Mon dépucelage
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Mon dépucelageDepuis toujours j’aime tout ce qui a attrait au sexe. Très jeune je regardais des livres et des vidéos pornos, j’en avais trouvé la cachette par « hasard » dans la chambre de mes parents. Le téléphone rose ensuite, des séances photos coquines avec ma femme qui devenaient souvent franchement cochonne. Puis internet est venu, à mon grand plaisir baisser mon budget sexe, et facilité l’achet de sex toys. Avant je les achetais par correspondance ou très rarement en sex shop.Dès mes premières visites en sex shop, j’avais remarqué les allers et venues dans l’arrière boutique de ces établissements. Et de plus en plus je voulais voir ces lieux de perversion de mes propres yeux.A l’occasion d’un déplacement professionnel à Rouen, je m’étais décidé à franchir le pas. J’avais donc pris soin de faire réserver par la secrétaire un hôtel juste à côté d’un sex shop, en prétextant la proximité avec mon premier rendez vous du lendemain.Il ne restait que 15 jours pour préparer mon voyage initiatique… En fait j’y pensais tout le temps et je devais avoir recours régulièrement à la masturbation pour calmer le feu hardant qui animait mon entre jambes.Puis le jour est venu, j’étais fraichement épilé, j’étais passé chez le coiffeur… bref présentable au mieux.Entre la route et mes rendez vous professionnels la journée me parut une éternité, mais vers 16h j’avais fini ma journée. Je me suis empressé de me rendre à l’hôtel. J’ai perçu ma chambre, je me suis douché longuement en prenant soin de ne pas me masturber malgré une excitation très forte.Une fois rhabillé, je suis sorti tranquillement dans la rue. L’air tiède avec un petit vent rendait ma balade agréable mais j’avais le pas pressé. A quelques mètres de l’enseigne j’ai ralenti le pas. Je suis passé devant une première fois devant sur le trottoir opposé. Je scrutais la vitrine mais à part une lumière rouge rien ne pouvais laisser présager de ce qui se passait à l’intérieur… que mon imagination et c’était sûrement pire d’ailleurs ! Ma braguette commençait à se déformer et c’est ce qui m’a donné le dernier coup de pied aux fesses pour franchir la porte.Dans le petit magasin, un homme derrière la caisse me salue, il est tatoué et percé de partout. Je réponds rapidement à la politesse et commence mon petit tour dans une boutique toute petite.Il y a du sexe partout : des étagères partent du sol et montent jusqu’au plafond. Les godes sont dans tous les coins, des petits, des gros, des colorés, des énormes, des godes ceintures (je trouve cela très sexy une femme qui porte un gode ceinture). Il y a aussi de la lingerie, des tonnes de lubrifiants différents et bien sûr au centre des centaines de porno.J’ai hâte. Je bande.Je choisis à la hâte une vidéo ou des femmes portent des godes ceintures pour des rapports lesbiens mais aussi avec des hommes. Je m’approche de la caisse et paie pour une heure visionnage.Le vendeur me tend une télécommande en m’indiquant que je bahis firmaları serai dans la cabine n°4.Je descends un petit escalier vers un puis sombre. En bas un couloir exigüe, à droite les cabines 1 et 2, en face de moi les 3, 4, et 5. L’endroit est désert. Je vais pouvoir être tranquille pour ma découverte et en même temps je suis un peu déçu. J’entre dans la cabine du milieu, la mienne. C’est très minimaliste, le mur est jaunis par des jets de sperme clairement visible le sol est un peu collant, une chaise et un écran et voilà : un peu glauque.Le film se met en route, pas de scénario une très jolie métisse porte un énorme gode ceinture et le fait sucer à un jeune minet à quatre pattes devant elle.Je baisse pantalon et caleçon jusqu’à mes chevilles, et je commence à m’astiquer la queue.Sur chaque mur de part et d’autre il y a une trappe, l’équivalent d’une feuille A4. Je les ouvre et du coup je constate que les cabines voisines sont vides. Un grand miroir en face de moi me permet de rester assis sur ma chaise