinte sowie die spitze Nadel in ihren Händen, nun sollte auch Louise ihre Tätowierung erhalten. So bat ich meine Fickpartnerin sich rittlings auf meine Lenden zu begeben. Inés ergriff mein Fickschwert und führte diesen erneut in die Fotze ihre Tochter. Vabiené führte die Nadel samt Tinte. Meine Hände ruhten auf den Titten der jungen Frau, als die Spitze ihre ersten Stiche vollführten. Louise rannen Tränen vor Freude über ihre Wangen, als sie sich zu mir drehte, bis sich unsere Lippen fanden. Ihre Mama nahm ihren linken Ohrring heraus und zog eine Nadel hervor. Sie setzte diese an die linke innere Schamlippe ihrer Tochter und stach zu, anschließend begab sie den Schmuck in die neu gestochene Öffnung. ?Nun war es vollbracht, Louise molk meinen Schwanz indem sich ihre Scheidenmuskulatur zusammenzog, dabei pumpte ich meinen Samen, aus dem das Leben entsteht, in ihren Unterleib und flutete ihre Gebärmutter.Ich legte mir meinen Umhang über, zog meine hohen Stiefel an und schritt in Richtung des Flusses. Plötzlich spürte ich Luannes Atem an meiner Wange und ihre Hände an meiner Taille, indem sie zu mir sprach „Joona gelehrt hast du uns den Umgang mit dem Degen, ich möchte ebenfalls als Frau ein vollwertiges Mitglied zur Garde der Musketiere gehören“. Ich, der als Chevalier des Musketierregiments im Dienste unserer Königin stand, sie war schließlich meine Patentante, hätte wohl nichts dagegen, dass ich diesen drei jungen Damen den Wunsch erfülle. Kämpfen konnten sie, die tausend Tage der Kriege haben sie erlebt und mit ihrem Leben dafür eingestanden. Ich besaß den Siegelring der Mutter-Königin so bat ich die junge Dame mir Feder und Pergament zu reichen. ?Louanne überreichte mir dieses, nach kurzen Augenblicken, als wir wieder am Feuer standen. Ich zog meinen Dolch aus der Stiefelscheide und stach in meinen linken Daumen. Mit meinem Blute tränkte ich den Kiel der Feder und begann zu schreiben „In Blute und Vollmacht, der Königsmutter Anne d´Autriche, erhebt der Unterzeichner die hier anwesenden Louanne, Lily und Louise de Roux in den Stand des Chevalier der ersten Garde der Musketiere unseres Königs Ludwig XIV und seiner Mutter“. Die Vorbenannten schwören den Eid der Garde, ihre Klingen und ihr Leben dem Volk Frankreichs zu widmen. Ihren Kindern gute Mütter zu sein, in den Gefechten standhaft zu bleiben und treu dem Glauben, bis das der Tag kommen möge um sie zu erlösen.In Vollmacht; Comte de Chevalier Joona-Louis-Pascale-Jacques-Yves Charles de Batz de Castelmore d´Artagnan.Mit einer Kerze träufelte ich Wachs auf das Pergament und drückte das Siegel des Ringes meiner Patentante darauf.Ich wusste, sollte mein Schreiben Anne nicht gefallen, würde ich als ihr Patenkind vielleicht auch meinen Rang und Kopf verlieren.Anschließend bat ich die drei jungen Damen zu mir und gab ihnen die Nachricht bekannt. Mit Stolz streiften ihre Mütter ihnen den Kasak über.Nun war es Louanne die mich bat „du hast meine Cousinen gefickt und geschwängert, ich bitte dich ebenfalls mir ein Kind zu schenken, auf das es ganz Frankreich und der König hören möge, dass du mich fickst“. Ich nahm sie in den Arm in dem sich unsere Nasenspitzen wie Degen gegenüber standen, bis sich unsere Lippen berührten und unsere Zungen im Duell ihres Gleichen suchten. Ich spürte ihre kalten Hände an meinen Pobacken, als sie mich an sich zog. Ich nahm ihre Hand und schritt mit ihr zum Fluss, so gingen wir weiter ins kühle Nass, welches uns alsbald bis zu den Lenden reichte. Unsere Stiefel waren gefüllt vom kalten Wasser des „Boralde de Saint-Chély-d’Aubrac“. Erst an einer gebrochenen Eiche, welche in den Fluss gestürzt war zog sie mich erneut an sich und beugte sich über den Stamm. Sie bat mich „Joona hier und jetzt, sonst verlässt mich der Mut“. So setzte ich meinen Liebesdiener an ihre Pforte, indem ich mit meiner Schwanzspitze ihre Schamlippen teilte. Langsam drang mein Fickschwert, unter Wasser, in ihre Fotze ein. Ein Wimmern und seufzen drang über ihre Lippen, in dem sie mir bei meinen Stößen entgegenkam. Louanne war es, die den Tag als Frau erleben wollte, sie wollte der Jungfrauenschaft abschwören und sich den Männerschwänzen widmen. Nun sollte ich ihr erster Liebhaber sein, der sie zur Frau machte. Die junge Dame stöhne und schrie mit den Worten „fick mir ein Kind, oder gleich zwei, in den Bauch. Mach mich zu deiner Hure, ja fick mich, wie du auch unsere Mütter fickst wenn unsere Väter nicht in der Nähe sind“. Sie wusste Bescheid, dass ich auch mit ihren Erzeugerinnen fickte, da sie uns oft dabei beobachteten. Selbst bei der Weinlese fickte ich ihre Erzeugerinnen. Meine Lenden klatschten gegen ihre Pobacken, welches durch das kalte Wasser gedämpft wurde. Ich entzog ihr meine Fickharpune und drehte sie. Als ich sie auf den Arm nahm fand mein Schwanz seinen Weg von alleine in ihre auslaufend nasse Fotze. Zoé erblickte uns am Strand und schaute ihrer Tochter und mir zu, sie spreizte die Beine und fingerte sich ihre kleine Möse. Was ich nicht einmal ansatzweise ahnte bekamen meine Ohren zu hören, als Louanne zu mir sprach „du hast unsere Mütter geschwängert, sie tragen Töchter unter ihrem Herzen, bei Tante Vabienné und Tante Inés scheinen es Zwillinge zu werden. Mach mich dick. Kinder sollen wachsen wie Weizenfelder. Mach aus uns Korsarenbräute die allen Schwänzen zu willen sind“.Weiter fickte ich die junge Dame ohne Unterlass, die wippend auf meinem Schwanz ritt, dabei hielt ich sie an ihren festen strammen Pobacken, sie hatte ihre Schenkel um mich geschlungen. Ihre spitzen dolchartigen Fingernägel bohrten sich in das Fleisch meiner Oberarme. Sie wusste sobald wir ans Ufer zurück kämen erhielte sie ebenfalls ein Tattoo auf ihrem Schambein. Sie bat mich „Chevalier, bitte stech du das Tattoo und nimm den glühenden Siegelring dazu“. Ich wusste warum sie es sagte. Als ihr Dorf brannte kamen Menschen in den Flammen um. Es waren Engländer die es in Brand stecken, ihr Hass war so immens, dass sie die Verlorenen nie vergessen kann, dabei war sie erst im Alter von 3 Jahren, als sich das Unglück ereignete.Ich trug sie auf meinem Schwanz wippend ans Ufer. Zoé holte die Tinte, dabei sagte sie „so mein Mädel, nun bist du Eine von uns. Joona wird dich tätowieren und die Fleur de Lys stechen. Ich halte deine Hand. Nun werden wir zu sechst Mütter, deren Kinder nur einen einzigen Vater haben werden. In mir reifen Zwillinge so wie sie mich innerlich bearbeiten“. ?Weiter fickte ich die junge Maid die ich nun bat sich auf den Boden zu begeben. Mein wollener Umhang diente ihr als Kissen. Ich kniete mich mit ihr und legte sie auf das feuchte Gras, dabei behielt sie meine Liebeslanze weiterhin in ihrer Scheide. Ihre Schenkel begab sie auf meine Schultern. Louise und Lily hielten sie an den Schultern. Weiter trieb ich meinen Schwanz tief in ihren Unterleib, dabei fickte ich sie hart und zart. Ihre Fotze vibierte, ihre Scheidenmuskulatur zog sich pulsierend zusammen. Sehr intensiv erlebte sie diesen Höhepunkt, indem sie ihrem Mösensaft gegen meine Lenden und Oberschenkel spritze.Wir schauten uns in die Augen, als sich unsere Lippen vereinten und sich unsere Zungen duellierte, als wenn zwei Fechter, im Kampfe mit ihren Degen gegeneinander richten. Nur die Liebe zu den Damen macht es mir möglich ihr Empfinden zu verstehen. Ich beließ meinen Schwanz in ihrer Scheide, als ich die spitze Nadel in die rote Tinte eintauchte. Mit zitternder Hand setzte ich die Spitze an ihr Schambein, langsam tat ich mein Werk. In ihre linke Leiste tätowierte ich die Worte „Un pour tous, tous pour un“ in die Rechte die „Fleur de Lys“. ?Als nächstes stach ich drei Degen welche zum Himmel ragen, indem sich die Spitzen kreuzten, dabei ließ ich das tropfenden Blut mit ins Tattoo einfließen, welches wir für unser Vaterland bereit sind zu vergießen. Darunter stach ich meinen Spitznamen wenn ich mit meinem Vater zur See fahre „le corsaire rouge“. Louanne glaubte tausend Tode sterben zu müssen. Sie schaute sich mein Kunstwerk an. Tränen rannen über ihre Wangen, dabei bat sie mich „Joona, ich bitte dich um den Kuss des Lebens, ich liebe dich“. Unsere Lippen vereinten sich erneut. Anschließend begaben Louanne und ich uns unter das wärmende Fließ meines Umhangs und schliefen die wenige Zeit welche uns noch, bis zum Aufbruch, blieb.Die Sonne erschien im Morgengrau, des Firmaments, als ich im Augenwinkel, aufgescheuchtes Wild vernahm. Meine Hand hielt den Degen. Ich weckte Louanne sowie die anderen Damen. Rasch waren wir mit unseren Waffen gefechtsbereit, als wir erkannten, dass uns 30 fremde Reiter angriffen, sie waren noch 350 Schritte entfernt. Ellen, Marikit und Mbali sicherten uns von der östlichen Seite. Lily und ihre Cousinen begaben sich zur westlichen Seite. Inés und Zoé blockten den Norden. Vabiené und ich standen unseren Gegnern im Süden gegenüber. Die Magazine meiner kurzen Pistolenarmbrüste waren mit 24 Bolzen gefüllt. Bei jedem Schuss drehten sich die Wurfarme und spannte die Sehne, aus den Magazinen fuhren die Geschosse in die Abschussschlitten. Zoé und Inés zogen ihre Wurfäxte. Vabiené rammte ihre Helebarden schräg in den Boden. Sie zog ihr rotes Tuch von ihrem Hals und rollte es zusammen. Sie gab einen Stein hinein und schleuderte es. Zwischen ihrem Zeige- und Mittelfinger ließ sie ein Ende frei, sodass dieses Geschoss den Reiter an der Stirn trag. Er fiel reglos vom Pferd. Auch ich tat meine Arbeit, zunächst erkannte ich ihre Herkunft, ihre Degen waren russischer Herkunft. Die Reiter kannten sich nicht in unserer Gegend aus. Drei Kerle trieb ich vor meinem Degen in den Fluss, bis die Untiefe sie wegriss um an den Felsen hängen zu bleiben. Zurück am Ufer nahm ich mir die Anderen. Im Anschlag befand sich immer noch meine Armbrust. Musketenkugeln durchlöcherten meinen weiten Umhang, doch hielt mein Kasak so wie meine Ledergurte, drei Kugeln ab. Gemeinsam gingen wir in den Nahkampf über und griffen unsere Gegner gemeinsam an. Vabiené hieb mit zwei kurzen Äxten gegen drei große Kerle. Sie entsicherte einen Knopf, sodass die Stiele sich um das Dreifache verlängerten. An den Griffenden befanden sich spitze Dolche. Sie hieb gegen ihre Widersacher, da es schließlich ebenfalls um ihr ungeborenes Leben, in ihrem Unterleib ging. Mbali und ich trieben sechs Gegner vor uns her, die mit ihren osteuropäischen Säbeln gegen uns fochten, dabei kannten sie scheinbar die elegante Fechtkunst der Gascogner nicht. Meine Gefährtin ergriff die Klinge ihres Gegners und hielt ihm ihren Degen an den Kehlkopf. Er ahnte was ihm blühen würde, wenn er sich nicht ergäbe und ließ die Waffe fallen. Die Klingen unser Gegner waren stabiler als die unseren, doch durch den elastischen Stahl unserer Degen hatten sie nicht einmal den Ansatz einer Chance. Allerdings begab ich meine Waffe in die Scheide und band mein rotes Tuch vom Hals, darin wickelte ich in die Mitte einen fast faustgroßen Stein hinein. Mein Gegner dachte an ein leichtes Spiel, doch ahnte er nicht, dass ich seinen Säbel ergriff und mit meiner Rechten ihm meine Steinschleuder an die Schläfe schlug. Ein neuer Stein ein neues Glück für unsere Gegner. Lily brauchte Vabienés und meine Hilfe, wir hieben durch die Reihen unsere Gegner. Ich zog erneut meinen Degen und hielt in der Linken meine Steinschleuder. Zoé zog den einen Russen zu Boden und schlitze ihm den Arsch mit ihrem Dolch, er sollte nicht mehr reiten können. Ich stand bereits am Ufer als ich im Wasserspiegel vier Kerle hinter mir sah, welche ihre Dolche und Säbel fest in ihren Händen hielten und gegen mich einsetzen wollten. Dabei kamen, plötzlich die drei Mädels, aus dem Fluss heraus. Sie tauchten auf und trugen ihre Degen zwischen ihren Zähnen, dabei warteten sie auf ihre Gelegenheit sich so einen Fang nicht entgehen zu lassen. Erst jetzt sah ich wie Vabiené den Säugling auf dem Rücken trug und gegen vier Herren focht. Mbali und Ellen hatten 8 Kerle dingfest gemacht und banden ihre Widersacher an ihren Schwänzen aneinander. Mit ihren Degen schlugen sie auf deren Ärsche und trieben sie voran. Marikit hieb mit zwei Klingen gegen ihre Gegner. Ich klinkte meine Armbrust in die Halterung meines Oberschenkels ein und wippte mit dem Fuß auf dem am Boden liegenden Knauf des Degens. Dieser schnellte hoch und glitt mir mit seinem Messingknauf in die Handfläche. Mit zwei Klingen schritt ich auf Marikit zu. Unsere Gegner ahnten, nun ist die Zeit dem Gefecht ein Ende zu bereiten. Die Mädels und ihre Mütter schauten sich an und hieben geschlossen gegen unsere Feinde. Marikit und ich taten das Gleiche. Vier Degen gegen 12 Kerle, denen drei weitere Halunken zur Hilfe eilten. Wir trieben die Jungs in den Fluss. Noch war uns nicht bewusst was geschehen möge. Scheinbar waren sie etwas wasserscheu, einen der Männer packte ich und zog ihn an mir vorbei, auf den Lily bereits wartete, ihre Klinge erledigte sein friedlich Wohl, er ließ seine Klinge fallen und ergab sich. Die Ziege mit ihren langen Hörnern durchbohrte die Oberschenkel dreier unserer Angreifer.Die Jungs vor mir sahen was mit ihren Kumpanen geschah und ließen ebenfalls ihre Waffen fallen. Wir nahmen die Kerle gefangen. Lily, Luanne und Louise holten die Schwänze der Männer heraus und banden dünne Seile daran. Danach zogen sie diese zum Waldbeginn, dort erblickten wir auf dem Jakobsweg ein Duzend Pilgermönche die im Chor das Halleluja sangen. Es waren die Geistlichen von Saint-Chély-d’Aubrac, denen wir unsere Gefangenen übergaben.Die Damen und ich begannen unser Lager zu räumen. Die Waffen unserer Widersacher begaben wir gebündelt auf unsere Sättel. Ihre Gäule banden wir aneinander um sie mit uns führen zu können, anschließend sattelten wir unsere Rösser. Die Schabracken und unser Kasak trugen unsere Farben mit dem Wappen der Musketiere. Neun Frauen und ich im Kampfe für den Frieden, so ging unser Weg weiter gen Osten. Wir saßen auf und galoppierten an. Der Morgentau befand sich noch auf den Grashalmen. In den Bäumen hing der dicke Nebel. Die Ziege folgte uns wie eine Amme. Noch immer war der Mond am klaren Himmel zu sehen. Die Sonne mit ihren kräftigen Strahlen, verdrängte diesen lieben Nachtgeist, der stets wie eine Laterne, in der Dunkelheit, über uns wacht.?Ich nahm Lily den Säugling ab und hielt die kleine Justitia in meinem Arm, welche mich lächelnd erblickte. Als wir im Schritt gingen bedeckte ich sie mit meinem Umhang, schließlich hatten wir noch einen weiten Weg vor uns. Wir erreichten nach vier Stunden das Kloster „Dômerie d’Aubrac“. Es wurde von der Äbtissin namens Frederike de la Peyre geführt. 53 Nonnen folgten ihrem Vertrauen. Doch plötzlich sahen wir wie Kanonen in Stellung gegen die geistlichen Mauern gerichtet wurden. Preußen versuchten die Gemäuer einzunehmen.Gemeinsam ließen wir die Pferde am Waldrand zurück. Die Ziege verstand und kümmerte sich um den Säugling, als ich das Kind, an dichten Büschen, zu ihren Beinen begab. Wir sprachen uns ab. Die Mütter und Töchter teilten sich auf. Mbali folgte Vabiené und Louanne, bei Ellen befanden sich Inés und Lily, Marikit standen Zoé und Louise zur Seite. Ellen und ich blieb allein. 12 Kanonen zählte ich, die um das Kloster in Stellung gebracht wurden. Siebzig Mannen folgten ihrem Colonel. Lily warf mir einige Kartoffeln zu und zeigte auf die Lunte die sich darin befand. Sie hatte die Erdfrüchte ausgehöhlt und mit Pulver befüllt, es waren Granaten. Doch soweit konnte ich die Geschosse nicht werfen, so begab ich sie auf die Spitzen meiner Armbrustbolzen. Zoé und Vabiené taten es mir nach. Wir griffen an und zündeten die Kartoffelgranaten. Vor unseren Feinden lagen nicht nur die Klostermauern, sondern auch sumpfiges Gebiet. Wir hatten nicht vor den Feinden die Luft aus den Lungen zu lassen. Es ging um unsere Zukunft.Lily löste die Zügel der Pferde unserer Feinde, sie wollte Frankreich und den Nonnen nicht die schöne weltliche Seite zeigen. Wir mussten handeln, unsere Degen blieben in den Scheiden. Louanne und Louise trugen ihre Dolche zwischen den Zähnen. Vabiené Escort schlich sich verdeckt durch die Büsche an drei Kerle heran. Sie ist eine Einzelkämpferin der bösen Art, ohne dass ihr Gegner einen Laut von sich lassen mögen, erledigt sie diesen. Doch machte sie sich einen Spaß daraus ihnen die Schwänze zu melken. Sie tat als wenn sie eine willenlose Schlampe wäre und tippte den Jungs auf die Schultern, um sie hinter die nächsten Bäume zu führen. Ihr Umhang verbarg ihren Degen, diesen vermochten die Männer als nächstes spüren. Ich grinste in mich. Ich sah wie sie die Männer aneinander band, als sie deren Schwänze lutschte um sich von ihnen anschließend im Sandwich ficken zu lassen. Sie ritt auf einem der Männer und ließ sich von einem anderen in den Arsch ficken. Lily, die ihre Mutter beim ficken zusah, kam an meine Seite und bat mich „Joona, darf ich das ebenfalls erleben“ ich nickte und wies sie zu einer Kanone an der fünf Jungs standen. Sie zog ihre Kleidung aus und versteckte sich hinter den Büschen, bis sie sich ungesehen an die Kanone stellen konnte. Sie stöhnte so laut bis die Männer auf sie aufmerksam wurden. Lily griff den Jungs an ihre Schwänze und wichste sie. Die Kerle wollten die junge Maid ficken. Sie ließ sich von den Jungs nehmen, als wäre eine sie billige Hure, dabei wollte sie keinen weiteren Schwanz in ihrem Arsch. Ich trat hinter die Kerle und hielt sie mit meinem Degen in Schach. Der Mann auf dem sie ritt war ein junger Bursche. Muskulös und bärenstark. Sein Schwanz steckte tief in ihrer Möse, doch bat plötzlich sie „Joona schieb mir deine Ficklanze in den Po“. Ich setzte meinen Liebesdiener an ihren Dienstboteneingang an. Langsam drang ich in ihren Arsch ein. Sie hielt den Kerl mit beiden Händen an seinen Unterarmen. Er versuchte sich zu befreien, doch war ihr Griff fest. Er ergab sich ihrer Fickkunst. Doch spürte er meinen Dolch an seinen Schwanz. Er ließ sich abreiten bis sein Saft in ihre Möse strömte. Um die anderen Kerle kümmerte sich indes Ines.Er wusste was folgen wird. Wir nahmen ihn gefangen und bekleideten uns. Gemeinsam halfen wir dem Soldaten auf und führten ihn zur Lichtung, der Saint Merlot. Wir banden ihn an einen Baum. Der Monsieur erkannte seine Lage und ahnte seine aussichtlose Lage dabei ließ er es geschehen.Lily und ich mussten erneut unseren Feinden von den Klingen befreien. Ihr rannen Tränen über die Wangen als sie zu mir sprach „Chevalier, warum ist der Tod unser Freund und Feind, warum kämpfen wir gegeneinander, warum…..“ ihr Satz verstummte als ich ihre Hand ergriff. Plötzlich spürten wir vier Kerle die uns umgaben, sie richteten ihre Degen gegen uns. Dabei wollten sie unserem Sein der Hölle widmen. Wir zogen unsere Klingen und stellten uns Rücken an Rücken, unsere Umhänge begaben wir in unseren linken Arm. Sie waren unser Schutz und fochten mit den Degen. Vier gegen zwei ist nicht ungerecht, es zeigte uns nur die Schwäche unserer Gegner.Lily trat einen ihrer Gegner zwischen die Beine, der wie ein Baum fiel. Dem anderem trieb sie den Wall empor bis er am Bach der jungen Frau gegenüberstand. Er grinste und focht mit zwei Degen, gegen eine junge Frau, die das Fechten von mir lernte.Ich musste mich um meine unlieben Freunde kümmern. Lily trieb ihren Widersacher in den Fluss. Sie hatte durch unsere Übung gelernt. Ein korpulenter Kerl hieb seine Waffe gegen mich, als wollte er mich in einem Stück zerteilen, wobei ich seinem Degen auswich. Als hätte er eine Axt in seiner Hand trieb er mich den Hang herauf. Mit meinem Umhang schlug ich seine Klinge zur Seite. Seine Augen waren blutrot vor Wut unterlaufen. Er wollte mir seinen Fechtstil aufzwingen, sodass ich auszuweichen hatte. Doch kannte er unsere französische Kunst nicht. Seine Untugend, unser Vaterland anzugreifen, bat mich ihm die Gesetze unserer Mutter Königin zu implantieren. Ich führte meine Klinge wie eine Feder, als meine scharfe Klinge seinen Gürtel durchtrennte. Seine Hose begann von der Hüfte zu gleiten, welche seine Linke fest in den Händen hielt. Als nächstes nahm ich mir die Knöpfe seines Fracks vor.Langsam verspürte mein Widersacher, dass er mit einfacher Fechtkunst gegen mich nichts ausrichten konnte. Sein hasserfülltes spiegelten seine Gedanken wieder. Ich begann dem Spiel ein Ende zu bereiten, in dem ich meine Klinge senkte und mich angreifen ließ. Wutentbrannt hob er kopfüber gegen mich, auf das ich auswich und ließ den kurzen Dolch in meinem Griff herausspringen, mit dem ich in seinen dicken Hintern stach, wobei ich nicht einmal die dicke Fettschicht seines Arsches beschädigte. Sein schweißbedeckter Leib lechzte nach Atem, doch gönnte ich ihm keine einzige Sekunde und trieb ihn den Hang herauf. Jedem Hieb und Stoß meines Degens musste er zurückweichen. Als er den Scheitel des Hügels erreichte tauchte unsere Ziege auf. Sie stieß dem guten Herren mit Ihren Hörnern ins Gesäß. Dieser fiel wie ein Baum und rollte den 200 m hohen Hang kopfüber herab.Ich hielt Ausschau nach meinen Damen und erblickte sie im wilden Gefecht. Die drei Mädels standen Rücken an Rücken und fochten gegen 10 Widersacher. Schnell eilte ich ihnen zur Hilfe, dabei nahm ich mir drei der Herren zu gleich vor. Wer unser Vaterland überfällt sollte spüren, dass er nicht ungeschoren davonkommt. Louanne, Lily und Louise lösten sich und nahmen sich den Rest ihrer Angreifer vor. Nun wussten Sie warum ich ihnen die Fechtkunst beibrachte. Sie setzen den Männern zu und trieben sie in die Enge bis sie ihre Waffen fallen ließen und ihre Klingen zerbrachen. Durch meine Unachtsamkeit übersah ich einen dieser Halunken, welcher mir mit seiner Degenspitze in den linken Oberarm stach, in den ich meine Klinge hielt. Ich wandte mein Haupt zu ihm als ich sprach „Pour la France, la liberté et notre peuple“. Niemand bedient sich meinem Leben ungestraft. Die tausend Tage der Kriege hatten begonnen und unser Ziel war es, sie zu beenden. So wechselte ich meinen Degen in die Rechte um meinem Angreifer die Stirn zu bieten. Ich wollte ihn nicht richten, noch verspürte ich Hass gegen meinen Gegner. Ein grinsen konnte ich mir nicht verkneifen, als ich auf meine Wunde blickte. Ihm schien nicht bewusst was er tat, erst als ich meine Klinge gegen ihn richtete, verstand er, es geht um sein Leben. Die Gascogner nennen mich „le corsaire rouge“ sonst werde ich als „Diable rouge“ bezeichnet. ?Lily wollte mir zur Hilfe eilen, dabei rief ich ihr zu „bleib, er stach nur auf den Knochen, füge dich und kämpfe, den Degen führt meine Hand“. Ich griff meinen Widersacher an. Dabei spürte ich seine Unsicherheit, da mir die Verletzung nicht im Geringsten schadete. Mein Körper kochte, über meine Dummheit, nicht aufmerksam gewesen zu sein. Die Blicke meines Angreifers kreuzten die Meinen. Ich erkannte Chantalle aus unserem Ort. Obwohl sie ein Tuch, zur Vertuschung ihrer Identität vor dem Gesicht trug. Sie war die Verräterin, Intrigantin und Lügnerin welche gegen uns ins Feld zog. Meine Bitte sich zu ergeben ignorierte sie mit einem kopfschüttelnd. Scheinbar war ihr Hass tiefer als der Tod.Unsere Degen begaben sich aneinander und schlugen Funken. In diesem Duell musste ich ihrer Klinge ausweichen. Vier preußische Soldaten eilten ihr zur Seite. Valentiné wollte mir zur Hilfe eilen, doch bat ich sie „bleibe und halte mir weitere Kerle vom Hals, mit einer Verräterin, samt ihren vier Freunden werde ich alleine fertig. Wer unser Vaterland verrät erwartet keine Gnade“. Die rote Suppe lief aus meiner Wunde, als ich in den Korb ihres Degens stach und begann diesen zu drehen. Ihre Klinge glitt ihr aus der Hand und landete vor meinen Füßen, ich hob sie auf und warf ihr den Degen zu. Ich wollte noch kein Ende. Sie sollte Buße ablegen, für das was sie unserem Volke auf diktierten wollte. Um ihre Freunde kümmerte sich Louise und Louanne.Als sie ihren Degen erneut gegen mich richtete kannte sie meine Antwort, ich trage nicht umsonst meinen Namen. Ja sie sollte am Leben bleiben und eine Lektion erfahren. Erneut begegneten sich unsere Schneiden. Die Funken sprühten bei jedem Hieb. Drei Töchter bangten um ihre Väter die durch ihren Verrat im Lazarett lagen. Ihre Mütter bangten um ihre Männer. Nun war es an mir der Verursacherin des Übels auf den Grund zu gehen. Es waren ihre Mannen, die uns bekämpften. Chantalle wollte dichter an Lily heran, um sie als Geisel nehmen zu können, doch war mein Mädel auf der Hut. Sie ließ meine Gegnerin bis auf Zeigefingerspitze an sich herankommen und gab ihr einen Kuss auf die Lippen, als nächste spürte die Verräterin die scharfe Klinge an ihrem Hals. Lily grinste mich an und gab mir bekannt. „Mein Schatz für dich. Für die Freiheit unseres ungeborenen Kindes“. Nun wusste sie warum ich ihr beim Fechtunterricht stets einen Kuss gab, wenn sie mir zu nahe kam.?Es war vollbracht, die Verräterin ließ ihren Degen zu Boden gleiten und ergab sich. Ebenfalls ergaben sich ihre Eidgenossen. Auf Verrat stand der Tod, den hätte sie sich wünschen sollen, nun fällte ich das Urteil, doch wollte ich zunächst ihr Motiv erfahren. Ich forderte sie auf sich zu erklären, dabei schrie sie mich an „gebe mir eine Klinge, ich vierteile dich“. Ich bat Lily ihr den Dolch vom Hals zu nehmen. Als nächstes, als meine Mitstreiterin einige Schritte von Chantalle entfernt stand, warf ich ihr einen Preußendegen zu und rief „En garde. Jetzt gibt es weder Gnade noch ein Leben nach dem Kampf, ich werde deinen Leib reinigen und zum Preußischen König senden, auf das er sehen möge, wie wir mit Verrätern umzugehen pflegen. Die 1000 Tage der Kriege mögen mit dir enden“. Ich wollte ihr nicht die Luft aus den Lungen lassen, doch sollte ihr Schweiß sie zeichnen.Chantalle hob den Degen auf und griff mich ohne ein Wort an. Sie hieb und stieß mit ihrer Klinge, doch leider ins Leere. Mein Leben ist Gottes Unterpfand für Frankreich. Ich ließ mich von ihr an Büsche und Bäume dirigieren, doch ahnte sie nicht, was ihr zu blühen drohte. Mit der Degenspitze durchtrennte ich den Stoff ihrer weißen Bluse. Sie stach nach mir, doch blieb ihr Degen im Baum stecken. Verzweifelnd versuchte sie ihn heraus zu ziehen. Ich drehte ihr den Rücken und ging zwölf Schritt zur Seite, auf das sie ihre Waffe befreien konnte. Plötzlich griff sie mich erneut an, dabei strich meine Klinge nur an ihrer Schulter liegendes Haar, so trennte mein Degen es von ihrem Haupte. Ich erblickte die Ungleichheit ihres Scheitels und strich im nächsten Zuge die gegenüberliegenden Seite ihrer Haarpracht auf dieselbe Länge. Ihre Locken fielen zu Boden, als sie bemerkte wie nahe meine Klinge an ihrem Halse war. Doch stritt sie weiter gegen mich. Ich ließ sie bis auf einen Meter an mich heran, dabei sah ich ihren Dolch in der Einen, in der Anderen ihren Degen. Ich griff nach ihrer Bluse und zog sie an mich und gab ich ihr einen Kuss, in dem ich sprach „so schmeckt der süße Tod“. Sie wollte mit ihrem Dolch zustoßen doch ergriff ich ihre Hand. Ich stieß sie von mir. Noch war nicht der Zeitpunkt an dem ich sie haben wollte. Sie focht geben mich, als sie sich drehen musste, zerschnitt mein Degen ihre Hose am Po und als nächstes senkrecht den Stoff ihrer Bluse am Rücken. Ich begab mich dicht an sie bis auf einen halben Meter und ergriff ihre Arme, doch behielt ich meinen Degen in der Hand, ich betätigte den Knopf und eine kurze Klinge fuhr nach hinten aus dem Griff des Degens. Mit diesem durchtrenne ich ihren Gürtel. Als nächstes hakte ich die kurze Klinge oben in ihre Bluse ein und ließ sie herab gleiten. Fast nackt stand sie nun vor mir. Nicht einen einzigen Kratzer hatte ihr Leib abbekommen. Sie sollte unbeschadet dem Ende ins Auge blicken. Schweiß rann von ihrer verräterischen Stirn und lief an ihren Titten herab.Sie strich sich die hinderliche zerschnitte Bluse vom Leib und stieg aus ihrem Beinkleid. Nun stand sie nackt vor mir mit ihrem Degen. Lechzend nach Blut stritt sie mit ihrer scharfen Waffe gegen mich. Nein, ich hingegen verteidigte nur mein Leben und wehrte lediglich ihre Klinge von mir. Sie sollte spüren wie sich unsere Mannen und Frauen fühlten, wenn die letzte Stunde schlug. Ich bat Vabiené um ein Glas Rotwein. Als sie mir einen Krug randvoll übergab, bat ich um ein zweites Glas, welches ich Chantalle reichte, doch zerschlug sie es mit der Klinge, sodass ich lediglich nur noch den Stiel in der Hand hielt. Sie kannte keine Liebe, so füllte ich meinen Kelch und trank das rote Blut unseres Landes, welches aus den Trauben der Gascogne bereitet wird.?Die Verräterin unseres Landes sollte am Altar des Klosters um Abbitte flehen, nur wollte sie mir immer noch die Luft aus den Lungen lassen. Ich ließ einen Schluck des guten Roten in meinem Mund und dränge ihr meine Klinge auf, bis ich ca. eine Elle von ihr entfernt war um ihr einen Kuss zu geben. Genau in diesem Moment ließ ich den Wein in ihren Mund rinnen. Sie sollte den süßen Tod schmecken. Sie stieß mich mit ihrer Hand weg und richte ihre Waffe gegen mich. Nach dem sich unsere Klingen erneut kreuzten setzte ich mich provokant auf einen Baumstumpf und ließ sie auf mich zu stürmen. Nackt wie sie war stach sie auf mich ein, doch wich ich ihrem Degen aus, bis sie hinter mir in den weichen Sumpf fiel. Die Nonnen schauten sich unser Treiben von der Klostermauer herab an. An einer der Zinnen stand die Äbtissin. Sie hielt das heilige Buch in der Hand und bat mich um Gnade für meine Angreiferin „Musketier ich bitte dich um das Leben dieser Sünderin, verschone sie“. Als ich diese Worte hörte stach Chantalle erneut auf mich ein. Doch war ihre Waffe erfolglos. Ich schlug ihr den Degen aus der Hand. Mit der Fußspitze warf ich ihr diesen erneut zu, auf das sie sich ehrenvoll ergeben möge. Nackt mit wippenden Titten rannte sie auf mich zu. Die Spitze ihrer Klinge war auf mich gerichtet. Nun wollte ich der Äbtissin ihren Wunsch erfüllen und war ihr Richter. Ich ergriff den Degen meiner Angreiferin mit dem Rechten in der linke befand sich meine Klinge. Sie zerrte und wollte ihre Waffe aus meiner Hand ziehen. Sie war kraftlos, schweißgebadet ließ sie ihre Klinge in meine Hand gleiten, da sie annahm ich überreiche ihr erneut den Degen, doch weit gefehlt. Mut hat diese Intrigantin. Plötzlich ertönten die Stimmen einiger Mönche, welche sich auf dem Jakobsweg befanden. Sie sangen ein weltliches Lied über Freiheit, Gleichheit, Brüderlichkeit („Liberté, Égalité, Fraternité“).Nun lag es an mir, Gnade walten zu lassen. Hass bringt mich nicht weiter, so bat ich die Geistlichen zu mir um meiner Gegnerin die Beichte abzunehmen. Ich bat den Abt sich zu mir zu begeben, dazu erkannte er das tätowierte Lilie an meinem Halse, es ist der Namen unserer Königin. Er wusste somit für wenn wir eintraten. Der Mönch ging ins Unterholz um Kräuter zu sammeln, als er wieder bei uns war zog er den Dolch aus meinem Stiefel und zerschnitt den Stoff meines verwundeten Armes. Er begab die Blätter auf die Verletzung mit den Worten „Musketier, nur dein Arm trägt den Stich, nicht dein Herz. Um deine Gegnerin, welche auf Abwegen wandelte, bemühen wir uns. Keine weltliche Macht sollte sie vor Gottes Toren schreiten lassen“ dabei verband er meine Wunde.Die Nonnen des Klosters schritten vor das Tor und kamen auf uns zu. Erst jetzt erkannten Sie das wir neun Frau und ich als Mann die feindliche Überzahl geschlagen hatten. Der Glaube soll Gottes Wille sein, jedoch der Degen ist der Unsere. Die Geistlichen senden Tauben des Friedens aus, die Königin uns Musketiere. Immer den Tod vor Augen setzen wir uns für unser Land ein. Unabhängig davon das Band des Lebens zwischen meiner Mama und mir bei der Geburt durchtrennte, war unsere Königin meine Amme, sie zerschnitt die Nabelschnur um mich meiner Mutter in den Arm zu legen. Nun hielt ich Gericht gegen unsere Widersacherin. Die Äbtissin bat Chantalle sich ins Moos zu knien. Die Mönche wollte sie am Haupte ihrer Haare halten. Doch bat ich „lasset ab, nur wer frei ist kann unser Land vor den Feinden schützen. Chantalle soll als Dreilochhure hier an den Klostermauern des Jakobsweg stehen und ihre Freier dienen, hierfür werden nun die Mönche die junge Dame einficken, bis sie nicht mehr stehen kann.Zunächst widersprachen die Geistlichen meinem weltlichen Urteil, allerdings erkannten sie den Grund meines Handelns. Louise, Lily und Louanne, begaben ihre Klingen in die Scheiden und zogen dem Abt die Kordel von seiner Kutte, anschließend banden sie die Verräterin ans Tor des Gotteshaus. Sie sollte auf die Pilger warten die sie ficken mögen. Nach einer geraumen Weile hörten wir Reiter, welche im Galopp aufs Kloster zuritten.Mönche sowie Nonnen ergriffen die Degen unserer Feinde und standen uns zur Seite. Als wir die Soldaten aus der Ferne erblickten verstockte ihnen der Atem. Das wallende lockige Haar zwei Frauer mit dem Kasak der grauen Musketiere erblickten wir. Es war meine Patentante, die Königsmutter Anne d´Autriche sowie meine Mutter. Ihnen folgten 700 Mannen und Frauen um unser Land Frieden zu geben. Erst jetzt erkannten die Geistlichen unsere Heeresführerin samt meiner Mama Françoise unseren Capitaine. Ich erwartete ein Lob unserer Königin doch erhielt ich, als sie absaß, eine schallende Ohrfeige mit den Worten „Chevalier, ihr nahmt meinen Ring, nun dafür war der Schlag in ihr Gesicht. Hebt meinen Handschuh auf und zieht euren Degen, ich will euch lehren Urteile zu fällen. Keine Frau soll um ihren Mann bangen der ins Feld zog, kein Kind soll um seinen Vater trauern. Ihr wart es der dem preußischen König das Fürchten lehrtet, seine Dorfhure schicken wir zu ihm, gespickt mit unseren Lanzen“. Nun bat ich ums Wort „euch unsere Königin möget Gnade walten lassen, ich habe Chantalle verurteilt. Sie soll hier am Jakobsweg als Hure ihre Freier entgegenstehen“ Annes ernste Miene verflog sich in ein süffisantes Grinsen, dabei zog sie mich am Ärmel an sich heran. Sie sprach „bei deiner Seele, lasset Gott ihr vergeben und bitte um Gnade in der Hölle, sollte sie den Freiern nicht zu Diensten sein“. Mit einem Wink befahl sie „ihr fünf Mönche werdet sie binden. Ich will ihren verräterischen Arsch sehen. Alle Musketiere absitzen und zum ficken aufstellen“. Anne sprach weiter sehr leise flüsternd zu mir „und du mein Liebster wirst den Anfang machen. Ich will, dass sie für jeden gefallenen Franzosen ein Kind gebärt. Sie soll die Schmerzen erleben die mir wiederfahren, wenn ich die Schreiben, der zurück gebliebenen Ehefrauen erhalte und beantworten muss. Du weißt mein Junge, ich entband dich deiner Mama“. Ihre ernsten aber bestimmenden Worten berührten mich. Nun war es an mir ihr den Federhandschuh zu übergeben, dabei wusste sie, ich gebe mein Leben für das Ihre, doch zog sie ihren Degen, als wollte sie mich durchbohren. Da erklangen die Stimmen dreier junger Damen Lily, Louise und Louanne, welche um mein Leben bangten als sie wie aus einem Munde sprachen „Königin ihr begeht Unrecht, nehmt unser Leben“. Sie glaubten Anne wolle mir den Atem aus den Lungen lassen, dabei wollte meine Patentante nur signalisieren wie sehr sie mich liebt. Ich kniete vor ihr doch blieben meine Lippen stumm. Anne kam auf mich zu und ließ ihren Degen fallen. Sie ergriff mein Haupt. Erst als ich ihre Lippen auf den Meinen spürte erkannten alle das Ansinnen unserer Regentin. Noch immer befand ich mich kniend vor ihr und sie hielt, in ihren Händen meine Wangen. Sie wusste ich gehe für sie durch die Hölle und zerlege dessen Boten scheibchenweise.Unsere Königin nahm meine Hand und begab ihren Ring in die Meine. Niemand wusste warum sie es tat und in welcher Verbindung wir stehen. Anne bat Lily um den Säugling „gebe mir das Kind. Du und deine beiden Cousinen trag Leben unter eurem Herzen. In 40 Wochen werdet ihr Mütter, Joona ist der Vater eurer Erstgeborenen“. Sie steckte mir ihren Siegelring an den linken kleinen Finger und bat mich „du ruhst in meinem Herzen und Gedanken, bescherst mir keine ruhige Nacht und doch beendest du den Krieg mit den Preußen“.Unsere Musketiere hatten den Preußenkönig gefangen genommen. Er sollte nun mitansehen, wie die Dorfhure Chantalle von allen 700 Mannen gefickt wird. Anne griff mir in den Schritt mit den Worten „so mein Lieber, nun wird es Zeit mach du den ersten Fick bei der Verräterin. Sie knöpfte mein Beinkleid auf und kniete sich vor mich, ihre Lippen umgaben meine Liebeslanze. Mit ihren 63 Jahren war sie eine erfahrene Bläserin. Schnell ragte mein Schwanz empor, sodass ich hinter Chantalle trat und ihr meinen Schwanz ohne Vorwarnung in die Fotze stieß, die gebeugt am Klostertor gebunden kniete. Von hinten trieb ich mein Erzeugerschwert tief in ihren Unterleib. Sie fluchte und schrie, als sie vor Wolllust ihren ersten Höhepunkt entgegen eilte.Anne zählte meine Stöße, bei 77 kam die Verräterin zum zweiten Male. Nun zog ich meine Ficklanze aus ihrer Möse und setze diesen gut geschmiert an ihrer Rousette an. Ohne ein Wort trieb ich diesen bis zum Anschlag in ihren Arsch. Lily, Louise und Louanne standen um uns und schauten sich das geile Treiben an. Nach dem sie einen analen Höhepunkt erlange zog ich meinen Liebesdiener aus ihrem Hurenarsch und bat den nächsten Musketier meine Stellung einzunehmen. Ich schloss die Knöpfe meiner Hose und schritt mit meinen Begleiterinnen, unserer Königin und meiner Mama ins Kloster.Lily kam an meine Linken. Sie trug Justitia auf dem Arm. Ihre Cousinen gingen an meiner Rechten. Drei Versorgungswagen unserer Einheit durchfuhren ebenfalls das Eingangstor. Anne sprach mit der Äptissin, „ich gebe euch eine Ladung der Speisen und Güter, weitere Waren werdet ihr erhalten. Nehmt die Bedürftigen auf und gebt ihnen Speis und Trank“. Als nächstes richtete sie ihr Wort an den Abt der Mönche „ihr pilgert und verkündet den Frieden. Den Preußenkönig schicken wir wieder zurück, allerdings erst nachdem er alle Viehställe hier in der Region Aveyron und Lozère gereinigt hat, hinzu wird er lernen Kühe zu melken. Aber nun lasst uns in der Küche die Speisen für unsere Truppe herrichten“. Sie trug mit uns die Lebensmittel und band sich eine Schürze um, gemeinsam schnitten und kochten wir. Anne rührte in den Kesseln. Sie befahl „Joona, los her mit den Zwiebeln, Lily hast du die Möhren geputzt und geschnibbelt, Louanne hast du das Knochenfleisch angebraten. Louise wo bleibt das andere Gemüse, her mit der Gerste, Rüben und Hirse“. Schweiß rann von ihrer Stirn. Ich strich ihr diesen von ihrer zarten Haut und gab ihr einen liebevollen Kuss. Ein grinsen konnten wir uns nicht verkneifen, bis unsere Lippen sich erneut berührten. Sie ist mein Leben, unsere Königin für die jeder Musketier das Seine gibt. Als ihr Patenkind stand ich in ihrer Pflicht, sowie in ihrer Gunst. Anne mochte keine Höflinge, da sie stets an vorderster Reihe unsere Truppen anführte.Draußen vor den Klostermauern fickten unsere Mannen die Verräterin. Der Geograph des IV. Infanterieregiment, unserer Gegner, zeichnete Bilder wie Chantalle zur Dreilochabfickhure gemacht und benutzt wurde. Nur meine Mama, unsere Königin und ich riefen die Bedürftigen und Geistlichen heran. Anne als Königin ist der Unterpfand in Gottes Gnaden, ich nur ihr Knecht. Gemeinsam füllten wir die Teller aller herbeikommenden Gäste. Niemand nahm sich von gefangenen Preußen ihr Hab und Gut, auch sie erhielten von unseren Speisen. Wir Franzosen lassen niemanden Hunger leiden, auch nicht unseren Feind.Unsere Heeresführerin sprach zu mir: „Joona ich entband dich deiner Mama. Du bist mein Sohn obwohl ich nicht deine Mutter bin. Du gibst stets dein Leben für unser Land und für mich. Allerdings bitte ich dich. Gebe dem Volk den Frieden, sollte es mein Leben kosten“. In meinen Händen hielt ich einen großen schweren Kessel mit den Speisen für alle Anwesenden, dabei drückte ich Anne einen Kuss auf ihre Lippen. Nicht ich bin wichtig, sondern wir als zusammenstehendes Volk. Die Nonnen und Mönche legten ihren Habit ab und setzen sich nackt ans Feuer, um allen zu demonstrieren, dass nicht das wertvolle Tuch einen Menschen macht. Wir verköstigten unsere Gefangenen, sie sollten satt in Frieden ziehen, dabei erfuhren sie, dass mit uns Franzosen ihre Feindschaft begann. Kein Degen, keine Muskete ist es Wert im Einsatz zu stehen. Allerdings sollte unser Vaterland angegriffen werden, setzen wir uns für die Freiheit ein. Nun verstanden unsere Feinde unser und das Leben meiner Begleiterinnen und Begleiter. Wir sind schlimmer als der Tod, doch lehrte mich meine Patentante Gnade walten zu lassen. Justitia war erst vor wenigen Tagen zur Welt gekommen, niemand kannte ihre Mutter, so nahm sich Anne ihr an. Sie erhielt ihren vollständigen Namen „Justitia de Bourbon, Duchesse de Orléans, Mademoiselle la Juste, Chevalier des mousquetaire“. Unsere Königin stach mit dem Dolch in ihren Daumen, sie tauchte anschließend den Federkiel in das rote Lebensblut und schrieb einige Zeilen auf einem Pergament. Sie bat mich um ihren Siegelring, den mein kleiner Finger schmückte. Zu guter Letzt nahm sie Kerzenwachs und setzte ihr Siegel unter ihre Unterschrift.Sie schrieb:Avec ce document, signature et sceau, j’adopte Anne d´Autriche comme Reine de Franceen la grâce de Dieu et Grande Duchesse d’Autriche, l’enfant Justitia et lui donne le nom de Justitia de Bourbon, Duchesse de Orléans, Mademoiselle la Juste, Chevalier desmousquetaires. ?Übersetzt:Mit diesem Dokument, Unterschrift und Siegel adoptiere ich, Anne d´Autriche; Königin von Frankreich in Gottes Gnaden und Großherzogin von Österreich, den Säugling Justitia und gebe ihm den Namen Justitia de Bourbon, Duchesse de Orléans, Mademoiselle la Juste, Chevalier des mousquetaire. ?Nun war es eine höchst offizielle Angelegenheit. Justitia war nun die Adoptivtochter unserer Regentin und würde beim plötzlichen Tode König Ludwig XIV und seinem Bruder Philipp den französischen Thron besteigen dürfen. Allerdings war dieses rein spekulativ, schließlich waren ihre Söhne bei bester Gesundheit und fickten am Hofe alles was nicht schnell genug auf den Bäumen war. Sie feierten Orgien bis die Herren ihre Schwänze nicht mehr hoch bekamen und den Damen die Fotzen wund gefickt waren.Die Gefangenen, unsere Truppen, Nonnen oder Mönche, alle bekamen eine Mahlzeit. Anne entband Inés, Zoé und Vabiené mit ihren Töchtern aus dem Dienst. Sie sollten mit den Versorgungstruppen zurück in die Gascogne reisen. Ich erhielt einen weiteren Auftrag den ich mit meiner aus Malaysia stammenden Ehefrau Marikit, sowie unseren afrikanischen Begleiterinnen Ellen und Mbali zu bestreiten hatten. Ja, wir vier sind die schnelle Einsatztruppe der 1. Garde der Musketiere. Egal wo die Luft brennt werden wir entsandt. Zu der vorgenannte Truppe zählen insgesamt 324 Frauen, welche aus allen Ländern dieser Welt stammen und in Frankreich ihre Heimat fanden. Es wurde Zeit für uns aufzubrechen.Anne und meine Mama übergaben mir ein Pergament. Ich verbeugte mich höflichst und nahm die Depesche entgegen. Als ich mich aufrichtete, gab mir meine Mutter einen liebevollen Kuss. Anne nahm mich in den Arm mit den Worten „Chevalier, Ihr seid mein Getreuester. Reitet nach Royan und übergebe das Schreiben deinem Vater, dort liegen 24 Korsarenschiffe. Er wartet auf diese Nachricht, also beeilt euch. Anschließend reitet ihr Heim nach Arcachon, wir kommen nach.?Die grauen Schabracken, mit dem Wappen der Musketiere, zierten den Rücken unserer Rösser. Vier Apfelschimmel aus der Rasse der Lusitanos waren unsere Begleiter. Unsere Sättel waren schlicht und gänzlich schmucklos. Auf die langen, schweren Musketen verzichteten wir. Als Fernwaffe besaßen wir acht Pistolenarmbrüste, welche mit je 24-Schuss Magazinen ausgestattet waren. Sie waren leicht und leise, dazu treffgenau auf etwa 100 Schritt. Wir vier sind die schnelle Eingreiftruppe unserer Königin und unter uns Musketieren die Wehrhaftesten. Niemand von uns beginnt einen Streit. Niemand von uns zieht zuerst seinen Degen, nur wenn wir unsere Klingen aus den Scheiden entfernen fließt die rote Suppe unserer Gegner. Ich bin der einiger Mann unserer Viererbande. Drei Frauen, gedient und kampferprobt sehen an meiner Seite. Hierbei möchte ich lediglich erwähnen, dass ich nur ihr Navigator bin. Mbali ist meine kleine zierliche Adoptivtochter und hat mit ihren fast 20 Lenzen, an unserer Seite, so einige Gefechte mit uns erleben müssen. Ellen hat jahrelange Erfahrungen sammeln dürfen und ist unsere Sanitäterin. Ihre Klinge ist nicht zu unterschätzen. Diese beiden afrikanischen Damen schlagen selbst einen Floh aus dem Pelz sollte er es wagen in ihre Nähe zu kommen. Marikit, meine Frau, ist eine ehemalige Nonne mit malaysischer Abstammung. Gemeinsam sind wir wie Berserker im Auftrag unseres Volkes. Kriege sind es nicht wert geführt zu werden. So unterbinden wir diese mit allen Mitteln.Wir verabschiedeten uns, dabei gab ich meiner Mama und unserer Königin einen liebevollen Kuss auf ihre Lippen. Wobei sie zu uns sprachen, wie aus einem Munde „erfüllt den Auftrag mit Bedacht“. Wir vier saßen auf. Kein Sporn zierte unsere Stiefel, keine Gerte lag in unserer Hand, lediglich unser Wille lenkte unsere Pferde. So richteten wir die Rösser gen Westen aus und ritten an. Das Ziel und der Erfolg sind der Weg, das Ziel diesen Krieg verhindert zu haben.Nach einer geschlagenen Stunde sahen wir sechs schwer bewaffnete Reiter, welche von der linken Seite auf uns zuritten. Es waren Lily, Louise und Louanne mit ihren Müttern. Nun waren wir wieder vereint. Sie wollten mit uns reisen. Allerdings sind 10 Reiter auffälliger als nur vier. Dabei sind unsere Waffen nebst unsere Uniformen jedem bekannt. Der Feind war besiegt, der Preußenkönig gefangen genommen und wir hatten einen neuen Auftrag.Ich gab meinen Begleiterinnen unser Ziel bekannt und weiter ging unsere Ritt gen Westen. Niemand konnte uns aufhalten. Unsere Waffen waren leicht aber sehr wirkungsvoll. Mit dem Degen gehen wir um wie ein Dichter mit seiner Feder. Allerdings mussten wir stets für unser Mahl selbst sorgen. Als schnelle Eingreiftruppe hatten wir nie Nahrung dabei und mussten sie uns erkaufen, allerdings nicht stehlen. Für unsere Auslagen kam unsere Königin auf. Goldmünzen hatten wir dabei, jedoch mussten wir auch damit haushalten und waren mehr oder minder Hungerkünstler. Eine Traube, einen Schluck Wasser, vielleicht ein kleines Stückchen Fleisch einer Hühnerkeule und einen Bissen Brot. Dieses reichte für einen Tag. Doch war es Erntezeit und Früchte waren reif. So baten wir die Bäuerinnen um etwas Speisen. Niemals wurden wir abgewiesen, da sie uns Musketiere im ganzen Land kannten.Dabei möchte ich betonen. Wir sind keine Friedensstifter, sondern sorgen nur für den Frieden, im Auftrag unserer Königin welche ebenfalls meine Patentante ist. Nun war es Zeit einen Bergkamm zu überwinden. Lily ritt an meine linke Seite und bat mich um einen Kuss. Wir drehten uns zueinander bis sich unsere Lippen berührten. Weiter ritten wir im Galopp, bis zum Wegeskreuz, an dem es von Montperyroux nach Chaudes-Aigues geht. Dort sahen wir aus der Ferne bereits 17 bewaffnete Reiter. So baten wir, dass Lily, Louise und Louanne mit ihren Müttern auf uns warten zu mögen. Schließlich erkennen wir einen Hinterhalt rascher. Wir mäßigten unseren Gang. Die Damen ließen sich zurückfallen. Im Schritt ritten wir weiter und erkundeten die Umgebung. Mein Gefühl gab mir die Vorsicht bekannt, als ich auffliegende Vögel erblickte. Auf einem Acker waren drei aufgescheuchte Rehe und einige Rebhühner zu sehen. Irgendetwas stimmte hier nicht. Wir waren gewarnt.Wir vier Musketiere hielten mit unseren Rössern. Schnell erkannten wir, wie die fremden Reiter uns versuchten zu umgehen und einzukesseln. Vabiené, Lily und Louise ritten, verdeckt durch Büsche und Bäume, einen großen Bogen an unsere rechte Flanke, Inés Zoé und Louanne ritten ebenfalls in einem weiten Abstand, am angrenzenden Wald, bis ich sie an unserer linken Höhe erblickte.Wir ritten langsam an, unsere Zügel wickelten wir um die breite vordere Sattelbausche, so hatten wir beide Hände frei für unsere Waffen. Dabei liefen wir Gefahr Musketenkugeln ausweichen zu müssen, doch scheinbar waren es Straßenräuber mit Lanzen und Äxten. Mbali zog mein Fernrohr aus der Satteltasche und erkundete unsere Gegner. Sie zählte 12 Reiter, samt 3 dreispännige Wagen. Sieben Musketen und Stangenwaffen. Nun drehten wir den Spieß herum, durch mein Handzeichen verstanden unsere Flanken weiter vorzurücken. Ein weiteres Zeichen und sie traten aus dem Böschung.Nun wussten unsere Feinde mit wem sie sich anlegten. Sie griffen an und ritten im Sturm auf uns zu. Unsere Flankendeckung nahm ihre Zügel zwischen die Zähne und griff unsere Angreifer seitlich an. Unsere Rösser liefen im Galopp als wir unsere Waffen zogen. Wir prallten auf unsere Gegner, ihre Musketenschützen wurden von unseren Flanken unter Beschuss genommen, so blieb ihnen nur der Nahkampf mit Dolch und Degen.Oh wie liebe ich diese Ungerechtigkeit 17 Mann gegen 10 Musketiere. Ihnen wollten wir das Fürchten lehren. Meine Klinge glitt in den Degenkorb meines Angreifers und verletzte seine Hand. Ein Weiterer ritt auf mich zu und hieb gegen mich. Ellen, Mbali und Marikit hatten sich aufgeteilt. Ihnen widerfahr dasselbe Schicksal, sie mussten ihre Waffen ziehen. Bei jedem Fechthieb schlugen unsere Degen Funken, so heftig war die Wehr unserer Widersacher. Ellen saß ab und nahm sich drei Feinde zu gleich an. In beiden Händen hielt sie eine Klinge, ihr schwarzer Umhang wehte im Winde. Ihr Ross schickte sie aus dem Schlachtfeld, ihre schwarze Haut glänze in der Sonne. Wir anderen taten es ihr nach.Rasch war das Gefecht und unsere Gegner erkannten ihre eingekesselte Lage. Vabiené und Inés hatten sich zwei Kerle rausgeangelt, welche flink waren. Louise und Louanne hatten sich die Räuberbräute vorgeknöpft, auch diese fochten erfahren wie sie waren. Zoé hatte sich ihren Capitaine vorgenommen, doch dieser gehörte mir. So bat ich sie um den Gefallen, sie trat zur Seite und überließ ihn mir. Ein Kämpfer machte einen Fehler, er warf die Scheide seines Degens zu Boden. Nur ein Verlierer wirf diese zur Seite, worauf ich ihn hinwies. Schnell griff er mich an und hieb gegen mich. Etwa 10 Schritte musste ich ihm rückwärts ausweichen, bewusst stellte mich rechts neben ihn, um Abstand zu seinen Gefolgsleuten zu haben. Nur eine Musketenkugel konnte mich nicht mehr erreichen. So standen wir Degen an Degen uns gegenüber. Wieder hieb er kopfüber gegen mich. Doch plötzlich ging er einige Schritte zurück und drehte mir den Rücken. Ich erkannte, dass er etwas aus seinem Wams zog. In seiner Drehung zu mir, warf er seinen Dolch in meine Richtung, dieser verfehlte mich nur um Haaresbreite, wäre ich nicht vorsichtig gewesen. Der Sprung zur Seite rette mich vor dieser Klinge. Allerdings wollte ich meinem Angreifer nun ein Ende bereiten. Ich ging zurück und hob zunächst seinen Dolch auf, er steckte tief im Gras. In meinem Stiefel fand er einen wohlbehüteten Platz. Anschließend ging ich auf meinen Widersacher zu, als wenn wir Freunde wären. Er spürte nun, als ich den Degen senkte, seine Chance und stach gen meines Herzens. Ich drehte meinen Oberkörper und sein Stich ging ins Leere, dabei fiel er versehentlich über den Haufen Erde eines Maulwurfes und lag vor mir ausgestreckt am Boden. Ich hob seinen Degen und warf ihm diesen zu.Er sollte die Möglichkeit bekommen, mir die Luft aus den Lungen zu lassen. Erneut griff er mich an. Meine Klinge berührte seinen Hals und schnitt ihm die Locke seines Haares ab. Als nächstes rasierte ich seine linke Wange samt Koteletten. Sein scheinbar prachtvolles Aussehen hatte ich geschmälert.Auf ein weiteres richtete er seine Waffe gegen mich. Noch wollte ich ihm seinen Bemühungen alle Möglichkeiten einräumen, dabei wollte ich noch seinen langen Rauschelbart stutzen. Mit einem Federstrich war auch dieses vollbracht, als meine Degenspitze seine Haarpracht durchschnitt. Er wollte mich richten, mich niedermetzeln, mir den Hauch meines Lebens nehmen, dabei beachtete er nicht die Gefahr in der er sich selbst begab. „Streite mit Gott, jedoch niemals mit mir“, dachte ich in mir. Niemals kommt ein Wort über meine Lippen, mit dem ich meine Gegner beeinflussen oder warnen könnte. Nur wer unsicher ist bewegt seine Lippen. Mein Degen strich den Seinen zur Seite, in dem ich seine Klinge von der rechten Seite von oben herum umkreiste und wegdrückte. Ich hielt ihm in Folge meinen Dolch an die Kehle und stieß diesen durch seinen rechten Ohrring. So nagelte ich ihn an den Baum an dem er sich befand. Jedes Mal als er meine Klinge aus dem Stamm befreien wollte, hieb ich mit der Spitze meines Degens auf die Hand. Seine rote Suppe sollte nicht fließen. Kein Blut ist es wert vergossen zu werden. Er ließ seine Waffe fallen und ergab sich.Ein weiterer seiner Kumpanen griff mich hinterrücks an. Lily warf ihren Degen wie einen Pfeil in dessen Gesäß. Nach und nach ergaben sich unsere Gegner. Ich trage nicht nur die Verantwortung für diese Aufgabe, sondern muss mich unserer Königin rechtfertigen. Lily bat mich „Joona, ich bitte dich, darf ich mir einen der Männer aussuchen, er muss sein Blut für mich vergießen und mich lieben“.Sie kannte meine Worte „suche dir einen der Gefangenen, er soll in unsere Reihen treten“. Sie holte einen der Feinde, um Gnade für ihn zu erbeten. Der Mann war kaum älter als sie, etwa 18 Jahre alt. Groß und kräftig. Die junge Frau fiel vor mir auf die Knie und bat „ihn suchte ich. Mein Capitaine, um sein Leben bitte ich dich“. Alle Gefangenen fürchteten um ihr Sein, als ich sprach „Chevalier, erhebt euch. Eure Mutter wird ihn prüfen, ob er der Rechte ist“.Vabiené schritt zu dem gefangenen Wegelagerer und griff ihm in den Schritt. Sie knöpfte seine Hose auf und zog sie herab. Sein halbsteifer Schwanz kam zum Vorschein, rasch kniete sie vor ihm und nahm seine dicke Eichel zwischen die Lippen. Gekonnt lutschte sie seine Ficklanze. Ein leichtes Stöhnen drang von seinen Lippen. Lily stand neben ihm. Sie hatte ihn besiegt, nun war es ihre Mama die dem jungen Mann auf eine ganz andere Art herausforderte. Die junge Dame kniete sich neben ihre Mutter und entriss dieser den Fickprügel. Wie eine erfahrene Schwanzlutscherin blies sie ihm seinen Liebesdiener, sie entwaffnete ihn und möchte ihn nicht mehr missen. Ihre Erzeugerin entkleidete sich um sich anschließend ins feuchte Gras zu begeben.Ihre Tochter schob den jungen Mann zur Seite um ihn zwischen die Schenkel ihrer Mama zu geleiten. Sie setze seine Fickharpune an die nassen Schamlippen ihrer Mutter an und befahl ihm zuzustoßen Gefolgsam trieb er seinen Schwanz in die glatt rasierte Fotze dieser Frau. Es war jedoch sein Zittern zu vernehmen. Der junge Mann fürchtete um sein Leben, sollte er versagen, dabei umarmte Vabiené ihn und wollte ihm einen Kuss geben. Dabei war ihre Tochter schneller und drückte ihm ihre Lippen auf die seinen. Anschließend gab sie bekannt. „Mutter, der gehört mir. Deine Liebe gehört unserem Capitaine.