et de voir, ce qui se passe sur les chaises des autres cabines.Je me concentre un peu sur la projection qui ne tarde pas à provoquer chez moi une belle érection.Mon attention est brisée par des bruits de pas dans le couloir. On gratte à ma porte. Sensation de malaise… je ne bouge pas et je continue ma tranquille masturbation.Je vois un homme par la trappe de gauche. Il s’installe sur la chaise. Il a un gros ventre qui cache un tout petit sexe. Rapidement il se branle avec des râles presque animaux. En quelques minutes je vois une éjaculation très fournie. L’homme se lève et disparait.Quelques instants plus tard, un homme s’installe à ma droite après avoir lui aussi gratté à ma porte. En premier il allume la lumière.Je vois donc tout ce qu’il fait. Il croche son manteau sur un porte manteau que je n’avais pas vu mais que j’ai aussi dans ma cabine. Il se déchausse et enlève son pantalon et son slip, pour laisser apparaitre une paire de cuisses noires. Quand il se tourne je bloque sur son sexe : une grosse queue noire qui pend mollement entre ses cuisses. Elle est longue !Puis une fois assis il commence à se branler doucement pour donner encore plus de volume à ce membre impressionnant.C’est alors que je décide aussi d’allumer la lumière. Aussitôt j’entends un « très belle queue… »-Que devrais-je dire. Je ne trouve rien d’autre à dire.Je le vois se lever, je ne distingue pas bien ce qu’il fait jusqu’à ce que la grosse queue noire passe par la trappe. Elle est énorme !Cela m’excite. Amusé je décide de la prendre en main puis fais quelques allers retours avant de la lâcher. Première bite autre que la mienne dans ma main. Frissons, honte, excitation je suis en pleine confusion.La queue disparait l’homme se rassoit.Un autre homme arrive dans la seconde cabine à gauche. Très vite je vois son sexe sortir de sa braguette. Une belle queue mais d’un format beaucoup normal. Je me penche pour la kaçak iddaa suivre des yeux. Sa cabine est sombre et je ne le vois plus. J’approche mon visage de la trappe pour voir où il est et c’est à ce moment que la queue jaillit de la trappe.Elle est là bandée, à quelques centimètres de mon visage. Un beau gland luisant et marqué, une tige très veinée. Doucement j’approche ma main et touche en quelques minutes ma seconde bite. Je caresse ses couilles lisses. Je me relève et retire mon pantalon et mon caleçon pour les accrocher sur le fameux porte manteau. J’éteins la lumière et m’approche de nouveau de cette belle tige, pour la saisir à pleine main.Je branle nos deux bites simultanément.C’est à ce moment que je vois un billet de 20€ tomber de la trappe.J’entends : « ils sont pour toi si tu me suces ! »Gonflé le mec ! Il me prend pour qui ?« Suce moi comme une salope, le billet n’est pas revenu, et tu n’as pas lâché ma queue je prends donc ça pour un oui. Mais me branler je sais faire. Suce ma pine petite lopette ! »Je me rends compte que je n’ai effectivement pas lâché cette bite, et que son ton m’excite. Je me mets à genou en face la trappe et doucement j’approche ma bouche de cette belle tige et la prend délicatement en bouche. Mon premier étonnement : c’est la douceur de la peau dans ma bouche c’est incroyable.Je m’applique en essayant de reproduire ce que j’aime. Mais rapidement il donne des coups de reins et commence à me baiser la bouche comme si il baisait un sexe de femme. C’est situation m’excite au plus au point.Mais en même pas une minute je le sens se tendre, et se répandre dans ma bouche. Surpris j’avale un peu, me dégage un jet vient d’atteindre mon torse. Je me lève et le laisse finir de jouir à même le sol. Je prends un essuie-tout et crache le foutre qu’il me reste en bouche.Ce con ne m’a même pas prévenu !