“ Der junge Mann war immer noch am Rücken gefesselt, als ihn Lily zurück zog und ihn nackt forderte sie zu ficken. Im doggy trieb er seinen Fickprügel in ihren Unterleib. Ich schritt hinter ihn und zog meinen Dolch aus dem Stiefel. Mit den Worten „halte und liebe sie, ansonsten wird unsere Königin dir deinen letzten Tag bescheren“.Der junge Mann drehte sein Haupt und schaute zunächst auf seine freien Hände um als nächstes die Klinge meines Dolches zu erkennen. Er erkannte, dass das Tattoo, die Feur de Lys, auf ihrem Schambein, welches für uns Musketiere der ersten Garde steht. Die junge Frau griff nach seinen Händen und zog ihn an sich. Sie wollte von ihm gefickt Escort Bayan werden, dabei sprach sie „Joona ist der Vater meines werdenden Kindes, dir schenkte ich das Leben und verlange nun von dir Liebe“. Er gab ihr einen Kuss, als er sich zu ihr hinab beugte. Dabei stieß er weiter seinen Liebesdiener tief in ihren Unterleib. Er erkannte, dass sie ihn wollte. Lily schlang ihre Schenkel um seine Hüften und zwang ihn sich selbst zu drehen. Nun saß sie auf seinen Lenden, sie ritt ihn wie der Teufel, als würde dieser sein Liebesspiel mit seiner Großmutter treiben. Ich entkleidete mich und setzte meinen Schwanz an Lily Rosette an. Einen Moment hielt sie still bis meine Schwanzspitze durch ihren Schließmuskel stieß. Gemeinsam fickten der junge Mann und ich rhythmisch unsere Mitstreiterin. Schweiß rann von ihrer Stirn herab über ihre Halsschlagader, hinab zu ihren Titten. Die salzige Flüssigkeit rann weiter an ihrem Nabel nieder um in ihrem Schosse seine Mündung zu finden.Sie genoss diesen ausgiebigen Fick, bis ich ihren Höhepunkt spürte. Sie war wie ihre Mutter, welche multiple Orgasmen bekam. Lily brach auf dem Gefangenen zusammen und bat mich „Joona, ich bitte dich um Gnade für sechs von ihnen. Einen wollen wir lieben, einen zweiten als Ersatzficker zu uns nehmen. Du weiß wessen Liebe in meinem Herzen schlägt“. Ich wusste, dass sie mich meinte. Doch schwieg ich.Langsam entzog ich meinen Liebesdiener aus ihrem Po und bat Louanne und Louise zu mir. Sie hörten die Worte ihrer Cousine und suchten sich einige Gefangene. Dabei sprach Mbali zu den Auserwählten „wenn euch das Leben lieber ist als, diese beiden Damen, tretet vor“. Die Herren erkannten nicht im geringsten ihre Lage und schwiegen. Einer der Anderen bat uns Wort. Er war grau, etwa ein halbes Jahrhundert alt, dieser sprach „lasset uns zu unseren Familien, ihn führt in eure Reihen und nehmt ihn auf in eure Garde. Keiner von uns ist es wert Musketier zu sein. Ich sah wie sie fochten, sie hätten in unseren Reihen stehen sollen, dabei fehlte ihnen der Mut unser Land zu verteidigen und überfielen lieber Reisende. Nun machte ich Schluss mit ihrem Verhalten „wenn ihr uns überfallen könnt, so zieht ihr mit uns und werdet eure Klingen gegen die Verräter unseres Landes nutzen. Nicht ich bin euer Richter, nicht ich bin euer Henker, es wird unser Königin sein, die euch an die erste Reihe der Front schickt, also reist ihr nicht mehr als Gefangene, sondern als Musketiere, nicht als obdachlose Vagabunden. Wir haben die Aufgabe unser Land zu schützen. Achtet auf euren Rücken und Klingen“. Lily und ihr Liebhaber standen nackt neben Ellen, als die Gefangenen sich zuriefen, lieber sterben zu wollen, als in unsere Reihen einzutreten.Unsere Herrscherin übergab mir ihren Siegelring, damit wollte ich diese Verräter zeichnen. Ellen bat mich „treibe sie wie Stiere vor uns her, bis sie bereit sind für jeden gefallenen Musketier einzustehen. Gemeinsam bringen wir sie ans Ziel. Lily´s Auserwählter stellte sich mit Namen Enzo vor. Er freute sich endlich aus seinem Dasein herausgekommen zu sein. Die junge Dame umarmte ihn nackt wie sie waren. Ein Kuss besiegelte ihr Bündnis. Wir saßen auf und nahmen unseren Gefangenen ihre Rösser. Zu Fuß sollten Sie bis zur Westküste unseres Landes marschieren. Enzo und Lily ritten nackt wie Gott sie schuf.Wir hatten vor, an diesem Tage Brive-la-Gaillarde zu erreichen. Dabei kamen uns drei Transportgespanne des 13. Régiment d´infantrie (Régiment de Silly) zur Hilfe, sie brauchten Transporthelfer, Köche und Kutscher. Sie nahmen uns die Vagabunden ab. Ihr Capitaine gab uns bekannt, dass sie auf dem Weg nach La Rochelle waren um Proviant aufzunehmen wollten. 30 Wagengespanne mit Früchten aus der neuen Welt sollten sie ebenfalls übernehmen. Die Frauen der Vagabunden mit ihren Fuhrwerken sahen ihre missliche Lage. Sie begriffen, warum wir unser Volk in den unruhigen Zeiten beschützen und versorgen müssen, sobald an den Fronten die Lebensmittel knapp wurden. Die Frauen wollten sich nicht mehr verstecken, sondern in unseren Reihen stehen. Ihren Männern wollten sie es zeigen wofür wir unser Blut vergossen. Die Damen kannten nicht einmal den Namen unseres Königs, ihre Gatten kannten nur Überfälle, Raub und weitere niederträchtige Eigenschaften.Sie stiegen von ihren Kutschböcken und saßen bei der 13. de Silly auf. Sie zeigen ihren Männern, dass ihr Weg in den Abgrund führt. Wir ritten an und trieben unsere Gefangenen zu einem Bach. Die Frauen der Vagabunden sprangen von den Wagen ins eiskalte Wasser. Sieben Damen rissen sich ihre verschmutzte Kleidung vom Leib und wuschen sie im klaren Nass. Sie veränderten ihr Leben, als sie sprachen „für unser Land, den König kennen wir nicht, doch uns soll er kennen und lieben lernen“.In ihrem Schosse bereitete sich ihre Feuchtigkeit. Sie stiegen auf die Fuhrwerke und gaben den Kutschern einen Kuss auf die Lippen.Vabiené, Inés und Louanne übernahmen die Gespanne der de Silly und baten die darauf befindlichen Kerle auf die Ladeflächen. Die Damen boten den Soldaten ihre nasse Fotze an. Die Vagabundinnen sollten ruhelos ficken können. Ihre Männer sollten mit ansehen wie ihre Frauen ihr Vergnügen hatten. Nach dem es sich die Frauen auf dem Wagen bequem gemacht hatten, entkleideten sich die Männer und begaben sich mit ihren steifen Schwänzen zwischen die Schenkel ihrer Begleiterinnen. Sie setzten ihre Liebesdiener an ihre Mösen und stießen zu. Sie benutzten die Damen als reines Fickfleisch, wobei sie sich gerne hingaben. Sie erlebten ein neues Leben. Vielleicht verstanden ihre Ehemänner jetzt auf was es ankam. Zusammenhalt. Nur ein Herz welches für unser Land schlägt und fühlt, ist Inbegriff zu verstehen, was wir Musketiere erleben. Wir ließen die Männer die Frauen ficken und richteten unseren Tross gen Westen aus. Niemand von uns der eine Uniform trug wollte tauschen. Viel zu sehr war unser Gedanken, unseren Auftrag zu erfüllen. Kein Musketier und kein Infantrist der 13. de Silly wusste was vor uns lag.An einem Bauernhof ließen wir rasten. Einige Damen unserer Gefangenen waren übermäßig gefickt worden, sie brauchten Salben für ihre wund gefickten Fotzen, schließlich hatten die Soldaten schon einige Monate keine Frau mehr beglücken dürfen. Ich erblickte aus der Nähen einen Bauernhof. Auf unseren Ruf reagierte niemand aus dem Gebäude.Wir ritten näher, griffbereit unsere Armbrust. Plötzlich öffnete eine Frau, hinter ihr stand eine schwarz gekleidete Person. Etwa 4 Ellen lang, es war ein Mann. Er verhüllte sein Gesicht mit seinem Umhang. Allerdings sah ich an seiner Rechten einen Degen. Ich bat Mbali, Ellen und Marikit mir nicht zu folgen, dabei kannten sie in meinen Worten, Vorsicht walten zu lassen. Ich ließ mein Ross etwa 10 Schritte vorangehen und gab vor ein Stoßtrupp gegen den Preußischen Angriff zu sein, dabei kramte ich in meiner Satteltasche. Bewusst wendete ich meinen Blick nicht von ihm ab um seine Reaktion zu erwarten. Folglich zog er seinen Dolch hinter der Bäuerin hervor und hielt ihr diesen an den Kehlkopf.Seine Tarnung musste er preisgeben. Ich bat ihn seine dunkle Kapute aus dem Gesicht zu streifen. Schließlich wollte ich wissen wer sich mit mir entgegenstellte. Es war Rochefort der Capitaine der 2. Garde der Musketiere welches dem Kardinal unterstand. Wir beide kannten uns sehr gut. Die Narbe auf seiner rechten Wange erhielt er vor einigen Jahren von mir. Er wusste es bliebe ihm keine Chance sich zu stellen als ich sagte „Rochefort, du Blender versteckst dich hinter einer Frau. Zeige dein Gesicht vor dieser Frau, welche du hältst“. Zahlreiche Musketen waren auf ihn gerichtet. Er wusste, es gab keinen Ausweg, dabei wollte er verhandeln. Er wollte als freier Mann, nach dem Duell, hervorgehen.Ich gab ihm freies Geleit und begab mich aus dem Sattel. Ich löste das Band meines Umhangs und legte meine Waffen ab. Nur mein Degen sollte ihm einen fairen Kampf garantieren. Dabei warf er zunächst seinen Dolch nach mir, mit dem er die Frau gefangen hielt. Dieser blieb im dicken Leder meines Sattels stecken. Ich konnte mein Lächeln nicht verstecken und bat Mabli diese Waffe für mich zu verwahren.Schnell griff er stürmend an, als er auf mich mit gezogener Klinge zuschritt. In seiner Bewegung ergriff er ebenfalls eine Mistgabel mit welcher er mich als erstes angriff. Ich wich ihm aus und strich meinen breiten Hut von der Stirn, dabei ließ ich ihn in den Staub fallen. Ellen erkannte warum ich dieses tat. Schließlich will ich in die Augen, meines Angreifers schauen.Er zog seinen Stiefeldolch und warf auch diesen nach mir. Mein Degen strich ihn zur Seite. Nun wich er zurück und entblößte seine Bewaffnung. Drei Dolche und zwei Pistolen machte ich aus. Er wusste zog er eine seiner Schusswaffen, erlebt er sein böses Erwachen meiner Gefolgsleute. Noch war der Kampf ausgeglichen. Ich brauchte nur meinen Degen gegen den Seinen.Unsere Klingen schlugen gegeneinander und Funken sprühten. Hieb um Hieb. Schlag um Schlag wich ich ihm aus. Seine Stöße folgen ins Leere. Sein Klingenschlag wurde härter geben mich, als wenn ein Schmied auf den Amboss schlug. Mit einer kurzen Drehung wich ich ihm aus und stieß meine Klinge in sein Gesäß. Wutentbrannt drehte er sich zu mir und griff mich erneut an. Diesem Verräter wollte ich lehren unserer Königin Folge zu leisten. Meine Degenhand schlug auf seine Stirn. Erneut zog er einen Linkshanddolch mit Handschutz und langen Parierstangen aus der Scheide. Ich hatte nun langsam genug von seiner einfachen Fechtkunst und ließ eine kurze Klinge an der Griffseite meines Degens nach hinten herausspringen. Bei seinem Angriff stieß ich durch bis sich unsere Degenkörbe berührten, sein Dolch wollte mich treffen, doch nun sah er meinen kurzen Dolch, den ich in seinem Handstück einhakte. Mit einer kurzen Drehung meines Handgelenkes verlor er diesen. Ich stieß ihn von mir und drehte meinen Degen, sodass ich nur den Dolch vor ihm stehen hatte und mit einem Schlag von ihm rechnete. Mit feuriger Wut kam er auf mich zu und hieb seine Waffe gegen mich. Meine linke Hand in der ich meine Klinge trug stieß in seinen in den Stoff seines Oberschenkels und schlitze ihn auf. Wir sahen eine alte eitrige Wunde an seinem Bein. Ich bat ihn sich verarzten zu lassen, bevor ich ihm ein Ende bereiten wollte. Kein Kampf ist es wert ihn zu bestreiten. Doch erneut griff er mich an. Mein Degen besaß einen Klingenbrecher mit V-förmigen nach vorn stehenden Klingen. Ich hakte Seine Waffe darin ein und zerbrach in einer kurzen Drehung seine Klinge. Dabei sprach ich zu ihm „niemals soll der Tod uns trennen. Liebe und Leben, soll dein Weg sein“.Nur Augenblicke später hörten wir Reiter. Es waren unsere Königin Anne d´Autriche sowie meine Mama. Die zwei Heeresführer unseres Landes. Unsere Majestät sprach zu mir „Joona kämpfe nicht mit ihm. Helfen sollst du. Bring ihn zu mir. Ich will sein Bein sehen“. Maden und Eiter flossen aus seiner Wunde. Unsere Königin saß ab. Erst jetzt erkannte Rochefort seine Lage. Er kam zur Vernunft und ließ seinen Degen fallen. Allerdings verwehrte er jegliche Hilfe. Er erhielt er eine Ohrfeige von unserer Majestät. Mama hielt ihre Armbrust im Anschlag. Erst jetzt ließ er es zu, dass seine Wunde versorgt werden konnte.Sie bat um kochendes Wasser. Ein Feuer war schnell errichtet. Mama ging mit Lily, Louanne und Louise um Kräuter zu sammeln um Jodium daraus zu bereiten. In einem Tiegel zerstießen sie die Blätter, des Schachtelhalm, Brennwurz, Kolbenriesling, Bärenklaue, Frauenmantel und Beinwell. Hinzu streute Anne eine halbe Handvoll Schießpulver hinein. Sie goss etwas kochendes Wasser hinzu, bis sich ein schwefliger Geruch entwickelte. Die graue Masse des Salpeter schäumte aus dem Gebräu nach oben. Es kochte und dampfte. Meine Mama schnitt seine Wunde mit einem Dolch auf und begab sämtliche Pflanzenextrakte in sein eitriges Fleisch. Es begann zu qualmen, als wenn der Teufel selbst aus der Hölle entfuhr. Rochefort verlor sein Bewusstsein. Wir luden ihn auf einen der Wagen und saßen auf. Unsere Königin blieb bei ihm. Sie versorgte seine Wunden. Auch einem Verräter, wie ihm, wurde geholfen.Weiter ging unsere Reise. Meine Mama ritt an meiner Seite. Sie richtete ihr Wort an mich „In all den Jahren gehst du keinem Gefecht aus dem Wege. Rochefort wird unseren Weg nicht verstehen. Sei vorsichtig vor seiner Klinge“. Sie wusste, dass ich ihn hätte richten können, doch verstand ich ihre Worte.Anne schickte uns 4 Musketiere voran. Schließlich durfte uns niemand erkennen. Ellen, Marikit, Mbali und ich zogen unseren Kasak über und kniete vor unserer Majestät. Sie gab uns den Segen und befahl uns Vorsicht walten zu lassen. Von meiner Mutter erhielt ich eine schallende Ohrfeige mit den Worten „Joona, spüren sollst du diesen Schlag, bis wir unser Ziel erreicht haben“. Sie ist meine Meisterin und unterrichtete mich früh schon in der Fechtkunst, aber nicht nur darin. Es war ihre Schule in der ich ging. Sie war meine Lehrerin, sie brachte mir nicht nur lesen und schreiben bei. Sie erklärte mir die Kunst der Mathematik und der Geographie. Sie zeigte meiner Schwester und mir, Dinge welche anderen verschlossen blieben. Selbst unsere Königin kannte nicht alle Geheimnisse meiner Mama. Sie machte aus mir den Navigator, der nach den Sternen schaut um das vor uns liegend Ziel zu koordinieren.Mutter lehrte mich Gnade walten zu lassen, meinen Degen nur in der Not einzusetzen. Sie ist der „diable rouge“ unseres Landes und hatte mich zu dem erzogen was ich bin. Wir setzen Gerechtigkeit durch, dort an dem sie fremd ist.Die Rösser trugen uns bergauf, in westlicher Richtung. Die Sonne stand am Zenit, als wir den Hang hinauf schritten. Schweiß rann an unseren Leibern bis in unsere Stiefel. Die Pferde schäumten, allerdings nicht durch unsere Last. Die Hitze setze uns zu. Die Zügel glitten durch unsere schweißnassen Hände. Nach drei Stunden rasteten wir an einem Bach um unsere Vierbeiner zu tränken. Anschließend ritten wir weiter. Stets schützen wir uns an Büschen und Wäldern. Auf offenen Feld wäre wir vielleicht leichte Beute unserer Angreifer gewesen. In unserer, dieser, Zeit gab es genügend Halunken und Vagabunden die bei Reisenden auf reiche Beute lauerten.Aus der Ferne erkannten wir den Kirchturm eines Dorfes. Mit leeren Magen konnten wir unseren Auftrag nicht erfüllen, so machten wir uns auf den Weg des Ortes. Wir beeilten uns. Kurz bevor wir die ersten Häuser erreichten hörten wir Marktgeschrei. Ich grinste in mich, es war Markttag, dort konnten wir Nahrung einkaufen.Die reichsten Bauern verkauften ihre Waren und boten sie uns vielversprechend an. Eine Frau stand einsam an ihrem Stand, zu dieser wollte ich. Ein kleines Mädchen, etwa 5 Lenze alt, stand mit ihr hinter dem Verkaufstisch. Sie duckte sich und schielte uns unter dem Tresen hervor. Sie hatte Angst vor uns Soldaten. Wir saßen ab. Meine Lusitanostute „Arabella“ blieb an meiner Seite als wir auf den Marktstand zuschritten. Das Kind begann zu zittern und versteckte sich hinter ihrer Mutter. Wir schauten uns ihre Ware an. Es war Dörrfleisch, Obst und Gemüse. Sie hatte nicht viel Auswahl, doch schien mir es war genau das Rechte für uns Musketiere. Die Frau bat mir Trauben, Äpfel, Pflaumen und Birnen an. Allerdings sprach ich „gebe mir bitte eine einzelne kleine Traube und ein Schluck Wasser, dieses reicht einem Musketier für einen Tag“. Dabei packte ich mir ihre vollen Warenkörbe. Ich gab ihr 3 Louis d`or. Sie verstand nicht warum ich ihr die Ware abkauften wollte. Sie wies mein Geld zurück und wollte verhandeln „die Ware bekommen sie für mindestens 20 Louis d`or“, ich sprach „wenn ich mehr als Ihre verlangte Summe beim Verkauf auf dem Marktplatz erziele, erhalte ich 10 Pfund gutes Dörrfleisch, etwas Gemüse und Obst.“ Sie willigte ein. So machten wir uns dabei ihre Ware anzupreisen und stellten uns hinter ihren Verkaufstisch. Immer noch fürchtete sich ihre Tochter vor uns bewaffneten Musketiere. Ellen und Mbali entzündeten ein kleines Lagerfeuer und stellten unseren Topf darauf. Ich schnitt einige Tomaten und anderes Gemüse auf. Marikit lockte die Besucher an, sie legte ihren Kasak ab und band ihre Staude auf, der Ansatz ihres Busens kam zum Vorschein. Sie rief „Mademoiselle, Monsieur, schauen sie sich das Fleisch, Obst und Gemüse an. Die Frau kann kaum leben, die reichen Bauern besitzen nicht so kostbare Ware wie sie. Hier gibt es nur das Beste. Dörrfleisch der Aubrak-Rinder, Weintrauben aus Laguiole, hier die Brombeeren so groß wie Äpfel“ sie flüsterte Ellen und Mbali zu „los kocht eine Suppe mit den kostbaren Früchten, aber nur damit die Leute kommen. Ellen streute Oregano, Thymian und andere Kräuter in den Topf und briet ein Stück Dörrfleisch an. Das Fleisch stammte allerdings nicht von einem Rind, sondern von einem alten Hasen.Ellen ist eine Hexe, sie beherrscht die Magie der afrikanischen Schamanen. Aus ihren Fingerspitzen strich sie kleine Feuerbälle in den Topf. Ich rief „Fanzosen, kommt zu Tisch, unsere Königin will, dass niemand unseres Landes hungert. Drei Rispe Tomaten haben ein Gewicht von 2 Pfund, in Gold wiege ich es auf. Zwei Livre. Vier Rispen 40 Sou und ein Scheffel Kartoffeln dazu machen nur 50 Sou.Dem Kinde lief das Wasser im Munde zusammen. Ellen strich den Schweiß von ihrer Stirn und schnippte diesen ins Fleisch, des Topfes. Eine Stichflamme entstieg. Der Duft des gebratenen Fleisches entwich und blies in die Nasen der Marktbesucher. Sie kamen und schauten auf die Ware. Hunger verspürten sie.Marikit und ich verkauften die Ware. Aus dem Topfe boten wir eine Suppe mit Fleisch an. Mbali nahm das Mädchen an die Hand. Meine Begleiterin wusste, sie muss schreckliches erlebt haben. Die Tochter der Markthändlerin vertraute langsam meiner Adoptivtochter. Nun war sie dabei und servierte den Kunden kleine Servierhäppchen am Dolche meiner Tochter. Marikit stach Dörrfleisch samt Gemüse nebst frischen Zwiebeln auf ihren Degen und briet es im Feuer.Nach einer geraumen Zeit nahm ich das Kind auf den Arm und hob den Degen aus dem Feuer. Sie legte ihre Hand auf die Meine in der ich die Klinge hielt. Die Besucher wollten unseren Braten verkosten. Für 1. Livre durften sich jeder ein großes Stück Braten herunterziehen. Nun nannte mir dieses kleine Wesen ihren Namen „Enora“.Mbali reichte mir einen Dolch mit aufgespießtem Braten. Die Besucher kamen und baten um ein Stück unserer Ware. Dieses war allerdings Rindfleisch eines hiesigen Aubrakbullen. Enora bat mich um ein Stück des Fleisches. Ellen spießt ihr einen Bissen, auf einen Ihrer Dolche. Das Kind spürte die Schärfe der Klinge und verhielt sich besonders vorsichtig. Fast die gesamten Marktbesucher befanden sich an unserem Stand.Ein reicher Händler wollte uns loswerden und drängte sich durch die Menschenmenge an unseren Verkaufsstand, bis dieser vor unserem Tresen stand. Er wollte für 50 Louis d`or die gesamte Ware der Händlerin. Ich gab ihm zur Antwort „unsere Ware ist mehr als das Vierfache wert, für 250 Louis d´or kannst du das Gemüse erwerben“. Erzürnt schritt der Mann von dannen. Weiter brieten und kochten wir unsere Gemüse und Fleisch. Marikit verkaufte das frischen Gartenfrüchte, sodass sich kaum noch etwas in den Kisten und Körben befand. Unsere Händlerin machte sich auf dem Weg, aus ihrem Haus weitere Ware zu holen. Enora und ich folgten ihr.Schließlich waren helfende Hände notwendig. Rasch waren wir an ihrem Grundstück. Sie besaß mehrere kleine Gebäude. Sie sahen aus wie aus Glas gebaut. Dieses teure Material konnte sich allerdings niemand leisten, bis auf unser König, welcher ebenfalls keines an seinen Fenstern besaß. Er ließ sein Geld lieber an Bedürftige verteilen.Rasch hatten wir Körbeweise Früchte geerntet. Anschließend holten wir aus dem Haus noch reichlich Dörrfleisch. Da in diesem Département eine extreme Hasenplage war, entschloss sich die Bäuerin diese für den Verzehr zu dörren und zu verkaufen. Wir luden etwa 100 Stück dieser Langohren samt all ihrer geernteten Früchte auf ihren kleinen Wagen. Los ging unsere wilde holprige Fahrt, bis wir am Markplatz ankamen.Ellen und Mbali war das Fleisch ausgegangen, schnell brachten wir Nachschub. Mit unseren Klingen zerlegten sie dieses. Gemüse und Obst brachten wir ebenfalls zum Verkaufsstand. Die Bäuerin hatte vorher eine riesige Bratpfanne unten auf die Ladefläche begeben, da sie glaubte der Boden ihres Wagens würde zerbrechen. Nun hatte ich als Gascogner eine brillante Idee, mit dieser Pfanne bereiteten wir ein Gericht für alle, auf dem Markt befindlichen Personen.Rasch platzierten wir den flachen Tiegel auf dem Feuer, Ellen briet das Fleisch. Mbali half der Bäuerin das Gemüse zu schneiden. Marikit, Enora und ich verkauften weiterhin Paprika, Kartoffeln, Mais und sehr scharfe kleine Früchte, sie wurden Peperoni genannt, welche aus der neuen Welt kamen. Die Bäuerin hatte aus Moon und Sonnenblumen das reinste und wertvollste Pflanzenöl gepresst. Dieses wurde zum Teil auf den blanken Stahl gegeben. Sie hatte einen Durchmesser fast einem toise (1,949 m). Enora half ihrer Mama das Gemüse in die Pfanne zu geben. Ellen streute Gewürze hinzu, es roch köstlich. Weitere Besucher des Marktes kamen an unseren Stand, schließlich erreichte der Duft unserer Speise auch ihre Nasen. Ein Bettler hatte sich neugierig in weiter Entfernung hinter einen Baum gestellt und traute sich nicht zu uns zu kommen. Er war zerlumpt und schmutzig. Zwei Bettelmönche aus einem nahe gelegenen Kloster kamen auf den Markplatz und wurden von anderen Händlern vertrieben. Enora bat mich „Chevalier ich bitte dich gebe ihnen etwas zu essen. Sie halfen uns bereits schon im letzten Jahr bei der Ernte.“ Ich nahm Fleisch und Gemüse aus der Pfanne und brachte es in einem Topf zu den Mönchen und dem Bettler, den ich bat mir zu folgen, dabei sprach ich „unser Land lässt niemanden hungern. Nun füllt eure Bäuche“. Dem Fremden war nicht wohl bei der Sache, er glaubte an einen Betrug und wollte gehen. Ich griff nach seinem Arm, doch nur ein leeres Stück Stoff hielt meine Hand. Nun wollte ich wissen wer er sei, dabei sprach er „bitte lasst mich gehen, mein Leben ist es nicht Wert hier zu sein. Keine Waffe kann ich mehr halten, keinen Pflug mehr führen, bitte lasst mich gehen“. Nein das ist nicht mein Weg, ich bat ihn ans Feuer zu kommen. Narben in seinem Gesicht entstammten von einem Gefecht. Er folgte mir und gab uns bekannt, dass er zur See fuhr und sein Schiff von Engländern angegriffen wurden. So verlor er seinen linken Arm. Er kam hier her nach Frankreich, doch niemand wollte ihm Arbeit oder Unterkunft geben. Ich bat ihn sich Fleisch und Gemüse aus der Pfanne zu nehmen. Niemand darf Hunger leiden, egal was geschah. Enora kam an meine Seite und reichte dem Fremden ein Glas Wein. Es besteht aus dem Blut unseres Landes, der besten Trauben Frankreichs. Ein Tuchmacher kam mit seinem Wagen dem Weg entlang an dem wir standen. Ich schritt auf ihn zu und bat ihn um einen weißen reinen Stoff. Er stieg von seinem Karren und zeigte mir seine Ware. Ich entschied mich für fünf toise seines einfachen weißen Leinen.Als ich zurück kam bat ich die Bäuerin „bitte nähe aus diesem Stoff eine Staude und Hose für den Mann. Wir werden weiter bei deinem Stand bleiben um für dich Geld zu verdienen“. Sie ging zu ihrem Haus und begann ihre Arbeit. Wir hatten alle Hände voll zu tun. Die Bettelmönche bedankten sich herzlichst bei uns und machten sich wieder auf den Weg ihrer Wanderschaft. Den Bettler baten wir bei uns zu bleiben und uns zur Hand zu gehen. Er sollte noch nichts von seiner neuen Kleidung erfahren und trug die schweren Körbe vom Karren zum Verkaufsstand. Niemals wurde er so freundlich empfangen als bei uns. Stets wurde er vertrieben, wie ein Aussätziger.Er stammte aus dem spanischen Bereich der Pyrenäen und wollte seinen Eltern ein guter Sohn sein, allerdings wollte er niemals eine Waffe in die Hand nehmen, so ging er zur See. Auf Handelsschiffen diente er als Matrose. Nun fehlte, durch den Angriff auf dem Schiff, sein linker Arm und man konnte ihn nicht mehr gebrauchen. Er schritt auf Ellen zu und bat sie um einen großen Löffel. Der Bettler begann in der Pfanne zu rühren und die Speise abzuschmecken. Nun nannte er seinen Namen. Seine Eltern nannten ihn Felipe. Der junge Mann war 34 Jahre alt und bat mich um einen Sack Reis. Er streute diesen in die Pfanne zu dem Gemüse und dem Hasenfleisch und nannte es Bergpaella. Seine Mutter bereitete diese Speise nach einem alten Rezept ihrer Urahnen. Auf Steinen trocknete er gelbe Tomaten, scharfe Peperoni und Paprika am Feuer. Nach etwa einer Stunde nahm er die heißen Früchte und begab sie in einen Mörser, aus einem Lederbeutel streute er Oregano, Senf und Salz hinein. Felipe nahm den Mörser und zerrieb die Bestandteile zu einem feinen Pulver. Anschließend streute er die Zutaten in die Pfanne.Wir sahen Bewohner aus den benachbarten Orten mit ihren Familien, sie kamen auf unseren Stand zu. Die reichen Bauern sparten sie aus. Scheinbar entwich der Duft unserer Speisen bis in die nahegelegenen Dörfer. Enora schmeckte die fein duftende Speise ab. Sie drehte sich zu mir und sagte „Joona, ich muss dir etwas sagen“. Ich beugte mich zu ihr herab und sie sprach „das ist lecker, bitte lass ihn bei uns wenn Mama nichts dagegen hat“. Ich strich ihr Haar aus dem kleinen Gesicht und gab ihr einen Kuss auf die Stirn.Wir Franzosen sind eine Einheit, egal ob alt oder jung, egal ob reich oder arm. Wir baten die Kunden um ihren Teller, rasch füllten wir sie. Dabei sahen unsere Gäste, dass vier Musektiere ihre Gastgeber waren. Ich sagte „Wir sind im Auftrag unserer Königin Anne hier an diesem Ort. Den Krieg mit den Preußen haben wir erfolgreich beendet. Nun sind wir die Botschafter des Friedens. Labt euch im Namen unseres Königs Ludwig und seiner Mutter, sie lassen niemanden hungern. Zudem suchen wir nach Verräter welche unser Land zerstören wollen“. Enora sammelte, von unseren Gästen, das Geld ein und bedankte sich höflichst mit einem Knicks.Felipe begann ein Lied zu summen. Es stammte aus meiner Heimat der Gascogne. Ja auch wir gehören zum Gebirgsausläufer der Pyrenäen. Es ist völlig sinnfrei uns spanisch oder französisch zu bezeichnen. Wir sind ein Volk, nur vertrauen wir unterschiedlichen Majestäten. Ich stimmte mit ihm ein und begann zu singen. Gemeinsam interpretierten wir das Lied, er allerdings in seiner spanischen Landessprache und ich in der Unseren. Enora versuchte mitzusingen und schaute auf meine Lippen. Mbali, Ellen und Marikit schlugen mit ihren Löffeln im Takt in die Pfanne. Der Klang hallte über den Marktplatz weiter durch den Ort hinweg in alle naheliegenden Dörfer und Klöster. Enora warf die gesammelten Einnahmen in meinen Hut.Es war egal ob ein Gast mit Sou, Livre oder Deniers zahlte. Sie war stets an meiner Seite, so halft ich dem Kind das rechte Wechselgeld herauszugeben.Als die Sonne sich in Richtung Süd-West wandte wusste ich, nun hatten wir genug Geld eingenommen und schöpften die Reste aus der Pfanne und verteilten die Speise unter den Ärmsten der Armen. Dazu hatten wir keine Ware mehr welche wir verkaufen konnten. Sämtliche Körbe waren leer. Wir löschten das Feuer und räumten unseren Stand. Es war an der Zeit er Bäuerin die Einnahmen zu übergeben, allerdings wollten wir dieses an ihrem Anwesen verrichten. Enora saß bereits auf dem Kutschbock ihres Karren den ein Esel zog. Sie bat Felipe sich an ihre Seite zu begeben. Die Zügel fest in den Händen befahl sie dem Grautier den Weg entlang zu schreiten. Wir gingen neben unseren Rössern her und folgten dem Fuhrwerk. Ellen hielt den Sack mit den Einnahmen in Hand. Rasch waren wir an ihrem Hofe. Unsere Pferde sattelten wir ab und ließen sie ohne Trensen auf der angrenzenden Weide grasen. Meine Stute Arabella weigerte sich zunächst, sie stieg auf der Hinterhand stehend. Es war das Zeugnis ihres Dankes. Wiehernd galoppierte sie zu unseren anderen Vierbeinern.Gemeinsam betraten wir das Haus. Enora bat um meine Hand. Felipe traute sich zunächst nicht uns zu folgen. Ellen und Marikit zogen ihn durch die Tür. Die Bäuerin gab nun ihren Namen bekannt. Sie stellte sich vor, als Aurora de Manaurie.Die Bäuerin übergab unserem Begleiter die neuen Kleider, doch bat er so verschmutzt wie er war, im Bach ein Bad zunehmen um gereinigt sich zu bekleiden.Er schritt aus dem Haus und begann sich am Ufer zu entkleiden. Sei nackter Rücken wies Spuren einer Peitsche auf. Aurora hatte Gut von ihrem Vater geerbt, von einem jungen Mann hatte sie sich ficken lassen aus dem ihre Tochter entstand. Nein es war keine Liebe, sie wollte gefickt werden und ein Kind. Nun sehnte sie sich nach Liebe“. Ich bot ihr fünf Sou für ihre Scheiderarbeit an, doch gab sie mir bekannt „Chevalier, ihr habt euren Tag für das Wohl meiner Tochter verbracht. Ich schulde euch den versprochenen Lohn. Enora hole Dörrfleisch und Gemüse, Kartoffeln und einen Leib Brot für die Musektiere unserer Königin“. Ich ging mit Aurora Tochter um unsere Vorräte zu holen. Doch bat ich das Kind „Enora bitte hole ein Stück von einem Hasen, nur eine Hand voll Kartoffeln, Gemüse und Getreide.“ Sie schaute mich entsetzt an, da es nur die Mahlzeit für eine Person wäre, sie sprach „was ist mit deinen Begleiterinnen, sie müssen ebenfalls speisen, so nehmt von allem, ich gehe aufs Feld und pflücke weitere Früchte“. Sie lief mit einem Korb auf den Acker und grub mit ihren kleinen Händen die Erdfrüchte aus. Ich pflückte einige reife Tomaten und zog Möhren aus der Erde. Gemeinsam gingen wir zurück ins Haus und holten zwei gedörrten Hasen und zwei Forellen.Doch sollte unsere Abreise noch etwas dauern. Wir verbrachten die Güter in die Küche in der es köstlich roch. Ellen, Marikit, Mbali und Aurora kochten eine reichliche Speise. Felipe hackte schwingend mit seinem einen Arm das Holz. Er hatte nur seine neue Hose an. Barfuß stand er und schwang die schwere Axt. Schweiß lief von seiner Stirn, mit einem kräftigen Schlag durchtrennte er das Holz. Enora rief Felipe zu Tisch. Er sollte sich zuerst seinen Teller füllen, doch nahm er den von Enora mit den Worten, „ich bin nur Gast. Kinder sollen wachsen wie Weizenfelder, du meine Kleine lebst weiter wenn mein Sein endet“ und reichte ihr diesen.Gemeinsam speisten und baten Enora zu Bett, sie sagte zu mir „Chevalier, ich bitte dich um dein Geheimnis“. Ich zog meinen Degen und hob sie auf meinen Arm, dabei sprach ich „du bist mein Leben, lerne mit dieser Klinge umzugehen und zu leben. In einem Jahr kommen wir wieder und schauen wie weit deine Kunst fortgeschritten ist. Ellen gab mir einen ihrer Klingen, ich solle mit Enora in den Hof gehen, so konnte sie ihre ersten Schritte im Kampf der Klingen erfahren.Sie vermochte nicht die Waffe gegen mich zu erheben. Doch bat ich sie „stelle dir vor, ich bin hier um deiner Mutter, die Luft aus den Lungen zu lassen, greife mich an und verteidige gleichzeitig auch dein Leben. Die Königin hat mir die Fechtkunst gelehrt nun bist du meine Schülerin. Führe die Klinge wie eine Feder“. Nun war es soweit, sie stand drei Schritt von mir entfernt und erhob ihren Degen. Mit meiner Linken entzog ich meine Klinge aus der Scheide und sprach „en garde, Chevalier Enora, erhebt eure Waffe gegen mich und greift mich an“. Sie war irritiert als sie sagte, mit Tränen in den Augen „ich bin hier um meine Mutter zu schützen. Zeigt ihr mir, wie ich mit dem Degen umzugehen habe“. Sie kam an meine Seite und hob mit mir die Klinge. Wir standen parallel zueinander, sie sollte lernen ihr Gut zu verteidigen. Nur der Tod ist ewig. Es hieß für sie nun mit genau dieser Waffe umzugehen.Ich bat Mbali meinen Gegner zu mimen. Das Mädchen sah wie wir den Krieg beenden. Nun war es an ihr gegen einen Musketier zu streiten, als ich sie bat „kämpfe um unsere Leben“, dabei nahm ich sie auf den Arm, sie führte weiterhin die Klinge. Erst als unsere Gegnerin mich ansprach „Papa, ich kämpfe nicht gegen dich“ ließ ich Enora herab und sprach „du hast den Mut nun streite gegen meine Tochter, beweise dich. Du musst deine Mutter und dein Heim beschützen. Kämpfe wie ein Musketier“. Ich stachelte ihren Mut an, gegen eine erfahrene Kämpferin die Klinge zu erheben. Sie sagte zu mir „Chevalier, zeige es mir, ich will deine Schülerin und werde dir würdig sein“. Mit diesen Worten reichte sie mir ihre Waffe.Mbali grinste. Im Akkord „en garde“ standen wir uns gegenüber und strichen unsere Degen diagonal vor uns durch die Luft. Wir sind uns ebenbürtig und streiten für Frieden, Freiheit und Gleichheit. Enora ging drei Schritte zur Seite als sich im nächsten Augenblick unsere Klingen kreuzten. Funken sprühten bei jedem Hieb. Meine Tochter beherrscht die Fechtkunst wie ich selbst, schließlich war ich ihr Lehrer, bis hin zu dem gefürchteten Todesstoß mitten in die Stirn. Doch hütet sie stets ihr Geheimnis. Sie lässt ihre Klinge solange in der Scheide bis sie angegriffen wird und wehrt selbst einen Hieb mit ihrer Hand ab. Sie greift nach der Klingenspitze und hält sie wie mit eiserne Hand gefangen. Als nächstes ist ihr Degen niemals zu unterschätzen. Sie kennt allerdings meine Antwort auf ihren Angriff. Mit meinem Dolch wende ich ihren Klingenspitze von mir und verkeile ihre Waffe zwischen Parierstange und meiner Klinge. Sie weiß es wird Zeit ihre kleine Geheimwaffe auszufahren. Wir beide wissen wie wir miteinander umgehen. Ich zog Mbali an mich und gab ihr einen liebevollen Kuss.Enora wollte lernen. Nun verstand sie unser Zusammenspiel. Sie sprach zu mir „Chevalier, vor dir steht die Hüterin dieses Anwesen, wenn du mich bestehlen willst wird dir mein Degen zeigen, was ich vermag“. Das Mädchen erinnerte mich als ich in ihrem Alter war. Sie hieb nach mir. Ich senkte meine Waffe und drehte ihr den Rücken und bat sie zu mir. Ich kniete vor ihr und nahm sie auf den Arm. Nun war soweit zu verstehen, was unser Auftrag ist. Tränen rannen über ihre Wangen als sie mir einen Kuss auf die Wange gab. Dabei sagte sie „ich bin vielleicht noch nicht soweit ein Musketier zu sein, aber glaube mir ich werde es, so wie deine Tochter und unsere Königin kann auf mich zählen auch wenn sie mich morgen rufen sollte. Ich bat sie sich niederzuknien. Als nächstes zog ich meinen Degen aus der Scheide und bat das Kind mir ihren vollen Namen zu nennen. Sie sagte „mein Name ist Enora de Manaurie“ dabei schaute sie mir in die Augen und senkte nicht ihr Haupt. Ich legte die Klingenspitze zunächst auf ihre rechte Schulter um sie anschließend auf die Linke zu wechseln. Ich bat sie „Chevalier Enora de Manaurie, im Namen meiner Patentante habe ich das Recht euch in den Stand des Ritter zu adeln. Bis zu deinem Tode wirst du diesen Namen nicht ablegen und gehörst ab jetzt zur Garde des 1. Regimentes der Musketiere welche dem König Ludwig und seiner Mutter Anne unterstehen. Erhebt euch Chevalier Enora“. Tränen rannen über ihre Wangen.Mbali brachte mir ein Pergament und Feder. Ich setze mich auf einen Holzblock und stach mir die Spitze meines Stiefeldolches in den rechten Daumen. Anschließend nahm ich mir eine Feder und tauchte sie in das Blut meiner Wunde. Anschließend begann ich zu schreiben „Im Namen meiner Patentante Anne d´Autriche, Königin von Frankreich und Mutter unseres König Ludwig XIV erhebt dich der Unterzeichner Joona Charles de Batz de Castelmore Comte d´Artagnan die Bäuerin Eleno in den Stand des Ritters. Ab diesem Zeitpunkt trägt sie den Titel Chevalier. Sie hat das Recht freie Güter im Umkreis, ihres Hofes, von 10 Meilen zu besetzen und darauf für unser Volk Früchte anzubauen und mit einem Gewinn von 10 % zu veräußern. Sollten die Flächen zwei Jahre brach liegen, fallen diese zurück an unsere Königin. Sie ist ab diesem Zeitpunkt bis zu ihrem Tode Musketier der Garde der ersten Kompanie der Musketiere, der grauen Reiter „Chevaulégers“, welche ausschließlich und nur unserer Majestäten Königin Anne d´Autriche als auch ihrem Sohne König Ludwig IV untersteht. Ihr Titel ist nicht vererbbar. Ihre Nachkommen müssen diesen durch ihre Leistungen erhalten. Unterzeichner Chevalier d´Artagnan“. Ich nahm den Siegelring unserer Königin vom Finger, träufelte heißen Wachs neben meine Unterschrift und drückte das Siegel hinein.Ich ging zu meinem Sattel und zog einen meiner Degen hervor und überreichte ihn der immer noch knienden Enora mit den Worten „Chevalier erhebt euch, dient unserem Volke wie wir, sei treu im Glauben, helft eurer Mama. Allerdings sollten wir euch rufen folgst ihr uns in die Ungewissheit, lebend wieder heim zu kommen. Nehmt diese Klinge und lernt den Umgang mit dieser. Im nächsten Jahr zur gleichen Zeit will ich sehen ob ihr es Wert seid, euch in unsere Reihen aufgenommen zu haben.Tränen rannen über ihre Wangen, als sie ihre Mama erblickte. Mbali zog ihren Kasak über ihr Haupt und begab ihn unserem kleinen Musketier über die Schultern. Nun gehörte das Kind zu unserer Garde. Aurora bat ihre Tochter zu Bett zu gehen, es war spät. Enora bedankte sich höflichst bei uns, dabei sprach sie „bis in alle Ewigkeit soll mich unsere Königin rufen, ich folge euch. Glaubt mir, im nächsten Jahr prüft meine Fechtkunst, ich werde euch ebenbürtig sein“. Sie ging an die tief hängend Zweige eines Baumes um ihre ersten Übungen durchzuführen. Felipe kam ebenfalls zu uns und schaute es sich an, dabei brach er einen Zweig ab und ersetzte diesen als seine Fechtwaffe. Er bat Enora sich aufzustellen und gegen ihn die Klinge zu erheben. Er forderte sie in einem Duell. Sie griff ihn an und musste feststellen, dass er trotz eines Zweiges nicht unbewaffnet war. Felipe strich ihre Hiebe seitlich von sich. Der Mann senkte seinen Stab und kniete sich ins Gras. Jedes Mal als Enora angriff wich er geschickt aus und berührte sie leicht mit seinem Stab.Ja, er konnte mit einer Klinge umgehen, ich hätte es nicht leicht gegen ihn. Es waren ihre ersten Schritte mit einer Waffe in der Hand.Er rief uns zu „nie wollte ich einen Degen führen, jetzt ist es an der Zeit. Ihr zeigtet mir den Weg um einem Kind ein Lehrer zu sein“. Er verlor seinen Arm, da er an die Vernunft glaubte und musste seinen Fehler eingestehen. Ich schritt auf ihn zu und reichte ihm meine Klinge, auf das er nun ehrwürdig seiner Schülerin die Fechtkunst beibringen konnte. Enora bekam Angst und kam an meine Seite. Dabei wollte sie unsere Kunst erlernen. Ich nahm sie auf den Arm, sie übergab mir ihre Waffe. Ich bat Felipe „en garde“. Er nickte und wusste was ich vorhatte. Enoras Hand befand sich auf meiner Linken welche den Degen führte. Ich sprach als Felipe mit mich angriff und ich seinen Degen zur Seite strich „spüre das Leben in dem kalten blanken Stahl, er hütet dich und setze ihn richtig ein“. Ich ließ sie wieder zu Boden. Nun war sie es die angriff, sie formte ein Bild wie sie ihre Waffe zu führen hat. Rasch hatte sie ihre ersten Erfolge und konnte ihm ausweichen und zu einem Stoß ansetzen. Nun bat ich beide eine Pause einzulegen und rief Marikit, Mbali und Ellen gegen mich ins Duell.In wenigen Augenblicken musste ich mich gegen drei Angreiferinnen verteidigen. Ellen und Mbali zogen gleichzeitig ihren zweiten Degen. Meine Ehefrau ließ einen kurzen Dolch aus ihrem Ärmel gleiten. Es ist eine sehr böse Waffe, sie wirft damit einer Mücke, das linke Auge aus. Als ich das sah rief ich zu Enora werfe mir die Pfanne mit dem langen Stiel zu. Sie tat wie ich ihr geheißen. Schnell hob ich diese auf und hatte ein Sc***d gegen Marikit. Mbali ging in den Hintergrund und nahm ihr Halstuch ab, sie begab einen Kastanien großen Stein in das Tuch und schleuderte es. Das Geschoss flog in meine Richtung, welches ich mit Bayan Escort der Pfanne abwehrte.Aurora stand bereits neben ihrer Tochter und entnahm ihr den Degen. Diesen ungleichen Kampf wollte sie unterbinden und strich diagonal ihre Klinge zu Boden als sie sagte „meinen Hof greift niemand an, darum sind wir am Leben, ab heute unterrichte ich meiner Tochter. Sie nahm sich Ellen vor, welche mit zwei Klingen gleichzeitig focht. Die Bäuerin hatte sehr viel Gefühl und strich alle Angriffe von sich und hieb im nächsten Moment gegen ihre Gegnerin.Mbali, Marikit und ich hielten ein und sahen uns das Schauspiel an. Die blanken Stähle, der Duellanten sprühten Funken, als wenn die Hölle auf die Erde kehrte. Aurora kannte selbst die kleinsten Geheimnisse und setze sofort ihren Gegenangriff fort. Meine Stieftochter juckte es in den Fingern gegen sie zu streiten, doch bat ich sie „dieses ist meine Aufgabe, sie kennt die Fechtkunst besser als so mancher Musketier. Bitte gebe mir den Vortritt“. Mbali strich mit ihrer Hand vor sich um mir zu signalisier „dein Auftrag“.Ich hob meine Klinge als Linkshänder und strich sie aus dem Handgelenkt von rechts oben nach links unten herab. Aurora stieg sofort mit ein und griff mich an. Dabei tippte ich mit meiner Degenspitze auf ihren rechten Unterarm. Anschließend drehte ich mich weg, zog meiner Frau das Taschentuch heraus und putzte meine Nase. In einer Drehung stellte ich fest, dass meine Gegnerin ihre Klinge zunächst herabließ und nun wieder erhob, so ging ich auf sie zu und schlug auf ihren Degen, dabei ging ich mehrere Schritte nach rechts. Anschließend griff ich in ihren linken Arm und drehte mich mit ihr. Als ich mich vor sie richtete, erhob ich meine Waffe mit der Spitze auf ihre Stirn. Dieses ist der Stoß des Todes.Aurora ergab sich. Ich zog sie an mich und gab ihr einen liebevollen Kuss auf die Lippen. Schnell hatte sie erleben müssen gegen uns Musketiere, die immer im Krieg stehen, ist es nicht leicht mit heiler Haut aus einem Duell zu gehen. Enora hatte sich eingeprägt wie dieser Schlagabtausch von mir war und ging diesen nach. Mit ausgestrecktem rechten Arm, als wenn sie ihren blanken Stahl führte, zeigte sie uns was sie sah. Ich schritt auf sie zu und überreichte ihr den Degen und bat sie, diese Bewegungen nochmals durchzuführen. Sie nickte und ergriff den Schaft. Wie eine Balletttänzerin demonstrierte sie uns ihre Kunst. Nun war es Zeit für Enora zu Bett zu gehen, sie ging ins Haus und wusch sich, anschließend ging sie mit ihrer Blankwaffe die Leiter empor um sich zur Ruhe zu begeben. Ich errichtete vor der Scheune ein kleines Feuer, an welches wir uns setzten. Anschließend erfuhren wir, dass Felipe die Fechtkunst von seiner Mutter erlernte. Er bat Aurora auf dem Hofe als Knecht dienen zu dürfen. Sie nahm ihn in den Arm und sagte „bleibe hier und arbeite mit mir, gemeinsam vergrößern wir dieses Gut und du hast wieder eine Heimat“. Ein Kuss besiegelte ihr Vorhaben. Die Bäuerin wollte ihn als Mann behalten. Das Feuer wärmte uns in der kalten Abendstunde. Sie berichtete von dem Alptraum ihres Lebens, als ihre Eltern von ihr gingen und sie mit dem Grundstück allein ließ. Zudem sind ihre Schwestern fortgegangen, um uns Musketiere zu unterstützen. Nun schloss sich der Kreis. Es waren Philippa und Francies. Diese Frauen stehen stets an vorderster Front und halten oftmals die Stellung alleine gegen 20 Angreifer.Auch sie hatten die Waffenkunst von ihrer Mama erlernt, nun war die Bäuerin alleine mit ihrer Tochter und musste das alte elterliche Gut bewirtschaften. Sie wollte ebenfalls in unseren Reihen stehen, doch mit einem kleinen Kind namens Enora war sie verpflichtet sich ihren Schwestern zu beugen um das elterliche Gehöft zu betreuen. Sie öffnete das Band ihrer Bluse und entblößte ihr Dekolleté. Sie trug die siebenflammige Granate auf ihrem Busen „Honneur et Fidélité“ (Französisch Ehre und Treue)Felipe lehnte mit seinem Rücken an einem Baum. Tränen rannen über seine Wangen, da er sich als feige empfand, einen Degen zu führen und dazu im Gefecht seinen Arm verloren zu haben, obwohl er die Fechtkunst beherrschte. Aurora sagte „kämpfe und streite. Allerdings hat dein Mut dir deine Gesundheit gekostet, schwöre auf diese sieben Flammen, dass du einen Degen führst und meine Tochter und mich verteidigst. Dafür hast du hier eine neue Heimat. Du hättest keine Chance gegen die Vielzahl unserer Feinde. Schaue dich um, schaue dir die vier Musketiere an. Sie sind mein Leben und mein Weg“. Mit diesen Worten ging sie ins Haus und holte ein Bündel aus dem sie ein Pergament zog und mir übergab. Aurora war Kürassier der „6e régiment de cuirassiers“ und musste wegen Enora außer Dienst gestellt werden. Nun wusste ich wer sie war. Sie war der Teufel an der Front gegen Spanien und hatte mit ihren Schwestern 180 Mannen unserer Gegner in Schach gehalten. Ich zog meinen Hut und sprach „Chevalier, ich erkenne euren Weg. Belasst euren Degen in der Scheide. Sollten wir euch rufen seid ihr an unserer Seite und du Felipe wirst deinen Mann stehen. Wehe Enora wäre nicht soweit den Degen zu führen“.Aurora setze sich, zu ihm gewandt auf die Oberschenkel des am Baum gelehnten Felipe, mit ihren Händen nahm sie seine Wangen und bedeckte seine Tränen mit den Lippen. Ihr Rock wich empor und ließ ihren kleinen festen nackten Po erscheinen. Mit seinem Arm versuchter er sie zu halten und zog sie dicht an seine Brust. Ich gebe seine Worte wieder „ja ich habe es verstanden. Ich bleibe solange ich darf und werde Enoras Lehrer und das nicht nur an der Waffe. Sie muss lesen und schreiben lernen, um ihr Leben bestreiten zu können“. Aurora bat mich an ihre Seite als sie sprach „Chevalier, mit eurer Klinge könnt ihr umgehen, aber wisst ihr was eine Frau wirklich braucht“? Sie sprach das kleine Wort „Liebe“ nicht aus. Ich hatte einen Blick auf ihre inzwischen entblößte Fotze. Auf Felipes Hose zeichnete sich ein feuchter Fleck ihres Mösensaftes ab. Ich bat sie „öffnet sein Beinkleid und ihr werdet erfahren, ob er es wert ist hier zu sein. Rasch ohne ein Wort löste sie die Knöpfe seines Schoßes. Als seine dicke steife Ficklanze heraus schellte ergriff sie diese und führte sie in ihre Scheide. Ihre Hände begab sie um seinen Hals. Ihre Lippen vereinten sich, als wenn zwei Klingen sich berühren. Ich hielt weiterhin ihre linke Schulter. Der junge spanische Seemann stieß von unten seinen steifen Schwanz in ihre nasse auslaufenden Fotze. Sie wollte ein Gefecht mit zwei Gegnern aufnehmen und forderte mich heraus. So begab ich mich hinter sie und streifte zu nächst den Stoff von meinen Beinen. Es dauerte nur einen Augenblick als ich nackt meinen Liebesdiener mit an ihre Möse ansetze in dem sich bereits Felipes Freudenspender befand. Ein kurzer Augenblick und wir fickten Sie mit zwei Schwänze in ihrer engen Fotze.Schluchtsend hielt sie unseren Stößen stand und klammerte sich an den Spanier. Weiter trieben unsere Fickharpunen ihr Unwesen in ihrem Unterleib. Auroras Fotzensaft rann aus ihrer Scheide und tropfte von ihren Schamlippen herab. Plötzlich verspürten wir eine Enge. Ihre Scheidenmuskulatur zog sich zusammen, als sie stöhnend, schreiend ihren Höhepunkt erlebte. Sie bat sich herum zu drehen. Ich entzog meinen Fickspeer aus ihrem Möse, sie drehte sich auf seinem Schoß ohne seinen Schwanz aus ihrer Fotze zu entlassen. Sie erhob sich erst anschließend und führte seinen Erzeugerschwert an ihre Rosette. Langsam setzte sie sich und sein Liebesdiener glitt in ihren Arsch. Rittlings genoss sie zunächst ihren Fick. Sie begann einen Urinstrahl abzulassen. Als ich das sah, kniete ich mich vor sie und stoppte den Strahl mit meinem Schwanz und schob ihn ihr in die nasse Fotze. Aurora wollte aufschreien und mich von sich stoßen, doch hielt sie mich im nächsten Moment. Unsere Lippen verschmolzen, dabei entzog ich ihr meinen Fickprügel. Im nächsten Augenblick schoss ein Schwall ihrer Pisse über meinen Schwanz. Erneut stieß mich meinen Liebensdiener in ihre nasse Fotze. Sie bat mit den Worten „Chevalier, spritz du mir Leben in meinen ungeschützten Leib, doch Felipe soll mich lieben“. Sie zog mich an sich und biss in meine Unterlippe, als wollte sie mich aussaugen. Sie war im Gedanken bei ihren Schwestern. Es war als wenn eine lange Klinge in meinen Leib eindringt. Doch ich verzieh ihr und fickte sie hart und fest. Schreiend schluchzte wollte sie von uns weichen, doch nach ihrem dritten Höhepunkt ergab sie sich und ließ sich im Sandwich von uns ficken als wenn sie nur auf uns gewartet hätte. Weiter zog sich ihre Scheidenmuskulatur zusammen als wolle sie meine Fickharpune abschnüren. Dabei trieb ich ihr weiter meinen Fickstab in den Unterleib sowie Felipe seinen Schwanz in den Arsch. Sie brach auf seinem Schoße zusammen und bat „ficken könnt ihr meinen Leib, doch mein Leben ergebe ich nur einem, welcher mir gerade seinen Samen in mich begab. Ein Kind will ich. Für jeden gefallenen Musketier schwängert mich und ich gebäre seinen Nachwuchs.“ Mein Saft, aus dem Leben entsteht, ergoss sich in ihrer Scheide und flutete ihre Eierstöcke. Aurora hielt sich an mir als sie sich erhob und von Felipes Schoße befreite. Ihr Arschloch stand offen wie ein Scheuentor. Sie bewegte sich breitbeinig als ihre Beine nachgaben. Gemeinsam hielten wir inne. Sie legten sich sanft auf meinen Umhang.Tränen rannen von ihren Wangen als sie zu sich sagte „für jeden gefallenen Musketier werde ich ein Kind zur Welt bringen. Es wird allen Feinden Stand halten und nicht in den Kriegen der tausend Tage verbleiben“. Ich hob sie auf meine Arme und gab ihr einen liebevollen Kuss, dabei bat ich sie „richte deine Uniform und bekleide dich. Ich verweile hier und will dich in Waffen sehen, ob du es Wert bist dir ein Kind geschenkt zu haben“. Sie eilte und wusch sich am Troge den Schweiß vom Leibe, anschließend ging sie in ihre Kammer und kam als furchteinflößende Amazone zu uns. Sie trug ihre Degen diagonal an den Brustgurten. Drei Pistolen, sieben Wurfmesser sowie die Magazine ihrer Armbrustbolzen bestückten ihre Oberschenkel. In ihrer Rechten führte sie einen Degen ohne Zier, er war schwarz wie der Tod. Ihr Umhang trug dieselbe Farbe. Ihre Kapuze trug sie tief ins Gesicht gezogen. An ihrer über ihrer weißen geschnürten Staude trug sie eine Coursage, die nicht schwärzer sein konnte als die dunkelste Gefahr. Der Rauch des Feuers umhüllte ihren Körper als wenn sie der Hölle entwichen wäre. Sie erhob ihr Haupt. Gefärbt war ihr Gesicht mit Ruß. Ihre Augen leuchteten voller Hass. Nun wusste jeder warum dieser Hof nie in feindliche Hand geriet. Sie war der Teufel in menschlicher Gestalt. Ich halte alleine nur ein Dutzend Reiter auf, sie hingegen mit ihren beiden Schwestern hielten 180 Reiter in Schach und weißt du lieber Leser wer sie ist. Gehe lieber ins Duell mit deinem eigenen Tod aber versuche niemals Aurora aufzuhalten.Sie kniete sich ins Gras und blickte mir in die Augen, als sie sagte „meine Tochter ist nun zum Chevalier erhoben, ich bin ein einfacher Kürassier. Ein Titel zählt für mich nicht, aber sollte ich jemals fallen, schwört, Enora und unserem ungeborenen Kinde ein Vater zu sein“. Ich zog meinen Dolch aus dem Stiefel und stieß ihn in den Baum an dem Felipe lehnte und gab allen bekannt „solltet ihr von uns weichen, werde ich deine Kinder zu mir nehmen. Unsere Königin wird über sie wachen wie auch mein Herz welches an dieser Klinge hängt“. Für diesen Biss wollte ich ihr selbst den Arsch versohlen, dabei bat ich Aurora „schieb dir Felipes Ficklanze in deine kleine nasse Fotze und richte dich darauf ein, dass nun ich erneut in dich eindringe. Sie tat wie ich ihr geheißen. Die Bäuerin führte sich den spanischen Schwanz in ihren Unterleib. Ich setzte meinen gut geschmierten Fickprügel an ihre Rosette und stieß mit aller Kraft zu. Bis zum Anschlag steckte mein Liebesdiener in ihrem Arsch. Wir fanden schnell den richtigen Rhythmus und fickten Aurora mit schnellen festen Stößen. Ihr Stöhnen war weit zu hören, dabei saugte sie sich an Felipes Lippen fest um nicht schreien zu müssen. Sie trug weiter ihre schwarze Uniform. Ihr Rock war schließlich bis über ihren Po empor gestreift. Ihre enge Rosette molk meinen Schwanz, allerdings wollte ich ihr noch nicht die Freiheit geben und stieß meinen Liebesdiener tief in ihren kleinen festen Arsch. Mit schnellen festen Stößen erlebte sie mehrere anale und vaginale Orgasmen, bis wir sie soweit hatten und sie einen multiplen Höhepunkt erlebte. Dieser ebnete nicht ab. Sie brach zusammen und rollte sich zur Seite. Unsere Schwänze glitten aus ihrem Unterleib, bis sie stöhnend, schluchzend am Boden lag.Mein verschwitzter Körper benötigte eine Abkühlung, so ging ich nackt, wie ich war, zum Bach. Allerdings nicht ohne meinen Degen. Ich begab mich in das kühle Nass als ich zu dieser Abendstunde eine dunkel gekleidete Person entdeckte welche auf dem gegenüberliegenden Ufer einige Kleidungsstücke wusch. Ich setzte mich ins tiefe Wasser sodass nur mein Haupt herausschaute. Ich erkannte eine Frau, sie war scheinbar eine Nonne. Sie trug nur einen Habit ohne Kopfbedeckung. So grüßte ich freundlich „bonne journée femme ich möchte sie nicht unhöflich sein oder sie erschrecken, allerdings könntet ihr uns die Beichte abnehmen“. Erst als ich diesen Satz bis zum Ende sprach, merkte ich den Unsinn meiner Worte. Sie fuhr empor und erschrak. Sie suchte mich am Ufer, doch als sie mich nicht erblickte richte ich mich auf. Nackt wie ich war stand ich vor ihr. Mein steifer Schwanz streckte sich empor, als wenn dieser nur auf diese geistliche Dame gewartet hätte. Ihr Mund war nur drei Ellen von mir entfernt.Sie bedeckte rasch mit ihren Händen ihre Augen und sprach „monsieur, bedeckt euch, ich bin Nonne Maria vom Kloster der Zisterzienserinnen und Tochter der Äbtissin Dionora le Coigneux“ weiter murmelte sie „oh Schande was sahen meine Augen, einen nackten Mann“. Ich begab mich zurück zu meiner Kleidung und bedeckte mich. Anschließend schritt ich erneut ans Ufer. Mit den Händen in die Hüften gestemmt samt meinem Degen an meiner Seite, bat ich die geistliche Dame zu uns zu kommen. Nun erkannte sie mich als Musketier der königlichen Garde. Allerdings war keine Brücke weit und breit, ich rief meine Lusitanostute Arabella. Sie kam auf mich zu. Ich schwang mich auf ihren Rücken und ritt mit ihr durch den Bach. Nun bat ich die holde Nonne „kommt steigt auf, ich bringe euch an einen sicheren Ort an dem ihr die Nacht verweilen könnt. Zudem solltet ihr euch wärmen und ein Teller Suppe zu euch nehmen. Sie hob ihre nasse Unterwäsche auf und reichte mir ihren Arm. Ich zog sie zu mir aufs Ross. Gemeinsam durchschritten wir den Bach. Am anderen Ufer setzte ich sie ab. Nun erfuhren wir mehr von ihr und ihrem Weg, als sie sich zu uns ans Feuer begab.Sie war auf Wanderschaft und wollte alleine die unchristlichen Preußen bekehren, unserem Land keinen Schaden zuzuführen. Mbali und Ellen grinsten. Marikit begann schallend zu lachen und sprach „Mademoiselle, ihr tragt weder Degen noch Pistole, glaubt ihr wirklich die Preußen würden auf Gott oder eure Worte hören?