… mais je suis un peu furieux comme même. Je bande encore plus… il disparait.A ce moment là je vois de nouveau le gros sexe noir pointé par la trappe et j’entends « j’aimerais bien que tu me suces aussi s’il te plait, je te préviens quand je viens… »N’ayant pas jouit l’excitation était encore très forte, mais le sol, déjà collant, était franchement sale maintenant. Je suis donc resté debout puis me suis baissé pour prendre ce joli membre en bouche. Il était dur maintenant très long, et un peu odorant. Je m’appliquais et je trouvais celle-ci encore plus douce, c’était agréable, j’aimais beaucoup.Du coup que je prodiguais cette pipe du mieux que je pouvais quand j’ai soudain senti une main me caresser la fesse. Surpris, je n’ai malgré tout rien fait pour repousser cette main.Main qui n’oubliait rien de mon anatomie, elle passait sur mes couilles, mon sexe, la raie de mes fesses et mon anus, très érogène…Doucement je sentais les doigts de plus en plus inquisiteurs, une deuxième main est venu sur mon cul pour le lubrifier, salive ou gel je ne sais pas ce qui est sur c’est qu’après kaçak bahis un doigt est entré très facilement.Je pompais le gros nœud comme une diablesse et le branlais sur toute sa longueur.J’ai rapidement constaté l’entrée d’un deuxième doigt dans mon cul de plus en plus accueillant, donc entrée sans aucune douleur.Puis les deux mains m’ont saisi par les hanches pour me coller sur la trappe. Je me suis esquivé aussitôt pour connaître les intentions de ce dernier. Et j’ai vu une queue couverte d’un préservatif. Rassuré quant aux sécurités utilisées j’ai tendu les fesses vers l’ouverture et repris la grosse bite noire en bouche.J’ai senti le gland se poser sur mon trou lubrifié, et d’un coup une grosse poussée la fit entrer entière ou pas je ne sais pas mais j’avais l’impression de mettre fait déchirer la bouche empalé sur l’autre sexe je n’avais pas pu m’y soustraire.Quand j’ai reculé pour enlever la bite de ma bouche il y eu un nouveau coup de reins, moins douloureux qui me fit sentir une paire de couilles claquer proche des miennes. J’ai donc décidé de m’abandonner aux assauts de ce « rustre ».Longs doigts fins sont venus par la trappe me faire signe de partir, sans réfléchir je suçais de plus belle.-« attention, attention… aaaat… pardon je suis désolé »Malgré ma condition actuelle, le laisser jouir volontairement dans ma bouche me donner presque l’impression de l’avoir dominer…En plaquant les fesses au mur pour accepter au mieux la pénétration j’ai tout avalé.Très vite j’ai senti le second se tendre, sa queue faisait de petits soubressauts dans mon fondement, je continue à la limer avec de lents mouvements de bassin.Il se retira d’un coup laissant mon cul complètement ouvert.Je me suis redressé, le dos un peu endolori par cette position peu confortable. Et j’ai vu tombé au sol un second billet de 20€.-« pour ton cul sale pute ».Il n’y avait plus personne ni à droite ni à gauche, j’ai fermé les trappes puis me suis branler avec force. Autant dire que je n’ai pas mis longtemps avant de me répandre à mon tour sur le sol.L’excitation retombée j’avais carrément honte…Je ne voulais pas sortir. Le film était fini. Mais je restais encore, le goût de foutre dans la bouche et le ventre palpitant de cette visite un peu brutale. Je me suis rhabillé. J’ai pris une grosse poignée d’essuie tout pour nettoyer le sol, comme pour enlever les preuves de ma perversion…Je n’entendais plus rien. Je suis sorti rapidement, remontant les escaliers 2 par 2. Arrivé dans la boutique j’ai rendu la télécommande au vendeur qui me regardait avec un sourire entendu. Etait-il au courant de ce qui s’était passé ?Rapidement je me projette dehors, ébloui par la luminosité, je dû mettre ma main en casquette.J’ai 30 mètres sur le trottoir, arrivant à une terrasse, j’ai croisé le regard d’un black très filiforme d’une cinquantaine d’années, qui ma lancé un petit clin d’œil.Je déambulais dans la rue jusqu’à mon hôtel. L’anus endolori et j’avais l’impression qu’il était complètement ouvert.J’avais l’impression que chaque personne que je croisais savait…En tout cas, je venais de faire ma première pipe et de connaitre ma première sodomie… c’était bon…
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