“ Maria holte das heilige Buch unter ihrem Habit hervor und sagte „auch wenn sie es nicht verstehen, hier steht es geschrieben im fünften Gebot Gottes – du sollst nicht töten – und im zehnten steht; Du sollst nicht begehren deines nächsten Haus“. Recht hatte die holde Dame, doch es hält sich kein Preuße daran. Ellen berichtete ihr „wir haben dieses Pack aus dem Land gejagt und ihren König zum Schweine misten verurteilt. 10.000 Männer und Frauen standen in unseren Reihen. Die Schmach dieser Niederlagen wird den Preußenkönig bis ins hohe Alter begleiten“ dabei zeigte sie auf ihre Waffen, damit Maria verstand, dass sie nichts mit einem Buch ausrichten könne. Maria sah Aurora in ihrer Uniform und erschrak, sie erhob ihr Kreuz welches sie am Halse trug und rief „oh Satanas weiche von mir, du bist aus der Hölle gekehrt um uns zu vernichten“. Die Bäuerin grinste und rief nach ihrer Tochter. Enora kam rasch und führte ihren Degen. Das Kind sprach „Mutter, ich bin soweit. Ich schlage den Feind, es gibt nur ein Erbarmen und das ist meine Klinge“. Maria begann sich zu fürchten, doch erblickte sie Felipe welcher im freien Oberkörper zu uns kam. Die Nonne bekreuzigte sich und spürte, dass ihr Weg vielleicht nicht der Glorreichste war. Sie kniete im Schutze des Feuers.Mbali brachte der Geistlichen einen großen Teller Suppe, Fleisch und Brot mit den Worten „Frankreich braucht uns, aber wir lassen niemanden hungern. Nun kennen uns Frankreichs Feinde. Sie werden sich fernhalten. Unser Glaube ist die Königin und unser Auftrag ist der Friede. Die zierliche Nonne verschlang ihre Mahlzeit. Scheinbar hatte sie seit Tagen nichts gegessen. Dabei sprach sie von dem Mahl sowie der Gabe Gottes. Dabei war es unser Instinkt und unsere Freude, dass es allen Menschen gut geht, wobei niemand Hunger leiden möge. Ich nahm an, sie müsse um die 35 Lenze alt sein, zwar war sie etwas ausgemergelt und sehr zart gebaut. Ihr Gesicht zeigte keine Falte, ihre zarten Hände kannten keine Feldarbeit. Nicht einmal eine Klinge konnte sie führen, wie sollte sie nur am Leben bleiben?Ich ging und begab ihre nasse Kleidung auf eine Leine. Es war mir wichtig, dass es ihr gut geht, auch wenn sie nur auf unseren Schöpfer vertrauen wollte, so vertrauten wir ihr. Sie flehte mich an „oh Chevalier eure Aufgabe sollte eine andere sein, als mein Kleid zu trocknen“. Ich antwortete ihr „ich bin ein Diener unseres Volkes, zudem auch ihr gehört. Ein Herr diktiert, ich arbeite frei für unsere Königin in unserem Staate. Ich bin nur einer ihrer Untertanen. Ja ich bin ihr verpflichtet, als wenn sie stets wüsste was ich tat. Obwohl wir hunderte Meilen voneinander entfernt waren. Schließlich war sie die Frau welche meine Nabelschnur durchschnitt, um mich meiner Mama in den Arm zu legen“. Maria verschlang ihre Mahlzeit und stellte den Teller vor sich ins Gras. Mbali kam mit einem Glas Wein in der Rechten, in der Linken trug sie einen weiteren Teller, gefüllt mit Käse und einem Baguette. Sie sprach „Maria breche mit uns das Brot. Trinkt das Blut unseres Landes, welches so tief rot ist wie es in deinen Adern fließt“. Die Nonne segnete dieses Mahl mit den Worten „ich danke euch hier sein zu dürfen. Nur die Neige dieses Glases bin ich wert an eurer Seite zu sein. Ihr brachtet den Frieden“. Sie übergab mir das Weingefäß, aus dem ich einen großen Schluck entnahm. Ich begab mich vor Marie, dabei ergriffen meine Hände ihre Wangen und gab ihr einen Kuss, in dem ich ihr den Wein in den Mund rinnen ließ.Sie schluckte und hielt meine Arme fest umschlossen. Anschließend erhob ich mich von meinen Knien und bat sie mir in die untergehende Sonne zu folgen, in dem ich ihr meinen Arm anbot. Maria folgte mir zu unseren Pferden. Arabelle stampfte mit ihrer rechten Vorderhand, sie rief mit einem Wiehern die anderen Rösser zu sich. Gemeinsam kamen sie zu uns. Ihre muskulösen Körper glänzten in der Abendsonne. Maria sah die Narben im Fell unserer Pferde, nun ahnte sie, dass auch sie sich stets unseren Gefahren aussetzen. Sie ging auf Arabella zu und gab ihr einen Kuss auf die Nüstern. Mit einem Kreuz segnete Maria die Stirn unsere vierbeinige Begleiterin „namens unserer Königin, tragt diesen Mann und seine Begleiterinnen. Streitet erfolgreich für unser aller Wohl“ Meine Stute machte einen Schritt zurück und rief ihre Herde. Sie folgen ihr und stiegen gleichzeitig, als sie sich zu uns wandten. Wiehernd galoppierten sie in Richtung des Waldes. Unsere Rösser waren schließlich unsere nächtliche Wache und griffen selbst gepanzerte Waffenträger an. Sie waren Schlachtrösser die so manches Gefecht erleben mussten.Wir gingen zurück zum Feuer, an dem meine Weggepfärtinnen mit Felipe und Aurora saßen. Die Nonne gab mir ihren wahren Namen bekannt „Maria Magdalena“. Ihre Mutter war eine bekannte Wanderhure welche ihr täglich Brot verdiente, bis sie ins Kloster ging und ihr Kind gebar. Die Gestliche war immer noch Jungfrau, wie sie uns allen bekannt gab und nur mit Gott verheiratet. Doch erhob sie sich und entblößte ihre rechte Arschbacke. Sie trug das Brandzeichen aller Huren, es war ein geschwungenes „P“ für Putain. Ihre Mutter brande es ihr in die Haut.Ich erhob mich und holte meine rote Tinte aus meiner Satteltasche. Aurora bat ich mir eine spitze Nadel zu bringen. Ich frug Maria ob sie weiterhin als Hure gezeichnet sein will, sie antwortete „ja ich bin eine Hure Gottes“. So bat ich sie sich über meinen Oberschenkel zu begeben. Sie tat wie geheißen. Ihr nacktes Gesäß befand sich vor aller Augen. Aurora und Felipe wollten nun sehen was ich vorhatte.Ich tauchte die Nadel in die rote Tinte und begann Maria ihren kleinen festen Rücken, Arsch und rechten Oberschenkel zu tätowieren. Es war ein Bild einer Frau. Dabei zeichnete ich ihren Kopfschmuck als schmales Stirnband. Aurora holte einige Farben um Stoffe zu färben und einige kleine Tiegel. Nun mischte sie die Farben und bat mich wie ich diese Streiterin auszumalen hatten. Das Band um ihre Stirn stieß ich in goldgelb. Jedes mal wenn ich in die Brandnarbe stieß stöhnte Maria auf. Ihre kleine Fotze welche Aurora mit ihrer Hand bedeckte war klatsch nass. Weiter tätowierte ich ihren Leib, bis das Kunstwerk fertig war. Es zeigte eine Streiterin wie es die Bäuerin war. Kleine Nadelstiche mit schwarzer Tinte vervollkommneten das Gesicht dieses Bildes, ich stach kleinen schwarzen Nebel in ihre Haut. Aurora bat mich „führe diese Position, in goldgelb aus“ es waren zwei Degen welche die Gestalt in Händen trug. Ein weiter Umhang umschloss ihren Rücken, doch ihre Titten und ihre nasse rasierte Scheide blieben unbedeckt. Ich stellte sie als Amazone da. Es fehlten noch Beine und Stiefel. Maria Möse ergoss sich bei jedem Stich. Weiter stach ich die noch fehlenden Körperteile in ihre Haut. Bis es vollendend war. Das Tattoo erstreckte sich vom unteren Rippenbogen herab bis zu ihrer Kniekehle. Ellen ging ins Haus und holte einen runden Spiegel. Die Nonne erhob sich und richtete sich auf, sie hielt das silberne Glas in ihrer Hand, drehte ihren Kopf und schaute hinein. Erschrocken ließ sie sich rittlings auf meinen Schoß fallen. Ich umfasste ihre nackte Brust. Die Geistliche Dame sprach „oh Chevalier, ein Künstler seid ihr dabei spüre ich euren Degen. Ich zog sie auf meinen Bauch und Aurora verstand ihren Auftrag. Sie öffnete den Latz meiner Hose und ließ Maria hinab gleiten. Mein Schwanz teilte ihre Schamlippen. Weiter ließ sie sich selbst herab. Sie spießte sich auf meine Liebeslanze, um nun nicht mehr ihrem Ehemann zu gehören. Sie schied aus ihrem bisherigen Gedanken und wollte zeitlebens weltlichen Männern ihre kleine Fotze anbieten, sie zu ficken. Mbali nahm auf Felipes Schoß Platz und ließ sich von ihm ficken. Marikit begab sich hinter Aurora und stieß vier Finger in ihre auslaufende tropfende Liebeshöhle. Der Spanier begab sich ins Gras, indem auch Ellen die Gunst der Stunde ergriff um sich ihren Platz auf seinem Gesicht zu sichern. Er sollte sie lecken.Maria sprach „ihr habt aus mir eine heilige Hure gemacht nun will ich es bleiben, auf dass ich euch über alle Grenzen folge. Stoßt euren Fickprügel tief in meinen willigen Leib, wie es die Männer bei meiner Mutter taten. Weiter trieb mein Liebesdiener sein Unwesen in ihrer Möse. Ihre Ficklappen samt Scheidenmuskulatur zog sich zusammen. Sie stöhnte laut in den Berg hinein, als sie ihren Höhepunkt erfuhr. Ihre Titten wippten weiterhin im Takt, als sie ihren Unterleib gegen mich stieß. Maria wollte und konnte nicht genug bekommen. So bat ich sie sich ins Gras zu legen. Dabei sah ich Ellen, Marikit und Aurora wie sie am Boden im Kreis lagen und sich die Fotzen leckten. Die Nonne zog mich mit sich auf den grünen Fließ. Sie ergriff meinen Liebesspeer und führte diesen in ihre auslaufende nasse Hurenfotze. Ihre Lippen hingen an den Meinen, unsere Zungen duellierten sich, als wenn wir uns mit den Preußen schlugen. Ich rollte mich mit ihr im Grase, so dass sie aufrecht auf meinem Schwanz saß. Sie trieb ihn in ihren Unterleib, dabei striff ich ihren Habit über die Schultern. Nackt wie Gott sie schuf, ritt sie nun ihren nächsten Höhepunkt entgegen. Plötzlich befand sich Felipe hinter ihr und setzte seine Fickharpune an ihren Anus an. Sie hielt inne und erwartete seinen Leibhaftigen. Langsam dran er in ihren Arsch ein und begann sie mit langsamen Stößen zu ficken. Gemeinsam fanden wir den Rhythmus und stießen unsere Erzeugerschwerter in ihren Unterleib. Quiekend, schreiend und stöhnend wollte sie sich uns entziehen, dabei hielten wir diese Nonne in unseren Fängen. Ihr vorheriger Orgasmus war noch nicht ganz ab geebnet, als sie weitere bekam. Ihr kleiner schlanker Körper richtete sich auf und wippte auf meinem Schoß, sie griff nach Felipe und bat „stoßet euren Schwanz in mein Leben. Hier und in alle Ewigkeit will ich eine gute abfickbare Diensthure sein. Tut eure Pflicht und fickt mich“. Der Spanier war aufgewühlt und stieß seine Fickharpune in ihr Leben, als hätte er selbst mit dem Seinen abgeschlossen.Bei jedem meiner Stöße berührte meine Schwanzspitze die hinterste Gebärmutterwand. Mein Schambein stimulierte ihre Liebesperle. Der nächste Höhepunkt ließ nicht auf sich warten. Sie kam und brach auf meinen Lenden zusammen. Felipe und ich pumpten unseren Samen in ihre Ficköffnungen. Sie war erschöpft und benötigte eine Pause. Wir entließen unsere Fickharpunen aus ihrem Unterleib. Weiter hielt ich sie. Unsere Lippen berührten sich zart, in dem sie zu mir sprach „Chevalier, ihr brachtet mich auf den rechten Weg. Bitte lasst mich euch folgen. Ich kann und will mich nicht mehr hinter Gott in dem Habit verstecken. Ihr habt mich gerichtet und mein wahres Leben gezeigt, das ich nun führen will“. Sie erhob sich, dabei glitt meine Fickharpune aus ihrer Scheide. Nachdem wir erneut am Feuer standen legte ich ihr meinen Umhang über die Schultern. Maria gab mir nochmals bekannt, mit uns reisen zu wollen. Meine Stute stand plötzlich vor mir. Ihr rann weißliche Flüssigkeit aus der Scheide. Sie war rossig, dabei hörten wir einen Hengst aus der Ferne welcher galoppierend auf uns zu kam. Arabella erhob ihren Kopf und schaute hinter sich. Es war ein großer stattlicher Boulonnais Hengst, den wir erblickten. Ein Kaltblut und Kriegspferd. Er trug den Anker als Brandzeichen. Der Hengst stellte sich vor mich auf seine Hinterhufe, als wolle er mich vertreiben. Meine Stute drehte sich zu ihm und stieg ebenfalls. Gemeinsam galoppierten Sie über die grüne Aue. Sein Schultermaß überragte mich um etwa 20cm. So nahm ich an, dass er 1,90 Meter Stockmaß besaß. Recht ungewöhnlich für diese Rasse. Zudem war er pechschwarz. Seine Hufe waren Teller groß. Sie hatten ihre Leidenschaft entdeckt. Hierbei wollten wir sie keinesfalls stören.Gemeinsam richteten wir unser Nachtlager im Heu der Scheune. Aurora und Felipe gingen ins Haus und ließen uns in der Nachtruhe. Maria sagte „gebt mir den Hengst, ich sorge für sein Wohl, er soll mein Streiter sein“. Ich bat sie sich mit Heu zu bedecken. Die Kälte der Nacht brach ein, so wollte ich sie schützen. Sie wollte tatsächlich dieses fremde Ross, dabei besaßen wir nicht einmal Zäumung und Sattel für diesen edle Riesen.Ellen kam an meine Seite ins Heu. Wir waren nun alle warm bedeckt und schlossen die Augen. Aus der Ferne vernahmen wir die Rufe einiger Eulen. Vereinzelnd nahmen wir das Heulen vereinzelter Wölfe war. Ich machte mir Gedanken ob Maria tatsächlich begleiten sollte, schließlich konnte sie nicht mit einem Degen umgehen. Allerdings wollte ich mir hierüber noch keine Gedanken machen. Ellen erahnte meine Gedanken. Sie gab mir einen liebevollen Kuss und flüsterte „lass die Nonne mit uns reisen, ihr wird kein Leid geschehen. Die Fechtkunst wird sie erlernen und den Habit ablegen. Ein Kind wird in ihrem Unterleib heranwachsen, dessen Vater du bist. Kinder sollen wachsen wie Weizenfelder. Meine Begleiterin öffnete den Latz meines Beinkleides und begab sich auf meine Lenden. Mein Liebensdiener glitt in ihre Scheide. Ihre schwarze afrikanische Haut spiegelte im Mondschein. Unsere Lippen versiegelten stumm unser Treiben. Weiter ritt sie auf meinem Schoße. Mein Schwanz stimulierte ihre Lustperle. Sie biss sich auf die Lippen, um nicht lauthals stöhnen zu müssen. Meine Hände glitten unter ihre Bluse um ihre Titten sanft zu berühren. Zwischen Zeigefinger und Daumen zwirbelte ich ihre steifen Nippel. Erneut berührten sich unsere Lippen. Ihr Fotzensaft lief aus ihrer Scheide über meinen Unterleib. Sie spritze einen Teil ihres Sekretes bis zu meiner Brust, als sie ihren Höhepunkt erlebte. Ellen brach auf mir zusammen und saugte sich an meinem Halse fest, damit wollte sie mir ein weiteres Leben einhauchen. Immer wieder pulsierte ihre Scheide, dabei zitterte sie. Tränen rannen über Ellens Wangen welche meine Brust bedeckten, sie brannten sich in mein Herz ein, als sie sagte „ich trage Zwillinge unter meinem Herzen“. Meine Partnerin zog mich hoch, als sie meine Angst sah sie und unsere Ungeborenen zu verlieren. Gemeinsam haben wir bereits Zwillinge im Alter von 7 Jahren, welche ich stolz meine Töchter nennen darf. Ihre Paten sind ihre Großmutter, meine Mama, meine Schwester und unsere Königin Anne. Sie sind getauft als Kriegerinnen mit dem salzigen Wasser der Biskaya. Auch sie sind wie ihre Mutter schwarz wie die Hölle Afrikas und standen uns zur Seite als englische Schiffe unsere Küste angriffen.Nun sagte Ellen „unsere beiden Töchter schnitten den Weinstock des Hasses am Boden herab. Frieden haben wir an der Küste, sie achten darauf, nun ist es an der Zeit ihn hierherzuführen. Deine Mama und unsere Königin sind unsere Heeresführer, sie sind der Garant unseres Seins. Sie wachen über unsere Kinder, nun habe den Mut weiter zu streiten. Wir schlossen unseren gemeinsamen Pakt, dabei dachte ich an den Satz in der Bibel „der Herr sprach. Die Sonne soll in Finsternis und der Mond in Blut verwandelt werden,……..“. Für unsere Kinder lassen wir uns richten damit sie leben können. Doch war unser Ziel der Frieden für unser Volk. Unsere Regentin Anne wusste, ich gebe mein Leben für unser Land. Meine Lippen fanden die ihren. Dabei duellierten sich unsere Zungen als stünden wir unseren Feinden gegeneinander. Ich bat Ellen mich zu begleiten, gemeinsam bekleideten wir uns und holten den schwärzesten Ruß aus der Esse und die verbleibende Kohle. Wir riefen unsere Pferde. Selbst der fremde Hengst „la, em am imsere Seote“. Schließlich wollte er Nachwuchs mit meiner Arabella zeugen. Ich schickte unsere Rösser aus, sie kannten nach einiger Zeit zurück zu uns. Als sie wieder bei uns waren, brachten sie in ihrem Fell Schwefel und Salpeter. Nur der Hengst trug eine schwarze Rose zwischen seinen Lippen, dabei trug sein Fell grau-braunen Staub auf seinem Rücken. Er hatte Kieselgur in seinem haarigen Kleid. Wir entnahmen so viel wir von unseren Begleitern abstreifen konnten. Noch wussten wir nichts damit anzufangen, bis Maria zu uns kam, sie hatte über Arabellas Fell gestrichen, anschließend über das Haar von Mbalis Hengst. Sie griff unvorsichtig in schwarze Kohle und ein Luftzug bedeckte ihre Hand mit dem fremden Staub. Als sie ihn von sich wischte entstanden Funken. Ihr Habit begann zu brennen und erlosch zugleich. So mischten wir diese fremde Substanz zu den Elementen aus denen wir Schießpulver fertigen wollten. Ich strich mir beim Vermischen die Elemente von meiner Hand, kleine Feuerbälle entstanden und explodierten. Ich war gewarnt vor der Kraft, welche wir gerade zubereitet hatten.Ich rief Arabella zu mir, sie folge an die lodernden Flammen. Sie erhob ihre vorderen Hufe und gab mir ein Wiehern entgegen, sie kannte die unheimlichen Gefahren der Gevaudan. Ich strich ihr übers Fell. Ihr heißer Atem berührte meine Wangen, dabei trat sie mir gegen mein rechtes Bein, ich sollte aufsitzen. Sie neigte ihr Haupt und drehte sich an meine Seite. Ich schwang mich auf ihren Rücken, dabei ließ ich ihr freien Lauf. Sie sollte mich an einen einsamen Ort führen. Arabella hielt an einem alten Grab welches moosbedeckt war. Ich stieg ab und strich über den kreuzlosen Stein, welcher das Grab bedeckte. Ich las im Mondlicht „am 26ten, août, dans l’année 1123 in der Schlacht um Ivón fiel ich Suson la Réole – Hebamme und Heilerin“. Ich glaubte zu träumen als ich die Jahreszahl las. Mbali, Ellen und Marikit waren mir gefolgt. Sie standen hinter mir und lasen die Worte auf dem grauen Stein. Plötzlich befand sich auch Maria bei uns, als sie die Inschrift las brach sie in Tränen aus, dabei sagte sie „kein Leben ist es wert in Schlachten gelassen zu werden. > Mousquetaire, donnez-moi votre épée et je me bats pour notre pays < (übersetzt) Musketier, gib mir deinen Degen und ich kämpfe für unser Land“.Sie ging weinend zurück zum Hof. Wir vernahmen den hellen Klang als würde ein Hammer auf einem Amboss erklingen. Nach dem vierten Teil einer geschlagenen Stunde erreichten wir das Gut. Wir hörten das schlagen des Hammers. Maria hatte altes Eisen in die glühenden Kohlen der Esse gelegt. Sie schlug den glühenden Stahl in formschöne runde Stränge. Sie brach ihn, begab ihn aufeinander und verschmiedete ihn erneut. Dieses vollführte sie mehrfach. Maria schwitzte und legte ihre einzige Kleidung, den Habit, ab. Nackt stand sie am Amboss und trieb den Stahl in die Form eines Degens. Sie rief uns zu „bei Gott, ich schmiede diese Klinge, sie wird mein künftiges Leben begleiten“. Schweiß rannen über ihr rußverschmiertes Gesicht, als sie sagte „das Heft dieser Waffe ist der Kopf Jesu. Die Parierstange symbolisiert seine Arme mit denen er jedes Lamm unseres Volkes zu sich nimmt und beschützt. Allerdings wird die Klinge unsere Feinde die Hölle weisen“.Ihre Worte waren ohne Rückkehr. Sie war bereit im Krieg zu fallen wie vor hunderten Jahren Suson la Réole. Ich ging auf Maria zu und ergriff einen Hammer, dazu nahm ich mir einen glühenden Stahl aus der Esse. Anschließend begann ich Leben in dieses alte Material einzuhauchen, dabei bat ich Maria „lege deinen Stahl auf den Meinen. Gemeinsam fertigen wir eine Klinge, sie wird dich schützen“. In der Gunst des Feuers, schmiedeten wir einen breiten langen leicht gebogenen Säbel, welcher an in einer schlangenform erinnerte. Sie wollte wie Aurora und meine Damen für den Frieden eintreten. Unsere Hämmer klangen auf dem Stahl. Nach drei Stunden begab ich die glühende Klinge in siedendes Öl. Die Bäuerin hatte einige Stoffe in Streifen geschnitten. Sie übernahm diesen Säbel und wollte den Griff umwickeln. Sie ging nochmals ins Haus und kam mit zwei kurzen 15cm langen blanken Stählen nebst einem Degenkorb zurück. Aurora begab den schlangenförmigen Säbel samt den kurzen Klingen nochmals in das Feuer der Esse. Als er goldgelb war nahm sie es heraus und begab ihn auf den Amboss. Sie bat mich. Schlage ein, lass uns die Klingenbrecher aufschmieden. Ich trieb den schweren Hammer auf das glühende Metall. Gemeinsam verschmolzen die Materialien. Anschließend nahm sie Kieselgur und begab es auf die Klinge. Es sprühte Funken. Aus dem entstehenden Rauch formte sich das Bild einer Kobra. Als der Säbel erkaltete und der Qualm verflogen war begann sie den Griff mit Baumwolle zu umwickeln. Als letzte obere Schicht flocht sie Schlangenhaut mit ein. An einem dünnen Band fädelte sie langen Fangzähne einer Raubkatze auf und band es ans Ende des Handstückes. Erneut ging Aurora ins Haus und holte einen ledernen Brustpanzer samt Beinkleid sowie einen langen Umhang, sie bat Maria „bekleide dich, ab diesem Zeitpunkt bis du eine Kriegerin. Der Säbel wird dich schützen, aber schneide dich nicht an der Klinge, er ist mit Kieselgur gehärtet, es vergiftet alle Wunden und wirkt wie Schlangengift.Marias legte den Brustpanzer an, welcher ihre Titten nur mäßig bedeckte. Das tiefe Dekolleté ließ ihre Titten mehr als nur erahnen. Der kurze Rock reichte ihr bis zur Mitte ihrer Oberschenkel. Lange Lederstulpen bedeckten ihre Unterarme. Ellen flocht aus Schlangenhaut ein Band und knotete es um die Stirn der Nonne. Nun fiel mir ihr zierlicher Körper bewusst auf. Sie maß vom Kopfe bis zum Scheitel etwa 5 pied.Die Geistliche sah aus, als wäre sie der Hölle entsprungen. Noch immer hatte sie keine Stiefel, diese mussten warten, bis wir einen Schuster fanden. Gemeinsam begaben wir uns zurück in die Scheune. Aurora ging ins Haus in dem Felipe auf sie schlafend wartete. Ihre Tochter bekam von all dem nichts mit und ruhte in einem Zimmer unter dem Dach.Maria gefiel sich im neuen Gewand. Ich holte frisches Wasser und mein Coiffeur Messer. Ellen gab mir meine Rasierseife, sie bemerkte, dass ich das Schamhaar der Nonne stutzen musste. Zunächst protestierte unsere Begleiterin, doch wollte sie selbst sehen wie sich ihre blanke Scham anfühlen würde. So begab ich den Seifenschaum auf ihren Venushügel samt ihren Schamlippen. Mit vorsichtigen Händen führte ich die Klinge und befreite sie von jeglichem Haarkeid. Ellen wusch ihr den schwarzen Ruß aus dem Gesicht und nahm eine Paste aus Moonöl, Salpeter und Schwefel, hinzu mischte sie Kohlenstaub und rieb es Maria um ihre Augen. Darüber rieb sie den dunkel violetten Staub von zermahlenen Schneebeeren sowie grauen Gur. Es entsprangen kleine Kristalle. Ihre Iris leuchte hafergelb.Als ich die Nonne von dem Pelz ihrer Scham befreit hatte, wollte sie sich ihr Haupthaar mit meinem Stiefeldolch abschneiden. Doch hinderte Marikit sie daran. Mbali nahm meine Coiffeur Klinge und rasierte die Seiten an Marias Kopf, sodass nur noch ein breiter Streifen samt langen Haar an ihrem Rücken sichtbar war. Mit ihrem gefärbten Gesicht samt ihrer Kleidung sah sie furchteinflößend aus. Gemeinsam begaben wir uns erneut ins Heu und schliefen ein. Maria hatte sich an mich geschmiegt. Marikit und Ellen kuschelten verbunden eng aneinander. Mbali hielt Wache. Unsere neue Begleiterin schwang sich plötzlich auf meine Lenden. Mein Liebesdiener fand seinen Weg in ihre nasse Liebeshöhle. Ihr Unterleib fühlte sich an wie glühende Kohlen. Tief in ihr pulsierte die Hölle ihres neuen Lebens. Sie wusste was vor ihr lag. Oft genug musste sie sich vor Soldaten verstecken. Nun wollte sie den offenen Kampf wagen. Sie beugte sich zu mir bis sich unsere Lippen berührten. Unsere Zungen fochten dieses Gefecht. Immer wieder ließ sie meinen Schwanz bis zur Spitze aus ihrer Scheide, um ihn sich erneut in ihre nasse Fotze zu rammen. Ich bedeckte ihr Gesicht mit Küssen, bis sich unsere Lippen erneut fanden. So unterdrückten wir jeden Laut. Sie bat mich flüsternd „Chevalier, bitte schenke mir ein Kind, es soll euren Mut weitertragen und unser Land für alle Ewigkeit sichern. Jeder Angreifer wird sich ihr erleben“. Plötzlich sprach Maria von einem weiblichen Kind. Ja ich wollte ihr eine Tochter schenken. Gemeinsam hielten wir und drehten uns. Ich begab ihre Schenkel auf meine Schultern und trieb mein Erzeugerschwert tief in ihre nasse Möse. Ihre Fingernägel krallten sich wie Dolche in meine Oberarme. Mein Schambein berührte stets ihre Liebesperle, als ich spürte wie sich ihr Höhepunkt näherte. Tief rammte ich meinen Liebesdiener in ihre auslaufende Grotte. In diesem Moment erlebte sie kleine Orgasmen. Dabei ließ ich diese nicht ab ebnen und stieß weiter meinen Schwanz in ihre gierige Fotze. Ihre Scheide zog sich zusammen, als wenn sie meinen Liebesdiener erwürgen wollte, so erlebte sie mehrere Höhepunkte gleichzeitig. Stöhnend schreiend hielt sie meine Arme bis sie meinen Nacken ergriff und zu sich zog. Der goldene Vollmond spielte sich in ihren Augen, indem sich unsere Lippen vereinten. Schweigend hielten ihre Unterschenkel meinen Unterleib gefangen. Pulsierend pochte ihre Scheide, dabei pumpte ich ihr meinen Saft aus dem Leben entsteht in den Unterleib. Sie entließ mein Liebesschwert nach unendlichen

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The Lee Odyssey chapter 1

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The Lee Odyssey chapter 1The Lee Odyssey. Chapter 1I was a junior in high school when it began. I lived in inner city of Detroit and our high school was integrated. We all got along fine though except for the few catty girls both black and white. There were a lot of cliques and it could sometimes get nasty. I was held back a year due to an illness so I was 18 and a year older than most of the girls in my classIt happened at a basketball game. Lee was the star of the team. He wasn’t that tall but he could really play. He was a senior and slightly older than I. The game was exciting and very close. Like many of the k**s in class I was cheering for Lee to make the big play and win for us. Seems like one of the black girls thought I was flirting with him and began to lace into me. The game was halted because she was making such a fuss. Lee came over to the girl and told her to knock it off that she had no strings tied to him.Well, Lee did make the big play and we won the game. Before he left the court to shower Lee came over to me and said, “Let me make that up to you. Meet me at Big Boys. I’ll be there soon as I shower.”Well Big Boy was pretty crowded but I managed to find a booth. One of my girl friends Escort came along too. It wasn’t long before Lee came in. The crowd all cheered for him and good to his word he came over to our booth and sat right next to me.He bought me a Burger and a malt and we sat and chatted for a while. He was very nice and apologized for the rude behavior of the other girl. Then one of his friends came and joined us and sat with my girlfriend.He asked if he could walk me home and I said yes. My friend lived in the other direction so his buddy walked her home.How does one start a relationship? Small talk, holding hands a peck on the cheek saying good night. Yes all of that but before he left he asked if he could take me to the movies on Saturday. Well I do love movies so I said yes. And that is how it began.We didn’t choose a specific theater but only the one nearest to us. The movie was, “An Affair to Remember” and I got all gushy and teary eyed. Of course men do not know what to do when a woman cries. So he tried to comfort be the best he could.Holding my hand, kissing away my tears hugging me tightly. And Of course I was hugging and kissing him back. Well it began to escalate and much more than Escort Bayan kissing was going on. Our hormones had kicked in and we wanted each other. He began to feel my breasts and those are really sensitive. They were sending signals right down to my pussy and I was getting very wet. I was nibbling on his ear and then we French kissed and he put my hand to his crotch. He was rock hard and I could tell he was very large. He said, “We are going to have to do something about this.” We quickly moved to a very dark and secluded part of the balcony. He was feeling my pussy and I was rubbing his cock. I think we both knew that we were going; “All the Way.” He pulled down my panties and I opened his fly. His cock sprung out in all its glory and he sat me down on top of it. Well, I was still cherry but the juices were flowing, thank goodness. It still was painful for the first thrust as he was so big. But he finally was able to get in and slowly sink deep into my hole.We just sat there for a moment enjoying each other. I started to work his cock into me and it went even deeper. He was thrusting up into me as well but we soon realized that he better not cum in me as we had no protection.He Bayan Escort asked me to please finish him off and I really did not know what he meant. He explained that if I sucked him to climax he would eat my pussy to climax as well.I really had never sucked a cock before but before I could protest he was down in my crotch licking my clit. He inserted a few fingers while he sucked and licked. He was rubbing me inside and he found a spot that was super sensitive and I jerked and spasmed and I came in his mouth. Well, he let me rest a bit and then began to work my face down to his beautiful cock. I slowly licked around it trying to figure out how I could fit it into my small mouth. As I had my mouth over his cock Lee began to push on my head and helped me get more of him down my throat. He then pulled me back a little and then pushed forward again. I was beginning to get the idea. It seems like I was going up and down on his cock forever before he finally groaned and shot stream after stream of cum down my throat. I began to gag and also didn’t care much for the taste but Lee bent down and gave me a big kiss and took some of the cum from my mouth.Well we didn’t really see much more of that movie. We cleaned up as best we could and then we both went to the rest room to clean up further. Then on to Big Boy again for our burger and shake. We actually went to see the same movie again. would you believe we had the same result?To be continued

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Friendly Wendy

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Amateur

Friendly WendyIf I’ve learned one thing, just one thing, in life it’s be kind to people when you’re on your way up because you never know if you might meet them again when you’re on your way back down! It’s a philosophy that has always stayed with me and I’ve applied in whatever walk of life or job I have been in and it has served me very well. Not for nothing am I known by many who I have met on life’s journey as ‘Friendly Wendy’. Indeed a lot of them will also remember me affectionately as ‘Bendy Wendy’. Call me what you will, I’ve had a lot of fun and intend to keep doing so for as long as I am ableI’m retired now after having had a fulfilling career in education. I’m told that I don’t look my age but then again it’s very rude to be asking a lady her age so suffice to say that I am not going to see 50 again. Whether the reason for my apparent youthful looks is that since my teenage years I have been a devotee to sex is a moot point but I like to think that my being in a constant state of arousal and my need for gratification in one way or another may have something to do with it. I’m not sure if others regard me as a prowling cougar but I guess that might be a fair description.I wasn’t always like this, being on the prowl, looking for young guys to have some fun with for my husband provided me very well with every need and I had no reason to go seeking cock outside of the marital bed. He was a good lover and he had no trouble in making me pregnant twice and giving us two lovely boys. (They’ve long since fled the nest.)We were the perfect family unit but that all changed when my dear hubby was killed in an auto accident and I was left bereft and at a loss of how to get on with my life. After a decent period of mourning I was left with a dull ache inside which somehow morphed into a realisation that I had to find sexual satisfaction for my needy body.I didn’t instantly go out searching for a sexual partner, although in retrospect I discovered that it would have been an easy task to fulfil, and I took solace in masturbation or rather as we refined ladies prefer to call it, Jilling.There was nothing I liked better that at the end of day when I had returned home from work that I would draw a hot sudsy bath and then sink down into the bubbles and lazily stroke myself to a satisfying orgasm … or two. I would close my eyes as I pleasured myself and always there would be visions of some young man with an erect cock who after letting me suck him would then push that rigid prick into my gaping pussy that was inviting him to fuck me senseless. It was a recurring vision and for reasons unknown the young man in my mind would always be either a black guy or a well-hung Hispanic. I had no idea where that came from but for sure it made my fantasies even more intense.For a while I remained the ‘respectable Mom’ and never took my fantasies out of the house. Rather I enhanced them by using toys that I bought by mail order. Initially I purchased a realistic looking dildo and for a colour choice I selected black. Oh my goodness, an inspired choice for to see that big black vibrating tool sliding in and out of my wet pussy did wonders for my imagination and laying on my bed with my legs spread wide as I tried to take the slippery length caused me to have the biggest screaming orgasms. It’s a good thing that my house is on an isolated plot otherwise neighbours might have thought there was murder being committed!The on-line mail order catalogue became a source of fascination for me as there were toys and aids that had been previously unknown to my previously sheltered life and upbringing. Now that I was living on my own meant there were no inhibitions or restrictions to prevent me from exploring this intriguing world and soon I had a regular supply of plain brown paper-wrapped packages being delivered to my door. I became quite proud of my collection and my nights were never lonely as I made friends and played out my games and fantasies with one or another of my trembling toys.However, the penis look-alike toys for all the satisfaction I gratefully received didn’t provide me with complete gratification and I was always, figuratively speaking, on the lookout for more. I still wasn’t brave or confident enough to go out dating and I certainly wasn’t the type of girl who would turn to the internet and chat rooms in the quest of finding a new soul mate (leastways, I wasn’t then!) but then relief came in the form of a flyer that accompanied my latest mail order purchase. It was an ad for ‘ben wa balls’; hollow silicon ‘eggs’ with weights inside that could be inserted in your pussy. The pamphlet explained that as you moved the weights rolled around and, like it or not, you would find yourself being pleasantly stimulated to the point of orgasm and beyond. Who knew? I’d never previously heard of them but apparently they have been around since time began; nobody told me!From the day that that particular package arrived I’ve had a smile on my face. People I meet have no idea what I am so happy about and I’m thinking that perhaps I owe it to my jiggling little rubbery eggs for my reputation of being regarded as ‘friendly Wendy’. If only they knew that as we walk and talk together that in point of fact I was constantly in a state of being close to orgasm. It was, and is, delightful.The time came when my mourning for my departed husband abated to the level where I started to think about getting back into the real world and for me to look for a job. If for nothing else, the insurance payout following the accident wasn’t going to last forever and I needed to earn a living.I trawled on-line to see what work was available in my locality and was intrigued to find there was a vacancy at the local Community College that was looking for a suitably qualified person to fill the new post of Guidance Councillor. I certainly had all the required qualifications to meet the job description and following my application and a short interview I felt very pleased with myself when I was offered the job.The job required that I provide advice and counselling to the male freshmen students on funding and what classes were needed for different majors. Given the fact that the college served the less academically gifted boys and those from the poorer part of town it wasn’t rocket science to observe that this meant that the student body demographic would be predominantly from the black and Hispanic communities of the area. For me this was a bonus and I was very happy to think that my fantasies would be well served by being in the company of such young men.It was a momentous day when I was shown my office and the prospect of working with a lot of young men; needy young men who didn’t fully appreciate that I had needs of my own and that in one way or another we would be helping each other out!It didn’t take very long for me to settle into my new job and the college management was quite content for me to set my own goals and put in place processes that would allow me to fully engage with the students. One thing that I insisted upon was although I adopted an ‘open door policy’ which allowed anyone to drop by as they wished it became a rule that whenever I was ‘interviewing’ or counselling that my office door would be closed and the panel with the sign that read ‘Occupied – do not disturb’ was strictly observed. It was soon accepted that whenever the sign was illuminated that no one unless previously invited dare knock!It was a few weeks into the new job when I began to feel confident enough to make my first move. I always ensured I was dressed a little provocatively with short skirts and a blouse that showed more than enough cleavage which soon attracted the attention of my target audience and soon I had a stream of young men, mostly black, making appointments to seek my advice, ostensibly advice on how to fund the courses they were considering taking or for some other related business.It didn’t take long before I gained a reputation for being a very sympathetic counsellor who enjoyed her job and I had become known as being an approachable, friendly person who once the door was closed would emphasise her empathy with whatever the problem was by becoming overly tactile with frequent touching such as holding the hand of the student while he explained his problems or patting his thigh or arm.For the student it was a welcome relief that the intimacies were far from what he expected and often my attention would be reflected by the growing bulge that developed Escort in his sweat pants or shorts (they always seemed to be wearing such sportswear!).For myself it gave me relief of a similar kind to see that my touches had bought about such a response but I had a more violent reaction for inevitably I would be squirming on my seat and the ben wa balls in my pussy did their thing and I would have to pause in my dialogue and let the orgasm wash over me as I imagined what the black cock beneath the fabric looked like.However, it wasn’t enough to satisfy my urges and I determined to take matters to the next level. It wasn’t difficult for at the end of the school day I would get to the parking lot to find one of my black students who I had counselled earlier waiting by my car and ready to take advantage of my offer to give him a lift home.”It’s no trouble; it’s on my route home,” I would have told him when we had been bantering in my office.We both knew that the offer was conditional (or at least, I did!) and there was no objections made when I pulled over into some parking lot at the mall or at the local park and he would lay back on the back seat of my car and let me pull down those sweat pants to reveal a beautiful stiff black cock. The first time I did it I literally shuddered at the sight and the ben wa balls did their job and I came without hardly making a move. I caught my breath and leaned over and without any hesitation I opened my mouth and sucked at that thing like I was a starving person who had just been offered a delicious sausage. Unlike the toys at home which I had ‘trained on’ this was an experience on a much higher level. His cock was warm; it twitched when I licked a little harder with my tongue; it caused him to moan the more I sucked at it as I stroked the impressive length; eventually all my practising with my toys when I would take a ‘penis’ balls-deep into my mouth paid off and finally a fountain of cum from a real cock would gushed into my mouth. None of my toys did any of that and they certainly never thanked me after I had bought myself to a simultaneous orgasm with my free hand.We tidied ourselves up and I moped off the cum that had spurted onto my blouse before I regained my rightful place behind the steering wheel and we completed the journey that took him home. I dropped him off and we parted company both very satisfied.It was taken as read that what had transpired between us must not be made common knowledge although I did indicate that if some of his more well-hung friends might like to take advantage then I would be quite happy to give them a lift home after school and provide similar ‘extra-curricular counselling’. The message was discretely passed on and soon it seemed that at the end of the school day I had one young stud or another loitering by my car waiting to take up my offer. Some of them were boys that I had previously seen in my office; others were young blacks who I had noticed had been eyeing me up as moved around the college during the course of my working day. I would be especially delighted if it was one of the innocent looking ones who was waiting for me for there was nothing that got me more excited than to think I was going to be sucking one who might be getting his first blowjob or having a mature lady stroking him off; every young man’s dream!As much as I loved feeling a young guy cummin over my pussy or into my mouth; loved giving handjobs to young guys and watching them cum; loved edging the guys by tickling and tugging on their balls, I was forever frustrated about just giving blowjobs. As I saw my efforts bring about yet another impressive climax all I could think was that the young fat black cock should be inside me filling my womb; more and more my resolve weakened and I began to plot how to go about being properly fucked rather than just being a spectator who masturbated. As time went by and I became more confident that I wasn’t going to get caught or ratted out by my clientele to the authorities I willingly let some of those who I liked (and had potential) take further liberties with me and let my resolve weaken further.I never wore panties and I can’t describe the thrill I felt when I allowed a black hand to wander its way up between my legs and to feel the touch of his fingers brush and probe around the waxed lips of my shaven pussy. Invariably I had my mouth full of cock which made it difficult to gauge his reaction but for me it was heaven indeed to feel the touch of a hand after so long after being on my own. His fingers would probe deeper and as I squirmed with delight the ben wa balls took no time at all to work their magic and I would be overwhelmed by the most delicious climax. I don’t know if it was coincidence or whether my squeals had the right effect but invariable my orgasm would be rewarded by yet another gush of cum from the cock I was holding. Bliss indeed.Weekends and school vacations denied me easy access to the source of my newfound games but now knowing the minds and needs of young men, especially black young men, I developed an alternative persona to the schoolmarm-type of term time.I guess it was from looking at the on-line sites that were the source of my extensive collection of toys (ahem, ‘marital aids’ as the catalogue charmingly described them) that I also developed an appreciation, fascination and love of fine lingerie and provocative clothing. Not being brave enough (at that time) of going to stores like Victoria Secrets or some of the more downmarket establishments that catered for such wear I soon found myself clicking and filling the virtual shopping cart with all manner of lacy, see-through underwear and the plain paper wrapped packages at my door were soon containing crotch-less sexy underwear, crotch-less panties, thongs, crotch-less teddies, black pantyhose and garter belts, half cup bras; the variety was endless.My solitary pleasures went to another level and there was nothing I liked better to do in the evening or on a weekend afternoon than to have a leisurely bath, shave any stray hairs from around my swelling pussy lips, douse myself in expensive perfume and body lotions then dressing myself in a provocative combination of my frilly things, the sluttier the better, before stretching myself out on my bed and letting my imagination run riot. Sometimes I would have my TV tuned to the internet showing me yet another movie that involved black men and their impossibly large erect black cocks fucking the life out of a willing white female; other times I would just fill my mind with images of the black cocks of the young boys that I had recently enjoyed in the confines of the back seat of my car. Either way I would have my shaven pussy being attended to by one or another of my dildos stroking in between lacy edges of my crotch-less panties and the lips of my now very wet pussy. I lost count of the number of times I’d cum dreaming of young black cock filling me dressed like the slut I wanted to be.Even so, it wasn’t enough for me. I began to go for drives thinking maybe I might find a young hitchhiker or some such fantasy but invariably I would end up going to a skateboard park where young guys go and I would watch them from my car or from a bench doing their tricks. It didn’t take long to catch their attention as I always dressed for the occasion by wearing a short dress, heels and stockings along with crotch-less panties …. if I wear any panties at all. I would park where I could be seen deliberately flashing my legs and pussy getting out of my car leaving them in no doubt that our interest in each other was mutual.My visits to the skateboard park which was way over the other side of town became a regular thing and, I’m guessing, was eagerly anticipated. I’m not sure if any of the boys were students at my school but I took measures to dress so that I would not be easily recognised as ‘that crazy teacher’ and my disguise seemed to be effective for nobody made any comment that indicated I had been recognised. I would park my car to one side of the lot where it was mainly hidden from view and I left the boys no suspicions as to my reason for being there when I would wink an eye, tilt my head and invite one of them to join me on the back seat where he would get a satisfactory blowjob. God, how I came to love the taste of cum.A variation on the games we played was when one of the boys pointed out that the structure of one of the ramps had a series of holes in the side. The naughty boy Escort Bayan said that if I would care to hide myself inside the space that the ramp provided then the set-up would serve as a ‘Glory Hole’. I hadn’t heard of the term before but it was soon explained that if I went inside that one boy after another would push their stiff cock through one of the holes and that I would be able to suck it off and have no idea to whom it was I would be giving a blowjob. I soon came to learn and appreciate exactly what a glory hole was and the added spice of sucking on an anonymous young cock made me look forward to my visits to the skateboard park with even more relish!I’m in danger here of giving the impression that all my free time was spent in pursuing and pleasuring young men (and myself) but this was far from the case for I have other passions one of which is my determination to keep fit. I still go to the gym at least 3 times a week, workout at home and try to take care of myself in every sense and I have to admit that it flatters me that I appeal to young and old when they see me dressed in my gym clothes as I exercise. I have always adopted the outfit of a crop-top sports bra which shows off my breasts most effectively and I have close-fitting lycra leggings over which I wear a baggy pair of shorts. The shorts are supposedly worn for modesty but I make sure that the leggings are always pulled up tight so that the resulting camel-toe of my pussy lips can be plainly seen whenever I lay down on a mat or sit at some apparatus. I deliberately position myself for maximum effect and it never fails to give me a thrill to notice that my ‘charms’ are being observed by others doing their keep fit exercises. (What they can’t see is my lovely ben wa balls which are providing their usual stimulus as I work out!)My workout regime was, and is, designed around toning up my muscles and burning off as much fat by doing mainly cardiovascular exercises. I also have a separate thing going to help in keeping my pussy tight so I do kagels as often as possible and as an added extra I insert a small dildo so that as I walk around I have use my pussy muscles to keep it in place. Nobody knows the reason why I always have a smile on my face as I work out.However, it was the gym that provided much more than just exercise and an excuse for my exhibitionist fun; it was there that I met a man who was to become my second husband. Whether or not he knew what I was doing with regard to showing myself off in such a blatant and provocative manner or, if he did, that he didn’t care is something that I will never know or understand for he has always been a little vague as far as sex is concerned. I didn’t appreciate it at the time and maybe if I had then I wouldn’t have entertained the idea of getting hitched for the second time but, as they say, hindsight is 20-20.He is a good man and I do love him dearly but it is now more a platonic partnership that we have and looking back it has really been like that from the day we first met. He, like me, went to the gym ostensibly to keep fit but he had the underlying reason of wanting to make friends to fill the void in his life that followed the death of his wife from cancer. He wasn’t always there for I discovered he had a job that took him away for periods of time but he struck a sad figure in the cafeteria whenever I saw him after I had finished my session and it didn’t take long before we did indeed strike up a friendship which brightened both our lives considerably. He was witty, intelligent and desperate to meet someone. I was charmed by this likable man and it didn’t take too many meetings over a post-gym cup of coffee before we moved onto properly dating; the rest was history.To be honest my main motivation in encouraging my new boyfriend was a desire to have regular cock invading my ever-needy pussy. His desires must have been elsewhere for I soon discovered that he wasn’t all that interested in what I had to offer. For sure in the beginning after the marriage we went to bed quite often and I gave him every encouragement to use me. In truth it wasn’t a great success or very satisfying. He was, how can I say politely, not very well endowed and tended to get over-excited so that he soon spurted his meagre load and his little cock would quickly become no longer ‘fit for use’. Having been used to a variety of young cock that never seemed to lose its stiffness even after I had encouraged yet another fountain of cum from the hanging balls, I was, let me confess, a little less enamoured and disappointed in how that aspect of my new marriage was working out.However, he didn’t seem to find his performance lacking and once he had shot his load it was to roll over and continue to be ‘Mr Nice Guy’ and to let me find my own amusement thereafter. Not that he was ever aware of how I found those amusements. My collection of toys and the wardrobe of lingerie was kept hidden and my penchant for young black boys was also never revealed.After the honeymoon period life morphed into a new understanding between us. He was good provider and with a very responsible job with an oil company his salary meant that I didn’t really need to work. However, for my own reasons I chose to continue!As an specialist engineer he had to go off to maintain and fix oil installations at refineries around the world. Sometimes it would be a couple of days that he was away, other times it would be a week or more, sometimes even longer. Given his failure to provide me with my required level of satisfaction his trips away gave me every opportunity to continue with what I had become so adept at doing, the pursuit of young black boys and their ever-ready cocks.I don’t think my new husband at that time had any idea what I did in his absence, he was totally absorbed in his own world to notice, an attitude which suited me very well and it occurred to me that I was to him a ‘trophy wife’ who could be shown off on occasion to prove that he had achieved contentment. His indifference gave me every confidence to continuing with meeting these willing young men to the extent that I took every opportunity to invite them back to my house whenever my husband was away. I felt no shame in doing so, in my mind it was his fault for having tasted the feel of his insignificant cock in me just gave me the desire to have something more substantial to satisfy my urges and I really needed more than just sucking and giving blowjobs and wanking boys off.Then there was the other thing that gave me a incentive to do much more than just giving oral and handjobs. Without going into too much detail I had for a while been having trouble with my ‘lady parts’ (men have no idea the trouble and discomfort we women have to go through!). My last pregnancy hadn’t been easy and I had been left me with needing treatment of which the ultimate fix was to have my tubes tied. I had been counselled that the simple operation would result in my no longer being able to conceive and have c***dren. It was difficult to hide my elation to hear that advice. Now I would no longer have to fear that having a stranger’s cum in me would result in awkward explanations.I’ve lost count of the number of times over the years that I have taken a trip to our local shopping mall complex to hunt down a willing partner or two. The best hunting ground has always been the arcade area which has a branch of ‘Victoria Secrets’ on one side. It amused me to watch young guys loitering around getting their kicks from furtively looking at the displays of flimsy lingerie hanging on the mannequins in the windows. It didn’t take much imagination to guess what they were thinking and they had an even greater thrill whenever they might look my way and glimpse, ‘the lady sitting over at the cafe, sipping her coffee, reading her book and not realising that she had her knees apart and was exposing her shaven pussy’!Oh, but this lady did realise! Indeed, I took great pains to make sure that I was positioned just so and gave the impression that this lady might be available. Out of the corner of my eye I would sense I had caught the attention of one of the ‘window shoppers’ and if after first glance I considered him to be cute and had potential I would give a smile, open my legs a little further and with a wink and a nod send the message that perhaps he might care to come and join me.It worked every time.I never bothered to ask their names; it gave me an added thrill not knowing. I would gather Bayan Escort my things, abandon my coffee and we would go off to the parking lot and once in my car I would give the lucky young man a quick blowjob just to show him I was serious. If his cock came (pun intended) up to expectations I would invite him back to my house with the promise of giving him much more than my mouth to fuck.It worked every time.I always made sure that they showered and cleaned themselves up before we went any further, after all I have my standards and I knew from experience of being a mother to boys that they could be nasty, grubby things if left unsupervised. No way was I having a dirty boy anywhere near my most precious possessions. I also made it very clear that there was to be no going anywhere near my ass. There’s something about anal that has never appealed to me and, as I say, I have my limits, so there.I have a large en-suite bathroom with a wet-room shower and there is plenty of space for two. I liked to take the boy who I had selected at the mall, strip him off and once I had divested myself of my own clothes take him into the shower and, just as a Mom should do when looking after her ‘little boy’, I would wash and soap him all over paying particular attention to that troublesome penis which with little encouragement had already regained its strength following the tongue-lashing given in the parking lot. I would let him return the favour and allow him to wash me with his soapy black hands and invariably with him caressing my soapy tits and smooth pussy lips I would bring him off to another climax with my hand clasping and stroking his thick fat shaft. It was an ideal introduction to what would follow.I would leave him to dry off while I went through to my wardrobe and where I would select a tasteful outfit. I did so love an opportunity to share the delights of my lingerie drawer and to display the likes of that which the impressionable young man had been looking at through Victoria Secrets window. I had told him to call out when he had finished drying up and when I gauged he had made it back into the bedroom I would make my grand entrance knowing he would be thrilled to see me dressed like a slut.It worked every time.I never cease to be amazed at the stamina and ability these black boys have. Their cocks never seem to lose their hardness and it seemed that no sooner had he fucked my willing pussy to ecstatic satisfaction and shot his load deep inside me that after getting his breath back he was ready to go again. I didn’t object for half the time I was thinking that I was making up for lost opportunities and in my own way was gaining a reputation for being insatiable.I would encourage the boy to treat me like a slut; to call me names; to talk dirty as if I was some kind of trailer trash. I used to give an impression that I was concerned that not using a condom or other protection with him riding me bareback and cumming in me might get me pregnant. I never let on the truth but the very idea invariably drove them wild and spurred on their efforts to ‘seed’ me.It worked every time.Soon I didn’t need to go to the mall to get my needs satisfied. I had attracted a faithful clientele and we worked out that if they saw the d****s of a particular upstairs bedroom were drawn open that it meant that my husband was away and that I was available to entertain. Word was passed around and I was very satisfied at the new arrangements which meant I no longer had to put myself at risk of being discovered pursuing my passions.I wouldn’t say that whenever my husband was away that I had a queue at the front door but there were times when it felt like that. Indeed, there came the time when for variety’s sake I began to have more than one boy come by the house. I would go through my usual routine of making them shower and getting themselves good and clean (and hard) and then I would delight in having not one mouth but two kissing my tits; not one tongue but two lapping at my wet cunt; not one cock but two fucking my face and then, the ultimate, one time when I was astride one boy feeling his stiff cock buried inside me I was aware that the other naughty boy had knelt on the bed behind me and managed to slip and stuff his equally stiff cock in alongside his friend’s. I was being double penetrated for the first time and it was glorious when I felt them both cum and add their slippery spunk to my well-filled pussy. I play acted and told them in my refined accent that they were very naughty indeed and that I wouldn’t be surprised if they had literally ‘knocked me up’! They loved to hear that just as much as I loved to be called a ‘dirty slut .. a whore .. a cum dump’ and so their insults piled up.It worked for me every time.I’ve long given up tallying the number of young black cocks I have let fuck my insatiable pussy. Indeed, it’s not only been blacks for I also developed a taste for the Hispanic variety. The change of diet became very easy to fulfil for my hubby insisted that we employ a local firm of gardeners to take care of our lawns and flower beds given that with him being away so often he wasn’t able to care for them himself. As is the nature of the business the gardening contractors in question employed mainly Mexican workers and it didn’t take me long to discover they were also very good and very willing to ‘plant their seeds’ in a garden of a different kind. For me the pleasure and benefits were twofold for at the end of their working day I would invite one or another (or both!) into the house and be properly pleasured by a Latino cock; the other benefit was that I didn’t have to bother with finding small change to tip them …… same thing applied whenever I had a delivery of fast food; the pizza boys were never left wanting!This has been my life for the past 15 years or so and although I shall be soon retiring from the college and my work as ‘special councillor’ there has been no let up in my desires or the means to satisfy them. My husband still travels and is absent for periods of time; I still maintain the exercise regime at the gym and, dare I observe, am a pretty hot looking lady; I still buy from the on-line catalogue and have an impressive collection of ‘aids’ and slutty lingerie which amuse me very much to use either when I am entertaining my young boys or when I am alone.There have memorable moments in my pursuit of pleasure. I purr with delight when I recall the gang-bang I had with four boys in the RV that one of them had borrowed from an uncle and we took a weekend trip.There was the time when the black janitor at the gym had noted what I got up to in the parking lot with some of my pick-ups and he literally begged me to take care of his three young grandsons who he wished to be safely initiated into the ways of the world. He was a sweet old black guy and when we met at his place I took care of him as well.Summer times if I knew my husband was going to be away I would organise a small ‘pool party’ and it was lovely to have a few of my favourite boys over when I would tease them by wearing a skimpy string bikini and encourage them to go naked. Our pool is well hidden and they always responded to my suggestions. Such fun.Has anything changed since I’ve been on this pleasurable journey toward my honourable retirement? Not really or that I have noticed but there is just one thing that bothers me.Whenever my hubby has been home and I have to curtail my extra-marital activities we have had the usual and, now very rare, coupling in bed. It is always with the lights out and always a very quick affair that does nothing for me.That’s not what has been bothering me. Here’s the thing, it’s the evidence that I know he has discovered my secret store of toys and I am also aware that he must have been riffling through my dresser where I have discretely folded and stored my special lingerie collection.Nothing has been said but there is also this other thing. I, in turn, then did a little investigation of my own and in the back of his desk drawer I found some porn magazines that he had clearly been reading. The pages were stained with what was clearly dried cum and he had even, how dumb is this, left some discarded tissues on the floor beneath the desk and in the wastepaper basket. I gingerly turn the pages of the magazines and saw they all had the common theme of a white woman being fucked every which way by black guys. Clearly, my dear inadequate hubby was getting his rocks off to the sight of interracial sex and by the evidence of the stained pages and the crumpled tissues lying around it was a frequent event.Now I have the dilemma. Do I confess my own interest in black cock; do I invite him to watch the real thing?Let me think about it.*******?

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papa trans 2 – découverte des jouets

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papa trans 2 – découverte des jouetsPrécédemment : moi Hugo, 23 ans, je vis avec mon père trans qui, après m’avoir surpris dans mes petits plaisirs, s’est occupé de moi.- Je sais que tu te plais dans notre petite routine secrète, mais je crois que tu es prête pour essayer de nouvelles choses. Ca te dirait que j’invite des amis à la maison ?- Je ne sais pas ce que tu as comme idée maman, mais je t’aime et je suis prête à tout pour toi.- C’est bien ma fille, répond ma mère en me caressant le visage. Dans ce cas il va falloir qu’on t’entraine un peu, viens je vais te montrer ma collection personnelle.Je suis ma mère dans sa chambre, me vois dans la glace mise en face du lit, et je me trouve sexy dans la lingerie de ma mère. Cette pensée fait perler quelques goutes de sperme.- Je ne t’ai rien encore montré et tu taches déjà ta culotte. Voilà, dit-elle en ouvrant une valise.A l’intérieur il y a plusieurs godes, certains assez gros, dont un ressemblant à une queue de cheval qui était long mais surtout Escort large, avec son énorme gland en forme champignon.- Je vois que ton regard se porte sur mon étalon. Je ne pense pas que tu sois prête pour ça encore, on va commencer par ce modèle.Ma mère sort une gode très long avec un gland à chaque bout, large d’au moins 5cm.- Assis toi en face de moi et écartes bien les jambes.Je m’exécute, et ma mère fait de même. Elle libère sa queue qui ne demandait qu’à sorti de sa petite culotte aux motifs léopard. Elle commence à se branler et à lécher les deux embouts du sextoy, puis elle écarte sa culotte et enfile avec une facilité déconcertante une dizaine de centimètres.J’ai envie de me toucher aussi, mais alors que j’approche ma main ma mère m’arrête.- Non bébé, tu vas en mettre partout sans ta couche. Je vais te faire du bien autrement ma chérie tu vas voir.Ma mère retire le plug de mes fesses, et je sens son sperme de ce matin qui commence à sortir.- Ton anus reste ouvert, Escort Bayan c’est tellement beau, et ça va bien glisser avec tout ce ju.Je suis surprise comment j’accepte facilement ce gode en moi, j’ai même envie qu’il aille plus loin, plus profond. Comme si elle lisait dans mes pensées, ma mère commence à bouger le gode rapidement d’une main tout en se branlant de l’autre à la même cadence. Lorsque je vois ma mère éjaculer, je sens à mon tour l’orgasme venir. La dernière pression du gode sur ma prostate me fait décharger.Après s’être remise, elle décide de m’offrir un de ses godes pour que je m’entraine toute la semaine. Ce modèle était plus large que le précédent, dans les 6cm. Le 1er soir j’ai du mal à le faire rentrer, mais j’insiste car je suis excitée et curieuse de voir ce que ma mère me réserve avec ses amis. A la fin de la semaine, je montre les résultats à ma mère en m’empalant devant elle.- Tu es prête pour la dernière étape, m’annonce-t-elle en sortant son gode qui Bayan Escort imitait en tout point la queue d’un cheval.Je ne sais pas si je suis prête à pouvoir m’enfiler un gode aussi gros, et ma mère lit l’inquiétude sur mon visage.- Ca va aller, allonges-toi et prend ton biberon que j’ai mis de coté.Le biberon est presque entièrement rempli de sperme, et pour une telle quantité je sais que tout ne viens pas uniquement d’elle et moi. Je m’allonge et commence à boire, ce qui me rassure et m’apaise. Après quelques instants compliqués, j’entends un cri de joie venant de ma mère.- La tête est entièrement rentrée, c’est le plus dur, c’est bien ma chérie. Maintenant je n’ai plus qu’à jouer avec.Et là pendant cinq bonnes minutes, je suis pilonnée par cet énorme queue, je ne sais plus ou donner de la tête et je continue de boire le contenu du biberon de plus en plus avidement.Lorsque ma mère arrête je découvre que j’ai dû jouir 2 ou 3 fois vu comment les draps sont souillés. Une fois le gode sorti, je ressens un vide. Ma mère essaye de me remettre le plug mais il ne tient plus en place tellement je suis dilatée.- Je vais pouvoir organiser notre petite soirée, mes amis vont t’adorer ma chérie, ils vont bien prendre soin de toi.

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Le jour où j’ai surpris ma femme avec un autrC’était il y a quelques années maintenant, nous avions 31 ans, ensemble depuis 11 ans.Comme beaucoup de couples, le temps n’arrange pas forcément les choses et la routine s’installe. Nos relations sexuelles sont de l’ordre de 1 à 2 fois par mois, et encore ..bref c’est pas la joie, mais on est bien, la routine quoi.Pourtant par le passé nous avons été plutôt coquins, à faire pas mal de photos coquines, des photos dans des cabines d’essayage, dans la rue des petites photos improvisées pour montrer son string. Nous avons même essayé pas mal de jouets et madame avait même eu envie d’essayer le gode ceinture. Ayant toujours un peu fantasmé sur ça j’ai sauté sur l’occasion et elle m’a dépucelé, j’ai adoré. On a recommencé 3 ou 4 fois, elle m’a même fait porter de la lingerie avant que cela ne l’amuse plus. Aujourd’hui je suis incapable de vous dire pourquoi nous étions arrivé à une relation si platonique… Un soir en rentrant du travail elle était partie en courses en oubliant son téléphone sur la table. Je ne suis pas du genre fouineur mais l’occasion était tentante. Notre relation commençant à me travailler le fond du caleçon, je voulais juste me rassurer. Evidemment je connais son code, je délock le téléphone et je vois des notifications facebook d’un ami à moi, Julien … Et surprise, l’enfoiré la draguait, mais bien sévère voir lourdingue. Je remonte un peu la discussion et je vois qu’elle joue avec lui, rien de bien méchant, mais visiblement ça doit l’exciter parce qu’elle ne se gêne pas pour répondre des phrases tendancieuses.Julien : Comment tu vas ? pas trop chaud par ce temps ?Anne : SI !! d’ailleurs je suis même à poil à la maison c’est intenable ;)Julien : Hmm intéressant, j’ai un DVD à rendre à ton homme, peut être que je pourrais passer ?Ensuite elle ne répond pas pendant 1 heure avant de lui dire “Désolé je dois aller faire des courses”Julien : Ca marche, j’espère qu’on pourra refaire comme hier ce soir ;)… Choqué je lâche le téléphone sur la table et dans un geste de rage je repars.Je prends la voiture direction nulle part, pour me calmer. J’envoie un SMS à Anne pour lui dire “je vais rentrer un peu tard ce soir, m’attends pas pour manger”.J’essaie de me calmer, de me dire qu’elle n’a rien fait si ce n’est pimenter un peu ses fantasmes, s’amuser par messagerie interposées … Je me dis que c’est ma faute aussi de la délaisser. C’est pas joli joli mais y’a pas non plus trahison.Mais une phrase …. cette phrase me rend dingue “j’espère qu’on Escort pourra refaire comme hier ce soir”Je reste seul à rouler sans but précis, à m’arrêter pour me calmer … Je finis par décider de rentrer 2 heures plus tard.Je rentre vers 22h à la maison comme si de rien n’était. Anne est déjà couchée dans la chambre devant la télé, comme à son habitude.Je rentre et elle ne m’entend pas, la télé est allumée je rentre pour lui dire bonsoir et elle fait un bond, je vois sa main vite remonter le long de son corps en lâchant son téléphone … Je la regarde bizarre, elle me regarde gênée et fait comme si de rien. Anne : Bonsoir mon amour ! Pas trop dur le boulot ce soir ? t’as encore fini tardMoi : Oui ça va, ils ont juste collé une réunion à 19h pour un point urgent, ca devient pénible. Je vais manger je te laisse.Et je ferme la porte.A peine la porte fermé je deviens rouge, mais rouge de rage, tout un tas d’idées me passent par la tête, à tout les coups elle était au tel avec lui, à causer sexe et elle devait se toucher …. Sale pute !Je craque, je vais sur le pc, me connecte à son compte facebook et décide de regarder leurs échanges de ce soir.Mon sang n’a fait qu’un tour quand je vis “appel vidéo terminé” …. putain elle s’est montrée en vidéo à ce connard !! tout devient clair, c’est pas jsute un peu d’excitation par sms, c’est une relation virtuelle. Je rentre en furie dans la chambre et on a vécu notre plus grosse engueulade.Elle essaye de se justifier par le fait que notre relation est ennuyante, de mon côté je lui dit que de toute façon elle n’a plus envie, ce n’est jamais le bon soir, jamais le moment. On se renvoit la balle, on hurle on pleure et tout ça se termine par : “De toute façon c’est juste pour s’amuser, on a rien fait, ok il a vu ma chatte oui, bah c’est tout, calme toi”Enervé je claque la porte et file dans le salon je ne me rappelle pas avoir dormi cette nuit là.Le lendemain on se croise sans s’adresser la parole, je vois sur mon pc qu’elle a changé son mot de passe … évidemment. Les choses reprennent peu à peu leur cours. on se pardonne, on se remet à faire l’amour plus souvent, tout va bien. Je me dis que cet épisode est derrière moi et qu’on est pas prêt de revoir ce connard.2 mois plus tard alors que je rentre plus tôt que d’habitude, je vois la voiture de Julien dans la cours …. je rentre rouge de colère mais sans faire trop de bruit pour les prendre sur le fait.J’ouvre la porte de la chambre et je trouve Julien debout sur mon lit, Anne la tête dans les oreillers Escort Bayan les fesses en l’air. Cet enfoiré lui défonçait le cul ! Elle me l’a refusé tout ce temps pour l’offrir à ce connard ??!! je pète un câble, je hurle et déglingue la porteAnne se cache de peur sous les draps et Julien enfile un boxer et vient vers moi pour tenter de me calmer. Je lui en colle une, il tombe à la renverse et Anne sors du lui totalement nue pour s’intercaler entre nous.Anne : Arrête Olivier ! Arrête je t’en supplie !Moi : Casse toi sale pute, tu me dégoutesEt je la balance sur le lit. Elle se relève et hurle STOOOOPOn la regarde et elle dit : “Olivier, va dans le salon, Julien rhabille toi on va parler”Son regard est noir, je ne l’ai jamais vu comme ça. je retourne dans le salon, je tremble de partout et je m’assoit à table, 5 sec plus tard c’est au tour de Julien d’arriver pour s’assoir, on se regarde, lui baisse la tête un peu merdeux d’avoir trahis un ami à lui sans doute …Anne arrive et s’assoit en bout de table entre nous 2.Un silence de mort se fait …. Anne fini par lâcher:Anne : Bon déjà, je te rassure Olivier, je ne l’aime pas, toi je t’aime plus que tout et je ne me sens pas fière de ce que j’ai fait.Moi : Que tu m’aimes ou pas, tu t’es bien foutu de ma gueule, et je suis pas aveugle en plus tu lui a offert ton cul ! tu me l’a toujours refusé! T’es vraiment qu’un grosse salope, sérieux!Anne : Insulte moi encore une fois et tu vas le regretter je te prometsMoi : Mais vas y c’est bon je me tire et va te faire enculer si t’aimes ça sale pute !Anne : OK tu l’auras voulu !Elle regarde Julien qui ne disait plus rien et nous dit je reviens tout de suite. Elle pars dans la chambre et reviens quelques secondes plus tard avec notre gode ceinture.Anne : Tu vois ça Julien ? j’ai enculé Olivier avec, il adore ça ……… Je reste muet, les yeux grand écarquillé, un frisson me parcours le dos et je baisse les yeux.Anne : Ha on fait moins le malin là un ! On fait moins son mâle mon chéri ! Je vois Julien qui se retient de rire du coin de l’oeil, je ne sais plus où me mettre.Anne : Julien, prend tes affaires et rentre chez toi.Julien : Je vais pas me faire prier!Il prend sa sacoche et file.On reste là 20 minutes elle me regarde, moi je ne sais plus ou me foutre, quelque part entre honte et rage.Anne : Je n’ai jamais voulu te faire de mal, mais après t’avoir sodomisé en lingerie quelque chose à changer entre nous. Je n’arrivais plus à te voir comme un homme, viril et fort comme avant. Avec le temps Bayan Escort j’ai eu envie de découvrir le sexe anal, mais impossible pour moi de l’imaginer avec toi. Alors oui quand Julien m’a fait du pied, je me suis dit “fonce! il en saura jamais rien, tu vas le faire une fois et tout rentrera dans l’ordre”. Sauf que non, j’ai adoré ça, j’ai essayé de me dire que je devais arrêter avec lui et ne pas te faire de mal, mais c’était plus fort que moi. Notre relation était déjà pas folle niveau sexe depuis quelque temps mais depuis que je le vois c’est encore pire pour toi.Moi : Attends ! tu le vois depuis combien de temps ??Anne : 6 mois …Moi :Tu te fou de ..Anne : Stop, laisse moi finir !Oui je sais j’ai merdé, mais j’ai une chose à te proposer …. J’y pense depuis un moment, j’aimerais que tu … que tu participe.Moi : Que je participe à quoi ?!Anne : Je voudrais que tu nous regarde, que tu sois là, avec moi, parce que je t’aime et j’ai envie de vivre ça avec toi.Moi : va te faire foutre !!Anne : Bon je voulais pas en arriver là mais tu me laisses pas le choix. Tu sais que j’ai des hptos de nous avec le gode ceinture ? Moi : ….. Anne : Je ne te laisse pas le choix, tu te joins à mon fantasme ou je montre ces photos à tout tes potes … De toute façon je te connais tu vas kiffer, tu as adoré être ma petite salope à l’époque.Moi : c’est vrai que j’ai adoré ça, ça me manqueAnne : Alors demain essaie de pas rentrer trop tard …..Elle se déshabille et va dans le lit en me demandant de la rejoindre.Son corps nu, je ne peux pas résister, je n’ai jamais pu. Je la rejoins, en évitant de croiser son regard, perdu dans mes pensées sur tout ce qui s’est passé ce soir…Elle se colle à moi et commence à passer sa main dans mon pantalon.Anne : Ah bah je vois que je te fais toujours de l’effet … même si je suis une salopeMoi : Arrête, tu sais bien que tu m’as toujours fait bandé quand tu voulais …Anne : Haha, et oui parceque je sais ce que tu aimes mon chéri, et demain tu vas adorer ….Moi : Surement p…! Elle m’att**** la bite et la sors de mon pantalonAnne: A poil et viteJe m’exécute, elle me grimpe dessus et on baise une bonne heure comme ça. Clairement ca faisait longtemps que je l’avais pas vu si chaude. Ses superbes seins qui pendent devant mon nez me rendent fou et je finis par lâcher tout, dans sa chatte. elle remonte le long de mon torse avant de venir poser sa chatte sur mon visage pour me repeindre le visage de mon foutre et de sa mouille. Un délice de la voir à nouveau coquine comme jamais. J’en profite.Anne : Bonne nuit mon amour, et à demain. dit-elle d’un regard coquinJe m’essuie la tronche avec une serviette et je me retrouve comme un con fixant le plafond avec une trique qui refuse de descendre….La suite à venir ….

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Soumis malgré moi–part 8(BDSM)-préparatif soiréeSoumis malgré moi – part 8 (BDSM) – Préparatifs de la soiréeLa première partie de nuit fut courte, cela fait deux jours qu’on m’excite par diverses pratiques sans me faire jouir. Je suis plein, les rêves érotiques ce succèdent, excité comme jamais, je bande douloureusement dans ma cage et je voudrais trop être vidé. Le premier réveil arrive vers minuit, je sens directement le plug que j’avais oublié en me couchant mais avec l’excitation, je me dis que je vais le garder toute la nuit. Ça habituera mon cul à être dilaté car au fur et à mesure des jours, les plugs qu’on utilise sur moi sont de plus en plus gros.8 Heures du matin, après une nuit plutôt difficile avec des réveils toutes les deux heures environs, je me lève et reprend mes petites habitudes : WC, café, et vérification boite mail. Je me surprends moi-même lorsque après être allé aux toilettes en remetant mon plug sans même le lubrifier.Comme je m’y attendais, j’ai un nouveau message.————————————————————————————————————————————–Bonjour Sue,Je tenais à te dire que les membres du cercle ont appréciés grandement les extraits de vidéo que Mister Deep à partager. Personnellement, je suis très satisfaite et je pense que nous arriverons peut-être à faire quelques choses de toi. Souviens-toi qu’il y a une réception avec mes invités ce soir, tu devras donc être impeccable aujourd’hui pour remplacer Louane qui est indisponible et faire tout ce qu’il faut ce matin pour que la maison soit irréprochable. Les invités arriveront vers 18h, sois chez moi à 17h00 précises chez moi.Madame Emmanuelle.————————————————————————————————————————————–Les vidéos ??? Je n’avais pas remarqué que j’étais filmé hier. Maintenant que j’y repense, il est vrai qu’habituellement il y a toujours des photos prisent lors de mes rencontres avec les membres du cercle et hier, il n’y en a pas eu. J’aimerais bien pouvoir les voir un jour. Je prends une petite douche, je m’habille et je file chez Madame Emmanuelle comme prévu.Arrivé à la maison, je sors la clé de la porte d’entrée et quelle surprise de constater que la porte n’est pas verrouillée.Peut-être que quelqu’un a oublié de fermer à sa dernière visite. J’espère qu’il n’y a pas eu de voleur ou autres choses. J’entre donc pour voir.- Bonjour Sue Je reconnais alors immédiatement la voix de Louane. Surpris, je regarde d’un coup d’œil la pendule qui indique 9h05 et me dis que ça y est, je suis arrivé en retard, j’espère juste que Louane ne sens est pas rendu compte sinon je vais encore avoir droit à une punition…Je m’avance vers le salon et je me retrouve face à Louane qui est assise confortablement dans un fauteuil. Elle était encore plus belle que dans mes souvenir. Aujourd’hui, elle avait fait un chignon impeccable, et portait un pantalon cuir très moulant, chaussure à talons, un chemisier blanc ainsi qu’un foulard de soie noir autour du cou. Son visage n’a aucune imperfection, sa peau semble d’une extrême douceur, elle a un corps à faire fondre n’importe quel homme malgré sont petit 1.65 mètre pour 50 kg et ses yeux sont d’une couleur ambre tellement rare par chez nous qu’une fois plongé dedans, il m’est impossible d’en ressortir.Elle est typée asiatique mais je pense que seul l’un de ses parents est asiatique, l’autre doit être d’Europe du nord. Je comprends à nouveau pourquoi j’ai eu comme un coup de foudre à notre dernière rencontre. Planté devant elle et tremblant presque, je lui dis :- Bonjour Miss Louane, mais je croyais que vous étiez indisponible aujourd’hui. – Mais qui t’as dit cela Sue ?- Madame Emmanuelle m’a demandé de vous remplacer aujourd’hui car vous étiez indisponible.- Apprend à lire Sue, ce n’est pas la première fois que tu te m’éprends. Je ne suis pas disponible ce soir pour accueillir les invités, personne n’a parlé de ce matin. C’est pour ça que tu es arrivé en retard ? Tu pensais être seul et que personnes ne le saurait…A ces mots, je reste silencieux. Je me dis que plus je parle, plus je risque d’avoir des sanctions et après la semaine que je viens de passer, une petite pause serait appréciée.- Ne perdons pas de temps Sue, descendons au vestiaire, j’ai ordre de te préparer pour ce soir et tu aussi le ménage de la maison à faire.Sue se lève sans attendre et me fait signe de la suivre. Lorsque nous arrivons dans le hall servant de vestiaire du donjon de Madame Emmanuelle, sue me demande de me mettre nu et me tend la clé de ma cage. Habituellement, je me serais dit qu’enfin j’allais pouvoir jouir mais pas cette fois mais je savais très bien que Miss Louane ne me ferait pas ce plaisir et j’ai bien compris d’après le ton de sa voix que le temps était compté.En tout cas, une chose est sûre, c’est que je suis heureux de pouvoir enfin enlever ma cage qui devient presque insupportable.Je me retrouve ainsi totalement nu, le sexe à moitié mou et je vois Miss Louane ouvrir le tiroir de la table basse, sortir un collier avec une laisse en en maillons métal argenté puis aller fouiller dans un placard pour en sortir un kit à lavement de 3 litres.- Madame m’a demandé de te préparer pour ce soir Sue. Commençons par un premier lavement, je t’épilerais ensuite me dit-elle en me mettant le collier.Louane att**** le bout de la laisse et m’emmène dans la salle de bain. Louane avait tout préparé, contrairement à la première fois, il y avait en plus au milieu de la pièce un fauteuil gynéco avec ses étriers et un pied porte sérum sur roulette.Louane m’installe dans le fauteuil et je mets sans qu’elle le demande mes jambes sur les étriers. Elle ne m’attache même pas et va remplir le sac à lavement avec de l’eau tiède et l’installe sur le porte sérum. Le sac n’est pas rempli totalement et je comprends vite pourquoi lorsque Louane sort une bouteille d’un litre sur laquelle il est indiqué « Huile de paraffine » et qu’elle en verse la moitié dans le sac qui maintenant se retrouve rempli au maxi.- Mais je vois que tu es un petit coquin, tu aimes avoir le cul bien rempli, tu vas être servie Sue. Ne t’inquiète pas, il y a 3 litres mais pour ce premier nettoyage, nous allons le faire en plusieurs fois. Pour les suivants ça sera autre chose alors détends-toi Sue.Louane att**** la canule d’une dizaine de cm comportant un petit ballon gonflage intégré qui empêche qu’elle ne ressorte, retire mon plug et insert la canule dans mon anus sans avoir besoin Escort de lubrifier. Le port du plug nocturne laisse mon trou bien ouvert alors Louane gonfle immédiatement le ballonnet au maximum pour être sûr que la canule reste bien en place.Louane incline le fauteuil pour que je me retrouve en position allongé et ouvre le petit robinet laissant le mélange eau/paraffine commencer à me remplir doucement.La sensation est agréable dans un premier temps mais je me sens très rapidement rempli alors que le sec ne s’est même pas vidé d’un demi litre. Après une dizaine de seconde, le sac recommence à se vider et les sensations sont beaucoup moins agréable maintenant. J’ai envie de pousser pour expulser tout le liquide en moi et je commence à avoir quelques crampes au ventre. Environ un litre s’est vidé quand Louane ferme le robinet et me dit d’aller me vider en dégonflant le ballonnet. Je serre des fesses autant que je peux mais le temps d’aller sur les toilettes je n’arrive pas à me retenir totalement et une giclé coule sur le sol. Je me vide dans les toilettes. En faisant un « mmm » de soulagement tellement je me sentais rempli.- Tu nettoieras après Sue me dit-elle. De toute façon, quand nous passerons à la vitesse supérieure tu vas de nouveau salir. Reviens ici, il faut continuer.- Oui Miss Louane.- Détends toi bien et masse ton ventre quand tu as mal. Tu iras te vider seulement quand les deux litres qu’il reste seront dans ton cul. Je m’installe à nouveau sur le fauteuil encore en position couchée et après avoir remis la canule dans mon cul et gonflé le ballonnet, Louane ouvre le robinet pour laisser le liquide me remplir très doucement.Il ne faut pas longtemps pour que je ressente à nouveau des douleurs dans le ventre. Je le masse doucement et je vois le liquide à nouveau entrer en moi. Je ferme les yeux pour essayer de me détendre un maximum. J’avais pris seulement et difficilement 1 litre tout à l’heure et je savais bien que Louane ne me laisserait pas me vider tant que les deux derniers litres ne seront pas passés en moi.A plusieurs reprise, le liquide arrête de me remplir et reprends sont écoulement au bout de quelques secondes.Les crampes sont de plus en plus fortes et en ouvrant les yeux, je vois qu’il reste encore un petit litre avant d’en finir avec ce nettoyage. Le lavement s’arrête à nouveau et après quelques massages, je suis surpris de voir le sac se vider très rapidement pendant au moins un demi litres. Je me trémousse sur le fauteuil en continuant de me masser et a chaque mouvement je vois le liquide reprendre sa progression.Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais finalement et à mon grand soulagement, je le sac à lavement complètement vide et le niveau d’eau dans le tuyau finir par s’arrêter à mi-hauteur.Louane ferme le robinet et commence à dégonfler le ballonnet puis me dit :- serres bien des fesses, tu vas rester rempli quelques minutes.Sur ces mots, Louane dégonfle le ballonnet et directement me remets le plug. Je ne peux m’empêcher de lâcher un “ah” tellement le volume du plug pousse encore plus l’eau présente dans mon cul. Je me dis que jamais je ne pourrais tenir plusieurs minutes comme ça quand Louane me dit de me m’allonger sur le côté gauche. Bizarrement, dans cette position, les crampes passent et je ressens même l’eau aller encore plus loin dans mon colon.Quelques interminable minutes plus tard, Louane att**** ma laisse et m’entraine sans ménagement vers les toilettes. Au moment où je me retrouve debout, je ne peux m’empêcher de me recourber et de tenir mon ventre. Je marche tout doucement à petit pas malgré que Louane tire sur ma laisse. Je m’assoie enfin sur les toilettes et j’enlève le plug laissant sortir une quantité d’eau mélangé aux excréments comme jamais je n’avais vu de ma vie.- Reste comme ça 5 minutes me dit Louane, il faudra bien ça pour te vider. Et marche un peu entre chaque évacuation.Je ne sais quoi répondre. Je reste là, assis sur le WC à attendre que les contractions abdominales s’arrêtent.Miss Louane me laisse et j’estime à bien 10 minutes la ronde évacuation, massage du ventre, quelques pas, évacuations…Me sentant vidé, je prends rapidement une douche pour laver mes fesses et mes jambes sur lesquels il y a aussi des éclaboussures puis sort de la pièce.Louane est là, m’attendant debout, avec tout le nécessaire aligné sur la table basse pour m’épiler à nouveau. Louane constate ma surprise quand mes yeux se posent sur la table.Il y a de la cire dépilatoire, des lingettes, une pince à épilé mais, en revanche, Louane a aussi mis un épilateur électrique.Avec un large sourire et une grande perversité dans le regard Louane reprend :- Et bien Sue, pourquoi as-tu l’air surpris. Tu dois être impeccable pour ce soir, tu n’imagines quand même pas que tu vas faire le service en mini-jupe avec tous ces poils disgracieux sur tes jambes. Tu as déjà rencontré des femmes en jupe qui ne s’épile pas les jambes ? – Non Miss Louane.- Et tant qu’à faire, nous en profiterons aussi pour faire tes bras. Ils vont faire “taches” avec le reste sinon. Mets-toi ici, lève les bras et ne bouge pas sinon je pourrais bien devenir méchante.J’ai presque envi d’esquisser un sourire. Qu’elle hypocrisie de dire “devenir méchante” alors qu’elle me persécute à chaque rencontre que nous avons et que je sais que de toute façon elle trouvera bien une excuse pour me faire subir ce qu’elle veut.Louane commence avec la cire par mes aisselles, poursuit par mon torse pour finir par mes testicules et la base de mon sexe.Je ne peux pas m’empêcher de bander tout en restant stoïque pendant toute l’épilation à la cire.Louane prend alors la pince à épiler pour faire les finitions et comme mercredi dernier, elle s’arrange pour me provoquer des douleurs qui me font sursauter et lâcher des petit “ah”. Comme je le pensais, Louane arrive à ce qu’elle voulait. A chaque mouvements ou bruit de ma part, elle m’assène une claque sans se ménager sur les fesses.- Arrête de bouger Sue dit-elle d’un ton sec. Je vais avoir mal à la main à force de te mettre des fessées. Ne bouge pas.Elle s’absente quelques secondes et revient avec un paddle noir avec un manche en cuir à la main.Je comprends vite que je ne vais pas m’en sortir comme cela quand je sursaute à nouveau quand elle me met un coup sur les fesses. Un cri sort même de ma bouche et sans attendre, elle me met un second coup sur l’autre fesse en me disant :- Un mouvement, un coup. Un cri, un coup. Tu as bien compris ?- Oui Miss Louane, j’ai compris.La première partie de la séance Escort Bayan d’épilation se termine enfin. Impossible de ne pas bouger tellement Louane faisait en sorte de me faire souffrir. Je ne peux pas voir mes fesses mais elles doivent être rouge voir violette car j’ai bien dû recevoir une bonne trentaine de coup de paddle.Louane me fait alors baisser les bras, et prend l’épilateur électrique. Lorsqu’elle commence, je comprends pour les femmes qui ne sont pas habitué à l’épilation électrique disent que ça fait mal. Sur certaine zone des jambes, je ne peux m’empêcher de serrer des dents tellement c’est douloureux. Malgré cela j’arrive à garder le silence jusqu’au moment où Louane passe l’épilateur sur les poils de mes pieds et de mes orteils. Je hurle de douleur et la supplie d’arrêter par des “Stop” “Stop” “Stop”. Rien ni fait, juste un regard de Louane avec un sourire non caché et elle continue sans s’arrêter jusqu’à ce que je sois épilé totalement.Elle passe ensuite au bras et va même à me le passer dans le dos. La douleur était tellement intense sur mes pieds que c’est presque une formalité.Elle att**** un téton et me tire vers la salle de bain en me disant :- C’est bien Sue, tu m’as même fais mouiller de te voir souffrir ainsi. Allons finir le nettoyage de ton cul il faut être impeccable à l’intérieur comme à l’extérieur pour les invités.Sur ces mots et après m’avoir dit ma tenue de ce soir, je comprends bien que les invités font partie du cercle et que cette journée est encore loin d’être fini. Louane me fait à nouveau un lavement avec un mélange eau paraffine mais cette fois, elle m’attache les jambes et quand elle commence le lavement me dit qu’il faudra que mon cul avale les 3 litres avant d’être libéré.Il faut bien 20 minutes pour que le sac à lavement soit vide. Les douleurs abdominales sont intenses mais j’arrive à supporter cette torture sans dire mots. Une fois bien vider, et après une nouvelle douche, Louane me dit : – Tes habits sont dans ton casier Sue, vas t’habiller pour faire le ménage de la maison. Pour te remercier de m’avoir fait mouiller tout à l’heure, je ne vais pas te remettre ta cage pendant que tu feras le ménage mais dépêches toi quand même, Fred livre le déjeuner à midi.- Merci Miss Louane, je vais me dépêcher.- Remets ton plug par contre, il ne faudrait pas que tu ais des fuites dans la maison.Louane remonte et comme mercredi dernier, je me retrouve habiller en femme ménage ou plutôt serveuse je dirais avec un chemisier, une jupe courte, bas et talons hauts. Je monte et attaque le ménage de fond de tout le rez-de-chaussée de la maison. Je la regarde partir et malgré tout ce qu’elle me fait subir, je la trouve encore plus belle que jamais.Heureusement qu’elle ne se retourne pas en partant car elle aurait surement compris mon attirance tellement je bandais.Je m’habille, et remets mon plug comme Louane me l’a demandé et je remonte faire le ménage de fond de la maison. Moi qui n’aime pas le ménage, je suis plus qu’heureux de le faire car Louane m’a permis de rester sans ma cage. Tout le ménage est fini dans les temps, je prends même un peu mon temps sur la fin en voyant qu’il reste du temps avant midi afin de ne pas être remis en cage si c’est ce qu’elle avait décidé.Effectivement, vers 11h50 je dis à Louane que le ménage est fini et immédiatement elle me remet la cage non sans difficulté. A peine elle me touche le sexe que je rebande à nouveau. Il faut dire que je me mets presque à bander juste en la regardant.A nouveau, les évènements ne se passent encore pas comme je le pensais. Fred arrive bien à midi comme c’était prévu, range le déjeuner dans le frigo mais ne repart pas et va s’installer dans le salon avec Miss Louane.- Sert nous un verre Sue lance Louane. Dernière porte à gauche. Un mus**t pour moi et un Whisky pour Fred.Immédiatement j’exécute, pas de bouteille dans la dernière porte à gauche mais le plateau de service avec les pinces à seins. Je le mets et effectue le service en prenant soins de ne rien renverser avec mes talons hauts qui me donne une démarche anormale.Je reste planté debout devant eux pendant qu’ils prennent l’apéritif en discutant de tout et de rien jusqu’à ce que Louane lance en plein milieu de conversation comme si je n’étais là à écouter :- Mais Fred tu n’as pas d’autres livraison à faire ?- Non non Lou, j’ai seulement le repas de soir à finir, j’ai le temps.- Ah super !!! Madame Emmanuelle m’a demandé de préparer Sue pour ce soir. J’aimerais bien que tu vérifies tout que tout est impeccable.- Aucun problème Lou, je vois de quoi tu parles. Approche toi Sue, mets-toi à genoux et suce-moi pour me faire bander.Sans comprendre pourquoi et sans aucunes peurs je me mets à genoux entre les jambes de Fred qui a déjà posé son pantalon et qui ne porte pas de caleçon et commence à lui faire une fellation. l’odeur de son sexe est très agréable, il doit sortir de la douche il y à peu de temps. – Allez, suce-moi bien et à fond dit-il, j’ai vu que tu sais le faire. Même si la mienne est un peu plus grosse, j’espère bien que tu vas me la gober entièrement.Tout va très vite, Fred commence à bander dès que je titille le frein de son sexe avec ma langue, Miss Louane a déjà enlevé son pantalon et son string et commence à se masturber en me regardant sucer Fred. Quand je l’aperçois du coin de l’œil, mon sang ne fais qu’un tour et je rebande comme jamais. Elle est confortablement assise sur le fauteuil, les jambes écartées reposant sur les accoudoirs, écartant ses lèvres d’une main et ce masturbant de l’autre.Avec l’excitation qui monte en moi, je fais glisser le plus que je peux le sexe de Fred dans ma bouche. Il est encore à moitié mou mais je le sens gonflé de plus en plus. J’ai à nouveau des hauts de cœurs alors je repense à tout ce que j’ai lu hier sur internet pour réussir une gorge profonde.Je ressors son sexe pour reprendre ma respiration et cela me permet de voir que son sexe est à peu près de la même taille que le miens : 16 cm sur 4 de diamètre. Pourtant il paraissait beaucoup plus gros lorsqu’il était dans ma bouche car je n’avais pas réussi à le prendre totalement et avec ses 1.85 m pour 85 kg, ça aurait pu être pire.Je me dis que je ne peux pas m’arrêter là, il faut que j’arrive à le prendre entièrement dans ma bouche. Moi qui pensais ne pas avoir un gros sexe, je me dis que finalement, je comprends que toutes mes ex ont refusées de me faire une gorge profonde. Je me concentre et essais à nouveau de m’empaler son sexe totalement dans ma bouche. Son sexe bute à chaque Bayan Escort fois contre le fond de ma bouche en touchant ma luette mais rien n’y fais, je n’y arrive pas et pense que cela est peu être dû à la position. Malgré tout, je sens que Monsieur Fred apprécie mes efforts car son sexe est dure comme de la pierre et je l’entends faire de petit gémissement de plaisir.- A mon tour dit Louane. Viens me lécher la chatte, je mouille déjà et je sais que tu aimes ça. Fred va vérifier le reste.Je retire le sexe de Fred de ma bouche que je n’ai pas réussi à prendre en entier et je vois Louane s’allonger sur le tapis du salon écartant les jambes.Je suis à nouveau excité comme jamais en pensant que je vais lécher Louane !!! Ma cage est douloureuse mais pour Louane, je pourrais supporter encore plus.Je me mets à quartes pattes et commence à la lécher en visant directement son clitoris avec ma langue pour essayer de lui donner un maximum de plaisir dès le début. Je veux qu’elle jouisse dans ma bouche, j’aspire, je la titille avec ma langue 1 seconde puis appuie avec ma langue. Sans comprendre pourquoi, j’ose même lui masser le clitoris avec mes doigts pendant que je la pénètre avec ma langue.Je suis comme envouté, je ne sens même pas Fred qui est passer derrière moi pour m’enlever mon plug. Je ne veux qu’une chose : donner du plaisir à Miss Louane.Mes pensées changent vite lorsque brutalement Monsieur Fred relève ma mini-jupe, extirpe mon plug et me pénètre entièrement d’un seul coup. Je me demande même comment j’ai fait pour ne pas arrêter de m’occuper de Miss Louane sans serrer des dents au risque de lui faire mal.Il n’y va pas demain morte, après une pause de quelques secondes avec son sexe enfoncé au maximum en moi, Monsieur Fred me sodomise avec des vas et viens bestiales ressortant son sexe presque entièrement pour me le remettre au plus profond qu’il peut.Sans m’arrêter de sucer Miss Louane, je sens Monsieur Fred se retirer d’un coup et changer de position. Il passe une jambe de chaque côté de mon corps, enduit ses doigts de salive pour lubrifier mon cul, remets d’un coup violent son sexe en moi et recommence à me sodomiser sans concessions.Les sensations changent totalement. A chaque vas et viens, je sens son membre appuyer sur ma prostate. Je voudrais pouvoir me toucher et jouir tellement je suis excité. Il n’arrête pas en allant de plus en plus vite et je vois que Louane va bientôt jouir tellement elle mouille. je me demande si son plaisir viens de mon cuni ou bien si c’est le fait de voir Fred me défoncer comme une bête et j’ai vite la réponse :- Va y Fred !!! fais-le jouir par la prostate, il faut qu’il soit vidé pour ce soir. – Oui Lou, ne t’inquiète pas. Prend ton pied, ne t’occupe pas de moi.Il n’en faut pas plus pour que je sente mon sperme commencer à couler à travers ma cage dans un flux constant sans spasme et sans jouissance. Monsieur Fred continu de plus belle en s’appliquant à bien m’appuyer sur la prostate. Mon sperme recoule et recoule encore au moins 5 fois par quantités de plus en plus petite pour finir par une petite goutte à la fin : Je suis totalement vidé. La seule chose que j’ai senti pendant tout ce temps de vidage est Louane qui a joui dans ma bouche. Aucune sensation de Monsieur Fred qui pourtant a aussi joui dans mon cul laissant du sperme couler sur ma raie et sur mon sexe lorsqu’il se retire. Comme si rien ne venait de se passer Louane ce relève, s’habille, et dit :- Sue !!! Va te laver immédiatement, et refais un lavement. Nous devons manger. Je pars dans 1 heure maximum. – Tu manges avec nous Fred ? poursuit-elle – Non merci Lou, il faut que je parte. Je dois te dire que ton filleul est prometteur, tout le monde le disait mais tu me connais, je suis comme St Christophe.Elle répond alors simplement en lui faisant un bisou sur la joue- Bonne après-midi Fred… – et toi Sue, va te laver, remets ton plug et quand tu remontes c’est silence complet sinon je te mets un bâillon. Si tu l’ouvre, tu ne pourras même pas manger un peu.Je suis désarçonné, les changements de tons dans la voix de Louane qui me terrifient parfois mais qui me font fondre d’autre fois. Impossible pour moi de savoir comment elle me voit mais sachant qu’elle est lesbienne à 100% comme elle me l’a dit, je suis complétement déstabilisé.Obéissant, je redescends pour me laver. Sous la douche je n’arrête pas de penser à la semaine que je viens de vivre. J’ai toujours rêvé d’être soumis à une femme mais là, je me retrouve dans une situation incontrôlable qui me fais peur tout en m’excitant. J’ai totalement perdu le contrôle de ma vie et je me demande ce que l’avenir peut bien me réserver.Petit lavement sous la douche pour être bien propre intérieur comme extérieur comme le dirait Miss Louane et je remonte dans le salon.Louane m’attend, le plug dans une main. Sans qu’elle ne dise mot, je m’approche d’elle, me retourne et me penche pour qu’elle puisse me le remettre ce qu’elle fait immédiatement.- C’est bien Sue, tu commences à comprendre qu’ici tu obéis au doigt et à l’œil même si tu n’as pas d’ordres me dit-elle. Allons manger.Comme elle me l’avais demandé, aucun mot de ma part. En entrant dans la cuisine, je suis surpris de voir que malgré ma position de soumis et serveur, Miss Louane avait mis la table, fait réchauffer le plat de Fred et même servie deux verres de vin blanc pour accompagner le poisson.Nous mangeons sans que l’un de nous deux ne dise un mot. Le plat est délicieux comme la dernière fois mais je n’arrive pas à l’apprécier tellement Miss Louane me subjugue dès que je pose le regard sur elle.Je suis à nouveau surpris quand Miss Louane se lève et débarrasse la table pour amener le fromage. – Je pars dans 5 minutes Sue me dit-elle, sinon je vais être en retard. En plus, tu as un rdv à domicile à 15h00.- Oui Miss Louane, je débarrasserais et fermerais la maison, ne vous inquiétez pas. Mais je n’ai pas de Rdv Miss Louane !- Je te dis que si !!! Tu as un Rdv à 15h00, Sophie va venir chez toi afin finir de te préparer pour ce soir.Encore une fois, je reste sans voix. Les 5 minutes passent très vite. Sans mis attendre, Miss Louane se lève d’un coup, va chercher sa veste dans le hall, reviens et me fait un bisou sur la joue qui je pense me fait rougir de surprise ou de plaisir.A nouveau sans un mot, je la regarde partir sans penser à cette journée qui ne fait que commencer.Je regarde la pendule : il est 14h passée, il faut que je me bouge. Rapidement mais consciencieusement, je fini de débarrasser la table, je fais la vaisselle, passe un petit coup de balai, descend pour me changer et je rentre chez moi.Arrivé à la maison, la pendule indique 14h45. Je me demande bien ce qu’il va encore se passer avec Sophie qui doit arriver dans un quart d’heure seulement ? A suivre …

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La gardienne d’immeuble 3

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La gardienne d’immeuble 3L’exhibitionL’endroit dans lequel ils avaient pénétré était étrange, très sombre avec quelques éclairages violents. Les murs, le sol étaient de couleur noire et des tentures de velours rouges délimitaient certains espaces. Il avait été préparé, encore que préparé soit un grand mot. Mis à poil plutôt, ses vêtements confisqués mis dans un sac poubelle qu’il n’avait plus revu. L’érection qu’il avait dévoilée au moment où il enlevait son slip avait fait rire la gardienne, un mauvais rire moqueur et sadique ponctué de remarques obscènes. On lui avait tendu des bracelets de cheville en cuir munis de boucles et d’anneau dont il avait dû lui-même s’équiper. Penché en avant, il avait tressailli sentant que le black lui mettait la main au cul pour lui badigeonner d’un doigt l’anus d’un gel froid.De nouveau menotté les mains dans le dos et le cou serré dans un collier de chien, la queue raide, il suivait la gardienne désormais vêtue de cuir noir et chaussée de bottes ; elle le menait en laisse le long d’un couloir large, contournant des groupes de gens habillés de cuir et de latex, la plupart masqués, qui bavardaient un verre à la main s’interrompant pour le regarder passer. Certains, surtout des femmes, lui lançaient des insultes et menaces sexuelles liées à son érection.Le couloir était bordé d’ouvertures, certaines occultées par des rideaux de velours rouge, d’autres par des portes dont certaines ouvertes laissaient voir ce qui ressemblait à des salles de torture. On entendait des cris, des hurlements, des claquements de fouet.Le sol sous ses pieds nus était tiède, revêtu de linoléum gris foncé. La marche était lente afin qu’il soit vu et que la peur monte en lui.Ils arrivèrent à une vaste rotonde équipée Escort de stands de présentation, croix de saint-andré, carcans, poteaux, chevalets divers. Certains stands étaient vides, d’autres occupés par une potentielle victime exhibée de sorte à donner envie de la louer par des clients qui l’emmènerait ensuite dans l’une des salles de torture.La gardienne l’arrêta devant un poteau vertical équipé d’un gode à hauteur des yeux qui pointait vers le haut. Le poteau était surmonté d’un treuil.Elle s’approcha de lui pour lui murmurer quelque chose à l’oreille tout en saisissant sa queue raide en main qu’elle branla lentement :« Je vais te présenter crucifié ; tu verras, il y aura un double effet pour toi, pas forcément agréable mais ça je m’en fiche. Il ne fallait pas te branler dans mes mules. Ça va plaire aux gens et je suis sûre d’avoir de la demande pour te louer. Surtout des sadiques. Je vais me faire plein de fric sur toi ».Elle s’écarta pour laisser la place libre à ses acolytes qui approchaient une poutrelle de bois d’une longueur environ deux mètres, munie d’anneaux. L’approchant par derrière à hauteur d’épaules, ils lui lièrent les bras à l’horizontal à l’aide des menottes qu’ils fixèrent aux anneaux de la poutre.Puis ils le positionnèrent dos au poteau et manoeuvrèrent le treuil de sorte à en faire descendre deux câbles d’acier munis aux extrémités de manilles qu’ils fixèrent aux anneaux de la poutre.Un groupe de spectateurs regardait la scène.Le dispositif étant prêt, la gardienne prit le boitier de commande électrique du treuil en main et commença à le manœuvrer, tendant lentement les câbles tirant la poutre vers le haut pour hisser le crucifié.La douleur dans ses épaules devenait vive à mesure qu’il Escort Bayan était tiré vers le haut, particulièrement à partir du moment où ses pieds ne touchaient plus le sol. Cette douleur intense ne l’empêchait pas de sentir le contact du gode dans son dos, au début dans son cou, puis entre ses omoplates, ses reins, maintenant entre ses fesses.L’intention de l’empaler sur le gode était claire ; la gardienne stoppa la montée, le laissant suspendu au-dessus de ce gode qu’il avait à l’entrée de l’anus.Elle le regardait avec un rictus moqueur alors qu’il grimaçait en raison de la douleur qui lui brûlait les épaules et qu’il s’activait en gigotant et en plaquant la plante de ses pieds contre le poteau pour tenter de se surélever et empêcher la sodomie.Des groupes s’approchaient, intrigués et amusés par la scène, le contemplant avec ironie se contorsionner comme un vers au bout du fil de pêche, attirés par ses efforts pathétiques et par sa bite en érection entretenue par les efforts et le viagra.Dans sa lutte, il distinguait un couple de punks au crâne rasé, aux cuirs cloutés et à la crête colorée, qui le regardaient l’air moqueur ; une femme qui lui faisait un geste de masturbation ; des personnes qui discutaient avec la gardienne ; une femme entre deux âges à l’air sévère et aux lèvres pincées qui attendait la suite.La situation empira, alors qu’il était déjà épuisé, quand l’un des acolytes de la gardienne se saisit de l’une des chevilles du crucifié de sorte à fixer le bracelet à un anneau du poteau, puis l’autre, lui enlevant dorénavant tout appui pour les pieds, l’empêchant ainsi de se soustraire au gode qu’il avait entre les fesses.La gardienne donna alors une impulsion courte sur le bouton poussoir, provoquant Bayan Escort une brève secousse de descente. Il sentit l’extrémité du gode lui forcer l’anus qu’il avait encore vierge, déclenchant en lui un cri qui s’apparentait à celui d’un goret et un éclatement de rire des spectateurs qui encourageaient la gardienne à poursuivre la descente vers un empalement total.Faisant la sourde oreille, elle prit le temps d’échanger quelques instants avec avec une spectatrice avant de provoquer de nouveau une secousse de descente.Le crucifié poussa un cri la suppliant d’arrêter, provoquant une nouvelle fois l’hilarité de la foule qui devenait plus nombreuse.La gardienne répéta l’opération à plusieurs reprises de sorte à ce que la sodomie soit lente, douloureuse et profonde. L’un des acolytes filmait en continu.La suppliant d’arrêter cette torture, il entendit en guise de réponse :« Si tu jutes, je te fais couper les couilles ; on vient de me proposer cher pour ça ».Son érection était bien raide mais sans qu’il éprouve aucun plaisir ; plutôt une douleur fulgurante dans l’anus et dans les épaules qui lui paralysait tout le corps.Il était désormais exposé crucifié et empalé, cloué par le gode qui le sodomisait jusqu’à la garde, suspendu à la poutre qui lui écartelait les épaules, les pieds liés sur les côtés du poteau ce qui le déséquilibrait vers l’avant. L’air d’un pantin grotesque à la physionomie ahurie qui contemplait la foule.Il voyait des personnes qui discutaient successivement avec la gardienne, négociant fort probablement le prix de sa location en vue de lui faire subir d’autres tourments.Il sentait aussi quelque chose de chaud lui couler le long de la verge ; du sperme extrait sans jouissance par la compression de sa prostate.La gardienne s’approcha et lui saisit les testicules à pleine main, ensuite entre deux doigts pour les compresser légèrement, puis soudain avec une force qui le fit hurler de douleur.« Attends, ça ne fait que commencer”.A suivre

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